Le chalet près du lac - 4

J’étais placée entre Charlie et Rose.

La bouche de Rose était à quelques centimètres de la mienne. Elle respirait de façon régulière, end.ormie et je pouvais sentir son haleine pénétrer dans mes narines. Cela m’excitait bien plus que si j’avais pris une dro.g.ue.

Charlie, derrière moi, avait glissé son bras le long de mes hanches et sa main sur mon ventre. Je tâchais de bouger légèrement afin que sa main glisse un peu plus bas, là ou, de nouveau, l’humidité commençait à sourdre.

Mais sa main remontait à chacune de mes tentatives. Elle approcha sa bouche de mon oreille et murmura quelques mots à voix basse.

- Tu n’es donc jamais rassasiée ?

Pour toute réponse, je pris sa main et la posais sur ma chatte. Elle se colla plus étroitement à mes fesses et je sentis ses doigts s’agiter légèrement, remuant mes chairs intimes.
C’était bien ce que je voulais et j’ouvris un peu mes cuisses pour lui permettre d’aller me toucher plus profondément.

Elle s’interrompit pour me faire lécher ses doigts gluants. Rose, par l’odeur réveillée, gloussa et passa sa main entre mes cuisses.

- Connais-tu la punition pour m’avoir réveillée ? demanda t’elle d’une voix encore enchifrenée par le sommeil.
- Non… Mais il me tarde déjà d’être punie !

Sa main remonta plus haut et elle pinça mon téton, m’arrachant un petit cri.

- Ce n’est qu’un début… fit-elle.
- J’espère bien !

Charlie, soudain, sortit du lit et j’entendais qu’elle préparait quelque chose dans la cuisine, comme si elle pelait des légumes. Drôle de moment pour cuisiner…

- Tu prépares la soupe ? demandais-je, de loin.

Elle revint, en riant, et, pour toute explication, m’appliqua une énorme tape sur les fesses.

- Ouille ! fis-je.
- Il est temps que tu te rendes utile ! fit-elle. Lèche donc Rose, elle n’attend que ta langue !

Rose se mit debout, à la tête du lit, m’ouvrant largement le compas de ses cuisses. Ses poils crépus formaient comme un nid dans lequel je m’empressais de mettre mon nez.
Elle prit mes cheveux, doucement, et me guida exactement là ou elle souhaitait que je la lèche.

- Et maintenant ! lança Charlie, la recette du jour : la caille farcie au gingembre !

Je continuais à lécher Rose lorsque je sentis un liquide à la fois froid et piquant couler entre mes fesses. Bientôt, c’est une forme plus dure qui pénétra entre mes rondeurs. Charlie me fit cambrer un peu, de façon à pouvoir accéder à mon anus. Et là, progressivement, elle me pénétra avec l’objet gluant et épicé qu’elle venait de confectionner : un petit plug de gingembre.

Je connaissais déjà les effets de cette racine sur les muqueuses intimes des femmes. Le gingembre pelé laisse suinter son jus piquant et frais. La sensation est agréable, d’abord, puis très gênante, ensuite, pour devenir parfois intolérable.
La solution la plus utilisée, pour apaiser la douleur est, tout simplement de sodomiser la victime. Généralement, c’est elle qui supplie pour cela, afin d’atténuer la sensation de brûlure.

Le plug entra facilement dans mon petit cul, habitué à recevoir des offrandes sous forme de godes ou de sextoys.

Je continuais à lécher Rose, mais, progressivement, je me concentrais sur la sensation qui remontait de mon rectum jusqu’au creux de mes reins.

- Alors, tu aimes ? demanda Charlie.
- C’est horrible ! répondis-je en riant.
- C’est fait pour punir les vilaines filles excitées !

Elle ponctua ses paroles par plusieurs gifles sur mes fesses. Puis elle m’abandonna pour aller farfouiller dans sa valise.
Je continuais à lécher Rose qui m’encourageait de la voix et du geste.

- Oui, comme ça ! Mmmm… tu lèches merveilleusement bien !

Je sentais le jus piquant couler entre mes fesses. Petit à petit, il parcourait mon périnée et allait bientôt se mélanger avec la cyprine qui coulait de ma chatte. Je remuais mon cul comme si cela pouvait permettre d’atténuer la sensation, mais rien n’y arrivait.
Enfin, je sentis ma vulve me piquer et la sensation devint intolérable.

- Je n’en peux plus… dis-je. Arrête !
- Trop tard !
- S’il te plait ! C’est horrible !

Elle retira le gingembre de mon cul mais cela ne changea pas grand-chose. Me retournant, je vis que Charlie s’était équipée d’un gode-ceinture. Je souris.

- Oh oui ! Charlie ! Encule-moi !

Les deux filles se mirent à rire. Puis, Charlie posa le bout de son gode entre mes fesses et, lentement, poussa pour le faire entrer. Ce fut assez facile mais mon anus était douloureux à cause du gingembre et je poussais un cri.

- Ca va aller ? fit-elle.
- Oui ! répondis-je. Tu peux y aller !

Le gode franchit le second anneau et elle se mit à aller et venir dans mon cul. De sa main, elle massait ma vulve, étalant le jus du gingembre sur mes muqueuses. J’avais l’impression qu’elle avait introduit un objet électrique en moi et je me mis à gémir et crier sans pouvoir contrôler mes sensations.

- Elle aime ça ! fit Rose. Encule-là plus fort !
- Oh oui ! fis-je, totalement hors de moi.

Charlie me pilonna pendant plusieurs minutes. Elle tirait mes cheveux, me fessait, tout en m’enculant sans douceur.
Je me suis souvent demandée pourquoi j’aimais être prise ainsi, comme une pute qu’on utilise et je n’ai pas vraiment trouvé de réponse. J’aime être utilisée, soumise, c’est comme ça.

Lorsque le jus du gingembre, dont l’intensité était fort heureusement diminuée par ma liqueur intime qui coulait et se mélangeait à lui, atteignit mon clitoris, Charlie se plût à malaxer ma pauvre perle. Je me cambrais et ruais, comme une jument que l’on dresse et je laissais ma tourmenteuse me conduire vers un orgasme géant.

Je jouis en criant et, pas saccades, des jets de cyprine jaillirent de mon sexe pour tambouriner contre le drap, inondant notre couchage.
J’espérais qu’il y avait une alèze sous le drap, mais, de toute façon, je ne pouvais pas stopper cette fuite qui béait du plus profond de mon intimité.

- Quelle cochonne ! fit Charlie en riant.
- Oui, renchérit Rose. Il faut vraiment l’éduquer !

Alors que je me remettais à peine de cette séance, que mon anus convulsait encore et que mon cœur battait la chamade, Rose me prit doucement par les cheveux et remonta mon visage au niveau de sa chatte.

- Je vais te montrer comment on fait ! fit-elle.

Elle écarta les jambes et avança son bassin vers moi.

- Ouvre bien grand ta jolie bouche… dit-elle.

Je me doutais un peu de la suite. Un premier jet odorant surgit d’entre ses cuisses et inonda ma bouche et mon menton. Puis, elle s’interrompit.

- Tu vois, lorsqu’on se contrôle, on ne mouille rien ! fit-elle.

Elle recommença et j’avalais sa pisse tiède et odorante au fur et à mesure. Entre deux giclées, elle me faisait lécher ses poils, constellés de gouttes. Je bus autant qu’elle voulut bien m’en donner sous le regard très intéressé de Charlie.

- On dit que nous avons toutes une face cachée, fit Rose. J’aime bien la tienne !


(à suivre)