Première fois

La fête est finie à la maison. Ils ont bougé au Macumba, la boîte de nuit à une trentaine de kilomètres d’ici. Et moi je reste là comme une pauvre idiote, mon grand frère n’a pas voulu que je les suive. Nos parents sont partis en week-end et il en a profité pour inviter ses potes de rugby et copines pour une méga fiesta chez nous. Il m’a permis de rester en bas avec eux à condition de me faire discrète et d’aider à nettoyer un peu après. J’ai accepté directement. Assister à une fête de grands (mon frère a 9 ans de plus que moi), je ne pouvais pas passer à côté. J’aurai plein d’anecdotes raconter à mes copines lundi matin au collège. J’ai supplié mon frère pour aller avec eux mais il n’a rien voulu savoir. Sa copine a même intercédé en ma faveur mais il a expliqué que j’étais trop jeu.ne pour sortir avec eux. J’ai détaché ma natte et secoué mes longs cheveux blonds pour lui prouver que je faisais plus que mes 14 ans. Rien n’y a fait. la maison est vide maintenant. Je ramasse les gobelets en plastique pour les jeter à la poubelle, Les cendriers sont plein et je m’en occupe aussi. Je suis énervée et dégoutée que mon frère ait refusé de m’emmener avec eux, je ne suis plus une gamine quand même. J’avais même mis une robe en jean à bretelles pour faire plus âgée, je reconnais que mes Converses roses n’ont pas aidé pour le coup. J’ai presque fini de débarrasser le salon, je ferais le reste demain. Je vais prendre une douche et aller me coucher.
On sonne à la porte. Je sursaute, ne bouge pas. La sonnette insiste. Je regarde discrètement par le judas sans faire de bruit. Je reconnais un des copains de rugby de mon frère présent à la soirée. Je lui ouvre sans comprendre ce qu’il fait là.
« Super, merci. J’avais peur que tu te sois déjà end.ormie. J’ai oublié mon blouson. Tu l’as pas vu? Ah, il est là »
Il me regarde dans les yeux quelques secondes en silence. Je ne sais pas quoi faire. Il m’intimide.
« J’ai pas eu l’occasion de te le dire tout à l’heure devant les autres mais tu es très mignonne. Tu as un petit copain en ce moment? »
Je hoche négativement de tête pendant qu’il se rapproche de moi.
« Ah bon? Comment ça se fait? Une belle fille comme toi. Tu sais que ta petite robe te va très bien. D’habitude, quand je te vois au stade, tu es en pantalon. Là, tu fais vraiment moins… enfant »
Je rougis comme une idiote. Je n’imaginais même pas qu’un adulte puisse me remarquer. Je suis encore perdue dans mes pensées quand je sens ses mains me saisir par la taille et ses lèvres se poser contre les miennes. Je tressaute. Sa langue se fraie un chemin ma bouche, je la laisse faire et il commence à me rouler une pelle lentement. Ça change des autres garçons qui m’ont fourré leur langue dans la bouche avec trop de précipitations et maladresse et en me pelotant la poitrine par dessus mes vêtements en croyant bien faire. Là je sens ses mains remonter le long de mon corps pour finir sur ma nuque, il me caresse le visage en continuant à envoûter ma bouche avec sa langue délicate. C’est agréable, je n’ai pas envie que ça s’arrête. Je retiens ma respiration quand je sens qu’il essaie de défaire le premier bouton de ma robe. Ce soir, je n’ai pas mis de brassière, ça se voyait trop avec cette robe et ça faisait trop moche. Ça me tracasse un peu en imaginant si jamais il continuait. Le deuxième bouton vient de sauter, sa main caresse doucement le haut de mon buste et me donne des petits frissons. Maintenant il m’embrasse dans le cou en détachant le 3e bouton avec dextérité. Là ma robe s’entrebâille vraiment, j’ai le coeur qui palpite à 100 à l’heure, j’ai jamais montré mes roploplos à un garçon. Il recommence à m’embrasser. Je sens un de ses doigt qui me titille le téton, c’est la première fois que quelqu’un me touche la poitrine. Je frissonne de partout. Il enlève le quatrième bouton et fait glisser une bretelle de mon épaule libérant complètement mon sein. Il recule un peu et regarde en détail mon sein.
« Tu pointes bien. J’adore, t’as le mamelon super large par rapport à la taille de ton nichon »
Et là, je sens sa langue jouer avec mon téton. je m’accroche à lui en lâchant un petit gémissement. J’ai des papillons dans le bas-ventre. Maintenant il me suce carrément le bout qui se contracte littéralement. C’est tellement bon, j’ai les jambes en coton. Il s’occupe de mon autre sein maintenant. Ses doigts tirent un peu sur le téton qu’il vient de sucer. Il s’éternise à me faire tout ça en variant et alternant les plaisirs et les sensations qu’il me procure. Je gémis de plus en plus, j’ai chaud entre les cuisses. Sans que je m’en rende compte, il a complètement déboutonné ma robe, elle ne tient plus que par une bretelle. Il remonte pour m’embrasser à nouveau, en faisant tomber ma robe par terre, il me demande à l’oreille si ça me plait. Au moment de répondre, je sens sa main se poser sur mon slip. Un petit cri de surprise m'échappe. Il effectue des petits cercles au bas de mon pubis à travers le coton. Des gémissements confus ont remplacé mon cri de surprise. Je me liquéfie littéralement.
« On t’a déjà doigtée? » Je souffle entre deux gémissements que non. T’as jamais essayé toute seul? Non plus.
Il vient de glisser sa main dans ma petite culotte, j’ai peur de la suite maintenant, de l’inconnu. Je ne sais pas ce qui m’attend. Il caresse mes poils pubiens et s’amusent un peu avec.
« T’as une bonne touffe quand même pour ton âge, c’est soyeux.  »
Un de ses doigts glisse sur ma minette. Je retiens une nouvelle fois ma respiration.
« Hoo, putain, t’as la moule toute baveuse. T’es qu’une gamine mais quand tu mouilles toi, tu fais pas semblant. Rien qu’en frôlant ta chatte, j’ai déjà les doigts tout visqueux. »
Le sens de sa phrase m’échappe et, de toute façon, je suis trop anxieuse de la suite des événements pour m’y attarder. Je sens son majeur aller et venir doucement sur ma foufoune, il alterne des petits cercles avec des va-et-vient puis soudain son doigt est en moi, c’est rentré si facilement mais je crie, à nouveau de surprise. Maintenant il me doigte vraiment d’avant en arrière et j’éprouve des picotements intenses dans tout le bas-ventre. Son doigt glisse en moi sans difficulté. J’ai trop chaud, mon corps se résume à ma chatounette tout de suite. Je mords son t-shirt pour atténuer le bruit de mes petits cris que j’assume pas. Je n’arrive à pas à les retenir. Il me rend folle de désir sans même comprendre ce qu’il m’arrive. C’est si imprévu et incompréhensible. C’est trop bon.
« Ta chambre est où? On y sera mieux »

Il a retiré sa main de ma culotte mais je ne bouge pas pour autant, je suis tétanisée, j’ai peur et j’essaie de me remettre un peu de mes émotions. Il en profite pour me retirer ma culotte. La honte, je m’aperçois que c’est une culotte achetée par mère avec des petites licornes dessus. Ça fait trop petite fille. Qu’est-ce qu’il va dire? « Dis donc toi, t’es pas une vraie blonde. » Aucun mot sur ma petite culotte qu’il a mise dans une poche de son jean. Je suis nue devant lui, je n’ai plus que mes converses aux pieds. Je m’aperçois dans le miroir de la salle à manger, les joues toutes rouges, la poitrine haute et les tétons pointant comme jamais, la fouffe en feu. J’assume ma nudité sans crainte. Il renifle son majeur en me regardant de haut en bas attentivement. Il savoure, ça se voit sur son visage. Il me demande de tourner sur moi-même. Je le fais sans même réfléchir.
« Physiquement, tu ressembles un peu à Vanessa Paradis en plus mince. Tu vois qui c’est quand même? T’as des petits seins mais un bon petit cul bien cambré comme elle. Bon, tu me la montres ta chambre? »
Je ramasse mes affaires et me dirige vers le 1er étage pour rejoindre ma chambre.
Je monte l’escalier. « T’as des fesses sublimes. Deux pommes à croquer. Par contre c’est quoi ce petit trou au dessus de ta raie? » J’attends d’être sur le palier pour lui répondre que je sais pas, que c’est de naissance puis j’entre dans ma chambre et pose mes vêtements sur la chaise. Il me penche brusquement en avant, je dois m’appuyer sur le bureau pour ne pas tomber. Un de ses doigts trifouille à nouveau ma foufoune. Il me demande de me cambrer un peu plus. Je reproduis une posture que je travaille régulièrement à la danse, le dos très creusé. Ça a l’air de lui convenir. Je sens encore plus son doigt en moi, maintenant il frotte intensément une zone différente de tout à l’heure de mon vagin, je lâche des petits gémissements de plaisir intense mais sa pression me donne envie de faire pipi en même temps. Je crains de ne pas pouvoir me retenir. « Oui, t’aime ça, on dirait. Ton petit cul est vraiment sublime dans cette position, même avec ton petit trou de naissance. T’as des bonnes petites lèvres en plus pour ton âge. Elles ressortent bien. On a envie de jouer avec Viens par là ». Il me traîne vers le lit et m’allonge dessus en défaisant son pantalon en même temps. Il baisse son caleçon et là je vois pour la première fois de ma vie le sexe d’un homme en érection. C’est énorme. Je prends peur en voyant ce sexe colossal avec ce bout rouge gros comme un champignon. Ça va jamais rentrer dans ma petite minette. Je crains d’avoir vraiment mal, ça me stresse. Je ne le quitte pas des yeux. Je scrute chacun de ses mouvements. Il se met à genou et enfouit sa tête dans mon entrejambe sans que je comprenne ce qu’il veut faire. D’un coup je sens sa langue sur mon petit bouton, il le titille, tourne autour puis l’aspire et le suce tout lentement. C’est sublime. Je me tortille, m’accroche aux draps et gémis comme jamais. Je sens ma chatoune couler une nouvelle fois. J’ai la vulve transformée en marécage. C’est une véritable inondation. Ses mains remonte le long de mes flancs puis il me pince le bout des seins en continuant de sucer mon bouton magique (je savais que ça s’appelait un clitoris à l’époque). Je serre encore plus fort les draps. J’ai fermé les yeux sans même m’en rendre compte. Puis il s’arrête et je me dis « Non encore » dans la tête, je veux pas, j’ai envie de lui dire de continuer encore et encore mais il remonte entre mes jambes et m’embrasse, ses baisers n’ont pas le même goût que tout l’heure. Je sens son énorme sexe contre ma petite fente. Il utilise sa main pour le frotter dessus doucement en continuant à m’embrasser lascivement…
AAAAAH. Il vient de me pénétrer, doucement mais d’un mouvement lent et continu jusqu’au bout. Je me sens totalement remplie. C’est si large. Pourtant il est rentré sans trop de peine. Il va et vient en moi maintenant, mon appréhension s’est envolée, j’ai agrippé ses bras musclés avec mes mains. C’est si délicieux, il va tout lentement, je sens tellement bien son sexe en moi. Quelle sensation de plénitude.
« Ça va? Je ne t’ai pas fait trop mal? Je hoche la tête en signe de réponse, je n’arrive plus à parler. Mes halètements se font plus courts et plus rapides. On dirait que je viens de courir à perdre haleine et que j’essaie de reprendre mon souffle. « Heureusement que tu mouilles vraiment bien. J’ai dû insister quand même pour rentrer parce que tu es super étroite mais ça a bien glissé. Je vais pas tenir longtemps. J’ai l’impression qu’on me serre super fort la bite avec une main. C’est que du bonheur. » Tout en continuant ses mouvements en moi, il me lèche les tétons. Je suis brûlante. Je veux qu’il reste en moi une éternité. Ma cramouille en a envie. Elle le réclame. C’est un délice si différent, rien à voir avec toutes les sensations que j’ai connu avant. J’ai le bas-ventre en feu, je sens comme une boule d’énergie qui se forme au niveau de mon pubis.
Il s’arrête un instant et sors de mon sexe, j’ouvre les yeux pour voir ce qu’il se passe. Je le regarde lever mes jambes en l’air pour les poser sur ses épaules. OH MON DIEU. Je viens de crier une nouvelle fois comme une folle. Il s’est enfoncé en moi d’un coup. Rien à voir avec tout à l’heure. J’ai l’impression qu’il est dans mon estomac tellement il est loin dans mon corps. Il reste quelques secondes comme ça, je tente de respirer en soufflant et gémissant en même temps. C’est une sensation si puissante et inattendue, je suis perdue, j’ai envie de pleurer. De peur, de joie, je ne sais… Du haut de mes 14 ans, je me retrouve les genoux collés sur la poitrine, les jambes pointant vers le plafond sur ses épaules et son sexe énorme planté dans ma petite fouffe. Sans prévenir il me pilonne comme un malade en m’écrasant presque de tout son corps. J’ai l’impression que sa bite va me transpercer le vagin à chaque fois qu’il me la rentre d’un coup sec en entier au plus profond. Je n’arrête pas de crier à t.ue-tête dès que son sexe tape au fond de ma foufoune. Je comprends pas ce qu’il se passe, j’ai un peu mal mais c’est si divin. j’ai la tête qui tourne. J’ai le bas-ventre qui va exploser.
« Putain, t’es trop bonne. Trop excitant de t’entendre gueuler comme ça. » Soudain ses mouvements deviennent saccadés et ralentissent. « Hummmmm ». Maintenant il ne bouge plus et respire lourdement. il m’embrasse longuement en me laissant les jambes appuyées sur ses épaules, son sexe calé au fond de mon vagin distendu.
Il se retire de ma chatoune en fusion. J’ouvre à nouveau les yeux et le vois debout devant moi, le phallus pointant vers le haut et toujours énorme sauf qu’il est tout luisant contrairement à tout à l’heure. Il regarde entre mes jambes engourdies et me demande si j’ai besoin d’une serviette ou autre. Je comprends pas. D’un mouvement de la tête il indique ma fente. Je la tâte en me demandant ce qu’il veut et je me retrouve avec une substance blanchâtre et gluante plein les doigts. Grosse panique, je viens de comprendre qu’il a éjaculé en moi et que je risque de tomber enceinte. « Désolé mais j’ai pas réussi à me retenir, tu es trop serrée, ça a été plus fort que moi. Et puis, sincèrement, c’était trop tentant d’être le tout premier à juter dans ta petite chatte vierge. T’es une jeune femme maintenant. Je peux te dire que ça a été un bonheur de te dépuceler. Tu peux être fière de toi et de ton corps. J’espère que tu as aimé aussi mais j’ai peu de doute vu comme tu es toute rouge et tes cris de tout à l’heure. T’es pas du genre discrète toi. Bon, je dois y aller, ils vont se demander ce que je fous. En tout cas, j’en ai pas fini avec toi. Je vais te faire découvrir mille délices. Par contre, pas la peine d’en parler à ton frère, ni à personne d’ailleurs. » J’ai pas fait attention à ce qu’il vient de me dire. Je pense juste que mes parents vont me trucider si je suis enceinte.