Histoire vraie à la piscine

Il y a assez longtemps, la piscine Molitor, à Paris, fonctionnait encore. La piscine à l'air libre était toujours pleine, celle à l'intérieur presque toujours quasi-déserte. J'y allais très souvent. Un jour, où comme d'habitude il n'y avait presque personne, après mes longueurs, je fais la planche, tranquillement. Cela me détend, mon esprit vagabonde, je n'avais pas trente ans, alors vous devinez vers où mon esprit vagabonde.
Je me mets à bander dur.
Je n'y pense pas particulièrement, je flotte en plein grand bain, pas juste à côté du bord, et nous ne sommes pas trois personnes dans l'eau.
Soudain, je m'aperçois qu'une nageuse, jeune, blonde, seins lourds, s'est arrêtée de nager, s'est assise sur le rebord, pour mater ma bite.
Instinctivement, je regarde à mon tour. J'ai mis un vieux, vieux slip de bain. Ma queue se dessine parfaitement, on en devine presque la couleur aussi : je suis plus nu que si j'étais nu.
Et la jeune salope mate.
Fascinée, elle n'arrive pas en détacher ses yeux.
Ce qui, évidemment, me fait bander encore plus dur.
J'écarte très grand les jambes.
Le mouvement lui fait dévier un peu les yeux, et elle s'aperçoit que je l'ai aperçue.
Elle rougit immédiatement.
Moi, bien sûr, je lui souris. Je vois bien qu'elle hésite quelques secondes.
Puis elle sourit à son tour, très gênée, mais visiblement très excitée.
Je nage vers elle, et, arrivé à son niveau, je me remets à faire la planche, c'est-à-dire que je lui offre à nouveau la vue de ma bite hyper-gonflée.
On ne se dit rien. Je reste là... elle reste à mater... Elle ferme les jambes et les rouvre : elle se branle avec ce mouvement. Heureusement que je ne me touche pas la bite, je giclerais tant la situation m'excite.
Enfin, elle se décide et murmure : "j'ai envie".
Cinq minutes après, elle est dans ma cabine et me suce.
Longtemps.
Et quand elle ne tient plus, elle se tourne le visage au mur, ouvre ses jambes et me supplie de la baiser.