Nini 7

- Tu as fait un lavement ?
- Un ? ah oui…euh non…
- On va éviter la sodomie alors, nous n’en serions peut-être satisfaits ni l’un ni l’autre tu ne crois pas ?
- Comme vous voulez Mr Diop…
- Appelle-moi Emile quand nous sommes en famille et tutoie-moi dans ces moments-là…tu me vouvoiera comme marque de respect en privé…
- Oui Mr Emile…voulez-vous que je vous suce jusqu’au bout ? je n’ai pas eu loisir de gouter à votre semence…
- Bonne initiative Nini…
Nini goba la bite de Diop et pris plaisir à l’enfoncer loin dans sa gorge... elle suffoquait parfois et devait reculer le membre de Diop …celui-ci en bon dominant pris la direction des opérations. il avait saisi la tête de Nini et imprimait son rythme sans trop enfoncer sa verge …Nini avait discrètement glissé sa main jusqu’à son entrejambe et se caressait vigoureusement…Diop éjacula en même temps qu’elle atteignait l’orgasme…elle dût s’y reprendre à deux fois pour avaler tout le foutre que son amant avait déversé dans sa bouche…
- Nini, tu attendras que je te donne l’autorisation pour te caresser…
- Pardon Mr Diop, mais là j’avais vraiment trop envie…
- Ça passe pour cette fois, mais que je ne t’y reprenne pas…vas te laver les dents…et t’habiller…
Quand ils descendirent dans la salle à manger, la table était prête et Louise et Faty discutaient à bâtons rompus…le repas était excellent et le vin aidant tous étaient bien détendus. Ils étaient au dessert quand un élégant jeune métis fit son entrée dans la pièce…il fit un tour de table en claquant la bise à tous et se présenta à Nini :
- Je suis Antoine le petit-fils d’Emile et le fils de Claude et de Virginie…
- Enchantée, je suis Nini…et voici ma fille Louise
- Bonsoir Louise !
- Bon…bonsoir Antoine, enchantée…
Louise semblait très émue devant ce beau jeune homme d’un mètre quatre vingt cinq au physique athlétique…celui-ci s’assit près d’elle et la discussion des « adultes » reprenant son cours normal, ils se mirent à deviser gentiment…Louise se détendait au fil du temps…tous les deux étaient des passionnés d’impressionnisme et rapidement ils envisagèrent d’aller ensemble visiter le Musée d’Orsay à Paris…sans même s’en rendre compte leurs mains s’étaient jointes et ils étaient tournés l’un vers l’autre, les yeux dans les yeux…c’est à peine s(ils remarquèrent que les autres s’étaient éclipsés discrètement, remettant le débarrassage de la table au lendemain afin de les laisser tranquilles…tout en évoquant qui Monet, qui Renoir, leurs visages s’étaient rapprochés et leurs bouches se rejoignirent…leurs mains se séparèrent pour partir délicatement explorer le corps de l’autre…leurs bouches toujours scellées entre elles, les caresses se firent plus intenses…contrairement à ses précédentes fois, ce fut Louise qui prit l’initiative…sans dire un mot, elle se leva, embrassant toujours Antoine, puis elle le prit délicatement par la main et l’amena jusqu’à sa chambre…Quand elle eut refermé la porte, elle descendit sur ses genoux et entreprit d’ouvrir la braguette d’Antoine…
- Tu n’es pas obligée tu sais…
- Pour la première fois de ma vie j’en ai envie…mais si tu ne …
- Si, bien sûr que j’en ai envie, mais pas comme ça…
Délicatement il la releva, puis toujours en douceur, il commença à déboutonner son chemisier…plus maladroitement louise, réussit à déboutonner le jean d’Antoine et à le faire glisser jusqu’à ses chevilles. Ce qu’elle devina sous le caleçon du jeune homme la fit saliver…elle se dépêcha d’enlever également le sous-vêtement…Antoine n’était pas resté inactif et avait dégrafé son soutien-gorge…le temps qu’il enlève son Tee-shirt et se défasse de ses jeans et caleçon, elle avait ôté sa jupe et son slip…ils se reculèrent un peu pour s’admirer puis se blottirent dans les bras l’un de l’autre tout en s’embrassant langoureusement…ils glissèrent jusqu’au sol, mais au grand étonnement de Louise Antoine positionna sa tête entre ses cuisses laissant sa verge à portée de bouche pour Louise…Comme elle l’avait décidé en entrant dans la chambre, elle entreprit de sucer cette verge de belle taille…elle n’était pas experte dans le domaine, loin de là, mais elle avait décidé de s’appliquer…Antoine, lui, fit glisser ses lèvres jusqu’au lèvres intimes de Louise, ce qui lui procura un frisson de plaisir…ses tétons avaient durcis, elle les sentait comme elle ne les avait jamais senti auparavant…Antoine ouvrait délicatement ses lèvres de ses doigts maintenant et elle sentait son souffle caresser délicatement toute son intimité…son clitoris commençait à sortir de sa cage et la langue d’Antoine vint le titiller ???c’était si bon qu’elle en oubliait de le sucer…heureusement les palpitations du sang bouillonnant dans la jeune verge la rappelèrent à ses « devoirs »…sa main gauche vint délicatement caresser les couilles lisses du jeune amant…ses lèvres s’enroulèrent autour du gland et elle se surprit à aspirer le sexe…les caresses et le jeu de langue d’Antoine la firent mouiller abondamment .. Elle n’avait jamais vécu un tel phénomène avant ce soir…Antoine redoubla les coups de langue sur se lèvres et sur son clitoris et elle jouit dans un immense cri que toute la maison put entendre…elle s’effondra rouge de honte et de plaisir mêlés sur le côté…Antoine était hilare…
- J’espère qu’ils ne dormaient pas sinon tu les as réveillés…
- Oui, mais toi…tu n’as pas joui….
- Tu veux que je te fasse l’amour ?
- Oui…
- Tu veux d’une façon particulière ?
- Comme toi tu voudras
C’était bien la première fois qu’elle disait cela…Antoine, délicatement la positionna en levrette…là aussi c’était une première pour elle…elle essaya de se détendre même si elle avait de cette bite au fond d’elle comme jamais…la bite d’Antoine effleurait déjà ses grandes lèvres…il était doux dans son approche, ce qui n’avait pas toujours le cas de ses « coups » d’avant…délicatement la verge se fraya son chemin entre ses parois gorgées de désir…Louise se surprit à vouloir qu’il s’enfonce brutalement en elle , qu’il la tienne par les hanches tout en lui pilonnant la chatte jusqu’à jouir au plus profond d’elle…elle qui disait détester toute la philosophie BDSM se surprenait à avoir de telle pensées…il avait tout comme dans ses pensées érotiques posé ses mains sur ses hanches et très délicatement il s’enfonçait en elle…elle aurait voulu, c’était fou à bien y réfléchir, qu’il lui tire les cheveux pour lui cambrer le dos…mais Antoine ne le fit pas…elle sentit ses couilles toucher la peau de ses cuisses. ;.
- Ça va ? je ne te fais pas mal ?
- Non…elle se sentit rougir en ajoutant :
- Vas y fort si tu veux…
- Fort ? genre tu risques de douiller demain ?
- Fort comme tu crois que je vais aimer…
Il ne dit rien, mais sa main gauche vint empoigner ses cheveux réunis sagement en une queue de cheval…il tira ostensiblement et elle sentit son dos se cambrer…ce faisant la bite d’Antoine investissait un peu plus encore sa chatte…il commença de lents va et vient au creux de son intimité, reculant à presque sortir de sa chatte puis en s’enfonçant jusqu’à ce que ses couilles viennent taper contre les cuisses de Louise…il accéléra la cadence …Louise sentait qu’elle mouillait abondamment les bruits émis par sa chatte le prouvaient…elle était bien…elle voulait jouir encore , et le voir jouir en elle…et…comme elle avait honte à cette seule idée, qu’il lui claque le cul, comme elle l’avait vu faire lors du visionnage de vidéos x…la claque sur sa fesse lui fit pousser un petit cri…
- Oui, vas-y continues
Mais d’où venaient ces mots ? hier encore elle se serait pendue plutôt que de les prononcer…
Ce fut au tour de l’autre fesse…c’est sûr, demain ça risquait d’être compliqué pour marcher normalement, d’autant qu’Antoine avait accéléré le tempo et qu’il lui défonçait littéralement la chatte maintenant…elle suait abondamment et émettait de petits cris de plaisir…fut-ce la claque sur la fesse, un coup de bite plus fort ou plus profond ? l’orgasme la terrassa de nouveau, ses bras plièrent et elle s’effondra dans un long râle sur le parquet de la chambre…
- Relève-toi !
Le ton était ferme et ne souffrait pas de contradiction…et elle ne voulait surtout pas le contredire…un déclic s’était produit en elle…c’était par son biais, et par ses volontés que son plaisir de femme viendrait…il était clair pour elle à présent que tout ce qu’elle avait vécu avant en matière de sexualité était balayé par Antoine, et qu’elle ferait tout ce qu’il lui demanderait car c’était lui qui l’avait révélée en tant que femme…elle se remit en position de levrette…mais la bite d’Antoine ne prenait pas le chemin de sa chatte…elle s’était posé sur son œillet …
- Tu veux m’enculer ?
Bizarrement, elle aimait ce langage grossier. Il y a peu elle n’aurait même pas pu prononcer ces mots…
- Toi, tu le veux ?
- Oui ! encules moi fort et jouis dans mon cul…je veux sentir ton foutre au plus profond de moi…
D’où connaissait-elle ces mots ? elle se le demandait…
La bite posée contre sa rondelle la ramena à la réalité…elle sentit quelque chose de froid couler sur son anus…puis le sexe d’Antoine vint pousser délicatement…la pénétration lui sembla facile…comme un corps étranger qui s’insinuerait en elle, c’était d’ailleurs tout à fait ça…mais sans douleur…puis après quelques va et vient doux, les couilles qui tapent sur ses fesses…
- Ça va ?
- Oui…les mots qui suivirent la firent rougir…
- Bourre-moi bien le cul …je veux être ta petite salope que tu encules…
Il ne dit rien, mais une fois de plus se saisit de sa chevelure et la fit se cambrer…le pilonnage de son cul lui sembla plus intense que celui de sa chatte…elle s’entendait crier son plaisir sans qu’aucune honte ne l’affecte…son vagin dégoulinait de sa mouille…son amant la pistonnait comme si sa vie en dépendait…les claques retentissaient sur ses fesses, ajoutant semblait il à son plaisir…enfin elle sentit la verge plantée en elle se dilater encore plus, prémices d’une éjaculation libératoire pour les deux amants…il lui sembla sentir le foutre frapper les parois de son anus avant que l’orgasme ne la fasse de nouveau s’effondrer en de multiples soubresauts…
Quand elle reprit conscience, Antoine l’avait porté jusqu’au lit…il caressait d’un doigt son teton gauche encore tout dur de son plaisir…il lui glissa un petit baiser sur l’épaule…
- Merci, je n’ai jamais connu ça de ma vie…malgré sa fatigue, elle parvint à lui répondre
- Moi non plus tu sais…
Ils s’endormirent ainsi tendrement enlacés…
Quelques chambres plus loin, Nini souriait dans l’obscurité…après qu’elle eut fait son lavement ‘merci les tutos sur internet…) Emile l’avait vigoureusement sodomisé…si ses gémissements n’avaient pas été couverts par les cris de plaisir de sa fille, c’est sûr qu’ils auraient tenus éveillés les autres membres de la maisonnée…Faty souriait également dans sa chambre …sur une appli de rencontres spécialisée dans le lesbianisme, elle pensait avoir trouvé la perle rare…du coup sa main avait virevolté sur ses replis intimes et elle avait atteint ce sentiment de plénitude et d’extase qu’on nomme l’orgasme…mais à son grand regret, c’était seule…
Veröffentlicht von josyldo
vor 11 Monaten
Kommentare
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josyldo
josyldo Veröffentlicht von vor 10 Monaten
an frpoiutre : Merci....
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frpoiutre
frpoiutre vor 10 Monaten
très belle suite fort excitante. Bravo
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josyldo
josyldo Veröffentlicht von vor 10 Monaten
an caso29 : merci! la suite est en cours
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caso29
caso29 vor 10 Monaten
Excellente partie 7, félicitations
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