1ère rencontre avec un futur amant

Je me connectais très souvent sur un site de dialogues bien connu.

La plupart des discussions tournait court car la majorité des hommes connectés n'ont qu'une idée en tête : les cams ; et moi ce n'est pas mon truc.

J'y ai cependant fait quelques rencontres plus ou moins réussies même s'il faut reconnaître qu'elles furent bien moins nombreuses que les rendez-vous où personne ne se présente.

C'est comme ça que j'ai rencontré Xavier.

Il commence avec un classique "coucou" auquel je ne réponds quasiment jamais mais son pseudo m'interpelle "reçois en cave" avec pour âge affiché 55 ans.

La discussion s'installe après lui avoir demandé de m'en dire plus sur son pseudo et sa recherche.

Il est en couple mais n'a plus de relation sexuelle avec sa compagne. Il est bi, actif, et reçois le soir quand sa femme est couchée dans sa cave d'immeuble dans laquelle il a installé un matelas sur des palettes. Il ne parvient pas à trouver de partenaire car jamais personne ne vient.

Bien que mon pseudo est explicite quant au fait je sois passif et aime porter des dessous féminins, je m'assure qu'il l'ait bien compris.

Bien sûr la conversation dure un moment et tourne vers nos descriptions, nos goûts et nos désirs, etc... Je le trouve crédible et agréable.

Vient le moment où il me dit "elle dort, si tu veux tu peux venir, j'aimerai bien".

J'ai envie d'y aller, mais vais-je une fois de plus me déplacer pour rien ? Sur qui je vais tomber ? S'il est réel, ne vais-je pas tomber sur un mauvais plan face à plusieurs mecs malveillants ?

L'excitation, qui fait parfois faire des conneries, prend le dessus, surtout quand il y a moins de 5 km à parcourir, et je lui dit OK, et lui demande juste le temps de me préparer et de faire le trajet. Nous convenons que je sois à un endroit précis, à proximité de chez lui, 1h30 plus tard.

Après une douche "complète", je place mon petit plug là où il faut pour gagner un peu de souplesse anale, puis j'enfile une paire de bas noirs portés haut, un petit string rouge et ma jupe frou-frou ras les fesses. En guise de "haut" n'ayant pas grand chose sous la main j'opte pour un débardeur court proche du corps qui ne cache aucune de mes formes et rondeurs. j'enfile ensuite une tenue ample : pantalon de jogging large et veste sweat shirt à capuche pour dissimuler le tout et être discret. J'emmène mes escarpins hauts talons dans un petits sac à dos, j'enlève mon plug, et je prend la route.

Je suis au point de rendez-vous avec un peu d'avance et après avoir garé la voiture, je me tiens sous l'abri de la sortie de parking privé d'un immeuble à la fois stressé et excité.

Nous avions convenu que lorsqu'il me verrait, il allumerait la lumière de l'escalier de son immeuble situé en face de la sortie de parking, et entrouvrirait la porte d'entrée.

Je fume une cigarette en scrutant les fenêtres en face de moi, il ne s'agit pas d'immeubles comme les barres ou tours de cité mais d'immeubles de types maisons de maîtres divisées en appartement de 3 ou 4 étages tous mitoyens comme il y en a beaucoup dans le coin, et le temps d'attente me semble interminable.

A l'heure pile prévue, je vois une silhouette derrière un rideau qui s'écarte à peine, puis disparaît de la fenêtre, et une lumière qui s'allume visible de la porte d'entrée, et celle-ci s’entrouvre.


Je traverse la rue, me positionne sur le pas de la porte. Elle s'ouvre un peu plus... un homme en peignoir qui sort une petite poubelle... "Chris ?", je réponds "oui", viens entre...

J'entre, et me retrouve face à un homme de ma taille, environ 1m70, la cinquantaine bien sonnée, en peignoir très vieillot, lunettes qui semblent d'un autre temps, cheveux non peignés mais mouillés comme si sorti de douche, pieds nus dans des claquettes comme un maître nageur de piscine... vraiment rien de sexy mais j'aime le moment et je gagne en confiance.

Il referme la porte derrière moi et me dit "viens".

Je le suis sur quelques mètres et il ouvre une porte en me disant "attention à ne pas te cogner la tête"... Je descend l'escalier et nous voilà devant 3 caves.

Il ouvre la sienne après avoir déverrouillé le cadenas et la referme derrière nous.

Je découvre cette cave qui est un vrai débarras comme beaucoup de caves, et ce fameux aménagement de palettes qui prend la majeure partie de l'espace avec le matelas replié dans une espèce de housse hermétique qu'il ouvre pour déplier le matelas qui prend sa place.

Nous échangeons des banalités comme "ça va ?", "j'étais persuadé que tu ne viendrais pas", "tellement de mythos sur les sites", "tu n'es pas déçu ?", etc... puis il me dit "tu peux te mettre à l'aise comme tu aimes tu sais, je ne vais peut être pas avoir beaucoup de temps"...

Lui tournant le dos, je pose mon petit sac à dos sur un fauteuil bon pour la déchetterie posé aux pieds des palettes, sors mes talons, enlève mon pantalon de jogging que je pose sur le matelas, enlève mes baskets et enfile les talons.

Je sens son regard dans mon dos et ça m'excite énormément, et j'exagère ma cambrure en descendant la fermeture éclair de ma veste pour la quitter.

Pendant que je quitte ma veste, je sens sa main effleurer mes fesses puis s'y poser, puis sa deuxième main, remontant ma jupe hyper courte, ce qui me fait exagérer à outrance ma cambrure.

Il me caresse les fesses plutôt timidement mais de plus en plus à pleines mains et je tourne la tête avec un sourire.

Il se colle contre moi dans mon dos et m'embrasse dans le cou en me caressant plus fort, les fesses, puis les hanches... une main se glisse sous mon débardeur pour caresser mon ventre rond et remonte sur mes petits seins, et l'autre sur mon sexe dans mon string. Il respire fort, bruyamment, et je sens son souffle dans mon cou.

Ses caresses sont de plus appuyées et j'en frissonne.

Je tourne la tête le plus possible pour lui sourire et il approche ses lèvres des miennes et m'embrasse doucement, puis sa langue vient chercher la mienne, ses deux mains sur mes seins, et je sens son sexe en érection contre le bas de mes fesses.

Je me retourne sans interrompre ce baiser, et je caresse son sexe et ses bourses. Je ressens dans ma main une queue pas très longue mais lourde et épaisse, que je commence à branler lentement.

Je mets fin au baiser en lui souriant, lui ouvre le peignoir pour découvrir son torse et son petit bidon un peu velus. Je viens embrasser, lécher, aspirer, mordiller ses tétons l'un après l'autre, avant de m’accroupir devant lui en gardant mon regard dans le sien.

Son sexe sent le gel douche et je prend cette attention comme une marque de respect.

En lui tenant la queue relevée, je viens poser mes lèvres sur le gland déjà mouillé, comme pour l'embrasser, avant de passer la langue tout le long, les yeux levés vers les siens. Je frotte mes lèvres serrées sur le côté de son gland puis le prend en bouche en agitant ma langue dessus, pour ensuite glisser les lèvres jusqu'à avoir son sexe épais et vraiment dur entièrement dans ma bouche en le comprimant.

Sa main venue sur ma nuque me tient immobile et il fait de lents va et viens avec chaque fois un arrêt quand sa queue est entièrement dans ma bouche. Ses deux mains me tiennent la nuque et appuient lors des temps d'arrêt.

Il se retire, me sourit, je me relève, sa main passe dans le bas de mon dos et me pousse vers le matelas à en perdre l'équilibre et je prends appui avec les bras.

Il me tient les hanches derrière moi, fait glisser ma petite jupe jusqu'aux chevilles et me l'enlève. Il fait de même avec mon string.

Il m'appuie le haut du dos pour me faire pencher plus, puis me caresse et me pétrit les fesses "en me disant c'est vrai que tu as un cul de femme", ce qui me fait creuser les reins et ouvrir les jambes. Je sens son doigt venir me masser mon petit trou d'amour, et je sens comme un liquide couler entre mes fesses qu'il étale avec le doigt. Je comprends que c'est du lubrifiant que je ne l'ai pas vu sortir de la poche de son peignoir.

Il respecte ce qu'on s'est dit sur le site, il ne glisse pas de doigt, je lui avait dit que je n'aime pas.

"Mets-toi sur le matelas".

Je me positionne à 4 pattes, genoux bien écartés, et me cambre fort. Mon excitation est à son comble car j'adore me positionner comme ça.

Il se positionne à genoux derrière moi et frotte son sexe sur mes fesses, le tape sur elles, frotte le gland entre elles et je sens qu'il fait de nouveau couler du lubrifiant. Je sens sa queue s'immobiliser contre ma petite chatte et appuyer progressivement. La pression de son gland finit par le faire s'introduire. L'épaisseur me donne un soubresaut et il reste immobile un instant. Après quelques secondes, c'est moi qui fait continuer plus loin la pénétration en reculant lentement.

En me tenant les hanches, il fait de lents va et viens en s'introduisant de plus en plus loin en moi, et je me rends compte que je gémis sans que ce soit volontaire, jusqu'à sentir son bas ventre contre mes fesses une fois entièrement en moi.

Ses mouvements restent lents mais bien amples et je ressens bien glisser sa queue en moi et des bouffées de chaleur me prennent. J'adore ce moment et je ne retiens pas mes gémissements qui s'accentuent quand il fait des mouvements de gauche à droite.

Ses mains glissent de mes hanches à mes fesses, puis sur le haut de mes bas. Il m'écarte les fesses ce qui me fait penser qu'il regarde sont sexe glisser dans ma petite chatte et ça m'excite encore plus.

Je lâche des "oh oui", "c'est trop bon", "prends-moi bien"... et me mets à accompagner ses mouvement pour taper mes fesses sur son bas ventre, et ça donne l'effet que je souhaitais car ses coups de reins se font plus fort et tapent bruyamment mes fesses et je ressens leur remous ce que j'adore.

Il accélère et tape de plus en plus fort jusqu'à s'immobiliser et se coucher sur moi, ce qui me fait perdre mes appuis. Je suis allongé sur le ventre et lui couché sur moi dans mon dos, sa queue toujours en moi.

Il recommence ses coups de reins en me disant fermement "serres les jambes", ce que je fais, "serres bien". Ses coups de reins sont très fort puis il grogne immobilisé. J'ai l'impression que sa queue est encore plus grosse. Il ne fait plus que de tout petits mouvements.

Il m'embrasse le cou et se retire, remet son peignoir et s'assoit sur le matelas.

Je reprends mes esprits et à mon tour je remet mon string et ma jupe et m'assoie à côté de lui.

Il me propose une cigarette et on décide de se revoir quand ce sera possible.

Nous nous sommes revus de nombreuses fois.
Közzétette: Titoo62
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Titoo62
címzett: da59 : Merci beaucoup :smile:
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da59
Très excitant histoire, tu m'as bien faite bandé  et donner envie de jouer avec ton petit trou d'amour 😊 tendrement le plombier lillois 😘
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