ô ta bouche

que ce désormais informe vermisseau
avait fière allure tantôt
lorsqu'allant et venant
tes lèvres avides ta main ferme et douce
en firent un long moment
sceptre de chair d'où jaillissait la couture des veines
d'où jaillit l'offrande bénissant tes seins
ô ta bouche
Publié par arthK
il y a 4 ans
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