Damitille Limousin "mon histoire" Acte 3
Ma métamorphose
Voilà le moment était venu j’allais enfin devenir la femme sexy, que je désirais être au fonds de moi et je savais que Maitresse Paloma serait le médiateur et l’éducatrice qui saurais m’amener là où je voulais aller…
Allex, la lope redescendait les escalier, chargé d’un sac encombrant, ce qui me fit sortir de ma torpeur et de mes pensées lubriques, pendant ce temps Maitresse P. n’avait pas bougée du centre de la pièce, qui semblait irradier de sa présence. Elle ne m’avait même pas adressé la parole.
« Voici, Maitresse, le sac contenant la lingerie et les habits de notre dernière soumise femme ».
« Bien Allex, tu as bien travaillé tu peux aller à la cuisine préparer le déjeuner, laisses nous. »
Ma Maitresse avait congédié son mari sans autre forme de procès, je me retrouvais seul, face à elle, toujours nu avec un clitoris en semi érection de par mes pensées et la situation excitante que je vivais chez Madame Paloma. La perspective de me transformer en fifille, comment aimait appeler ses soumises à queues, ma dorénavant tutrice, me faisais mouiller du gland mais aussi de mon fondement en effet mon anus était moite je le sentais. J’ai en effet cette capacité telle une fille de mouiller de ma « chatte » anale.
« Alors ma chérie, tu es vraiment sûre de vouloir devenir ma soumise. Attention un Oui de ta part est irrévocable. Tu as 5 secondes pour répondre… »
C’est alors sans bien réfléchir, seulement guidé par ma libido en ébullition que je réponds un oui franc et massif.
« Excellent » me répondit-elle.
« Voyons ce que j’ai dans mon sac à malice, pour toi, Mis à part ces sandales brillantes en pointure 43, que je tiens d’un ancien soumis, qui par chance fait ta pointure, tout le reste fait partie de lingeries et vêtements laissés par mon ancienne soumise de 35 ans, une vraie femme eh oui ! »
Mais comment savait-elle ma pointure ? Je commençais à me dire que Maitresse Paloma, me connaissais mieux que je ne le pensais.
Supprimé
« Je te vois étonnée ma petite chérie mais sache que je sais tout de toi, par ta mère, où tu vis, ta pointure, tes mensurations, tour de poitrine, tour de taille et de cuisses. Ta mère et moi sommes devenues complices malgré la relation de soumission/domination qui nous lie et elle m’a parlé de son gentil fils, qui ne mérite pas ce qui lui arrive, qui a dû arrêter ses études, qui n’a plus d’amis, ni de copines, tu étais la candidate idéale pour une maitresse comme moi. »
« Tiens mets ça… »
Supprimé
Elle me tend alors un élégant soutien-gorge et une sorte de push up qui fais remontre la poitrine avec une forme qui s’insère dans les bonnets, me voilà affublé d’un 90 bonnet B.
Supprimé
Je ne bataille pas trop à le mettre, j’ai l’habitude j’avais déjà porté de la lingerie plus jeune.
« Voyons, tiens cette petite nuisette toute simple, en satin fera l’affaire pour le haut »
Supprimé
Ensuite je récupérait une paire de bas auto-fixant, un shorty blanc avec un nœud rose sur le cul ainsi que les fameuses sandales brillantes.
Supprimé
« Voilà qui commence à prendre tournure, mais il manque l’essentiel, je ne vais pas me lancer dans des heures de maquillage avec toi, après tout, les hommes ne voudront qu’une chose c’est te baiser le cul ! Alors je vais te faire porter, en plus de cette perruque, un loup et sa mantille, tu vas être parfaite et féminine à souhait ».
J’ajustais donc ce loup, avec son lien derrière ma tête puis j’enfilais la perruque, un joli carré, brune, à la Uma Thurman dans pulp fiction.
Supprimé
« Tu es presque parfaite, une vraie petite pute mais il manque de jolis atours, rien de mieux que quelques bijoux pour rendre une femme attirante en particulier une chaine de cheville. »
Ma Maitresse ouvre alors un coffret en bois et en sort des bracelets brillants, un gros collier de perle et la fameuse chaine de cheville qui fait si salope dans l’imaginaire des hommes.
« Regarde-toi ma petite dans le miroir tu es splendide ! Allex viens voir… »
J’avoue que je ressens une bouffée de chaleur à mon entre jambes et une moiteur au niveau de mon cul en me contemplant dans ce psyché, j’étais vraiment bandante. D’ailleurs, Allex en entrant dans la pièce venant de la cuisine avec son tablier eut une réaction sans équivoque, il bandait, je voyais le tablier se soulever à l’entrejambe ! Malheureusement pour lui sa femme le vit et lui asséna une violente gifle pour le dégriser.
« Mais Paloma, elle ressemble tellement à Domitille, la petite bourgeoise, qui nous sert de voisine, cette ancienne noble, qui nous prend de haut ! »
« Tu as raison, Allex, je n’y avais pas pensé, tu lui ressemble chérie, en plus comme elle tu es une bourgeoise désargentée, voilà qui est dit tu ne seras pas Domitille mais DAmitille, dorénavant. Te voici baptisée par ta Maitresse et devant son mari. Qu’il en soit ainsi. »
Ma vie de femme venait de commencer et celle de lopette homme, de s’achever.
J’étais dorénavant Damitille Limousin, la salope femelle de ce couple. A n’en pas douter, de nombreuses aventures m’attendent.
A suivre…
Voilà le moment était venu j’allais enfin devenir la femme sexy, que je désirais être au fonds de moi et je savais que Maitresse Paloma serait le médiateur et l’éducatrice qui saurais m’amener là où je voulais aller…
Allex, la lope redescendait les escalier, chargé d’un sac encombrant, ce qui me fit sortir de ma torpeur et de mes pensées lubriques, pendant ce temps Maitresse P. n’avait pas bougée du centre de la pièce, qui semblait irradier de sa présence. Elle ne m’avait même pas adressé la parole.
« Voici, Maitresse, le sac contenant la lingerie et les habits de notre dernière soumise femme ».
« Bien Allex, tu as bien travaillé tu peux aller à la cuisine préparer le déjeuner, laisses nous. »
Ma Maitresse avait congédié son mari sans autre forme de procès, je me retrouvais seul, face à elle, toujours nu avec un clitoris en semi érection de par mes pensées et la situation excitante que je vivais chez Madame Paloma. La perspective de me transformer en fifille, comment aimait appeler ses soumises à queues, ma dorénavant tutrice, me faisais mouiller du gland mais aussi de mon fondement en effet mon anus était moite je le sentais. J’ai en effet cette capacité telle une fille de mouiller de ma « chatte » anale.
« Alors ma chérie, tu es vraiment sûre de vouloir devenir ma soumise. Attention un Oui de ta part est irrévocable. Tu as 5 secondes pour répondre… »
C’est alors sans bien réfléchir, seulement guidé par ma libido en ébullition que je réponds un oui franc et massif.
« Excellent » me répondit-elle.
« Voyons ce que j’ai dans mon sac à malice, pour toi, Mis à part ces sandales brillantes en pointure 43, que je tiens d’un ancien soumis, qui par chance fait ta pointure, tout le reste fait partie de lingeries et vêtements laissés par mon ancienne soumise de 35 ans, une vraie femme eh oui ! »
Mais comment savait-elle ma pointure ? Je commençais à me dire que Maitresse Paloma, me connaissais mieux que je ne le pensais.
Supprimé
« Je te vois étonnée ma petite chérie mais sache que je sais tout de toi, par ta mère, où tu vis, ta pointure, tes mensurations, tour de poitrine, tour de taille et de cuisses. Ta mère et moi sommes devenues complices malgré la relation de soumission/domination qui nous lie et elle m’a parlé de son gentil fils, qui ne mérite pas ce qui lui arrive, qui a dû arrêter ses études, qui n’a plus d’amis, ni de copines, tu étais la candidate idéale pour une maitresse comme moi. »
« Tiens mets ça… »
Supprimé
Elle me tend alors un élégant soutien-gorge et une sorte de push up qui fais remontre la poitrine avec une forme qui s’insère dans les bonnets, me voilà affublé d’un 90 bonnet B.
Supprimé
Je ne bataille pas trop à le mettre, j’ai l’habitude j’avais déjà porté de la lingerie plus jeune.
« Voyons, tiens cette petite nuisette toute simple, en satin fera l’affaire pour le haut »
Supprimé
Ensuite je récupérait une paire de bas auto-fixant, un shorty blanc avec un nœud rose sur le cul ainsi que les fameuses sandales brillantes.
Supprimé
« Voilà qui commence à prendre tournure, mais il manque l’essentiel, je ne vais pas me lancer dans des heures de maquillage avec toi, après tout, les hommes ne voudront qu’une chose c’est te baiser le cul ! Alors je vais te faire porter, en plus de cette perruque, un loup et sa mantille, tu vas être parfaite et féminine à souhait ».
J’ajustais donc ce loup, avec son lien derrière ma tête puis j’enfilais la perruque, un joli carré, brune, à la Uma Thurman dans pulp fiction.
Supprimé
« Tu es presque parfaite, une vraie petite pute mais il manque de jolis atours, rien de mieux que quelques bijoux pour rendre une femme attirante en particulier une chaine de cheville. »
Ma Maitresse ouvre alors un coffret en bois et en sort des bracelets brillants, un gros collier de perle et la fameuse chaine de cheville qui fait si salope dans l’imaginaire des hommes.
« Regarde-toi ma petite dans le miroir tu es splendide ! Allex viens voir… »
J’avoue que je ressens une bouffée de chaleur à mon entre jambes et une moiteur au niveau de mon cul en me contemplant dans ce psyché, j’étais vraiment bandante. D’ailleurs, Allex en entrant dans la pièce venant de la cuisine avec son tablier eut une réaction sans équivoque, il bandait, je voyais le tablier se soulever à l’entrejambe ! Malheureusement pour lui sa femme le vit et lui asséna une violente gifle pour le dégriser.
« Mais Paloma, elle ressemble tellement à Domitille, la petite bourgeoise, qui nous sert de voisine, cette ancienne noble, qui nous prend de haut ! »
« Tu as raison, Allex, je n’y avais pas pensé, tu lui ressemble chérie, en plus comme elle tu es une bourgeoise désargentée, voilà qui est dit tu ne seras pas Domitille mais DAmitille, dorénavant. Te voici baptisée par ta Maitresse et devant son mari. Qu’il en soit ainsi. »
Ma vie de femme venait de commencer et celle de lopette homme, de s’achever.
J’étais dorénavant Damitille Limousin, la salope femelle de ce couple. A n’en pas douter, de nombreuses aventures m’attendent.
A suivre…
il y a 4 ans