La sortie au bois
La sortie au bois
Cela faisait plusieurs semaines que j’attendais ce moment avec impatience. Deux jours de liberté sans mon épouse.
Devant me rendre chez une vieille tante, je voulais en profiter pour faire une sortie en fille. Quelques heures avant j’avais dissimulé toute ma panoplie de trave dans mon véhicule. Le moment venu, je quittais la maison. Quelques kilomètres plus loin une grande surface avec un immense parking allait me permettre de me changer. Je trouvai un endroit discret tout au fond.
J’avais déjà mes dim up sur moi, j’enfilai ma mini jupe, puis un joli soutien gorge en dentelle noire suivi d’un haut de la même couleur lui aussi en dentelle.
Vint ensuite le maquillage, puis quelques accessoires féminins, bracelets, bagues et bien sûr de jolis pendentifs pour orner mes oreilles. Pour parachever le tout, quelques gouttes de parfum.
Enfin, dernière chose très importante, les escarpins. Rien de mieux pour affiner les jambes que des escarpins d’une bonne dizaine de centimètres.
Enfin prête il ne me restait plus qu’à partir en chasse.
Puis je repris la route, malheureusement j’avais oublié de faire le plein. Je dus m’arrêter à la première station venue.
Celle-ci était très grande, Cela ne me gênait pas trop, mais je préfère éviter les stations trop proches de ma ville. Tant pis ma chérie il faut que tu assumes.
Je stoppai donc devant une des pompes, puis descendis de mon véhicule. Alors que j’effectuai mon plein un véhicule s’arrêta à quelques mètres du mien. D’un bref coup d’œil, je vis que son conducteur était un homme assez jeune, plutôt bien de sa personne.
Il me matait effrontément. Excitée par le regard du mâle j’en profitais pour me pencher un peu et lui permettre d’en voir plus, surtout que ma jupe était plutôt courte. Je n’y peux rien j’ai toujours eu un tempérament d’exhibitionniste.
L’homme n’en perdait pas une miette.
Mon plein terminé, je remontai dans mon véhicule pour aller me garer près du magasin.
Puis j’allai payer à la caisse après avoir traversée la salle et essuyée quelques regards intéressés. Il faut dire que ma mini est du genre ras du cul et qu’elle découvre le haut de mes bas. Pour la plupart des clients, je devais passer pour une pute.
Une fois mon plein réglé, je regagnai ma voiture.
Puis je me dirigeai vers ma nouvelle destination. Un parking tout en longueur ou j’avais de grandes chances de faire une rencontre intéressante.
Trente minutes plus tard j’étais sur place. Un routier stationnait déjà. J’arrêtai ma voiture une dizaine de mètres plus loin.
Je commençai à être excitée. Je me suis déjà fait quelques routiers. En général ils aiment bien avoir de petites distractions, du genre d’une bouche bien accueillante, ou un cul bien ouvert afin de vider leurs couilles bien pleines après quelques jours d’abstinence.
Par contre ce routier n’avait pas l’air de se décider. Tant pis ma chérie, il va falloir appâter.
Je descendis de mon véhicule, et commençait à déambuler sur le parking en faisant un petit détour, puis je passai le long du camion. Le gars était en train de téléphoner. Je continuai mes déambulations, et tout en marchant je relevai ma mini, offrant une vue imprenable sur mon petit cul juste orné de son string. Avec une telle vue le routier ne pouvait plus ignorer à qui il avait affaire.
Remontant dans mon véhicule, j’attendis une dizaine de minutes, malheureusement il ne se passait toujours rien.
Dépitée, je quittai le parking pour un autre que j’avais repéré quelques jours plus tôt.
Ce nouveau parking était parfait, bien dissimulé derrière un haut rideau d’arbres, il convenait tout à fait pour des rencontres.
Je garai mon véhicule. Je ne manquai pas de place, car il était désert. Cinq minutes plus tard une petite DS 3 vint se garer à une vingtaine de mètres de moi. Je patientai quelques minutes, puis je descendis faire un petit tour de parking, histoire de me montrer un peu. Vu ma tenue, l’homme me prendrait soit pour une pute, soit pour une bonne salope cherchant le mâle.
Ma promenade terminée, je retournai à mon véhicule, mais profitant d’une table de piquenique je m’installai dessus en croisant mes jambes le plus haut possible.
Cette fois j’avais fait bonne pioche. L’homme sortit de son véhicule, puis se dirigea vers moi. A première vue il était plutôt beau gosse et la bosse de son pantalon avait l’air prometteuse.
-Alors ma belle, aurais-tu besoin de compagnie ?
-J’en serai ravie mon chou, si tu aimes bien les travestis je suis toute à toi.
-Tu m’as l’air gourmande
-Viens jusqu’à ma voiture nous y serons mieux.
Je me dirigeai en chaloupant vers mon véhicule, puis m’asseyais face à lui.
L’homme s’approcha, s’inclina vers moi et m’embrassa à pleine bouche.
Ce contact m’électrisa, mon clito se mit à durcir. Sans plus attendre je posai ma main sur son entrejambes. Hum ! il était déjà bien dur.
-C’est bien ma salope occupe-toi de ma queue. D’un geste rapide je fis descendre le zip. L’homme n’avait pas de slip, et sa queue jaillit. Je pris délicatement ce bel organe, puis décalottai le gland. Il était superbe, bien gonflé. La friandise idéale pour une trave. gourmande. Je me mis à lécher le gland. Il dégageait une légère odeur musquée qui m’excita encore plus. Ma bouche se mit à faire des va et vient sur le sexe tendu. L’homme semblait apprécier car il commençait à gémir. Après l’avoir sucé un petit moment ma salive se mit à dégouliner de ma bouche. J’adore faire des pipes bien baveuses.
Le mâle posa une main sur ma tête puis me força à avaler son gros chibre. Il pénétra lentement dans ma cavité buccale, puis buta au fond de ma gorge. Son sexe m’étouffait, des larmes se mirent à couler de mes yeux. Malgré tout je regardai l’homme dans mes yeux. Au bout d’un long moment il me libéra.
Recrachant son chibre je pris une longue inspiration.
-Alors ma pute ça te plaît de sucer mon gros chibre ?
-J’adore ta queue mon chou dis-je avant de replonger sur son sexe. Je le léchai sur toute sa longueur, enroulant ma langue autour de la tige, étalant ma bave qui coulait abondamment. Ses couilles en étaient recouvertes. Je les gobais une à une.
Je me régalais. Son pubis bien rasé était complètement lisse, comme je les aime.
-Quelle salope ! Tu dois en bouffer de la bite. Je n’ai jamais été aussi bien pompé. Une vraie pute.
Avec de tels encouragements je ne pouvais que m’appliquer. J’adore pomper les mâles et vider leurs couilles pleines de jus.
Pour exciter encore plus le mâle je lui titillai l’anus. Mes doigts trempés par ma salive lui lubrifiaient la rondelle, si bien que tout naturellement ils s’enfoncèrent dans son cul.
-Pouffiasse tu m’encules !
Nous étions tellement occupés que nous fûmes brutalement surpris par un homme tout près de nous.
-On ne s’ennuie pas ici. Elle aime la bite cette pute. Elle ne doit pas être contre une deuxième bite. J’aimerai bien m’occuper de son cul pendant qu’elle suce.
Deux bites ça ne se refuse pas me dis-je en moi-même
Je me relevais, puis fis asseoir le mâle que je suçai.
Cette fois ma chatte était tournée vers le nouveau venu. Je repris ma fellation, laissant toute latitude au deuxième homme.
-Woh, t’as un beau cul de chienne ma jolie dis l’homme en glissant une main dans ma raie. Salope jusqu’au bout des ongles j’écartai encore plus mes jambes et cambrai ma croupe.
-C’est bien tu t’offres comme une bonne femelle qui veut se faire saillir.
Un jet de salive se mit à couler dans ma raie, inondant ma chatte. Les doigts glissèrent sur mon trou, puis lentement me pénétrèrent.
Tout en me doigtant le cul, il avait pris mes couilles et les malaxaient. Tout ça me mettait dans un état indescriptible. J’étais impatiente d’être prise. Tout mon être réclamait. J’avais envie d’une bite dans mon cul.
Trouvant ma rondelle bien dilatée, l’homme approcha sa queue, puis la fit aller et venir dans ma raie. Le supplice de Tantale, sentir cette queue frotter ma rondelle, sans la pénétrer. Enfin je sentis le gland toucher mon œillet. L’enculage se fit lentement, il me pénétrait avec une lenteur infinie. N’en pouvant plus, je donnai un furieux coup de reins, et m’empalais jusqu’à la garde. Je ne pus empêcher un cri de plaisir, mêlé de douleur.
- T’étais vraiment en manque de bites, sale petite pute. Tu vas voir, je vais te faire gueuler comme une truie. J’adore tirer les chiennes dans ton genre.
- J’étais aux anges, prise par les deux bouts. Deux belles queues abusant de mes trous. Une queue dans la bouche, une dans le cul et insultée par ces deux mâles, uniquement préoccupés par leur plaisirs.
- Je n’étais plus qu’une femelle abandonnée à ces deux pervers. Une soumise, une fiotte tout juste bonne à se faire tirer sur les parkings. Mon enculeur me donnait de grands coups de bite, labourant mes reins sans retenue. Ses cuisses claquaient contre mes fesses. De temps en temps le mâle ponctuaient ses coups de reins par de vigoureuses claques sur les fesses. A force mes fesses me brûlaient, ma rondelle surchauffée me lançait.
- Malgré tout je n’aurais donné ma place pour rien au monde. Les fiottes dans mon genre sont faites pour le plaisir de l’homme, lui procurer le maximum de plaisir, et lui vider les couilles. C’est ce que je suis, une bonne vide couilles.
- Celui que je suçais gémissait de plus en plus, annonçant sa jouissance. Je pompai sa queue bien à fond, tout en le branlant. Quelques minutes plus tard, il se vida en moi. Une première décharge buta contre ma glotte, m’étouffant à moitié. A peine eussé-je le temps de déglutir que deux autres décharges aussi abondantes que brutales remplirent ma bouche. Le sperme dégoulinait de ma bouche. Malgré tout je m’appliquai à en avaler le maximum. Une denrée trop rare pour être gaspillée. Enfin je nettoyai consciencieusement le membre viril maculé de foutre. Un vrai régal pour salope. La récompense d’une bonne fellation menée au bout.
- T’as vu ça dit l’homme ? Elle a tout avalé.
- Moi je vais lui remplir le cul, et après je lui ferai nettoyer ma bite. J’aime que les choses soient bien faites. Lui aussi commençait à jouir.
- Je sentis les décharges du mâle. Il devait avoir une sacré réserve de foutre car il se vida longuement.
- Il resta encore un peu en moi. Je profitai de ces derniers instants. Moi aussi j’avais joui. Mon sexe s’était mis à couler. Je ne me touche jamais pendant une baise, j’aime ressentir cet orgasme anal bien différent de celui obtenu par une branlette. Je n’ai pas de décharges, seul un filet continu de sperme s’écoule de mon sexe de soumise.
- Les deux mâles permutèrent. Ils avaient pourtant bien jouis, mais leurs queues étaient toujours aussi dures.
- J’embouchai la bite sortie de mon cul. Elle était toute imprégnée de mes sucs intimes, mélangés au foutre de mon enculeur. Un régal pour une chienne comme moi. Consciencieusement je lui nettoyai la bite.
- Pendant ce temps l’autre mâle avait posé son gland sur ma rosette. D’un coup de reins il propulsa son membre en avant.
- Bien que ma chatte soit bien dilatée et pleine de la semence du mâle précédent, Je ne pus m’empêcher de crier.
- Arrête de gueuler salope, ton cul est un vrai garage à bites. En plus il est plein de sperme, rien de tel pour lubrifier ta chatte de pute.
- Une fois bien en moi, il se mit à me défoncer les reins avec la douceur d’un marteau piqueur.
- Alors connasse ? tu aimes ? il est bien défoncé ton cul de lope ?
- Empalée par ces deux mâles j’étais au Paradis. Etre insultée par mon enculeur ma ravissait. J’aime être avilie, traitée comme la dernière des putains.
- Finalement le mâle que je suçai, se retira.
- Désolé ma belle mais je dois te laisser. Au plaisir de te revoir et profiter de ton cul.
- En même temps il glissa une petite carte dans mon soutif.
- Appelle moi quand tu seras en manque de queue je me ferais un plaisir de te remplir à nouveau.
- Du coup j’étais toute entière consacrée à mon enculeur. Ce salaud me limait vraiment bien. De temps en temps il me claquait vigoureusement le cul avec sa main. C’est le genre de petit plaisir supplémentaire que j’adore.
- La dernière fois que j’avais été baisée au bois, le mâle m’avait frottée le cul avec des orties trouvées sur place. Ce salopard m’avait mis le feu au cul. Perverse comme je suis je m’étais empressée de le refaire. De temps en temps je m’amuse même à en remplir ma culotte.
- Mon enculeur me limait toujours. Il avait joui rapidement dans ma bouche, mais une fois vidée il lui fallait cette fois plus de temps pour arriver à ses fins. C’était tant mieux pour moi. Je n’avais pas dérouillée depuis longtemps et mon cul réclamait son dû.
- Putain, il n’y a pas dire t’es vraiment bonne du cul, une grosse chaudasse qui aime se faire ramoner. Tu aimes ma belle ?
- Oh oui vas-y continue, ne t’arrête pas. Ramone-moi bien la chatte à fond.
- Finalement l’homme allait jouir. Aussitôt il décula. Je me retournai juste à temps pour enfourner sa bite dans ma bouche. Inondée pour la deuxième fois. Je me régalais à nouveau. Je pressai la tige et les couilles pour extraire les dernières gouttes de sperme. L’homme râlait doucement. Je le branlais un peu faisant jaillir une dernière goutte vite lapée d’un coup de langue. Une fois sa bite nettoyée de fond en comble je remballai son sexe dans son pantalon.
- Eh bien tu es vraiment une délicieuse salope. Tu ferais fortune au tapin.
- Merci mon chou. Tu m’as superbement baisée et gavée de foutre.
- Merci ma cochonne et à bientôt peut-être.
- Voilà cette petite histoire relatant ma dernière baise est terminée. J’espère qu’elle vous aura plus et vous aura incitée à vous caresser vos belles queues de chiens.
- A bientôt mes amours pour une nouvelle histoire.
Cela faisait plusieurs semaines que j’attendais ce moment avec impatience. Deux jours de liberté sans mon épouse.
Devant me rendre chez une vieille tante, je voulais en profiter pour faire une sortie en fille. Quelques heures avant j’avais dissimulé toute ma panoplie de trave dans mon véhicule. Le moment venu, je quittais la maison. Quelques kilomètres plus loin une grande surface avec un immense parking allait me permettre de me changer. Je trouvai un endroit discret tout au fond.
J’avais déjà mes dim up sur moi, j’enfilai ma mini jupe, puis un joli soutien gorge en dentelle noire suivi d’un haut de la même couleur lui aussi en dentelle.
Vint ensuite le maquillage, puis quelques accessoires féminins, bracelets, bagues et bien sûr de jolis pendentifs pour orner mes oreilles. Pour parachever le tout, quelques gouttes de parfum.
Enfin, dernière chose très importante, les escarpins. Rien de mieux pour affiner les jambes que des escarpins d’une bonne dizaine de centimètres.
Enfin prête il ne me restait plus qu’à partir en chasse.
Puis je repris la route, malheureusement j’avais oublié de faire le plein. Je dus m’arrêter à la première station venue.
Celle-ci était très grande, Cela ne me gênait pas trop, mais je préfère éviter les stations trop proches de ma ville. Tant pis ma chérie il faut que tu assumes.
Je stoppai donc devant une des pompes, puis descendis de mon véhicule. Alors que j’effectuai mon plein un véhicule s’arrêta à quelques mètres du mien. D’un bref coup d’œil, je vis que son conducteur était un homme assez jeune, plutôt bien de sa personne.
Il me matait effrontément. Excitée par le regard du mâle j’en profitais pour me pencher un peu et lui permettre d’en voir plus, surtout que ma jupe était plutôt courte. Je n’y peux rien j’ai toujours eu un tempérament d’exhibitionniste.
L’homme n’en perdait pas une miette.
Mon plein terminé, je remontai dans mon véhicule pour aller me garer près du magasin.
Puis j’allai payer à la caisse après avoir traversée la salle et essuyée quelques regards intéressés. Il faut dire que ma mini est du genre ras du cul et qu’elle découvre le haut de mes bas. Pour la plupart des clients, je devais passer pour une pute.
Une fois mon plein réglé, je regagnai ma voiture.
Puis je me dirigeai vers ma nouvelle destination. Un parking tout en longueur ou j’avais de grandes chances de faire une rencontre intéressante.
Trente minutes plus tard j’étais sur place. Un routier stationnait déjà. J’arrêtai ma voiture une dizaine de mètres plus loin.
Je commençai à être excitée. Je me suis déjà fait quelques routiers. En général ils aiment bien avoir de petites distractions, du genre d’une bouche bien accueillante, ou un cul bien ouvert afin de vider leurs couilles bien pleines après quelques jours d’abstinence.
Par contre ce routier n’avait pas l’air de se décider. Tant pis ma chérie, il va falloir appâter.
Je descendis de mon véhicule, et commençait à déambuler sur le parking en faisant un petit détour, puis je passai le long du camion. Le gars était en train de téléphoner. Je continuai mes déambulations, et tout en marchant je relevai ma mini, offrant une vue imprenable sur mon petit cul juste orné de son string. Avec une telle vue le routier ne pouvait plus ignorer à qui il avait affaire.
Remontant dans mon véhicule, j’attendis une dizaine de minutes, malheureusement il ne se passait toujours rien.
Dépitée, je quittai le parking pour un autre que j’avais repéré quelques jours plus tôt.
Ce nouveau parking était parfait, bien dissimulé derrière un haut rideau d’arbres, il convenait tout à fait pour des rencontres.
Je garai mon véhicule. Je ne manquai pas de place, car il était désert. Cinq minutes plus tard une petite DS 3 vint se garer à une vingtaine de mètres de moi. Je patientai quelques minutes, puis je descendis faire un petit tour de parking, histoire de me montrer un peu. Vu ma tenue, l’homme me prendrait soit pour une pute, soit pour une bonne salope cherchant le mâle.
Ma promenade terminée, je retournai à mon véhicule, mais profitant d’une table de piquenique je m’installai dessus en croisant mes jambes le plus haut possible.
Cette fois j’avais fait bonne pioche. L’homme sortit de son véhicule, puis se dirigea vers moi. A première vue il était plutôt beau gosse et la bosse de son pantalon avait l’air prometteuse.
-Alors ma belle, aurais-tu besoin de compagnie ?
-J’en serai ravie mon chou, si tu aimes bien les travestis je suis toute à toi.
-Tu m’as l’air gourmande
-Viens jusqu’à ma voiture nous y serons mieux.
Je me dirigeai en chaloupant vers mon véhicule, puis m’asseyais face à lui.
L’homme s’approcha, s’inclina vers moi et m’embrassa à pleine bouche.
Ce contact m’électrisa, mon clito se mit à durcir. Sans plus attendre je posai ma main sur son entrejambes. Hum ! il était déjà bien dur.
-C’est bien ma salope occupe-toi de ma queue. D’un geste rapide je fis descendre le zip. L’homme n’avait pas de slip, et sa queue jaillit. Je pris délicatement ce bel organe, puis décalottai le gland. Il était superbe, bien gonflé. La friandise idéale pour une trave. gourmande. Je me mis à lécher le gland. Il dégageait une légère odeur musquée qui m’excita encore plus. Ma bouche se mit à faire des va et vient sur le sexe tendu. L’homme semblait apprécier car il commençait à gémir. Après l’avoir sucé un petit moment ma salive se mit à dégouliner de ma bouche. J’adore faire des pipes bien baveuses.
Le mâle posa une main sur ma tête puis me força à avaler son gros chibre. Il pénétra lentement dans ma cavité buccale, puis buta au fond de ma gorge. Son sexe m’étouffait, des larmes se mirent à couler de mes yeux. Malgré tout je regardai l’homme dans mes yeux. Au bout d’un long moment il me libéra.
Recrachant son chibre je pris une longue inspiration.
-Alors ma pute ça te plaît de sucer mon gros chibre ?
-J’adore ta queue mon chou dis-je avant de replonger sur son sexe. Je le léchai sur toute sa longueur, enroulant ma langue autour de la tige, étalant ma bave qui coulait abondamment. Ses couilles en étaient recouvertes. Je les gobais une à une.
Je me régalais. Son pubis bien rasé était complètement lisse, comme je les aime.
-Quelle salope ! Tu dois en bouffer de la bite. Je n’ai jamais été aussi bien pompé. Une vraie pute.
Avec de tels encouragements je ne pouvais que m’appliquer. J’adore pomper les mâles et vider leurs couilles pleines de jus.
Pour exciter encore plus le mâle je lui titillai l’anus. Mes doigts trempés par ma salive lui lubrifiaient la rondelle, si bien que tout naturellement ils s’enfoncèrent dans son cul.
-Pouffiasse tu m’encules !
Nous étions tellement occupés que nous fûmes brutalement surpris par un homme tout près de nous.
-On ne s’ennuie pas ici. Elle aime la bite cette pute. Elle ne doit pas être contre une deuxième bite. J’aimerai bien m’occuper de son cul pendant qu’elle suce.
Deux bites ça ne se refuse pas me dis-je en moi-même
Je me relevais, puis fis asseoir le mâle que je suçai.
Cette fois ma chatte était tournée vers le nouveau venu. Je repris ma fellation, laissant toute latitude au deuxième homme.
-Woh, t’as un beau cul de chienne ma jolie dis l’homme en glissant une main dans ma raie. Salope jusqu’au bout des ongles j’écartai encore plus mes jambes et cambrai ma croupe.
-C’est bien tu t’offres comme une bonne femelle qui veut se faire saillir.
Un jet de salive se mit à couler dans ma raie, inondant ma chatte. Les doigts glissèrent sur mon trou, puis lentement me pénétrèrent.
Tout en me doigtant le cul, il avait pris mes couilles et les malaxaient. Tout ça me mettait dans un état indescriptible. J’étais impatiente d’être prise. Tout mon être réclamait. J’avais envie d’une bite dans mon cul.
Trouvant ma rondelle bien dilatée, l’homme approcha sa queue, puis la fit aller et venir dans ma raie. Le supplice de Tantale, sentir cette queue frotter ma rondelle, sans la pénétrer. Enfin je sentis le gland toucher mon œillet. L’enculage se fit lentement, il me pénétrait avec une lenteur infinie. N’en pouvant plus, je donnai un furieux coup de reins, et m’empalais jusqu’à la garde. Je ne pus empêcher un cri de plaisir, mêlé de douleur.
- T’étais vraiment en manque de bites, sale petite pute. Tu vas voir, je vais te faire gueuler comme une truie. J’adore tirer les chiennes dans ton genre.
- J’étais aux anges, prise par les deux bouts. Deux belles queues abusant de mes trous. Une queue dans la bouche, une dans le cul et insultée par ces deux mâles, uniquement préoccupés par leur plaisirs.
- Je n’étais plus qu’une femelle abandonnée à ces deux pervers. Une soumise, une fiotte tout juste bonne à se faire tirer sur les parkings. Mon enculeur me donnait de grands coups de bite, labourant mes reins sans retenue. Ses cuisses claquaient contre mes fesses. De temps en temps le mâle ponctuaient ses coups de reins par de vigoureuses claques sur les fesses. A force mes fesses me brûlaient, ma rondelle surchauffée me lançait.
- Malgré tout je n’aurais donné ma place pour rien au monde. Les fiottes dans mon genre sont faites pour le plaisir de l’homme, lui procurer le maximum de plaisir, et lui vider les couilles. C’est ce que je suis, une bonne vide couilles.
- Celui que je suçais gémissait de plus en plus, annonçant sa jouissance. Je pompai sa queue bien à fond, tout en le branlant. Quelques minutes plus tard, il se vida en moi. Une première décharge buta contre ma glotte, m’étouffant à moitié. A peine eussé-je le temps de déglutir que deux autres décharges aussi abondantes que brutales remplirent ma bouche. Le sperme dégoulinait de ma bouche. Malgré tout je m’appliquai à en avaler le maximum. Une denrée trop rare pour être gaspillée. Enfin je nettoyai consciencieusement le membre viril maculé de foutre. Un vrai régal pour salope. La récompense d’une bonne fellation menée au bout.
- T’as vu ça dit l’homme ? Elle a tout avalé.
- Moi je vais lui remplir le cul, et après je lui ferai nettoyer ma bite. J’aime que les choses soient bien faites. Lui aussi commençait à jouir.
- Je sentis les décharges du mâle. Il devait avoir une sacré réserve de foutre car il se vida longuement.
- Il resta encore un peu en moi. Je profitai de ces derniers instants. Moi aussi j’avais joui. Mon sexe s’était mis à couler. Je ne me touche jamais pendant une baise, j’aime ressentir cet orgasme anal bien différent de celui obtenu par une branlette. Je n’ai pas de décharges, seul un filet continu de sperme s’écoule de mon sexe de soumise.
- Les deux mâles permutèrent. Ils avaient pourtant bien jouis, mais leurs queues étaient toujours aussi dures.
- J’embouchai la bite sortie de mon cul. Elle était toute imprégnée de mes sucs intimes, mélangés au foutre de mon enculeur. Un régal pour une chienne comme moi. Consciencieusement je lui nettoyai la bite.
- Pendant ce temps l’autre mâle avait posé son gland sur ma rosette. D’un coup de reins il propulsa son membre en avant.
- Bien que ma chatte soit bien dilatée et pleine de la semence du mâle précédent, Je ne pus m’empêcher de crier.
- Arrête de gueuler salope, ton cul est un vrai garage à bites. En plus il est plein de sperme, rien de tel pour lubrifier ta chatte de pute.
- Une fois bien en moi, il se mit à me défoncer les reins avec la douceur d’un marteau piqueur.
- Alors connasse ? tu aimes ? il est bien défoncé ton cul de lope ?
- Empalée par ces deux mâles j’étais au Paradis. Etre insultée par mon enculeur ma ravissait. J’aime être avilie, traitée comme la dernière des putains.
- Finalement le mâle que je suçai, se retira.
- Désolé ma belle mais je dois te laisser. Au plaisir de te revoir et profiter de ton cul.
- En même temps il glissa une petite carte dans mon soutif.
- Appelle moi quand tu seras en manque de queue je me ferais un plaisir de te remplir à nouveau.
- Du coup j’étais toute entière consacrée à mon enculeur. Ce salaud me limait vraiment bien. De temps en temps il me claquait vigoureusement le cul avec sa main. C’est le genre de petit plaisir supplémentaire que j’adore.
- La dernière fois que j’avais été baisée au bois, le mâle m’avait frottée le cul avec des orties trouvées sur place. Ce salopard m’avait mis le feu au cul. Perverse comme je suis je m’étais empressée de le refaire. De temps en temps je m’amuse même à en remplir ma culotte.
- Mon enculeur me limait toujours. Il avait joui rapidement dans ma bouche, mais une fois vidée il lui fallait cette fois plus de temps pour arriver à ses fins. C’était tant mieux pour moi. Je n’avais pas dérouillée depuis longtemps et mon cul réclamait son dû.
- Putain, il n’y a pas dire t’es vraiment bonne du cul, une grosse chaudasse qui aime se faire ramoner. Tu aimes ma belle ?
- Oh oui vas-y continue, ne t’arrête pas. Ramone-moi bien la chatte à fond.
- Finalement l’homme allait jouir. Aussitôt il décula. Je me retournai juste à temps pour enfourner sa bite dans ma bouche. Inondée pour la deuxième fois. Je me régalais à nouveau. Je pressai la tige et les couilles pour extraire les dernières gouttes de sperme. L’homme râlait doucement. Je le branlais un peu faisant jaillir une dernière goutte vite lapée d’un coup de langue. Une fois sa bite nettoyée de fond en comble je remballai son sexe dans son pantalon.
- Eh bien tu es vraiment une délicieuse salope. Tu ferais fortune au tapin.
- Merci mon chou. Tu m’as superbement baisée et gavée de foutre.
- Merci ma cochonne et à bientôt peut-être.
- Voilà cette petite histoire relatant ma dernière baise est terminée. J’espère qu’elle vous aura plus et vous aura incitée à vous caresser vos belles queues de chiens.
- A bientôt mes amours pour une nouvelle histoire.
לפני 7 שנים