Mélanie, catin du lycée

Mélanie est une lycéenne qui aime jouer de sa condition. Dans la cour du bahut, avec sa copine Valérie, il est facile de la reconnaître. Elle porte souvent la même tenue : Un chemisier à col Claudine, une courte jupe plissée à motifs écossais, des grandes chaussettes et des mocassins. Une tenue qui passerait pour sage si on ne prêtait attention aux détails. Le chemisier, mettant en valeur ses seins nerveux aux tétons dardés, est toujours négligemment ouvert et la jupe est si courte qu’elle peine à masquer le gros cul de l’élève. Mélanie fait tourner la tête des mecs mais pas seulement. L’ensemble du personnel masculin est également perturbé. Avec un tel accoutrement, Mélanie passe pour une élève dévergondée, juste bonne à passer ses journées au fond de la classe et à obtenir péniblement la moyenne. Valérie, sa fidèle amie, est de la même engeance.
Les regards que leur portent les garçons et les hommes les amusent. C’est une image qu’elles prennent plaisir à façonner. Pour se faire, elles s’arrangent pour être régulièrement convoquées au bureau de la vie scolaire où elles jouent les ravissantes idiotes. Leurs tenues leur ont valu des sanctions régulières mais celles-ci ont été systématiquement annulées par le proviseur.
Celui-ci, du reste, constitue l’un des fantasmes de Mélanie. Au hasard de ses promenades dans les couloirs du bahut, elle l’a surpris en train de se branler dans un box des toilettes du dernier étage. Elle l’a entendu murmurer son nom. Le soir, dans son lit de l’internat, elle avait imaginé sa bite ferme et le mouvement régulier de son poignet. Sous le regard excité de Valérie, le songe l’avait fait jouir. Alors, aujourd’hui, Mélanie s’est donnée comme objectif de combler cette envie furieuse.

La récréation vient de sonner. Les élèves quittent les classes. On se bouscule dans les escaliers. Valérie gagne la cour tandis que Mélanie prend la direction opposée. Il lui reste un étage à gravir. Le feu dans la chatte, elle se hâte.
Elle pousse la porte, gagne un couloir éclairé par quelques néons faméliques. Les chiottes, elle sait où les trouver. Et déjà, sa culotte de coton s’imbibe de son jus de jeune pute. Le proviseur, ce n’est pas la première fois qu’elle monte voir ce qu’il mijote.
Les toilettes sont là, sur sa gauche. Elle y entre sans la moindre appréhension et devine où le directeur du lycée a pris place. La porte du premier box est entrouverte. Comme un appel à aller plus loin.
Ça pue la pisse, la sueur mais Mélanie s’en moque. Ce ne sont pas ces effluves qui repousseraient la première jouvencelle qui lui feront faire demi-tour.
Avec une discrétion calculée, la jeune putain s’approche de la porte. Elle se concentre sur les bruits provoqués par le proviseur. Le cliquetis de sa gourmette. Ses soupirs. Ses murmures. Il répète plusieurs fois le nom de l’élève.
C’est une excitation plus forte qui gagne Mélanie. Elle glisse sa main dans sa culotte. Bordel, qu’elle aimerait s’en débarrasser ! Sa chatte est bien imbibée et le tissu cotonneux l’est également.
De son autre main, elle pousse très légèrement la porte. Un demi-centimètre, pas plus. Juste de quoi deviner un peu ce qu’est en train d’accomplir le directeur de ce lycée. Plus aucun autre son n’existe. La respiration du proviseur s’intensifie et, au bruit du bracelet métallique, Mélanie comprend qu’il accentue légèrement la rythmique de sa masturbation.
Ce n’est pas qu’il soit beau, ce proviseur, loin de là. Mais ce sont ses regards copieusement salaces qui attisent le feu qui dévore l’élève. Elle l’a aussi déjà vu en train de se gratter méchamment l’entrejambe.
Après avoir défait deux boutons de son chemisier, Mélanie poursuit sa progression. Encore un demi-centimètre gagné. Elle devine le bout du gland épais, violacé. L’élève passe une langue gourmande sur ses lèvres. Son envie gagne en intensité. Le tissu de sa culotte n’est plus en mesure d’absorber le débit conséquent de son jus.
Elle parvient maintenant à passer sa tête par entrebâillement de la porte et, ainsi, à mieux cadrer la scène. Le proviseur porte son éternel costume noir, celui avec les pièces aux coudes. Sa cravate est desserrée. Il se branle avec une vigueur non contenue et transpire à grosses gouttes. Son visage aux yeux perçants n’exprime aucune surprise quand il aperçoit Mélanie. À croire qu’il s’y attendait.
Exprimant une mine gourmande, la jeune femme se polarise sur ses sensations olfactives : la sueur dégagée par le directeur d’établissement, les relents prégnants de pisse.
- Ah, tu es là. Tu ne pouvais pas me faire plus plaisir. Approche, ma petite Mélanie, ma petite pute, que je m’occupe de ton cas.
Toute à sa débordante excitation, Mélanie se glisse dans le box. D’instinct, elle prend la position que le proviseur attend d’elle : les genoux dans la pisse, le cou tendu, le visage extatique, la langue sortie et prête à l’emploi.
La main droit du proviseur prend place dans la bouche de Mélanie, imprime un premier mouvement de va-et-vient tandis que la gauche vient s’installer à l’arrière de son crâne. Ainsi, il s’assure que sa salive sera abondante. Si elle vomit, tant pis pour elle.
- Je veux votre verge, monsieur, parvient-elle à articuler.
- Ne t’inquiète pas, ma petite traînée. Tu vas y avoir droit.
Le proviseur reprend son processus avant de l’arrêter brutalement. Sa queue est tendue juste au-dessus de la langue avide de Mélanie.
- Lèche, petite catin ! Suce ! Avale ! Fais-toi et fais-moi plaisir.
La jeune femme attaque par le gland. Elle parcourt chaque centimètre de cette zone gonflée, ne manque pas de descendre le long de la hampe jusqu’aux couilles pleines. Son jus déborde littéralement de sa culotte. Les évolutions de sa langue s’avèrent sans limites. Le chef d’établissement gémit. Il ne s’agit que d’un prélude pour lui. Son regard extatique incite Mélanie à s’enhardir.
Elle ouvre plus grand la bouche et, centimètre par centimètre, elle gobe la queue ferme. Le gland vient buter contre la gorge avant d’y creuser son chemin. Le proviseur n’en revient pas. Avec sa jeune expérience, Mélanie fait preuve d’une incroyable souplesse. À l’aide de sa main, il maintient le crâne de son élève. Dix secondes s’écoulent, puis vingt. Il relâche la pression au bout d’une demi-minute. Mélanie crache un énorme paquet de salive avant de chercher un second souffle.
- Eh bien… eh bien… Où as-tu appris à pomper comme ça ?
- Mon voisin, monsieur. Il est le premier que j’ai sucé. J’ai pompé son fils aussi.
- Bonne éducation, ma putain. Reprenons !
Le proviseur s’emploie d’office à imposer son propre rythme. Il baise littéralement la bouche de son élève. La bave de la jeune femme devient rapidement conséquente. Le chemisier s’en imbibe.
- Ma petite catin !!!! Ma petite traînée !!! Ma petite pute !!!!
Le directeur d’établissement ne se contient plus et, profitant d’une légère accalmie, administre une baffe à Mélanie. Sa tête vient cogner contre la paroi.
- L’enseignement, c’est comme ça que ça devrait se passer, éructe-t-il.
Sans manifester la moindre pitié, il reprend son tempo infernal. Mélanie crache, bave et ne tarde pas à vomir. L’occasion pour le proviseur de lui coller une seconde gifle, toute aussi forte que la première.
- Ah, grosse truie !! Souillon !!
Voir l’élève autant à sa merci ne fait que décupler son plaisir. Il défait sa cravate puis la serre autour du cou de la jeune femme sans cesser de violenter sa gorge. Mélanie s’étouffe, suffoque, vomit à nouveau. Elle mouille encore plus.
- Catin, va !
Deux baffes. Le rythme est endiablé. La bite du proviseur transperce littéralement sa bouche et sa gorge. Mélanie gargouille avec force.
- Tu mérites de t’en prendre encore plus. Retourne-toi, sale chienne !
Mélanie obtempère, se relève avec un rien de lenteur. Le chef d’établissement en profite pour lui coller une nouvelle gifle.
- Les mains contre le mur, mon petit sac à foutre !
Le proviseur arrache la culotte de Mélanie, en hume l’odeur, lèche le tissu imprégné de cyprine, avant de glisser l’étoffe dans une poche de sa veste.
- Mmmmmmm… quel bon gros cul !! On t’a déjà prise par ici ?
- Une ou deux fois, monsieur. Mais ils ne savaient pas s’y prendre.
- Ah, cette foutue jeunesse. Je vais te montrer, moi, comment on encule une putain comme toi. Penche-toi un peu plus.
Mélanie s’exécute. La vue qu’elle offre au directeur contient sa part d’obscénité.
- Tu es déjà bien ouverte.
Les doigts du proviseur fouillent dans la chatte fiévreuse de Mélanie. Il en retire une main collante de jus, la porte à son nez, puis à sa langue.
- De la bonne mouille, ça !
- C’est vous qui m’excitez, monsieur.
Une claque sur les fesses.
- Grosse catin, va !
Le proviseur ne tergiverse pas et s’introduit d’une seule poussée dans la voie étroite de Mélanie.
Elle hurle de douleur mais le plaisir dévaste tout. Sous les vagues successives, elle s’accroche au bloc des toilettes. Ses cris transpercent l’espace crasseux des chiottes.
Le proviseur ne compte pas la ménager. Bien au contraire, il insiste. Il s’accroche aux hanches généreuses et poursuit sa charge dévastatrice. Bringuebalée en tous sens, Mélanie peine à trouver un appui.

Un peu plus loin, Valérie, la très fidèle complice de Mélanie, s’aventure vers le dernier étage. La fin de la récréation vient de sonner. Les deux jeunes putains vont manquer le cours de philo mais elles n’en ont cure. Sa copine est facile à trouver. Valérie se guide à ses hurlements et, à son tour, pénètre dans les toilettes des hommes. Elle se positionne contre le mur. Sa main gauche trouve d’office l’accès à sa chatte tandis que, de la droite, elle détache l’intégralité des boutons de son chemisier qui, habituellement, comprime ses seins lourds. Elle porte ses doigts à sa bouche, joue du téton, avant de s’asseoir le cul directement sur le carrelage. Ses gémissements se mêlent aux cris de sa copine.
- On nous entend, ma grosse catin. Écoute !
L’homme stoppe net sa cadence infernale. Valérie devient subitement seule à se faire jouir.
- N’arrêtez pas, c’est trop bon !
- Une autre petite putain, j’adore cette idée, entre !
Valérie abandonne un instant sa chatte fiévreuse, parvient à se glisser dans le box et le proviseur, tout à son excitation, ne manque pas de lorgner les gros nichons de l’élève.
- De bonnes mamelles de pute !
Il ne se prive pas pour les empoigner à pleines mains et pincer les tétons.
- Putain, t’as du potentiel, toi ! Comme ta copine avec son gros cul ! Vérifions ça, ouvre la bouche.
Valérie obtempère et, sous le regard de Mélanie, se laisse fouiller par les doigts du proviseur. Ceux-ci ont encore le goût du jus de pute de sa camarade de classe. Comme sa collègue, sous l’effet des violents va-et-vient, Valérie bave. Sa salive dégouline déjà sur sa poitrine.
- C’est très bien, ça me plaît ça ! Passons à des choses plus pratiques.
C’est désormais la queue du chef d’établissement qui investit la gorge de Valérie. D’emblée, il applique un tempo soutenu, ne laissant que peu de répit à l’élève. Elle bave, elle crache, est à deux doigts de vomir sur sa lourde poitrine. À ses côtés, Mélanie ne rate rien du spectacle. Ses doigts fouillent sa chatte bouillante avec avidité.
Le proviseur insiste, maintient le visage de Valérie avec fermeté. Suffisant pour qu’elle vomisse à son tour. Suffisant aussi pour qu’il lui colle deux baffes. Elle gémit, supplie qu’on la laisse, surprise par la v******e de son tourmenteur. Lui, il ne lui en faut pas plus pour remettre une paire de gifles à Valérie mais aussi à Mélanie.
- Chacune votre tour, on va voir qui est la meilleure pour me pomper. Au travail !
Côte à côte, les deux amies s’activent avec une vigueur non retenue pour satisfaire le chef d’établissement. Elle produisent une salive épaisse et entremêlée. De plus en plus excité, le provisoire les tient par les cheveux. Elles s’étouffent sur sa queue jusqu’à ce qu’elles vomissent. À chaque fois, le directeur applique la même sentence : une mémorable paire de baffes.
Quand il estime qu’elle sont à point, il se retire avec v******e.
- Tournez-vous. Montrez-moi vos beaux et gros cul de putain.
Les deux élèves obtempèrent. Le proviseur ne perd pas de temps pour lui administrer deux fessées particulièrement sonores. Les deux croupes rougissent vite, pour le plus grand plaisir du responsable d’établissement.
- Tu vois, Valérie, tout à l’heure, j’ai enculé ta copine et je peux te garantir qu’elle aime ça. J’espère que tu vas aussi y prendre goût. Penche-toi bien.
Le proviseur s’introduit d’une seule poussée et impose d’emblée un rythme particulièrement vigoureux. Valérie hurle à la fois sa douleur et son plaisir.
- Ah, tu es comme ta copine, tu es une vraie putain. Tu aimes te faire tringler, hein ?!
- Oui, monsieur !!
- J’ai des amis à qui vous pourriez plaire.
Ce faisant, le directeur d’établissement poursuit son tempo infernal. Il pilonne sévèrement la croupe de l’élève, sous le regard extatique de Mélanie. Valérie se fait sacrément secouer. Pour autant, le proviseur ne perd pas le sens des priorités.
- Tu veux goûter à ma queue qui sort de son cul ?
Mélanie hésite. C’est quelque chose qu’elle n’a jamais essayé.
Elle n’a pas le temps d’émettre une réponse qu’une gifle vient s’abattre sur sa joue.
- Ouvre la bouche !
Elle s’exécute et le chibre bouillant à pleine gorge.
- Voilà c’est bien !
Mélanie pompe, hoquette,bave, manque de vomir. Le chef d’établissement maintient pendant deux bonnes minutes. Pourtant, elle en veut encore.
- Sale putain ! Ton cul !
Mélanie pivote avec difficulté tant l’espace est exigu et offre sa rondelle.
- Oui !!!! Oui !!!! Encore !!!! Défoncez-moi, monsieur !!!!
Il n’en faut pas plus pour motiver le proviseur. Le tempo est très intense, presque trop pour Mélanie dont la tête vient cogner contre la paroi. Le directeur persiste, s’enfonce de toute sa longueur. C’est l’incendie dans la rondelle de Mélanie.
Le proviseur se retire brutalement, se tourne vers Valérie.
- Goûte!
L’élève obtempère mais n’échappe pas à la gifle.
- Ah, putain !!! Vous allez me faire jouir !!!
Ce sont des jets de foutre bouillonnants qui viennent s’éparpiller sur le visage de Mélanie et Valérie. Les deux élèves ont bien compris qu’elles ne devaient pas perdre une goutte et elles s’emploient à bien nettoyer la queue qui vient de les ravager.
- Vous irez en cours comme ça. Votre réputation sera faite.
Közzétette: devintaylor
legutoljára elérhető: 11 hónap
Hozzászólások
6
Kérjük, hogy a hozzászólások közzétételéhez vagy
devintaylor
címzett: dhl69 : Merci !
Válasz Eredeti hozzászólás megjelenítése Elrejtés
Très excitant, hummm
Válasz
devintaylor
címzett: chienneaddict : Merci !!
Válasz Eredeti hozzászólás megjelenítése Elrejtés
chienneaddict
super histoire, ces deux putes sont désormais les chiottes à foutre du lycée
Válasz
devintaylor
Merci ma grosse catin !!!
Válasz
devintaylor
😉😉😉 merci !!!
Válasz