Audrey et sa famille (1)
Récit entièrement fantasmé.
Liste des principaux personnages présents :
- Audrey 47 ans.
- Alexandre 20 ans, fils d’Audrey.
- Léa 18 ans, fille d’Audrey.
- Vincent le mari d’Audrey.
- Christian, 78 ans voisin d’Audrey.
Pour résumer les jours qui ont précédé ma chute dans la perversité.
Mariée depuis plus de 25 ans à Vincent, j’ai 2 enfants devenus maintenant de grand ados. Alexandre l’ainé 20 ans, est parti de la maison familiale il y a 1 an pour faire des études à 100 km d’où l’on vit. Ma fille Léa 18 ans par contre n’est pas faite pour les études. Je ne suis pas malheureuse en couple mais ce n’est plus comme avant, on fait rarement l’amour et le sexe me manque. Vincent ne me regarde même plus et dernièrement j’ai été prise d’une folie en pleine matinée. Folie dont je paye le prix maintenant.
Un matin de grosse chaleur, je suis revenue des courses la voiture hyper chargée. Christian notre vieux voisin retraité et veuf qui passait par là, s’est gentiment proposé de m’aider. Au départ j’ai refusé poliment car à 78 ans et avec cette canicule je ne voulais pas lui infliger ses efforts mais comme il a gentiment insisté, j’ai accepté son aide. Une fois terminée, par politesse, je lui ai offert un grand verre de citronnade et nous voilà papotant dans la cuisine.
Il a senti mon mal être et je ne sais pas comment de fil en aiguille, je me suis confié et lui ai parlé de ma détresse sentimentale. Pour moi ce n’était qu’un vieux monsieur compatissant et je ne voyais pas le mal. Il s’est approché et m’a caresser les épaules quand mes premiers sanglots sont arrivés. Moi assise et lui debout, son short était au niveau de mon visage et mes yeux n’ont pu se détacher de l’énorme bosse formé dans son short. Sans un mot, Christian a sorti son sexe et sans force ni résistance de ma part a mis sa main derrière ma tête et m’a pénétré la bouche tout en douceur. J’aurais facilement pu dire non et cesser ceci et le mettre dehors, il ne me forçait pas, première fois que je trompais mon homme et en plus avec notre vieux voisin. Je me suis surprise à lui caresser ses grosses couilles d’une main pendant que ma langue explorait sa longue verve toute dure.
Quand je les sentis proche de la jouissance, il est devenu plus ferme et m’a maintenu son sexe dans ma bouche et d’un long râle il a tout expédié au fond de ma gorge, restant bien enfoncer pour me forcer à l’avaler.
En se retirant il s’est excusé, que l’envie pour lui aussi avait été trop forte et moi honteuse je n’ai rien dit, juste allant au lavabo me rincer la bouche. Il est reparti sans un mot me laissant dans ma honte et ce qui n’aurait pu être qu’une faute de ma part c’est transformé en cauchemar car un individu caché dans la maison a tout vu, pris des photos et filmé la scène.
Mon calvaire a commencé à peine 15 minutes plus tard…
Honteuse de ce que je venais de faire et malgré le fait que j’avais déjà prise une douche au réveil, je suis parti me relaver. Restant sous le jet d’eau un long moment, je n’ai pas entendu la porte s’ouvrir, la bouée recouvrant le miroir, je ne distinguais pas l’homme qui venait de rentrer quand soudain le rideau s’écarte me faisant pousser un cri de surprise en me cachant instinctivement les seins et là devant moi se trouve mon fils Alexandre.
- Audrey : « Mais enfin Alex, t’es pas bien de faire peur comme ça à ta mère, j’ai cru mourir. Et qu’est-ce que tu fais là d’ailleurs, t’es pas à la FAC ? »
Il me détaille de haut en bas, son regard me mets mal à l’aise et il est différent de d’habitude, limite pervers.
- Alexandre : « Non les partiels sont finis hier et j’ai une semaine de repos, alors je me suis dit que j’allais faire une surprise à ma PUTE de mère. »
Au mot Pute je sursaute et mon sang ne fait qu’un tour et je tente de lui foutre une énorme gifle mais son bras intercepte ma main.
- Audrey : « T’es devenu fou ??? comment tu parles à ta mère et puis sors de la salle de bain, on va régler cela quand je me serais essuyée. »
- Alexandre : « Non on règle cela maintenant. T’es pas une Pute ? alors peut-être que tu préfères le mot Chienne ? »
Je suis hors de moi et l’insulte tentant encore de le frapper, le menaçant que ce soir son père allait lui mettre une dérouillée sachant comme il m’avait parlé.
- Alexandre : « Papa ? n’y penses même pas où je lui montre ceci quand il rentre ce soir. »
Et là il sort son smartphone et me montre une photo de moi en train de sucer notre vieux voisin avec ma main sur ses couilles. Une larme coule sur mon visage, tentant de reprendre mon souffle et essayant de l’amadouer lui dit :
- Audrey : « Non mon chéri, ce n’est pas ce que tu crois. »
Sans un mot, il me montre cette fois-ci une vidéo, les mots qui s’ont prononcé je ne m’en souviens même pas, étant persuadé qu’on avait baisé en silence alors que cela s’est passé à peine 1/4 d’heure avant.
- Christian : « Tu suces bien Salope, on voit que t’aimes cela. »
- Audrey : « Oh Putain oui, depuis le temps que je n’avais pas eu une aussi belle bite à sucer. »
- Christian : « Alors continue la Pute, si tu aimes tant cela, je viendrais vider mes grosses couilles tous les matins. »
- Audrey : « Avec plaisir Christian, donnez moi votre foutre au fond de ma gorge. »
Non impossible !!! ce ne peut pas être moi qui parle ! je ne me souviens pas de cela, je devais être dans un état second, étant persuadé que c’était lui qui m’avait juter sans mon consentement. Et pourtant quand il retire sa queue bien propre de ma bouche, je m’entend dire :
- Audrey : « Merci ton vieux sperme est délicieux, j’ai tout avalé. »
- Christian : « Alors à demain même heure pour ton jus matinal ma p’tite PUTE. »
Et là on voit Christian avec un sourire pervers qui ferme la porte. C’en est trop pour moi, des sanglots incontrôlés se déversent sur mon visage et je m’agenouille sur le sol de la douche.
Alexandre n’essaye même pas de me relever, de me consoler. Au lieu de cela, il commence à se déshabiller.
- Audrey : « Que fais-tu ? »
- Alexandre : « À partir de maintenant, ferme là, je ne veux plus t’entendre. Tu obéis où je montre cela à papa, à ma sœur et aux grands parents aussi. Tu m’appartiens c’est compris ? »
- Audrey : « Mais enfin je suis ta mère et tu es mon fils, n’y penses même pas, sors de là. »
Une grosse claque jaillit sur mes seins me faisant pousser un « aïe » plus de surprise que de douleur.
- Alexandre : « Rien à faire que tu sois ma mère, cela fait 4 ans déjà que je me branle en pensant à toi, toujours persuadé que t’étais une bonne Salope. Je ne me suis pas trompé. Si tu savais le nombre de fois où j’ai juté sur tes strings, ne me dit pas que t’as jamais vu parfois tes culottes qui étaient pleines de spermes séchés ? »
- Audrey : « Non arrête Alex c’est dégoutant. Je te jure que ce qui vient de se passer est une regrettable erreur et que je n’avais jamais fauté avant. »
- Alexandre : « Et alors ce qui est fait est fait. Tu veux que je te montre l’extrait où tu avoues à Christian être en manque de baise hard et même être prête à essayer le BDSM ? »
Je n’ose plus rien dire et les larmes continuent à couler sur mon visage. Alex est maintenant à poil, je garde les yeux fermés et je sens qu’il entre dans notre grande douche à l’italienne où l’on peut facilement être 2 à l’intérieur.
Avec sa main, il relève ma tête et m’ordonne de le regarder dans les yeux. Je les garde fermer mais je sens comme une légère gifle sur ma joue mais pas avec sa main sans doute avec son sexe.
- Alexandre : « Dernier avertissement, ouvres les yeux où je vais te faire mal. Regardes comme tu m’excites la Pute qui aime les vieux. »
Tous ses mots crues qu’il déverse sur moi, me remplissent de honte mais étrangement je sens des picotements dans mon bas-ventre. J’ouvre les yeux et là je vois pour le première fois le sexe de mon fils qui est devenu un homme. C’est clair que ce n’est pas son père…il est superbement bien membré, un bon 20 cm mais surtout une grosse circonférence. Sans faire gaffe, je suis bouche bée et ce petit salopard s’en aperçoit.
- Alexandre : « On dirait qu’elle te plait ma bite maman ! avoue ! »
- Audrey : « Non, allez Alex cesse immédiatement ce jeu ridicule et reviens à la raison. »
Tout en disant cela, mon fils me prend une main et la pose sur son sexe déjà si dur. Deux personnes cohabitent en moi : d’un côté la mère outrée qui voudrait fuir loin de là et de l’autre l’épouse frustrée en manque de sexe fascinée par ce gros engin. Même si mon cerveau me dit que c’est mal, voilà que je commence à lentement parcourir sa verge le long de ma main.
- Alexandre : « T’es pas si difficile que cela à convaincre, je le vois à tes yeux que ma bite te plait. Allez goutes là, après tout elle sort de ton ventre. C’est un retour à l’envoyeur. » dit-il en éclatant de rire.
Alors que je la retire, vexée par ses mots, il me tord le bout de mes mamelons, me faisant assez mal.
- Alexandre : « Reprends ma bite entre tes mains, où je te claque les seins jusqu’au sang. »
Je ne reconnais plus mon tendre garçon, moi qui est toujours cru que c’était un ange. Alors pour ne plus avoir mal à mes seins, je prends son sexe et le branle en douceur. Il me sourit, mais c’est un sourire démoniaque. Sa bite m’hypnotise, plus je le branle, plus je suis en train de mouiller et d’avoir honte car oui j’ai envie de la goûter maintenant mais je ne vais pas m’abaisser à lui avouer. Il a malgré tout deviner mon excitation.
- Alexandre : « Si elle te fait tant baver que cela, qu’attends tu pour mettre ta langue sur mon gland ? »
- Audrey : « C’est pas bien Alex, n’oblige pas ta mère à faire ceci. »
- Alexandre : « Mais je ne t’oblige à rien Maman, c’est toi qui décide ; tu me suces ou papa verra ce soir combien tu aimes les bites de vieux. »
S’il appelle cela un choix !!! Mon mari demanderait de suite le divorce et je n’aurais rien pour me retourner me retrouvant facilement à la rue.
Alors je me dis qu’il ne faut pas que je réfléchisse, que ce beau sexe devant moi n’est pas celui de mon fils mais d’un jeune amant viril, après tout je fantasme depuis si longtemps sur la domination !!!
Au départ j’y vais à reculons donnant de petit coup de langue sur son gland et son méat. Sa queue a une légère odeur de pisse mais bizarrement cela ne me dérange pas, je crois que mon cerveau se déconnecte et que je deviens folle. Voyant malgré tout que je ne m’active pas assez vite, il prend sa queue à pleine main et m’ordonne de sortir le plus possible ma langue. Il tape fort sa bite sur elle et me bifle le visage avec, putain qu’elle sensation de dépravation et d’humiliation, ma chatte ruisselle de ce traitement. Instinctivement une de mes mains commencent à caresser mon clito tout gonflé et Alexandre le remarque et continue alors de m’insulter.
- Alexandre : « Regardes moi cette Chienne, qui fait sa prude en ne voulant pas me sucer mais qui mouille comme la grosse cochonne qu’elle est. Alors maintenant, au boulot et fais moi jouir dans ta bouche Salope ! »
Honteusement je m’entends lui répondre :
- Audrey : « J’en ai jamais eu de si large dans ma bouche. »
- Alexandre : « Et bien il est temps d’y remédier car cela va être ton travail quotidien pendant ma semaine de congés. »
Et voilà qu’il me représente sa large bite devant ma bouche mais cette fois ci il prend les commandes en appuyant une main derrière ma tête, il att**** une serviette et m’attache les mains derrière le dos. Je suis entièrement à sa merci et sans vergogne il se sert de ma bouche comme d’un vulgaire trou. Il n’est pas tendre et j’aime cela en fait, sentir sa force quand il me bouche les narines pour bloquer ma respiration. Que ma bave inonde son sexe quand il le retire de ma bouche pour s’y enfoncer encore plus profondément
Je n’en peux plus, j’ai envie de jouir alors que je ne peux pas me caresser ayant les mains attachés dans le dos. J’aime sa queue qui me défonce mais surtout ne pas lui dire. Après 5 longues minutes de ce traitement, je sens son corps qui se raidit, signe qu’il va bientôt jouir.
- Alexandre : « Oh putain je vais pas tarder à jouir ! Ouvres bien ta bouche en grand Chienne et comme avec le vieux t’as intérêt de tout avaler. »
Et moi idiote qui réponds sans réfléchir aux mots qui sortent de ma bouche.
- Audrey : « T’inquiètes mon chéri, j’ai envie de goûter à ton sperme. »
Devenant rouge de honte, lui me regarde toujours avec ce sourire démoniaque.
- Alexandre : « J’ai toujours su que tu étais une Salope, j’ai de grand projet te concernant puisque tu aimes ma queue. »
Honteuse mais voulant jouir j’ose malgré tout lui faire une demande.
- Audrey : « Détaches moi s’il te plait Alex, je veux me caresser le clito et jouir en même temps que toi. »
À peine ai-je les mains libre que je me branle frénétiquement mon clito jouissant instantanément. Alex me fait ouvrir la bouche en grand mais le salaud il s’amuse à m’arroser de partout, sur ma langue et aussi sur ma gueule de Chienne comme il dit. Sa quantité de sperme est impressionnante, l’avantage de la jeunesse, il me recouvre aussi les seins et quelques gouttes tombent à même le sol. Une fois son dernier râle poussé il me tire fort les cheveux en arrière et me roule une pelle bien baveuse.
- Alexandre : « Maintenant avec ta main, tu vas ramasser tout le sperme qui est sur toi et bien tout avaler Salope de mère. »
Je m’exécute sans honte car j’adore son jus. Une fois terminé et fière de moi je tente avec un sourire de l’amadouer.
- Audrey : « Voilà content ? »
Et là il me donne une gifle inattendue.
- Alexandre : « Et mon foutre qui est par terre ??? allez rampe à 4 pattes comme une Chienne et lape le avec ta langue ! »
Une fois de plus la honte est mêlée à l’excitation de me retrouver dans cette position scabreuse. En plus ce salaud prend des photos tandis que je lèche son foutre à même le sol. Une fois terminé, il me fait mettre debout et tout en tordant un de mes nichons, m’embrasse une fois de plus avec fougue. Une tape dans le cul, il me dit :
- Alexandre : « Allez sors de là maintenant, je vais me rincer. »
- Audrey : « Attends moi aussi j’en ai, mon corps est en sueur. »
- Alexandre : « NON !!! tu restes ainsi et pas la peine de t’habiller, tu restes à poil pour la matinée, de toute façon papa ne rentre que ce soir il me semble. Allez va préparer le repas de midi. »
- Audrey : « Sois raisonnable mon fils, je ne vais pas rester à poil, ta sœur rentre déjeuner ce midi. »
- Alexandre : « Tu n’auras qu’à mettre une robe transparente avant qu’elle arrive. »
C’est ainsi qu’à débuter ma soumission envers mon fils et ceci n’est qu’une petite partie de ce qu’il m’a fait subir mais je dois l’avouer avec mon total consentement par la suite.
à suivre....si la personne concernée le désire.
Liste des principaux personnages présents :
- Audrey 47 ans.
- Alexandre 20 ans, fils d’Audrey.
- Léa 18 ans, fille d’Audrey.
- Vincent le mari d’Audrey.
- Christian, 78 ans voisin d’Audrey.
Pour résumer les jours qui ont précédé ma chute dans la perversité.
Mariée depuis plus de 25 ans à Vincent, j’ai 2 enfants devenus maintenant de grand ados. Alexandre l’ainé 20 ans, est parti de la maison familiale il y a 1 an pour faire des études à 100 km d’où l’on vit. Ma fille Léa 18 ans par contre n’est pas faite pour les études. Je ne suis pas malheureuse en couple mais ce n’est plus comme avant, on fait rarement l’amour et le sexe me manque. Vincent ne me regarde même plus et dernièrement j’ai été prise d’une folie en pleine matinée. Folie dont je paye le prix maintenant.
Un matin de grosse chaleur, je suis revenue des courses la voiture hyper chargée. Christian notre vieux voisin retraité et veuf qui passait par là, s’est gentiment proposé de m’aider. Au départ j’ai refusé poliment car à 78 ans et avec cette canicule je ne voulais pas lui infliger ses efforts mais comme il a gentiment insisté, j’ai accepté son aide. Une fois terminée, par politesse, je lui ai offert un grand verre de citronnade et nous voilà papotant dans la cuisine.
Il a senti mon mal être et je ne sais pas comment de fil en aiguille, je me suis confié et lui ai parlé de ma détresse sentimentale. Pour moi ce n’était qu’un vieux monsieur compatissant et je ne voyais pas le mal. Il s’est approché et m’a caresser les épaules quand mes premiers sanglots sont arrivés. Moi assise et lui debout, son short était au niveau de mon visage et mes yeux n’ont pu se détacher de l’énorme bosse formé dans son short. Sans un mot, Christian a sorti son sexe et sans force ni résistance de ma part a mis sa main derrière ma tête et m’a pénétré la bouche tout en douceur. J’aurais facilement pu dire non et cesser ceci et le mettre dehors, il ne me forçait pas, première fois que je trompais mon homme et en plus avec notre vieux voisin. Je me suis surprise à lui caresser ses grosses couilles d’une main pendant que ma langue explorait sa longue verve toute dure.
Quand je les sentis proche de la jouissance, il est devenu plus ferme et m’a maintenu son sexe dans ma bouche et d’un long râle il a tout expédié au fond de ma gorge, restant bien enfoncer pour me forcer à l’avaler.
En se retirant il s’est excusé, que l’envie pour lui aussi avait été trop forte et moi honteuse je n’ai rien dit, juste allant au lavabo me rincer la bouche. Il est reparti sans un mot me laissant dans ma honte et ce qui n’aurait pu être qu’une faute de ma part c’est transformé en cauchemar car un individu caché dans la maison a tout vu, pris des photos et filmé la scène.
Mon calvaire a commencé à peine 15 minutes plus tard…
Honteuse de ce que je venais de faire et malgré le fait que j’avais déjà prise une douche au réveil, je suis parti me relaver. Restant sous le jet d’eau un long moment, je n’ai pas entendu la porte s’ouvrir, la bouée recouvrant le miroir, je ne distinguais pas l’homme qui venait de rentrer quand soudain le rideau s’écarte me faisant pousser un cri de surprise en me cachant instinctivement les seins et là devant moi se trouve mon fils Alexandre.
- Audrey : « Mais enfin Alex, t’es pas bien de faire peur comme ça à ta mère, j’ai cru mourir. Et qu’est-ce que tu fais là d’ailleurs, t’es pas à la FAC ? »
Il me détaille de haut en bas, son regard me mets mal à l’aise et il est différent de d’habitude, limite pervers.
- Alexandre : « Non les partiels sont finis hier et j’ai une semaine de repos, alors je me suis dit que j’allais faire une surprise à ma PUTE de mère. »
Au mot Pute je sursaute et mon sang ne fait qu’un tour et je tente de lui foutre une énorme gifle mais son bras intercepte ma main.
- Audrey : « T’es devenu fou ??? comment tu parles à ta mère et puis sors de la salle de bain, on va régler cela quand je me serais essuyée. »
- Alexandre : « Non on règle cela maintenant. T’es pas une Pute ? alors peut-être que tu préfères le mot Chienne ? »
Je suis hors de moi et l’insulte tentant encore de le frapper, le menaçant que ce soir son père allait lui mettre une dérouillée sachant comme il m’avait parlé.
- Alexandre : « Papa ? n’y penses même pas où je lui montre ceci quand il rentre ce soir. »
Et là il sort son smartphone et me montre une photo de moi en train de sucer notre vieux voisin avec ma main sur ses couilles. Une larme coule sur mon visage, tentant de reprendre mon souffle et essayant de l’amadouer lui dit :
- Audrey : « Non mon chéri, ce n’est pas ce que tu crois. »
Sans un mot, il me montre cette fois-ci une vidéo, les mots qui s’ont prononcé je ne m’en souviens même pas, étant persuadé qu’on avait baisé en silence alors que cela s’est passé à peine 1/4 d’heure avant.
- Christian : « Tu suces bien Salope, on voit que t’aimes cela. »
- Audrey : « Oh Putain oui, depuis le temps que je n’avais pas eu une aussi belle bite à sucer. »
- Christian : « Alors continue la Pute, si tu aimes tant cela, je viendrais vider mes grosses couilles tous les matins. »
- Audrey : « Avec plaisir Christian, donnez moi votre foutre au fond de ma gorge. »
Non impossible !!! ce ne peut pas être moi qui parle ! je ne me souviens pas de cela, je devais être dans un état second, étant persuadé que c’était lui qui m’avait juter sans mon consentement. Et pourtant quand il retire sa queue bien propre de ma bouche, je m’entend dire :
- Audrey : « Merci ton vieux sperme est délicieux, j’ai tout avalé. »
- Christian : « Alors à demain même heure pour ton jus matinal ma p’tite PUTE. »
Et là on voit Christian avec un sourire pervers qui ferme la porte. C’en est trop pour moi, des sanglots incontrôlés se déversent sur mon visage et je m’agenouille sur le sol de la douche.
Alexandre n’essaye même pas de me relever, de me consoler. Au lieu de cela, il commence à se déshabiller.
- Audrey : « Que fais-tu ? »
- Alexandre : « À partir de maintenant, ferme là, je ne veux plus t’entendre. Tu obéis où je montre cela à papa, à ma sœur et aux grands parents aussi. Tu m’appartiens c’est compris ? »
- Audrey : « Mais enfin je suis ta mère et tu es mon fils, n’y penses même pas, sors de là. »
Une grosse claque jaillit sur mes seins me faisant pousser un « aïe » plus de surprise que de douleur.
- Alexandre : « Rien à faire que tu sois ma mère, cela fait 4 ans déjà que je me branle en pensant à toi, toujours persuadé que t’étais une bonne Salope. Je ne me suis pas trompé. Si tu savais le nombre de fois où j’ai juté sur tes strings, ne me dit pas que t’as jamais vu parfois tes culottes qui étaient pleines de spermes séchés ? »
- Audrey : « Non arrête Alex c’est dégoutant. Je te jure que ce qui vient de se passer est une regrettable erreur et que je n’avais jamais fauté avant. »
- Alexandre : « Et alors ce qui est fait est fait. Tu veux que je te montre l’extrait où tu avoues à Christian être en manque de baise hard et même être prête à essayer le BDSM ? »
Je n’ose plus rien dire et les larmes continuent à couler sur mon visage. Alex est maintenant à poil, je garde les yeux fermés et je sens qu’il entre dans notre grande douche à l’italienne où l’on peut facilement être 2 à l’intérieur.
Avec sa main, il relève ma tête et m’ordonne de le regarder dans les yeux. Je les garde fermer mais je sens comme une légère gifle sur ma joue mais pas avec sa main sans doute avec son sexe.
- Alexandre : « Dernier avertissement, ouvres les yeux où je vais te faire mal. Regardes comme tu m’excites la Pute qui aime les vieux. »
Tous ses mots crues qu’il déverse sur moi, me remplissent de honte mais étrangement je sens des picotements dans mon bas-ventre. J’ouvre les yeux et là je vois pour le première fois le sexe de mon fils qui est devenu un homme. C’est clair que ce n’est pas son père…il est superbement bien membré, un bon 20 cm mais surtout une grosse circonférence. Sans faire gaffe, je suis bouche bée et ce petit salopard s’en aperçoit.
- Alexandre : « On dirait qu’elle te plait ma bite maman ! avoue ! »
- Audrey : « Non, allez Alex cesse immédiatement ce jeu ridicule et reviens à la raison. »
Tout en disant cela, mon fils me prend une main et la pose sur son sexe déjà si dur. Deux personnes cohabitent en moi : d’un côté la mère outrée qui voudrait fuir loin de là et de l’autre l’épouse frustrée en manque de sexe fascinée par ce gros engin. Même si mon cerveau me dit que c’est mal, voilà que je commence à lentement parcourir sa verge le long de ma main.
- Alexandre : « T’es pas si difficile que cela à convaincre, je le vois à tes yeux que ma bite te plait. Allez goutes là, après tout elle sort de ton ventre. C’est un retour à l’envoyeur. » dit-il en éclatant de rire.
Alors que je la retire, vexée par ses mots, il me tord le bout de mes mamelons, me faisant assez mal.
- Alexandre : « Reprends ma bite entre tes mains, où je te claque les seins jusqu’au sang. »
Je ne reconnais plus mon tendre garçon, moi qui est toujours cru que c’était un ange. Alors pour ne plus avoir mal à mes seins, je prends son sexe et le branle en douceur. Il me sourit, mais c’est un sourire démoniaque. Sa bite m’hypnotise, plus je le branle, plus je suis en train de mouiller et d’avoir honte car oui j’ai envie de la goûter maintenant mais je ne vais pas m’abaisser à lui avouer. Il a malgré tout deviner mon excitation.
- Alexandre : « Si elle te fait tant baver que cela, qu’attends tu pour mettre ta langue sur mon gland ? »
- Audrey : « C’est pas bien Alex, n’oblige pas ta mère à faire ceci. »
- Alexandre : « Mais je ne t’oblige à rien Maman, c’est toi qui décide ; tu me suces ou papa verra ce soir combien tu aimes les bites de vieux. »
S’il appelle cela un choix !!! Mon mari demanderait de suite le divorce et je n’aurais rien pour me retourner me retrouvant facilement à la rue.
Alors je me dis qu’il ne faut pas que je réfléchisse, que ce beau sexe devant moi n’est pas celui de mon fils mais d’un jeune amant viril, après tout je fantasme depuis si longtemps sur la domination !!!
Au départ j’y vais à reculons donnant de petit coup de langue sur son gland et son méat. Sa queue a une légère odeur de pisse mais bizarrement cela ne me dérange pas, je crois que mon cerveau se déconnecte et que je deviens folle. Voyant malgré tout que je ne m’active pas assez vite, il prend sa queue à pleine main et m’ordonne de sortir le plus possible ma langue. Il tape fort sa bite sur elle et me bifle le visage avec, putain qu’elle sensation de dépravation et d’humiliation, ma chatte ruisselle de ce traitement. Instinctivement une de mes mains commencent à caresser mon clito tout gonflé et Alexandre le remarque et continue alors de m’insulter.
- Alexandre : « Regardes moi cette Chienne, qui fait sa prude en ne voulant pas me sucer mais qui mouille comme la grosse cochonne qu’elle est. Alors maintenant, au boulot et fais moi jouir dans ta bouche Salope ! »
Honteusement je m’entends lui répondre :
- Audrey : « J’en ai jamais eu de si large dans ma bouche. »
- Alexandre : « Et bien il est temps d’y remédier car cela va être ton travail quotidien pendant ma semaine de congés. »
Et voilà qu’il me représente sa large bite devant ma bouche mais cette fois ci il prend les commandes en appuyant une main derrière ma tête, il att**** une serviette et m’attache les mains derrière le dos. Je suis entièrement à sa merci et sans vergogne il se sert de ma bouche comme d’un vulgaire trou. Il n’est pas tendre et j’aime cela en fait, sentir sa force quand il me bouche les narines pour bloquer ma respiration. Que ma bave inonde son sexe quand il le retire de ma bouche pour s’y enfoncer encore plus profondément
Je n’en peux plus, j’ai envie de jouir alors que je ne peux pas me caresser ayant les mains attachés dans le dos. J’aime sa queue qui me défonce mais surtout ne pas lui dire. Après 5 longues minutes de ce traitement, je sens son corps qui se raidit, signe qu’il va bientôt jouir.
- Alexandre : « Oh putain je vais pas tarder à jouir ! Ouvres bien ta bouche en grand Chienne et comme avec le vieux t’as intérêt de tout avaler. »
Et moi idiote qui réponds sans réfléchir aux mots qui sortent de ma bouche.
- Audrey : « T’inquiètes mon chéri, j’ai envie de goûter à ton sperme. »
Devenant rouge de honte, lui me regarde toujours avec ce sourire démoniaque.
- Alexandre : « J’ai toujours su que tu étais une Salope, j’ai de grand projet te concernant puisque tu aimes ma queue. »
Honteuse mais voulant jouir j’ose malgré tout lui faire une demande.
- Audrey : « Détaches moi s’il te plait Alex, je veux me caresser le clito et jouir en même temps que toi. »
À peine ai-je les mains libre que je me branle frénétiquement mon clito jouissant instantanément. Alex me fait ouvrir la bouche en grand mais le salaud il s’amuse à m’arroser de partout, sur ma langue et aussi sur ma gueule de Chienne comme il dit. Sa quantité de sperme est impressionnante, l’avantage de la jeunesse, il me recouvre aussi les seins et quelques gouttes tombent à même le sol. Une fois son dernier râle poussé il me tire fort les cheveux en arrière et me roule une pelle bien baveuse.
- Alexandre : « Maintenant avec ta main, tu vas ramasser tout le sperme qui est sur toi et bien tout avaler Salope de mère. »
Je m’exécute sans honte car j’adore son jus. Une fois terminé et fière de moi je tente avec un sourire de l’amadouer.
- Audrey : « Voilà content ? »
Et là il me donne une gifle inattendue.
- Alexandre : « Et mon foutre qui est par terre ??? allez rampe à 4 pattes comme une Chienne et lape le avec ta langue ! »
Une fois de plus la honte est mêlée à l’excitation de me retrouver dans cette position scabreuse. En plus ce salaud prend des photos tandis que je lèche son foutre à même le sol. Une fois terminé, il me fait mettre debout et tout en tordant un de mes nichons, m’embrasse une fois de plus avec fougue. Une tape dans le cul, il me dit :
- Alexandre : « Allez sors de là maintenant, je vais me rincer. »
- Audrey : « Attends moi aussi j’en ai, mon corps est en sueur. »
- Alexandre : « NON !!! tu restes ainsi et pas la peine de t’habiller, tu restes à poil pour la matinée, de toute façon papa ne rentre que ce soir il me semble. Allez va préparer le repas de midi. »
- Audrey : « Sois raisonnable mon fils, je ne vais pas rester à poil, ta sœur rentre déjeuner ce midi. »
- Alexandre : « Tu n’auras qu’à mettre une robe transparente avant qu’elle arrive. »
C’est ainsi qu’à débuter ma soumission envers mon fils et ceci n’est qu’une petite partie de ce qu’il m’a fait subir mais je dois l’avouer avec mon total consentement par la suite.
à suivre....si la personne concernée le désire.
vor 1 Jahr
Cette Audrey m'a tout l'air d'etre une bonne salope de soumise en devenir