Sur une aire d'autoroute
J'ai repris, de mon ancien profil, le récit de cette expérience vraie qui m'a beaucoup aidé depuis. Je m'autorise à faire ce dont j'ai envie dans le respect des uns et des autres.
Malgré mon âge, je continue à avoir des besoins sexuels qui se sont toujours tournés vers les femmes. Mais n’ayant plus que ma main pour me satisfaire, je me suis tourné également vers les plaisirs entre hommes limités jusqu’à ce jour à celui de temps à autre de sucer et branler des bites en sex-shop.
Dernièrement, je m’étais arrêté, sur une aire d’autoroute sans aucune autre intention que celle de me fumer une clope. Elle était déserte. Seule une voiture isolée était arrêtée.
Après avoir allumé ma clope, je suis passé près de la voiture. Un homme de mon âge voire plus était au volant et nos regards se sont croisés un bref instant.
Alors que je m’étais rapproché des toilettes, je me suis aperçu que de sa voiture à une quinzaine de mètres de là où j’étais, il tournait la tête régulièrement vers moi.
Au début, sans l’interpréter, l’image du sex-shop où je vais de temps en temps m’est alors revenue et j’ai moi-même plusieurs fois tourné la tête vers lui.
Nous avions l'un et l'autre des envies communes à partager!
A la fin de ma clope, je me suis dirigé vers les WC hommes en regardant vers la voiture. Une fois à l'intérieur je n'ai pas eu à attendre longtemps pour entendre le claquement de la portière et le bruit des fermetures automatiques.
J’étais debout en face de l’urinoir, la bite sortie quand il est entré. Sans réfléchir, j’ai reculé un peu et me suis tourné légèrement vers lui ma bite à la main.
Je pensais encore à ce moment qu’on allait seulement se mater chacun de son côté. Il se rapprocha tout de suite et me dit : « tu veux que je te masturbe ? ». Pour seule réponse je lui dis : « Tu sais, je me suis branlé ce matin, je ne pense pas que j’aurai envie de nouveau » (et c’était vrai, enfin … encore vrai à ce moment).
A ce moment je sentis sa main fraîche se saisir de ma bite en disant : « C’est dommage, j’aurais pu te faire jouir ».
- Mais moi je peux te branler si tu en as envie » lui dis-je.
Tout en me branlant, il me répondit : « je ne bande plus depuis que j’ai été opéré »
Moi : « mais juste pour le plaisir, tu ne veux pas ? »
Lui en mettant de la salive sur mon gland : « Non, ce n’est pas la peine »
Et là je me suis laissé faire et, miracle, je commençai à bander !
Il me branla vigoureusement, remettant de la salive pour faire mieux glisser sa main sur mon gland et ma bite entière.
Il lui a fallu peu de temps pour me mettre en érection.
« Tu vas me faire jouir, je crois ! »
Il sourit en changeant de main pour se mettre légèrement de côté et en arrière pour me branler de sa main gauche comme si c’était la mienne.
- « Je vais jouir »
On s’approcha ensemble face à l’urinal, moi tenant ma veste relevée, lui légèrement penché à regarder le résultat qui ne se fit plus attendre.
Il continua encore un peu à me branler après que j’ai eu éjaculé avec du sperme plein la main jusqu’à mes derniers spasmes.
Une fois fini, il se prit du papier qu’il avait dans la poche pour s’essuyer les mains pendant que j’essuyais moi-même ma bite avant de me rhabiller.
Pendant qu’il se lavait les mains au robinet :
- J’aime bien faire plaisir depuis que je ne peux plus moi-même.
- C’est la première fois qu’on me fait ça, ce n’est vraiment pas désagréable.
Nous sommes sortis ensemble des WC et avons fumé une clope en échangeant sur nos vies respectives.
Une voiture est arrivée à ce moment…. La vie sociale reprenait la main !
On s’est quitté l’un et l’autre en se disant au revoir. Et j’avoue que j’aimerais revenir au même endroit et à la même heure une autre fois pour le revoir!
Question !
Pourquoi est-ce si simple entre hommes et si difficile entre hommes et femmes ?
« J’aime bien faire plaisir » Sa phrase m’a touché !
C’est vrai que moi-même, cela m’excite de faire plaisir en branlant des hommes ; mais lui n’avait même plus la réaction physique que j’ai.
Il l’a réellement fait que pour ça.
Cette expérience, je l’ai vécue il y a un an, en mars 2018.
Depuis, j’y suis retourné bien sûr de temps en temps et à chaque fois j’ai rencontré un homme à qui j’ai pu proposer à mon tour une séance de masturbation ou une fellation.
Je m’aperçois que beaucoup d’hommes sont dans la même situation que moi : nos femmes n’ayant plus d’intérêt pour nos sexes, nous nous retrouvons à nous soutenir ensemble ! Et c’est loin d’être désagréable.
Malgré mon âge, je continue à avoir des besoins sexuels qui se sont toujours tournés vers les femmes. Mais n’ayant plus que ma main pour me satisfaire, je me suis tourné également vers les plaisirs entre hommes limités jusqu’à ce jour à celui de temps à autre de sucer et branler des bites en sex-shop.
Dernièrement, je m’étais arrêté, sur une aire d’autoroute sans aucune autre intention que celle de me fumer une clope. Elle était déserte. Seule une voiture isolée était arrêtée.
Après avoir allumé ma clope, je suis passé près de la voiture. Un homme de mon âge voire plus était au volant et nos regards se sont croisés un bref instant.
Alors que je m’étais rapproché des toilettes, je me suis aperçu que de sa voiture à une quinzaine de mètres de là où j’étais, il tournait la tête régulièrement vers moi.
Au début, sans l’interpréter, l’image du sex-shop où je vais de temps en temps m’est alors revenue et j’ai moi-même plusieurs fois tourné la tête vers lui.
Nous avions l'un et l'autre des envies communes à partager!
A la fin de ma clope, je me suis dirigé vers les WC hommes en regardant vers la voiture. Une fois à l'intérieur je n'ai pas eu à attendre longtemps pour entendre le claquement de la portière et le bruit des fermetures automatiques.
J’étais debout en face de l’urinoir, la bite sortie quand il est entré. Sans réfléchir, j’ai reculé un peu et me suis tourné légèrement vers lui ma bite à la main.
Je pensais encore à ce moment qu’on allait seulement se mater chacun de son côté. Il se rapprocha tout de suite et me dit : « tu veux que je te masturbe ? ». Pour seule réponse je lui dis : « Tu sais, je me suis branlé ce matin, je ne pense pas que j’aurai envie de nouveau » (et c’était vrai, enfin … encore vrai à ce moment).
A ce moment je sentis sa main fraîche se saisir de ma bite en disant : « C’est dommage, j’aurais pu te faire jouir ».
- Mais moi je peux te branler si tu en as envie » lui dis-je.
Tout en me branlant, il me répondit : « je ne bande plus depuis que j’ai été opéré »
Moi : « mais juste pour le plaisir, tu ne veux pas ? »
Lui en mettant de la salive sur mon gland : « Non, ce n’est pas la peine »
Et là je me suis laissé faire et, miracle, je commençai à bander !
Il me branla vigoureusement, remettant de la salive pour faire mieux glisser sa main sur mon gland et ma bite entière.
Il lui a fallu peu de temps pour me mettre en érection.
« Tu vas me faire jouir, je crois ! »
Il sourit en changeant de main pour se mettre légèrement de côté et en arrière pour me branler de sa main gauche comme si c’était la mienne.
- « Je vais jouir »
On s’approcha ensemble face à l’urinal, moi tenant ma veste relevée, lui légèrement penché à regarder le résultat qui ne se fit plus attendre.
Il continua encore un peu à me branler après que j’ai eu éjaculé avec du sperme plein la main jusqu’à mes derniers spasmes.
Une fois fini, il se prit du papier qu’il avait dans la poche pour s’essuyer les mains pendant que j’essuyais moi-même ma bite avant de me rhabiller.
Pendant qu’il se lavait les mains au robinet :
- J’aime bien faire plaisir depuis que je ne peux plus moi-même.
- C’est la première fois qu’on me fait ça, ce n’est vraiment pas désagréable.
Nous sommes sortis ensemble des WC et avons fumé une clope en échangeant sur nos vies respectives.
Une voiture est arrivée à ce moment…. La vie sociale reprenait la main !
On s’est quitté l’un et l’autre en se disant au revoir. Et j’avoue que j’aimerais revenir au même endroit et à la même heure une autre fois pour le revoir!
Question !
Pourquoi est-ce si simple entre hommes et si difficile entre hommes et femmes ?
« J’aime bien faire plaisir » Sa phrase m’a touché !
C’est vrai que moi-même, cela m’excite de faire plaisir en branlant des hommes ; mais lui n’avait même plus la réaction physique que j’ai.
Il l’a réellement fait que pour ça.
Cette expérience, je l’ai vécue il y a un an, en mars 2018.
Depuis, j’y suis retourné bien sûr de temps en temps et à chaque fois j’ai rencontré un homme à qui j’ai pu proposer à mon tour une séance de masturbation ou une fellation.
Je m’aperçois que beaucoup d’hommes sont dans la même situation que moi : nos femmes n’ayant plus d’intérêt pour nos sexes, nous nous retrouvons à nous soutenir ensemble ! Et c’est loin d’être désagréable.
il y a 5 ans
Les femmes peuvent vite s'en lasser. Et c'est normal!
Alors que nous, on y va pour ça justement!
C'est une expérience vraie de bout en bout qui m'a fait découvrir que, faute d'une femme avec qui je pourrais satisfaire mes besoins, "branler une bite" est une affaire trop sérieuse pour penser qu'on ne peut la confier qu'aux femmes.
Dernièrement, je suis allé voir une escorte. Je ne le regrette pas, ne serait-ce que pour le plaisir de lui avoir patouillé les seins. Mais le seul objectif de faire son job (me faire juter) enlevait tout le côté plaisir d'être touché.
Si depuis, il m'arrive d'y aller exprès - ce n'est pas une autoroute payante- , et pas seulement de m'y arrêter en passant, je rencontre plus facilement des hommes de mon âge pour les branler ou les sucer que l'inverse.
Je n'éprouve pas d'envie pour le corps des hommes mais plutôt du dégoût à l'idée de faire plus que beaucoup souhaitent. On ne se refait pas dans son orientation sexuelle!
Se retrouver à deux soit debout devant les pissotières quand il n'y a pas d'usagers (W-e, périodes de vacances scolaires ... s'abstenir) ou dans les WC fermées pour se branler mutuellement peut se faire simplement sans rien dire.
Cela demande de rester à l'arrêt un peu plus que le simple temps ... d'aller vraiment pisser!
Repérer la voiture avec un seul homme dedans et stationnée de telle façon qu'il puisse observer les allées et venues vers les toilettes.
Rester debout vers leur entrée en regardant dans sa direction.
Moi j'ai toujours la main gauche dans la poche et je me masturbe ostensiblement (quand lui seul peut me voir). Souvent, cela suffit pour qu'il sorte et ferme sa voiture.
Regarder autour pour voir si on n'est pas observé.
Se retrouver, en fonction du monde ou pas, soit juste aux pissotières soit dans les WC fermés.
Après c'est selon les envies de chacun!
Ce que j'ai remarqué, c'est que beaucoup, une fois que c'est fait, repartent tout de suite comme si on avait fait quelque chose de mal alors que finalement on s'est fait du bien mutuellement!
Il vaut mieux ça que de se taper sur la gueule, non?
C'est pour moi le plaisir de sucer et de faire jouir. Plaisir que je ne connaissais pas plus jeune.
Pour le plaisir de jouir (se faire sucer ou se faire masturber) je me suis payé récemment les services d'une jeune femme de la trentaine pour me branler. Certes, je préfère la main d'une femme mais ce n''est pas pour autant mieux fait!
Et en plus, entre hommes c'est gratuit!
Soit on y va pour jouir soi-même, soit on y va pour faire jouir: on trouvera toujours une main ou une bouche complice et c'est du donnant-donnant. C'est notre côté simplicité à nous les hommes: on sait que c'est toujours le bon moment!
Alors qu'avec les femmes, avec qui je préfèrerais profiter de ce genre de situations, c'est souvent accompagné du mot de trop: Encore? ... Pas maintenant! ... Attends! ... Je suis occupée ....
Bref, moins opérationnelle! Mais bon, on ne peut pas tout avoir.
J'y suis encore allé la semaine dernière sur cette aire d'autoroute et j'ai pris le plaisir des deux extrêmes: une petite bite qui a joui assez rapidement dans ma bouche et une plus grosse qui a eu besoin de beaucoup, beaucoup plus de temps.
Et ce qui est bien c'est qu'entre hommes, on ne sent pas gêné.