Sabine 07 38-7

Quand ma mère revient à la cuisine, elle est toute belle et bien habillée, même un peu sexy. Elle a un petit haut un peu transparent, qui moule parfaitement sa poitrine généreuse, qui d’ailleurs n’a pas de soutien-gorge… Une jupe mi longue sur des collants, qui lui font de très jolies jambes perchées sur ses talons… Je me demande si elle a mis une culotte, voire même si elle ne porte pas un plug… Nous parlons un peu et Evelyne arrive à son tour. Sa tenue est plus masculine, même si son chemisier moule bien ses petits seins, eux-aussi libres de tous mouvements… Elle embrasse ma mère dans le cou et sa main lui touche les fesses. Ma mère roucoule, on est loin de la discussion de tout à l’heure… Puis, elles me disent qu’elles partent faire du shopping, ah bon, sympa.

Quand elles sont parties, je m’interroge sur les propos d’Evelyne, c’est curieux qu’elle me dise cela. Je décide d’en parler avec Gérard, j’irai chez lui vers midi, faire le point sur cette situation. D’ici là, je vais m’occuper un peu de moi et bien nettoyer le canapé et le tapis du salon, ils l’ont bien mérité… Pour ce faire, je file mettre un plug dans ma rondelle, mes suceurs, des mules confortables et j’attaque.

Vers 11h, tout est ok, je prends une douche et je me prépare en insistant sur mon maquillage, j’ai envie d’être féminine ce matin. Ensuite, je mets quelques bijoux et enfin, je remets un plug et les suceurs. Je passe une robe courte et évasée, elle cache bien mon clito, enfile des mules compensées, prends un sac et je file chez Gérard.

En descendant les marches, je me sens particulièrement bien, heureuse de ma condition. Finalement, la mésaventure d’hier soir avec les gars, malgré l’irruption de ma mère et d’Evelyne pendant nos ébats, s’est plutôt bien terminée. Ma mère a été compréhensive et ne m’en tient pas rigueur, j’ai de la chance. Toute à ma réflexion, alors que j’arrive au palier inférieur, je ne remarque pas tout de suite une femme qui m’observe avec attention. C’est la voisine du dessous et tandis que je la salue, elle ne répond rien mais son regard désapprobateur me traverse, je ne me sens pas à l’aise… Je feins de n’être pas affectée par ce regard, mais au fond de moi, je suis troublée. Je descends au palier suivant, en me demandant ce qui me vaut ce curieux regard. J’arrive devant chez Gérard au moment où une autre voisine monte et, elle aussi, bien qu’elle réponde à mon bonjour, semble me regarder bizarrement. Heureusement, Gérard m’ouvre et je suis soustraite à ces yeux plongés sur moi…

Gérard a vu la voisine en m’ouvrant et quand il referme la porte, il me demande ce qui se passe. Je lui explique les deux rencontres de ce matin et il réfléchit un instant. « Il ne faudrait pas que l’on t’ait vue à poil dans l’escalier hier quand on t’a montée chez toi » me dit-il… « Oui, surtout que j’avais un gros plug qui dépasse dans la rondelle, vous êtes fous d’avoir fait ça » dis-je inquiète… « Ce n’était pas pour te nuire, juste un délire avec les gars » me répond Gérard… « Oui, et bien total, aujourd’hui, on me regarde comme une pestiférée » dis-je… Gérard essaye de me rassurer, mais c’est difficile… J’étais bien à faire ma vie en fille chez moi et dans l’immeuble, je crois que ce temps est terminé et ça ne me plait pas beaucoup… Je regrette cet excès de zèle de Gérard et des gars, ça va être compliqué de cohabiter ici maintenant…

Nous changeons de sujet et Gérard me demande comment s’est passée la suite de l’arrivée de ma mère… Je lui relate mon embarras et la soirée tendue. Je précise aussi que la matinée a permis de relativiser les choses, même si ma mère a été choquée… Gérard me dit qu’il est désolé de cette mésaventure…

Nous revenons aussi sur la soirée en elle-même, avec les gars, et là, je ne peux pas dire que je n’ai pas aimé ce qu’il m’a fait subir par eux… Gérard est satisfait de ce que je lui dis et m’explique que nous referons d’autres séances coquines de ce genre à l’avenir, j’en suis ravie, mais plus chez ma mère…

Je lui parle aussi de l’attitude d’Evelyne, la façon dont elle m’a parlé et les propos qu’elle a tenu en me touchant sans vergogne… Gérard rigole en me disant qu’effectivement, ils se connaissent et qu’il sait qu’elle n’a peur de rien concernant un petit cul féminin… Il ajoute en se marrant : « je n’aurai pas parié qu’elle aime ton cul de salope de trav, mais dans le fond, c’est logique car tu es très féminine »… « J’avoue que je ne serai pas surpris qu’elle soit capable de te baiser au gode-ceinture, surtout sachant que tu es la fille de sa copine, ce genre de chose l’excite » ajoute-t-il… Ah ben ça promet… Bon, cependant, la probabilité pour que cela arrive est faible, ça ne m’inquiète pas vraiment. Passés la revue des derniers évènements, Gérard me complimente sur ma tenue, ce qui me ravie, et me demande ce que je fais pour le reste de la journée. Je lui dis que je n’ai rien de prévu. Il sourit et me dit qu’il doit aller bosser et que je peux rester chez lui si je veux. Je suis un peu déçue, j’aurai aimé passer du temps avec Gérard… Mais bon, on ne fait pas toujours ce que l’on veut dans la vie…

Lorsqu’il part, je décide de partir aussi, je n’ai pas envie de rester enfermée cet après-midi. Nous descendons au parking ensemble et Gérard m’embrasse en me touchant la plug avant de partir avec sa voiture.

Je monte dans la mienne et démarre, j’ai besoin de me changer les idées…

Je roule un moment sans vraiment savoir où aller. Il fait beau, la température est douce, je décide d’aller dans le sud de l’Ardèche, je verrai bien. Je prends la direction de Vallon Pont d’Arc. Conduire en fille me fait du bien. Au fil de la route, les paysages me détendent et j’ai envie de m’arrêter un peu pour profiter du panorama. Au premier dégagement sur la droite, un peu avant Pradons, je m’arrête, la vue surplombe la rivière Ardèche et j’admire la vue. C’est très agréable et reposant cette vision de la nature, surtout en fille, avec des talons et un plug dans la rondelle…

Alors que je suis absorbée par la vue, un bruit retient mon attention, une voiture se gare elle aussi derrière la mienne. Ce n’est pas grave, je suis bien en femme, ma tenue est sexy mais pas provocante et je n’embête personne. Des portes claquent, je pense que je les passagers de la voitures viennent aussi voir le paysage… En effet, je perçois un mouvement sur ma droite et deux silhouettes surgissent à côté de moi. Je tourne la tête et là, surprise, ce sont des gendarmes… Je dois faire une drôle de tête, je ne m’y attendais pas… Avant que j’ai eu le temps de réagir, j’entends « bonjour Mlle, Gendarmerie Nationale, contrôle d’identité et papiers du véhicule s’il vous plait ! »… Je reste un moment sans bouger, je ne sais plus quoi faire… Décidément, c’est le bouquet, entre les voisines qui me regardent d’un drôle d’œil et maintenant un contrôle par les Gendarmes, il ne me manque rien… Une sueur froide me traverse l’échine, je suis presque paralysée… Je ne vois pas comment échapper à ce contrôle, aussi j’acquiesce de la tête et je vais vers la voiture chercher mes papiers… le bruit de mes talons, qui d’habitude me ravie, me fait horreur tout à coup… Bien sûr, mes papiers sont en règle, ça ne m’inquiète pas, par contre, c’est à mon nom de garçon… Quand je leur tends mes papiers, ils commencent par vérifier la carte grise du véhicule… Le gendarme me regarde et me dit « ce n’est pas votre voiture ? »… Voilà, on y est… Au fond de moi, je suis liquéfiée, pourtant, je dois faire face… Je prends un air très assurée et je dis « non, non, c’est la mienne »… Pendant un instant, le gendarme ne sait plus quoi dire… Puis, il me regarde et me dit « mais enfin Mlle, cette carte grise est au nom d’un jeune homme, ça ne peut pas être la vôtre ! » insiste-t-il fermement… Là, j’avoue que je suis terriblement troublée car je ne sais plus comment expliquer ma situation… Devant mon embarras et mon absence de réponse, le gendarme regarde ma carte d’identité et mon permis… Après plusieurs minutes, il me regarde avec une lueur d’incrédulité dans le regard… « Vous vous appelez comment ? » me demande-t-il d’une voix mal assurée, comme s’il redoutait ma réponse… « Sabine » dis-je en le regardant droit dans les yeux… « Mais c’est un nom d’emprunt, bien sûr, mon vrai nom, vous l’avez sous les yeux » dis-je encore… Là, le gendarme touche le fond de sa capacité de réflexion immédiate… J’imagine qu’ils étaient loin de penser contrôler une trav… Peut-être même, en me voyant seule au bord de la route, se sont-ils dit qu’un contrôle d’une jeune femme seule et agréable à regarder leur ferait passer le temps… Les gendarmes se regardent à tour de rôle, ne sachant quoi faire… Le deuxième s’approche un peu plus et me dit « vous voulez dire que le jeune homme sur les papiers et vous, êtes la même personne ? »… « Oui, c’est ça » dis-je en baissant les yeux… Je redoute ce qu’ils vont faire maintenant, s’ils m’amènent au poste, ça va se compliquer… « Ah la vache, regarde la, on dirait vraiment une femme » dit le gendarme qui tient mes papiers… « Vous n’avez pas le droit de vous promener sur la voie publique dans cette tenue » me dit d’un air sévère le deuxième gendarme… Aïe, ça va devenir difficile pour moi… J’essaie de réfléchir à ce que je pourrais répondre, je n’ai pas envie de finir au poste… « Ecoutez, je n’ai pas commis d’infraction routière, mon permis est en règle, mes papiers aussi, je comprends que vous fassiez votre travail, mais en dehors de ma tenue, je ne fais rien d’illégal » dis-je d’une voix mal assurée et pleine de compassion… « Pourquoi êtes-vous habillée en femme ? » me dit sévèrement le deuxième gendarme… Les larmes me montent aux yeux, je ne sais plus quoi faire… Pourtant, je trouve le moyen de dire « ce que vous voyez, c’est l’expression de ma sexualité, mais elle ne cause de tort à personne, et si je ne m’étais pas arrêtée pour observer le paysage, vous me m’auriez peut-être pas contrôlée et vous n’auriez pas découvert mon secret »… Les deux gendarmes restent un moment sans voix, en échangeant des regards… Puis, ils s’écartent un moment et discutent entre eux… Ils n’ont pas l’air d’accord… La discussion semble s’animer entre eux, je ne comprends pas bien… Finalement, l’un repart vers leur véhicule et l’autre revient avec mes papiers… « Vous avez de ma chance, mon collègue voulait vous embarquer et je devrai le faire aussi, mais vous n’avez rien fait d’illégal, aussi je ne trouverai pas normal que l’on vous embête sans véritable motif » me dit le gendarme… « Rentrez chez vous, allez-vous habiller comme il faut et ne dites à personne qu’on vous a laissée repartir » ajoute-t-il… Je pleure à grands sanglots sans pouvoir m’en empêcher… Le gendarme à l’air sensible à mon état et me tend mes papiers avant de partir…

Quand leur voiture démarre, je pleure toujours et je vois qu’ils m’observent depuis leur véhicule… J’ai du mal à retrouver mon calme, j’ai bien cru que j’allais finir au poste… Après, passé le moment de honte, je me dis que la seule personne qui compte pour moi c’est ma mère et elle sait déjà pour ma spécificité féminine… Cependant, j’aurai sûrement passé un mauvais moment à la gendarmerie, peut-être sous les quolibets de certains homophobes…

Je reste un long moment au bord de la route, seule, perdue dans mes pensées. L’ironie du sort, ce que me sentir bien dans ma sexualité féminine et en me promenant ainsi, je me rends coupable au regard des autres… Le temps de l’acceptation des orientations sexuelles non traditionnelles n’est pas encore venu…

Je remonte en voiture après avoir séché mes larmes, je l’ai échappée belle ce coup-ci… En partant, je me dis que je vais aller au bord de l’eau, vers Vallon Pont d’Arc, cela me détendra un peu… Je roule très prudemment, pas la peine de se faire contrôler deux fois dans la même journée. Après la traversée de Pradons, j’entre dans Ruoms, je suis très prudente avec la vitesse. Quand je sors de la ville, direction Vallon, j’arrive à un croisement et là, une voiture de gendarme est garée sur le côté… Mon cœur s’emballe d’un coup, est-ce les mêmes que tout à l’heure ?... En tous cas, ce n’est pas la même voiture. En effet, ce sont d’autres gendarmes, ils ont l’air plus âgé. Comme j’arrive au croisement, et finalement sans surprise, ils me font signe de me garer…

J’obtempère en me demandant ce qui va se passer… Je suis mal à l’aise, je voudrais être ailleurs… Le plus vieux des gendarmes s’approche de la voiture et me dit « Gendarmerie Nationale, contrôle d’identité, papiers du véhicule et permis s’il vous plait »… Ah la vache, ça recommence… Je sors mes papiers et les tends au gendarme. Il se place devant la voiture, semble regarder la plaque d’immatriculation et revient vers moi… « A qui appartient le véhicule ? » me demande-t-il… Ca y est, ça recommence… « C’est le mien » dis-je… « Ce véhicule appartient à un jeune homme » me répond le gendarme… « Veuillez sortir du véhicule s’il vous plait » ajoute-t-il… Une vague de honte m’envahie, ces gendarmes-là ne seront peut-être pas aussi indulgents que les premiers… J’ouvre la portière de la voiture et au moment où je sors, ma robe remonte assez haut sur mes cuisses… Les deux gendarmes matent mes jambes sans se cacher… Une fois dehors, il me demande mes papiers… « Vous les avez entre les mains » dis-je d’un ton mal assuré… « Non, ça, ce sont les papiers du propriétaire du véhicule, un jeune homme, hors, vous, vous êtes une jeune femme, alors donnez-moi vos papiers » insiste-t-il d’une voix peu engageante… Je me sens affreusement mal à l’aise et je ne sais pas quoi répondre… Des larmes mouillent mes yeux mais le gendarme ne semble pas s’en émouvoir… « Ce sont mes papiers » dis-je la voix pleine de honte… « Oh putain, on a arrêté une tapette » dit le gendarme à son collègue… Je suis effondrée, ils vont m’embêter tant qu’ils peuvent… « Alors comme ça on s’habille en fille maintenant ? » me dit l’autre gendarme… Je n’arrive pas à répondre et je pleure, ça fait trop pour aujourd’hui… « Oh, la pauvre, la tapette a de la peine » ajoute le plus vieux… « Mais est-ce que c’est vraiment une femme qui nous cache son identité, ou bien c’est une tapette qui s’habille en fille ? » dit-il à son collègue… « Va falloir la fouiller pour savoir !!! » dit-il d’un air méchant… Mon dieu, que veulent-ils faire ?...

Aussitôt, il m’att**** par les bras et me tire vers leur fourgonnette. J’ai du mal à suivre en talons… Ils me font monter dans la fourgonnette, non sans se rincer l’œil au passage, quand ma robe se soulève beaucoup, et me demandent de m’asseoir sur la banquette… Lorsque je prends place, ils matent tous les deux mes cuisses, et pour la première fois, je suis gênée qu’un homme le fasse… Ils me posent des questions sur ma véritable identité, insistent sur le fait que je suis en fille en aillant des papiers de garçon… « Peut-être qu’elle porte une arme ? » dit soudain le vieux gendarme… « On va la fouiller, c’est plus prudent » ajoute-t-il… Aussitôt, ils me relèvent, me retournent et tandis qu’un d’entre eux maintient mes bras en l’air, l’autre colle ses mains sur ma taille et remonte doucement vers le haut de mon buste en serrant exagérément mon corps… « Jusque-là elle n’a rien » dit-il en arrivant sous mes seins… Puis, ses doigts accrochent les suceurs… « Oh putain, là je sens quelque chose » dit-il en me pinçant les pointes… Je pleure de nouveau, je me sens très mal… Il baisse les bretelles de ma robe, dévoilant ma poitrine et il me retourne face à lui… Ils m’observent tous les deux quelques instants et celui qui m’a fouillée enlève les suceurs… Mes pointes apparaissent tendues, orgueilleuses… Soudain, il dit « ah putain, cette salope a de petits seins, c’est peut-être vraiment une femme qui nous cache son identité, il faut pousser la fouille »… Je me sens humiliée… Il me retourne de nouveau, tout en profitant du geste pour me tirer les pointes, et je sens ses mains remonter le long de mes cuisses… D’habitude, cela me plait beaucoup quand un homme caresse mes cuisses, mais là, j’avoue que rien n’y fait… Il arrive au bas de ma robe et continue à monter… Doucement, ma robe se relève, et, petit à petit, libère mes fesses… Quand ma robe arrive au-dessus de mon cul, ses mains s’arrête et il dit tout excité « oh putain, cette salope n’a pas de culotte »… Ses mains descendent un petit peu et s’accrochent à mes fesses en les malaxant… Ce faisant, il les écarte un peu et voit apparaitre le plug… « Oh la vache, regarde, cette salope a un truc dans le cul » dit-il d’un air surpris… C’est à ce moment qu’il me retourne encore et que mon clito fait face à leur visage… Là, il se marre avec un grand sourire et dit à son collègue « ben non, tu vois, c’était pas une gonzesse qui cachait son identité, c’est une salope de tapette avec un truc dans le cul »… Et il se marre… « Remarque, elle doit aimer ça la tapette, les trucs dans le cul, hein ? » me demande-t-il… Je suis rouge de honte, les yeux en pleurs, je ne me suis jamais sentie aussi humiliée… Je me demande comment cela va finir … Dehors, des voitures passent, sans se douter de ce qui se joue dans la fourgonnette…

Je remarque soudain que celui qui me tient les bras en haut a l’air gêné… Peut-être un peu d’humanité dans ce monde de brutes… « Bon, maintenant qu’on sait que ce n’est pas une femme qui cache son identité et qu’elle ne porte rien de dangereux sur elle …» dit le gars qui m’a fouillée… Puis, il se reprend et dit « ah mais, par contre, je n’ai pas vérifié ce qu’elle a dans le cul »… « C’est peut-être dangereux, il faut regarder » ajoute-t-il avec un regard vicieux… Alors qu’il s’apprête à me retourner pour lui permettre de fouiller ma rondelle, celui qui me tient les mains dit « chef, je crois qu’on en a assez fait, c’est bon »… « Quoi c’est bon ? » dit le chef furieux… « Ça va chef, on a arrêté et contrôlé la fille, comme nous avez dit les collègues, on lui a foutu la honte, c’est bon maintenant » dit l’autre…

Tandis qu’ils hésitent sur la conduite à tenir, une voiture arrive au croisement et freine beaucoup… Elle s’arrête un instant, le gars semble hésiter, regarde dans notre direction, puis sa voiture fait marche arrière et vient se ranger derrière la fourgonnette…

« Qu’est-ce qu’il veut celui-là » se met à gueuler le chef… Il ouvre la porte coulissante de la fourgonnette et va vers le conducteur d’un pas décidé… Qui que ce soit, cela me laisse un petit répit… C’est vrai que je fais pitié, presque nue dans la fourgonnette, les pointes dénudées et tendues, le cul à l’air rempli par le plug et le clito qui pendouille, le tout les mains en l’air… On entend le chef qui discute avec l’automobiliste mais ça n’a pas l’air de s’envenimer… Leurs voix se rapprochent, ils viennent vers la fourgonnette… Cela a pour premier effet que le gendarme qui me tient les mains, les lâche… Ensuite, je rabaisse le bas de ma robe sur mon clito, et enfin je remonte mes bretelles, pour cacher mes pointes tendues… Le chef et le gars arrivent à la fourgonnette et je reconnais Gérard…

Je n’ai jamais été aussi contente de le voir arriver, j’en pleure de joie… Il salue l’autre gendarme et dit en rigolant « alors les gars, on fait des misères à ma salope »… « Vous la connaissez ? » demande le gendarme qui était resté avec moi… « Bien sûr, c’est Sabine, une petite salope avec laquelle je m’amuse bien régulièrement » dit Gérard en riant… Le chef se bidonne, l’autre gendarme reste tranquille… « Sacré Gérard, ça ne m’étonne pas de toi, avec le cul qu’elle a cette salope, tu dois bien t’amuser » rigole le chef… « Quand je l’ai fouillée, j’ai même vu qu’elle avait un truc dans le cul, elle doit aimer ça » ajoute-t-il… Gérard plaisante encore quelques minutes avec le chef puis dit « bon, si vous avez fini vos contrôles, peut-on autoriser Mlle à retourner à sa voiture ? »… « Oui, c’est bon, si tu la connais, on la laisse partir, à part d’être en femelle avec un truc dans le cul on n’a rien contre elle » rigole le chef… Gérard me fait signe de descendre de la fourgonnette et récupère mes papiers… Il m’accompagne à la voiture et me donne ses clefs de maison en me disant « reprends tes esprits, roule tranquillement jusque chez moi, installe-toi au calme, prends un douche, j’arrive »…

Comme un automate, je démarre la voiture, fais demi-tour et file sans demander mon reste…

Le trajet me parait long. Quand j’arrive dans le parking, je monte directement chez Gérard, heureusement je ne croise personne. La douche me fait le plus grand bien…Une fois douchée et habillée d’une nuisette courte, je m’installe sur le canapé en attendant Gérard…

Presque une heure plus tard, Gérard entre dans l’appartement et vient me voir. Il me prend dans ses bras et je me remets à pleurer, j’ai eu peur avec les gendarmes… Gérard fait preuve de compassion et de gentillesse et me laisse pleureur un moment dans ses bras… Puis, je me calme et la chaleur de ses bras me fait du bien. Je lui raconte comment s’est produite cette mésaventure et il comprend mieux ce qui s’est joué. Il m’explique que le chef des gendarmes de Ruoms était un peu particulier, pas vraiment mauvais bougre mais un peu primaire parfois et presque homophobe… Mais qu’il appréciait la personnalité libertine de Gérard, qui l’avait rencontré dans plusieurs réunions au niveau départemental. Un coup de peau qu’il soit passé par là et ait reconnu ma voiture garée à côté de celle des gendarmes…

Du coup, dans les bras de Gérard, je me sens maintenant bien mieux… Plus encore, ce moment de frayeur m’a donné envie de profiter d’avantage de la vie… Ma main glisse sur la cuisse de Gérard et part à la recherche de sa queue… Je la trouve vite et après quelques massages appuyés, je la sens grossir… Rien ne me fait plus plaisir que de la sentir s’animer sous mes doigts… Très vite, je la sors de son fourreau et je la lèche avec amour… Humm, c’est bon de sucer la queue qui m’a sauvée des gendarmes… Ma langue s’active avec passion sur cette colonne de chair chaude… Gérard soupire sous mes coups de langue et j’aime ça… Je voudrai qu’il jouisse dans ma bouche, que j’avale son sperme bien chaud, pour le remercier de son intervention… Sa queue est maintenant bien raide et elle coulisse facilement dans ma bouche… Mes mains soupèsent ses bourses bien pleines, les faisant glisser doucement l’une contre l’autre… J’adore les sentir bouger comme ça entre mes doigts… Ma langue s’active sur son gland à chaque passage et il soupire de plus belle… Soudain, alors que la langue cherche à s’insinuer dans son méat, Il se crispe et me dit « ah putain, tu vas me faire jouir salope, tu vas me faire jouir »… L’instant d’après, il se crispe en beuglant, alors un flot de sperme chaud envahit ma bouche et que je l’avale avec joie, pompant tout le jus qui sort de cette queue que j’adore…

Tandis que ma langue se fait plus douce, caressant avec légèreté le gland gluant de mon amant, je sens sa queue se tendre de nouveau… Humm, c’est délicieux de sentir sa queue reprendre forme aussi vite… Je suis fière de lui faire autant d’effet… Quelques secondes plus tard, il quitte ma bouche et soulève la nuisette… Il m’allonge sur le canapé, écarte mes fesses, touche le plug qui s’y trouve et le sort doucement… Ses mains sont magiques, chaudes, douces fortes, pas comme celle de ce porc qui m’a fouillé tout à l’heure… Quand ses doigts fouillent ma rondelle je gémis de plaisir… Puis, lentement, il avance son gland contre ma rondelle et pousse… Heureusement, après la douche, avant de remettre le plug, j’ai lubrifié abondamment ma rondelle, aussi, quand son gland pousse dessus, elle s’ouvre comme une fleur et avale cette queue magique… Je pousse un long gémissement de plaisir quand sa queue m’envahie le cul… Elle glisse en moi pour mon plus grand bonheur et quand elle arrive au fond, je suis aux anges…Lentement, Gérard se met à bouger et je recommence à gémir de bonheur… Sa queue et sa douceur me font un bien fou… Très vite mon cul chauffe et je gémis sans discontinuer… Mon clito se met à couler et je suis heureuse d’être ce que je suis dans les bras de Gérard… Une salope trav, oui, bien sûr, mais une bonne salope qui ouvre sa bouche et son cul chaque fois qu’il faut et pour le plaisir de tout le monde… Gérard accélère dans mon cul et je crie maintenant ce plaisir qu’il me donne… « Oui, vas-y défonces-moi le cul, mets ta grosse bite tout au fond et remplis-moi le cul » dis-je avec fureur… Gérard, comme enivré par mes propos, se met à me défoncer la rondelle et je crie comme une folle, je veux jouir… Je veux jouir avec la queue de mon amant dans le cul et sentir qu’il me remplit l’intérieur de son nectar précieux… Gérard me baise ainsi encore deux ou trois minutes à un rythme effréné et soudain, alors qu’il plonge en moi une dernière fois, sa queue gicle tout au fond ce jus tant attendu… Quand son sperme frappe mes entrailles, une boule de feu quitte mes reins, passe par ma rondelle et vient exploser dans mon clito, qui se répand sur mon ventre par saccades tandis que j’hurle mon plaisir…




A suivre, si vous avez aimé…
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Sabine 07
Δημοσιεύτηκε από sabine07exhib
Πριν από 8 μήνες
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j'adore, on s'y croirait
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alan_inlondon
mmmmm  a fun  ending  to  a troublesmome start
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cauet6080
Vraiment pas cool c est gendarmes surtout le chef mais heureusement tous c est bien terminé
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Rosie83
Ces Gendarmes gagnerons surement a etre mieux connus
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sabine07exhib
σε gala6969 : Oui, au final, mais j'ai eu très peur ce jour-là...
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sabine07exhib
σε fabienne63 : Merci Fabienne...
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gala6969
Une fin heureuse pour une aventure horrible. 
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fabienne63
si j'ai aimé ,j'adore tes récits toujours pleins d'intrigues de sexe d’érotisme,de tenues sexy   ,d'aventures ,une part de rêve de fantasme ,je connais cette route il me semblais te suivre virage après virage ,tu as la (plume) pour nous faire rêvé oui! je te dis encore !encore Sabine ,gros gros bisous 
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