Fellation :
Fellation : (version n°2)
Tout d’abord avant que je ne prenne totalement conscience de ma nature de trans il me faut vous dire que la fellation en tant que « passif » c'est-à-dire porteur d’un sexe masculin ayant des pratiques hétéro ne m’a jamais apporté de plaisir. J’ai toujours ressentis une certaine gène. Alors que pratiquer des caresses buccales à ma partenaire féminine m’en apportait beaucoup beaucoup plus. Prendre du plaisir en donnant du plaisir à toujours été inscrit dans mon ADN même si ce dernier m’était inconnu.
Un trans/trav faisant une fellation à un autre trans/trav est hors mon monde.
Cette gène s’est avérée moins importante lorsque en position de 69 je me fixais comme objectif de lui apporter du plaisir beaucoup de plaisir. Un plaisir à lui faire abandonner la fellation que de toutes évidences je subissais par convenance.
C’est donc comme « actif » dans la fellation que mes expériences m'ont apporté du plaisir. Je n’ai jamais pratiqué en tant qu’homme à un autre homme. Et je ne parlerais pas ici des fellations faites à une prothèse phallique introduite dans le vagin d’une femme bio. Je n’ai jamais été certaine que le plaisir affiché n’était pas feint. A ces dires non mais jusqu’où va l’amour ?
La première fois un jeune homme de mon âge rencontré sur un site du minitel (l’ancêtre du web) spécialisés dans le SM. Il s’est présenté comme « domi » et moi comme « soumise » ce sont les dénominations de l’époque. Les travesties/trans étaient avant tout des soumis féminisable parce que soumis. Moi cette féminisation ne m’était pas imposée je l’attendais je la souhaitais je l’anticipais.
Il était tendu nous étions chez lui. Il m’a fait me déshabiller pour que je m’expose en sous vêtements. Je m’étais préparé à cette scène. Je portais une culotte porte jarretelle assez haute avec des baleines et à l’arrière une ficelle string. J’adorais cette culotte. Nous étions face à face il a pris ma tète et à dirigé mon visage à hauteur de sa verge. Je me suis mise à genoux. Il a ouvert débouclé sa ceinture à baissé quelque peu son pantalon et à sorti son sexe. J’ai pris sa verge en main. Les yeux baissés. J’ai œuvré sans aucun commentaire de sa part. Cela c’est passé comme dans un éclair enfin assez vite. Ce que je n’ai vu qu’au moment ou il s’est rhabillé c’est qu’il portait lui aussi un porte jarretelle et des bas.
Il y a pris du plaisir (je suppose) mais moi je n’étais pas totalement satisfaite de mon exercice. Je ne me rappel plus la fin de cette séquence ni de la fin de la relation. Sauf qu’il m’a demandé de conserver une valise pleine de ses sous vêtement. Je les ai jeté des mois après sans nouvelle de lui.
A plusieurs reprises j’ai pu pratiquer mais sur des partenaires occasionnels, ce qui est assez frustrant en cela que je n’ai pu m’adapter aux désirs de l’autre.
La rapidité « Faire une pipe » ne me dérange en rien si cela est le désir du moment de mon partenaire, mais de longues fellations répétées avec un même partenaire permettent un apprentissage du plaisir de l’autre.
Lors de ces pipes je m’y serais mal prise ? C’est peu être ma fellation rapide qui les a fait ne pas renouveler ne pas poursuivre la relation. A moins que, après avoir jouit ils se soient sentis penaud de ne pas aller plus avant ? De ne pas assurer ? Égoïste ? Dommage pour eux si c’est le cas tout est entendable. S’ils ont jouis je suis satisfaite. Nous aurions pu vivre plus et mieux. J’aime à apprendre de l’autre.
La rapidité de l’instant, l’éjaculation rapide, l’absence d’échanges de « suivi » ont toujours été très frustrante.
Je n’ai que trop peu de fois à mon goût pu faire s’élever une verge, le plus souvent l’érection est presque a son comble avant mon intervention.
Le faire a un partenaire endormie, sachant qu’il le désire, voila un vraie moment de plaisir pour moi.
La fellation devrait être une mise en condition une façon de se présenter de se reconnaître une entrée en matière dune introduction au présent à la personne. Une fellation comme un hommage une entrée en matière, une révérence.
J’aime être guidée par le plaisir lu dans les yeux ou par une main ferme m’imposant un rythme une façon de faire. Ce qui n’exclus pas la douceur du geste sauf que bien souvent …… Une fellation est vécu comme sans futur sans suite. Pour moi a priori il y en aura d’autres elles seront mieux.
Les fellations ou les mains préparent approchent anticipent la bouche les lèvres la langue. Puis sentir ma langue parcourant le gland pour remonter sur l’urètre, mes lèvres passant du gland à la verge restent des moments d’extrême jouissance. Manipuler caresser avec ses lèvres sa langue des bourses si fragiles.
Avaler, l’effet de surprise passé avaler n’est pas pour moi le plus grand moment sauf à voir mon partenaire s’en satisfaire, y prendre du plaisir.
Recevoir sur le visage ou ailleurs le sperme encore chaud en lisant dans les yeux de l’autre un peu de mépris et non le plaisir brut me frustre un peu. En fait aucun homme ne m’a parler de ce besoin à voir son sperme sur le corps de l’autre. Le voit il systématiquement souillé de sa semence ou embellie de cette dernière ?
Il n’y a pas une fellation. Il y a un partenaire, une verge, un moment d’une relation, un lieu ses désirs ses fantasmes qui la définisse.
Tout existe tout est possible seule le plaisir de l’autre est mon guide. D’autant que l’autre n’est pas forcément le bénéficiaire de la fellation il peut être le commanditaire.
Le plaisir de l'autre qui décuplera le mien.
Mes galeries offrent quelques plaisirs pris par procuration en lieu et place des actives qui font de splendides fellations. Ou leurs plaisirs sont visibles dans leurs yeux. Ou le plaisir des passifs n’est pas vu, ce qui est souvent le cas. J’ai écris mon ressenti à regarder ces vidéos dans un texte déposé ici.
Elsa
Tout d’abord avant que je ne prenne totalement conscience de ma nature de trans il me faut vous dire que la fellation en tant que « passif » c'est-à-dire porteur d’un sexe masculin ayant des pratiques hétéro ne m’a jamais apporté de plaisir. J’ai toujours ressentis une certaine gène. Alors que pratiquer des caresses buccales à ma partenaire féminine m’en apportait beaucoup beaucoup plus. Prendre du plaisir en donnant du plaisir à toujours été inscrit dans mon ADN même si ce dernier m’était inconnu.
Un trans/trav faisant une fellation à un autre trans/trav est hors mon monde.
Cette gène s’est avérée moins importante lorsque en position de 69 je me fixais comme objectif de lui apporter du plaisir beaucoup de plaisir. Un plaisir à lui faire abandonner la fellation que de toutes évidences je subissais par convenance.
C’est donc comme « actif » dans la fellation que mes expériences m'ont apporté du plaisir. Je n’ai jamais pratiqué en tant qu’homme à un autre homme. Et je ne parlerais pas ici des fellations faites à une prothèse phallique introduite dans le vagin d’une femme bio. Je n’ai jamais été certaine que le plaisir affiché n’était pas feint. A ces dires non mais jusqu’où va l’amour ?
La première fois un jeune homme de mon âge rencontré sur un site du minitel (l’ancêtre du web) spécialisés dans le SM. Il s’est présenté comme « domi » et moi comme « soumise » ce sont les dénominations de l’époque. Les travesties/trans étaient avant tout des soumis féminisable parce que soumis. Moi cette féminisation ne m’était pas imposée je l’attendais je la souhaitais je l’anticipais.
Il était tendu nous étions chez lui. Il m’a fait me déshabiller pour que je m’expose en sous vêtements. Je m’étais préparé à cette scène. Je portais une culotte porte jarretelle assez haute avec des baleines et à l’arrière une ficelle string. J’adorais cette culotte. Nous étions face à face il a pris ma tète et à dirigé mon visage à hauteur de sa verge. Je me suis mise à genoux. Il a ouvert débouclé sa ceinture à baissé quelque peu son pantalon et à sorti son sexe. J’ai pris sa verge en main. Les yeux baissés. J’ai œuvré sans aucun commentaire de sa part. Cela c’est passé comme dans un éclair enfin assez vite. Ce que je n’ai vu qu’au moment ou il s’est rhabillé c’est qu’il portait lui aussi un porte jarretelle et des bas.
Il y a pris du plaisir (je suppose) mais moi je n’étais pas totalement satisfaite de mon exercice. Je ne me rappel plus la fin de cette séquence ni de la fin de la relation. Sauf qu’il m’a demandé de conserver une valise pleine de ses sous vêtement. Je les ai jeté des mois après sans nouvelle de lui.
A plusieurs reprises j’ai pu pratiquer mais sur des partenaires occasionnels, ce qui est assez frustrant en cela que je n’ai pu m’adapter aux désirs de l’autre.
La rapidité « Faire une pipe » ne me dérange en rien si cela est le désir du moment de mon partenaire, mais de longues fellations répétées avec un même partenaire permettent un apprentissage du plaisir de l’autre.
Lors de ces pipes je m’y serais mal prise ? C’est peu être ma fellation rapide qui les a fait ne pas renouveler ne pas poursuivre la relation. A moins que, après avoir jouit ils se soient sentis penaud de ne pas aller plus avant ? De ne pas assurer ? Égoïste ? Dommage pour eux si c’est le cas tout est entendable. S’ils ont jouis je suis satisfaite. Nous aurions pu vivre plus et mieux. J’aime à apprendre de l’autre.
La rapidité de l’instant, l’éjaculation rapide, l’absence d’échanges de « suivi » ont toujours été très frustrante.
Je n’ai que trop peu de fois à mon goût pu faire s’élever une verge, le plus souvent l’érection est presque a son comble avant mon intervention.
Le faire a un partenaire endormie, sachant qu’il le désire, voila un vraie moment de plaisir pour moi.
La fellation devrait être une mise en condition une façon de se présenter de se reconnaître une entrée en matière dune introduction au présent à la personne. Une fellation comme un hommage une entrée en matière, une révérence.
J’aime être guidée par le plaisir lu dans les yeux ou par une main ferme m’imposant un rythme une façon de faire. Ce qui n’exclus pas la douceur du geste sauf que bien souvent …… Une fellation est vécu comme sans futur sans suite. Pour moi a priori il y en aura d’autres elles seront mieux.
Les fellations ou les mains préparent approchent anticipent la bouche les lèvres la langue. Puis sentir ma langue parcourant le gland pour remonter sur l’urètre, mes lèvres passant du gland à la verge restent des moments d’extrême jouissance. Manipuler caresser avec ses lèvres sa langue des bourses si fragiles.
Avaler, l’effet de surprise passé avaler n’est pas pour moi le plus grand moment sauf à voir mon partenaire s’en satisfaire, y prendre du plaisir.
Recevoir sur le visage ou ailleurs le sperme encore chaud en lisant dans les yeux de l’autre un peu de mépris et non le plaisir brut me frustre un peu. En fait aucun homme ne m’a parler de ce besoin à voir son sperme sur le corps de l’autre. Le voit il systématiquement souillé de sa semence ou embellie de cette dernière ?
Il n’y a pas une fellation. Il y a un partenaire, une verge, un moment d’une relation, un lieu ses désirs ses fantasmes qui la définisse.
Tout existe tout est possible seule le plaisir de l’autre est mon guide. D’autant que l’autre n’est pas forcément le bénéficiaire de la fellation il peut être le commanditaire.
Le plaisir de l'autre qui décuplera le mien.
Mes galeries offrent quelques plaisirs pris par procuration en lieu et place des actives qui font de splendides fellations. Ou leurs plaisirs sont visibles dans leurs yeux. Ou le plaisir des passifs n’est pas vu, ce qui est souvent le cas. J’ai écris mon ressenti à regarder ces vidéos dans un texte déposé ici.
Elsa
il y a 4 ans
