Martine, ma cousine. Chapitre 2 Tonton Georges

L’année d’après, c’est elle qui m’a offert sa chatte dès le premier jour. Jusqu'à là, nous avions fait plein de cochonneries et depuis les vacances précédentes, j’avais droit à son petit cul, mais je n’avais jamais pu lui fourrer ma bite dans sa chatte, car elle avait peur d’avoir un bébé.

La nuit qui suit mon arrivée aux vacances d’été, juste après que je vienne de me branler pour soulager mes couilles excitées par une belle salope dans le train qui s’amusait à me montrer sa chatte en croisant et décroisant ses jambes devant moi, ma cousine entre discrètement dans ma chambre en me faisant « chut » avec un doigt sur ses lèvres.

Elle tire complètement mon drap et att**** ma bite flasque. Ma cousine la caresse et la branle doucement avant de commencer à la sucer.
Je viens juste d’arriver et elle saute déjà sur ma bite comme si elle est en manque de sexe. Ce qui ne m’étonne pas beaucoup, car elle ne doit pas se gêner avec mon copain Rémy ou ses propres copains quand je ne suis plus là. La pensée de ce qu’elle pourrait leur faire et l’action de sa bouche sur ma bite font que je rebande en quelques secondes. Elle la lâche un instant et murmure :

« Dis donc, elle est beaucoup plus grosse que l’année dernière ! Et elle sent plus fort le sexe ! »

Sa main flatte mon sexe qui finit de s’allonger et de grossir et elle replonge sur ma queue avec avidité, tout en mettant sa main sur sa chatte pour la caresser comme elle fait à chaque fois qu’elle me suce.

Moi aussi, je trouve qu’elle a changé. Ses seins, sous sa chemise de nuit, me paraissent beaucoup plus gros, ses hanches plus arrondies et son visage moins enfantin. Ma cousine est devenue une belle jeune fille, drôlement désirable et elle me suce nettement mieux qu’avant.
Elle s’arrête de croquer ma queue, se redresse et se positionnant à genoux de chaque côté de mes cuisses, elle arrache sa chemise. Je suis en admiration ! Je contemple ma cousine nue. Elle est magnifique. Ses seins sont gros et fermes, ronds et avec de superbes tétons en érection. Sa taille, restée mince, fait ressortir la beauté de ses hanches, d’une courbe parfaite prolongée par des cuisses, pleines et sexy. Et sa chatte… ! Plus un seul poil,,, ! Elle est rasée et cela fait ressortir ses grandes lèvres finement ourlées.
Martine rampe sur mon corps et prend ma bite dans sa main. Encore une petite branlette et elle place mon sexe entre ses cuisses pour poser sa chatte sur le bout de mon gland. Sa chatte suinte abondamment et mouille ma bite. Elle baisse son bassin et je vois ma queue qui disparaît en s’enfonçant dans le sexe de ma cousine.

Incroyable… ! Je suis dans la chatte toute chaude de ma cousine et c’est elle qui vient de le faire !
Complètement empalée sur ma bite, elle bouge son cul pour se donner du plaisir avec ma bite et, avec ses mains en coupe sous ses seins, elle caresse, du bout de ses doigts, ses beaux tétons.
Elle se penche en avant et je sens son clitoris frotter sur le bas de ma queue et elle gémit doucement. Moi aussi, d’ailleurs, car c’est la première fois que je baise une chatte. Elle monte et descend de plus en plus vite sur ma queue et claque son pubis sur le mien, à chaque fois qu’elle s’empale entièrement. J’espère que ses parents dorment bien car on fait quand-même du bruit.

Elle roule sa chatte sur ma bite pendant plus de 10 mn et, heureusement que je me suis soulagé juste avant pour résister à sa chevauchée en regardant ma pine glisser dans sa chatte toute lisse et rose.
Son visage rayonne de plaisir et elle ne doit pas être loin de jouir.

« OOoohh, Bernard…, que c’est bon ! Ouiiiii, tu es à moi… ! »

Quelques secondes de plus et elle a un sacré orgasme en haletant et en geignant. Sa chatte se contracte follement sur ma bite et, sans sa permission, je jouis dans son vagin en éruption pendant qu’elle continue de jouir sur moi. Son corps s’arrête de trembler, elle ondule encore sur moi et puis, elle s’écroule à côté de moi.

« Line, j’ai…, j’ai…, éjaculé dans ton sexe… !
– C’n’est pas grave, Bernard, je prends la pilule depuis que mon oncle m’a baisée dans la grange au printemps !
– Georges…, t’as…, tu…, ton oncle… !
– Oui, il m’a surpris en train de sucer la bite à David et il en a profité pour me dépuceler le jour même. Crois-moi c’est un beau salaud ! Ma mère ne lui suffisait pas il fallait qu’il se tape la fille ! Maintenant il me baise quand ça lui chante ! C’est lui qui a conseillé à ma mère de me donner la pilule en lui disant qu’à mon âge et avec tous les garçons qui tournent autour de moi, il serait préférable de prendre des précautions !
– Ben merde, alors ! Tu ne l’as pas dit à ta mère ?
– Non, ce n’est pas la peine qu’elle soit au courant !
.. Par contre, maintenant que tu es là, on va bien s’amuser tous les deux et on va s’occuper de mon oncle ! »

C’est à partir de cette année-là que j’ai découvert le vrai visage de ma cousine Martine, sa perversité et son besoin immodéré de sexe et que je suis devenu son complice, mais aussi son esclave.

Le lendemain, elle me dit en me donnant une petite caméra à cassette :

« Je vais entraîner mon oncle dans la grange et tu te faufileras derrière nous avec la caméra de papa !
.. Tu prends le mieux possible nos ébats i****tueux, ça nous fera un beau souvenir et je vais m’en servir pour que mon oncle fasse tous mes caprices ! »

Quand Line se dirige vers la grange je vois en effet son oncle qui la suit. Discrètement je leur emboîte le pas et, planqué derrière une botte de foin, j’observe, caméra au poing.
Cette petite salope de cousine est grimpée sur une échelle et tonton Georges arrive en-dessous pour mâter sous sa jupe.

« Tu veux que je tienne l’échelle, pupuce ? »

Il sort même sa langue d’envie en voyant ses belles cuisses. Martine redescend un peu et cette garce fait semblant de manquer un barreau pour que son oncle lui att**** ses jambes et se retrouve le nez sur son cul. Je vois son pantalon se déformer sous la pression de sa bite et il maintient sa nièce un instant dans cette position.

« Ҫa va tonton, tu peux me lâcher ! »

Mais ce n’est pas ce qu’il fait et ses grosses paluches saisissent ses cuisses, juste au-dessus des genoux sa tête sous sa jupe. Je suis sûr qu’il doit sentir son sexe. Martine descend d’un barreau et les mains de tonton Georges glissent sur ses cuisses pour se poser sur ses fesses recouvertes par son petit slip.

« Tonton ! Veux-tu bien retirer tes mains !
– Oh, ça va, tu ne vas pas jouer les vierges effarouchées !
.. Et tu devrais enlever ton slip, il est tout mouillé ! »

Et sans attendre sa réponse, il fait glisser son slip sur ses fesses pour dévoiler son beau petit cul.

« Putain ! T’as un si beau cul ! »

Sans vergogne, il lui palpe ses fesses et ses cuisses avant de la retourner pour lui faire face.
La jupe de Martine est remontée sur ses hanches et je vois bien sa jolie chatte sans poils.

« Arrête Tonton ! Je ne veux pas !
– Ferme-la, où je te file une trempe !
– Non ! Arrête… ! »

Quelle comédienne ma cousine…

« Ta gueule, salope ! T’es comme ta mère ! Tu vas adorer ! »

Il caresse sa chatte et glisse un de ses doigts dedans. Il la doigte et titille en même temps son clito. Ma cousine s’accroche à l’échelle pour ne pas tomber et je vois bien qu’elle aime ça, même si elle dit :

« Arrête tonton ! Arrête ! Non…, nooonnn… ! »

Je suis sûr que sa chatte doit être bien humide et Georges ne peut répondre car il a pris ses fesses à pleines mains et embrasse son ventre juste au-dessus de son sexe avant de descendre sur sa chatte pour passer sa langue autour sur ses grandes lèvres gonflées par son excitation.
Quand sa langue atteint son clito, ma cousine ne peut retenir un long gémissement de plaisir. Georges a maintenant deux doigts dans la chatte de ma cousine et il lui lime son vagin. tout en continuant de s’occuper de son clito. Ma cousine a un orgasme et, comme elle lâche l’échelle. elle se retrouve sur son oncle qui la prend dans ses bras et l’allonge sur le foin.
Il défait son pantalon qui tombe sur ses chevilles, ainsi que son slip et je peux constater qu’il a effectivement une grosse bite ! Moi, à la place de ma cousine j’aurais peur de prendre un morceau pareil dans mon cul. Mais voir ma cousine presque nue avec son oncle qui expose fièrement son sexe monstrueux je ne peux m’empêcher de bander sacrément.

George met son impressionnant sexe en face de la chatte probablement frémissante de Martine et s’apprête à la baiser. Quand je vois cette grosse bite devant la délicate chatte de ma cousine, j’ai peur qu’il lui fasse mal, mais je suis stupéfait et soulagé quand je vois son gourdin s’enfoncer doucement dans le trou de Line. Son sexe doit être tellement humide que la queue de Georges disparaît dans son chaton.

D’où je suis, j’ai pu faire un gros plan tout le long de cette incroyable pénétration. Il a dû la baiser souvent, car ma cousine ne pousse même pas un cri ! Au contraire, elle gémit de plaisir.

« Alors, ma petite pute ! Elle est plus grosse que celle de tes petits copains !
.. Tu la sens bien, la bite à tonton, dans ta petite chatte ! »

Ça, pour la sentir, elle doit la sentir ! Son vagin doit être complètement déformé et elle doit se sentir complètement remplie par ce sexe. Tonton Georges la baise quand-même doucement et il arrive à l’enfoncer entièrement quand il a relevé les jambes de sa nièce pour mieux la pénétrer.
Je vois que ma cousine a un orgasme, mais je n’entends presque pas ses gémissements, car son oncle lui bâillonne sa bouche de sa grosse main. Il n’a pas joui et il continue de lui défoncer sa chatte en agaçant même son clito avec ses doigts pour la maintenir en constante excitation. Avant qu’il lui envoie un déluge de sperme, compte tenu de ses couilles de taureau, Martine a eu plusieurs orgasmes successifs !
Et il n’arrête pas ! Il continue de la baiser ! Putain ! Qu’est-ce qu’il lui met, le salaud !
Quand ma cousine crie :

« STOP ! ARRÊTE ! »

Il retire sa queue qui n’a même pas débandé! Je n’en reviens pas !

Martine est restée les cuisses relevée et je zoom sur sa chatte pour mieux la voir. On dirait un cratère de volcan. Elle est toute ouverte et elle palpite encore ! Puis ce volcan qui vient d’exploser, laisse échapper sa lave, un flot de sperme qui coule vers son trou du cul !
Je m’apprête à décamper quand je vois mon oncle qui la soulève comme un plume et qui la met à plat ventre sur une botte de foin avec ses jambes pendante et ses pieds sur le sol.
Tonton soulève son chemisier et prend ses seins qu’il écrase dans ses mains.

« Ah, ah ! Ils commencent à être d’une bonne taille ! Et tes tétons s’allongent bien ! »

Ce salaud mouille son doigt en l’enfonçant dans la chatte béante de ma cousine, puis il le met dans son trou du cul !
Ma cousine en couine de plaisir ! Elle adore qu’on lui fourre quelque chose dans le cul !
Tout en continuant de martyriser un de ses seins avec sa main gauche, il continue de doigter son trou du cul avec son gros pouce et ses autres doigts trifouillent sa chatte gluante de sperme et de cyprine, ainsi que le clito de Martine qui a encore une sorte d’orgasme. Pendant qu’elle gémit, il en profite pour lui mettre sa queue dans son trou du cul et ma cousine pousse un cri :

« Putain, va doucement ! Tu me déchires le troufignon ! »

Il reste un court instant fiché entre ses fesses, puis il se met à l’enculer consciencieusement et le pire, c’est que ma cousine l’encourage. Décidément, elle aime se faire prendre par le cul !
Faut dire qu’à sa demande, ma bite l’a visité très souvent et il doit être aussi inspecté par ses petits copains.

« Vas-y, enfoiré ! Encule ta petite nièce !
– Salope ! Je vais te le défoncer ton cul de putain ! Tiens ! Prends-ça dans cul ! »

Tonton se déchaîne. Ses deux mains emprisonnent ses hanches et il lui pistonne son cul vivement, violemment, et à fond, car j’entends ses couilles qui ballottent frapper sa chatte à chaque fois que sa queue disparaît dans son fondement. Ma cousine a sa main enfoncée dans sa chatte et elle se masturbe en gueulant :

« AAAHHhh, salaud ! Tu m’ouvres en deux ! Ooohhhhhh…, ouiiiiiiiiiiiii… ! »

Notre oncle continue de lui pistonner son petit trou jusqu'à ce que Martine couine sous un autre orgasme et ça déclenche celui de Georges.

« Tiens, salope ! Tu auras mon foutre dans tes deux trous ! Ça te calmera pour un bon moment ! Mais putain, t’es sacrément bonne ! Tu n’as pas fini de la prendre ma queue, crois-moi ! »

Bien enfoncé dans le trou du cul de sa nièce il se vide une nouvelle fois ses couilles, tout en lui écrasant ses seins avec ses mains calleuses.
Il retire sa bite du cul ma cousine et c’est tout juste si elle a débandé. Il la frotte sur le cul de sa nièce pour la nettoyer et il lui claque ses fesses en disant :

« Tu vas devenir la meilleure salope du village, une fois que j’aurais fini de t’éduquer ! »

Dès qu’il disparaît je me précipite vers ma cousine qui est restée affalée sur la botte de foin.

« Méli…, ça va ? »

Elle n’a pas encore repris une respiration normale et ses doigts sont toujours dans sa chatte. Je la retourne et je la prends dans mes bras, mais elle est toute molle et elle m’entraîne sur elle en tombant. Elle ouvre ses yeux, et me dit d’une voix haletante.

« Bernard…, qu’est-ce qu’il m’a mis, ce salaud ! T’as vu ? C’est une bête de sexe ! T’as tout filmé, j’espère ?
– Tout ! Et avec des gros plans !
– Parfait ! Embrasse-moi, cousin ! »

Ses mains prennent ma nuque et elle m’embrasse passionnément. Ma bite qui n’a presque pas débandé se gonfle et appuie sur le ventre de ma cousine.

« Dis-donc, tu m’as l’air drôlement excité, Bernard, mais tu as mérité une récompense... ! Sors ta bite et fais-moi l’amour ! Doucement, gentiment !
.. Montre-moi comment tu m’aimes, même après avoir été baisée comme une salope par mon oncle ! »

Ses mains sont déjà en train de baisser la fermeture éclair de mon froc que je repousse sur mes jambes et ma cousine guide ma bite pour que je m’enfonce dans sa chatte. Elle est encore très ouverte et je rentre en elle sans vraiment sentir son vagin déformé par le monstre de son oncle. Par contre c’est plein de jus, le sien et celui de tonton et ma bite prend un bain de foutre chaud.
Elle me plaque contre elle et elle geint :

« Qu’elle est douce, ta queue ! Reste en moi ! Ma chatte va se refermer sur ta bite et tu vas m’aimer ! »

Effectivement, sa chatte se resserre progressivement sur ma queue et elle commence à onduler du cul pour jouer avec ma bite. Incroyable ! Son vagin masse ma queue !

« Bernard..., tu m’aimeras toujours ?
– Oui, ma Line, toujours !
– Quoi que je fasse ou que je te demande de faire et avec n’importe qui ?
– Quoi que tu fasses !
– Tu le jures ?
– Je jure de t’aimer pour la vie et de t’obéir pour conserver ton amour !
– Je t’aime Bernard ! On va bien s’amuser, toi et moi ! Allez, fais-toi plaisir, prends-moi ! »

Et je lui fais l’amour, amoureusement, jusqu'à ce qu’elle crie de plaisir :

« Ouiiiiiiiiiii, ooohhhhh, Bernard, je t’aime ! Jouiiiis aussi ! Lave ma chatte avec ton sperme ! »

Et moi aussi, après tonton Georges, je gicle dans la chatte de ma Martine qui me tient par le bout de ma queue !
Mais à 17 ans, on est qu’un peu idiot face à une fille ultra chaude et aussi perverse que ma cousine.
Veröffentlicht von wolfie91
vor 3 Jahren
Kommentare
5
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wolfie91
J'avais 15ans elle en avait 20
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wolfie91
Martine oui c'est ma cousine. On s'est chauffé un peu une fois 
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wolfie91
Jauŕaiß bien àimé
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davidtoulouse
de plus en plus chaud !! bravo !
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chiefconsultant
This reads like a wonderful set up controlled by Martine.  Exciting
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