Sur un parking, en chaleur

Il ne peut plus se passer de ma chatte, il me le dit. Et moi, j'aime trop me faire enfiler par lui pour refuser. Les 3 h minimum qu'un rdv chez lui nécessitent... je ne peux pas, mon chou. Alors je trouve avec lui la solution. J'ai déjà sucé, on m'a déjà enculée dans la cabine d'un camion. Et toi, tu as ta grosse camionette de maraîcher. Je repère un parking de camping cars discret, à 20mn de chez moi. Là, sous l'ombre épaisse des vieux platanes, dans ce petit village ensommeillé sous le soleil. Là, je te vois garer ton gros engin rouillé, brinquebalant à côté de ma petite voiture rouge. Je sors, en mec, T shirt, tongs et short, je fais coulisser la grande porte. Je sais que quand je descendrai de là, tu m'auras prise, par ma bouche et mon cul. En femme.
Même sous les vieux arbres, la chaleur est écrasante. Tremblante d'émotion, je me travestis à la hâte: catsuit, faux seins, soutif et culotte rouges. Je coiffe ma perruque. Enfile mes talons. Au sol: les dépouilles de ma peau de mec. Autour de moi: les panneaux à craie du marché, des caisses vides. Mon coeur bat si fort: il y a si longtemps que je donnais ma bouche et mon cul à ce routier sur le parking de N... Je me sens exposée, vulnérable, et si excitée. De mes doigts, j'introduis le gel encore frais dans mon anus. Je tape sur mon portable: viens.
Dans un vacarme de tôle, la porte coulisse, tu entres. Autour de nous, les cigales, stridentes et quelques bruits de moteurs de passage. Sur moi: tes mains. Dans mon cou: tes lèvres. Contre mes fesses: ta bite en érection. Collé à moi, tu me caresses. Tu es trop belle en rouge, j'ai trop envie de toi. Pour personne d'autre je n'aurais fait ça mon chou, à part toi. Je ne suis plus la nympho vide-couilles que j'ai été. Mais je veux trop sentir mon corps t'appartenir pour te dire non.
Tu déplies la chaise, t'installes. Je m'agenouille. Mes doigts fins sur ta tige raide: plaisir électrique. Mes lèvres posées comme deux papillons sur ton gland: une évidence. Aspirer, lècher, descendre ma bouche ouverte entre tes cuisses et tout avaler: je fonds. Prendre ta verge sur ma joue, éprouver sa dureté par les gifles que tu me donnes soudain: tu bandes si fort pour moi. Oui, je suis à toi, je suis ta salope et ta pute personnelle dans ce love-car improvisé. Mais tu vas quand même me sucer, parce que je bande quand je m'habille en fille pour toi.
Le temps m'est compté, alors je me retourne, ouvre mes fesses, et fais descendre mon anus le long de ton manche. Assise sur toi, ruisselante de transpiration, mon corps se cambre, nerveux, passionné, alors que je te chevauche, déchaînée. Tes mains claquent sur mon cul, la camionette tangue sur ses amortisseurs... heureusement que nous sommes seuls! Tu t'empares de moi, tu me donnes le rythme. Tu me fais avouer que je suis ta salope, je confesse que je t'appartiens, et tu m'encules, tu m'encules à fond! Debout maintenant, appuyée-collée contre la tôle chaude, je te supplie de me pénétrer, alors que ta verge claque sur mes fesses rondes. Tu t'enfonces d'un coup, brutalement. Oui, oui, prends-moi, baise-moi. Dans ma main: ma queue épaisse, que j'astique à la cadence de la tienne qui entre et sort de moi. Jamais Joana ne se sent autant à sa place qu'à quatre pattes devant un homme. Sur la couverture, je me cambre en levrette. Je reçois la force de tes mains sur mes hanches, le poids de tes muscles sur mes frêles épaules. Et en moi, la puissance de ta verge, érigée pour moi, qui me partage le cul. Oui, c'est ça, être sodomisée! De la queue, de la queue, énorme, qui me ramone le cul, et moi en nage, dans les bras de mon mec, qui reçoit encore et encore, qui mecambre sous ses mains, et qui dis à voix basse: oh je jouis, je jouis mon chou. Et mon sperme coule, coule doucement entre mes doigts pendant que mes fesses t'avalent et te recrachent sans cesse. Tu as bien joui, ma chérie? Oui! Vide tes couilles dans ma chatte maintenant, je veux que tu jouisses en moi. Tremblante, pantelante, humide de sueur, de foutre, de lubrifiant, je laisse pendre ma tignasse blonde décoiffée, creuse mon dos, et j'accueille avec volupté les coups de rein qui le libèrent en moi. Il éjacule longtemps, attends, je me vide ma chérie, oh, il en reste... et nous nous figeons, épuisés, ruisselants, soulagés. Il sort alors que je me réfugie au fond du van pour me changer. Lorsque je descends à mon tour, à nouveau en garçon, je vois que personne autour de nous n'a entendu nos soupirs. L'ombre étouffante des platanes est maintenant fraîche après notre rodéo. Le parking est désert. Il me regarde en souriant, amusé. Chacun monte dans son véhicule, anonyme. Qui saura que sur ce parking, je me suis donnée à mon mec en cette belle journée de juillet?
Veröffentlicht von joan323232
vor 1 Monat
Kommentare
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katietv64
belle chevauchée
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