Un massage qui dérape

Aujourd'hui, j'ai envie de me faire masser. Après une semaine de travail intense et stressante , tout mon corps réclame un moment de détente et de relaxation. Je prends donc rendez-vous chez un masseur recommandé par un ami et me présente à l'heure dite devant sa porte. Ding-dong. La porte s'ouvre, Serge, le masseur, est charmant et très avenant. Petite discussion sur mes attentes autour d'un verre, douche bien chaude et me voici allongé nu sur la table de massage. A plat ventre, les jambes un peu écartées, dans une ambiance douce et tamisée, je me sens merveilleusement bien. Serge commence à s'activer autours de moi avec de grands gestes puissants qui progressivement dénouent les noeuds de tension et contribuent à détendre le corps. Ses mains agiles, à la fois fortes et douces, parcourent successivement mon dos, mes bras, mon cou, mes jambes. Le voilà qui remonte vers mes fesses, hummm, la partie la plus sensible de mon anatomie. A moitié assoupi, je redeviens attentif à ses gestes. Ses mains pétrissent les fesses en longs mouvements circulaires, contribuant régulièrement à écarter les deux lobes et à faire apparaître au milieu l'oeillet fortement étiré. Le spectacle doit être très beau. La sensation est en tout cas divine et tout mon corps commence à onduler comme pour mieux l'exposer aux caresses. Serge, qui a bien observé cette réaction, fait durer le plaisir en continuant à tournoyer sur les fesses sans aller au delà . Son sexe épais qui vient régulièrement battre contre ma peau est devenu dur. La situation doit lui plaire et je le soupçonne de se rincer l'oeil à contempler ma raie parfaitement épilée. Soudain, alors que mon bassin se soulève pour mieux aller à la rencontre de ses caresses, il consent enfin à glisser sa main dans la fente pour en explorer toute la hauteur. L'effet est indescriptible. Tout mon corps se cambre comme sous l'action d'un arc électrique. Sous mon ventre, mon sexe bandé est à deux doigts d'exploser.

Les mains de Serge ont repris leur massage méthodique des fesses mais cette fois-ci, sans ignorer leur centre. Régulièrement, la main vient glisser dans le sillon bien huilé, en appuyant fortement au passage de l'anus. A chaque fois, l'effet est électrique et tout mon corps se cambre sous la caresse. Petit à petit, les mouvements se recentrent sur l'oeillet palpitant et c'est désormais avec les deux pouces que Serge poursuit son pétrissage. D'abord en dessinant des cercles autours de l'anus puis en mouvements concentriques de plus en plus resserrés. Ses doigts virevoltent sur mes lèvres anales sans qu'il me soit possible d'identifier précisément ce qu'il est en train de faire. Mais une chose est certaine, mon anus adore cela et je le sens doucement s'ouvrir. Comme pour me le confirmer, Serge profite d'un moment de relâchement pour m'envoyer son souffle chaud au plus profond de mon anatomie. L'extase ! Un craquement m'indique que Serge est monté sur la table. Son corps vient se coller au mien et se sens son sexe dur appuyer contre mes fesses. Il reste d'abord immobile puis entame un lent mouvement de glissement qui a pour effet de masser ma raie avec sa verge tendue. Son gland glisse régulièrement sur l'entrée de mon cul, appuyant doucement sur l'entrée mais sans chercher à y pénétrer. Ma raison défaille. Mes mains viennent écarter en grand mes fesses afin d'étirer au maximum mon oeillet et faire en sorte que le gland s'y niche naturellement. Serge, qui a bien sûr compris ce manège, continue comme si de rien n'était, avant de présenter une nouvelle fois son sexe turgescent à l'entrée de ma grotte et d'y pénétrer d'un seul élan. Bon sang qu'il est épais ! C'est la première fois que je suis pénétré par un sexe aussi gros. Je me sens rempli par un pieux énorme qui me déchire les entrailles. L'effet est indescriptible ! Mais très vite, la douleur se transforme en onde de plaisir. Serge a entamé un lent mouvement de va et vient. Son sexe sort régulièrement de mon cul pour y replonger immédiatement. Le sphincter d'abord contracté se relâche progressivement, facilitant chaque pénétration. Serge accélère alors le rythme, ses énormes couilles claquent de plus en plus fort contre mes fesses et chaque sortie de son gland occasionne un bruit de succion des plus excitant et qui témoigne de l'état de plus en plus prolapsé de mon anus. Dans un grognement sourd, j'entends Serge se vider en moi. Un flot de sperme envahit mes entrailles, déclenchant en cascade ma propre jouissance. Des torrents de foutre chaud inondent mon ventre tandis que tout mon corps est parcouru de spasmes incontrôlables. Quel pied ! Vivement la prochaine séance.