Mon retour à la vie avec Ron
Je suis gay et j’ai 42 ans, Je m’appelle Jean, je n’ai plus de relation depuis quelques années. Je suis un peu rondelet mais pas trop.
Cette fin de semaine il y avait une sortie entre collègues pour fêter la naissance d’un enfant, nous étions invités dans un petit restaurant près du travail. Nous passons une magnifique soirée entre collègues, nous buvons à la santé du nouveau-né.
Un des serveurs, que je vis me semblait très mignon. Ce serveur est un peux efféminé mais pas trop, il me plaît beaucoup. Je l’ai mâté toute la soirée, vraiment mignon !
Nous finissons les derniers verres, avec les collègues. Nous payons, et, avant de dire au revoir à mes collègues, je décidai de passer au WC, j’entre dans ceux-ci, je me dirige vers les urinoirs, je commence à pisser, au même moment la porte des cabinets de toilette s’ouvre, le serveur entra, Il est vraiment à mon goût, la trentaine, pas trop musclé, il a l’air, avec ses habits de services bien proportionné. Nous nous saluons, en pissant, je devinai qu’il était gay, pendant qu’il sort son matériel pour pisser, je lui lâche un : tu es mignon ! Il me répond : t’es pas mal non plus!
Définitivement nous nous plaisons ! J’avais vraiment envie de continuer de parler et de passer du temps avec lui. Tout en finissant de pisser, dare-dare, je me présente, je lui dis que je m’appelle Jean, Il me dit qu’il s’appelle Ron, en me lavant les mains je lui demande quand il termine son travail, il me répondit qu’il termine dans un quinzaine de minutes, et, que nous pourrions passer le reste de la soirée ensemble. Trop cool, je me dis, je vais l’attendre dehors en tout en disant au revoir à mes collègues.
Une petite quinzaine de minutes plus tard Ron sorti du restaurant, avec un grand sourire, moi aussi je me suis mis à sourire en le voyant ! Plus il approchait, plus mon sourire devenait large. Il me dit : vient ! On va aller se promener ! Pendant la promenade, nous parlons de tout et de rien, nous parlons de ses anciens amis et moi des miens, bref une discussion tout à fait banale.
Sur le chemin de son retour, qui étais aussi le mien, au coin d’une rue je me mis face à lui, nous sommes de la même taille, je le regarde, à l’intérieur de moi je me suis dit qu’il fallait que je l’embrasse ! Sans aucuns mots, nous nous regardons et la magie de Cupidon frappa, nous nous embrassâmes, chacun de nous deux avait envie de continuer de s’embrasser plus intensément.
Nous nous serrâmes dans les bras pour mieux nous embrasser, à la vue de tout le monde ! Quel Bonheur ! Nos langues tournèrent et tournèrent dans nos bouches respectives, personnellement, dans mon pantalon cela commençait à bander sec. Je lui posai mes mains sur ses fesses, il posa aussi les siennes sur le miennes afin que nos bas ventres se rapprochent. Je pouvais sentir, malgré ma trique qu’il bandait tout autant que moi. Quel signe ! Il fallait absolument continuer ce moment de bonheur. Je lui dis que mon appartement est à une petite dizaine de minutes à pieds, il me dit que le siens étais tout aussi près !
Lequel choisir, il me donna son adresse, c’était à deux rues de chez moi, je lui proposai de monter chez moi, l’appartement étais plus près ! il a, sans hésité, accepté la proposition. Pendant notre retour, nous marchons côtes-à-côtes, nous nous frôlons les mains, nos regards se croisèrent de plus en plus, je ressentais pour la première fois depuis quelques années du bonheur, je luis dis mon ressentis, il me dit qu’il se sent bien avec moi.
Une fois arrivé dans mon appartement, un appartement moderne sans trop de fioritures, je le débarrasse de sa veste, nous ôtons aussi les chaussures. Nos regards se croisèrent, nous nous approchons, nous nous embrassâmes goulûment. Nos langues jouent au manège dans nos bouches respectives, Comme auparavant, je mis mes mains sur ses fesses et il mit les siennes sur les miennes. Je sentis dans son pantalon que sa bite commençait à se réveiller, cela m’excitait de plus en plus, ma bite suivi le mouvement rapidement. Je glissai mes mains sur ses hanches afin de lui ôter son tee-shirt, il fit de même avec moi, nous découvrons nos corps respectifs, le mien un peux enrobé, le sien très bien dessiné, il n’est pas maigre non plus, bref, un torse comme je les aime avec peu de poils. J’embrasse sa poitrine, tout en caressant son pantalon, il triquait, moi aussi je triquais à fond, l’envie étais là, je lui déboutonnai son pantalon et il le laissa tomber sur le sol, il fit de même avec le mien.
Tous les deux en caleçons nous continuons à nous embrasser, quel bonheur ! Face-à-face nous jouons avec nos sexes enfermés dans nos caleçons, on n’avait toujours pas découvert notre anatomie ! cette fois-ci je mis mes mains dans son slip australien, je suis caressait directement ses fesses, il fit de même, ce fût fort, nos mains se baladèrent de haut en bas, je descendit son caleçon de moitié pour libérer son membre, quel joli sexe, un bite bien dure avec des couilles bien pendantes, un sexe non circoncit, comme je les aime, pubis pas rasé, bref que du naturel, il découvrit le mien, pareil au sien, je ne suis pas circoncit, pas rasé, la bite bien dure nos longueur sont assez semblable, j’en ai une plus épaisse que la sienne.
Avec une telle excitation, nous nous saisissons de nos membres, il commence à me branler, je fît de même avec sa bitte ! assez rapidement nous nous dirigeons vers le canapé, assis côte-à-côte, nous nous branlons mutuellement, que du bonheur, je l’embrasse, je lui mordille les tetons, je continue de l’embrasser jusque à son bas ventre, tous en le branlant ! Cela faisait longtemps que je n’avais pas fait cela et, je prenais mon pied à le faire. Sa bite était déjà mouillée par l’excitation, je commençais à jouer avec sa mouille, je le décalottai, approcha ma langue est, je commençais à sucer sa bite, c’était bon ! par ces gémissements, il prenait du plaisir. Il me retient, et su fût à son tour de rendre l’appareil, il me prit ma bite, qui elle entre temps étais aussi mouillée, Il décalotta mon gland et commença à jouer avec sa langue, tournoyant autour du gland, je prenais mon pied, je lui propose un soixante-neuf, je me couchai sur le dos, il me glissa son membre dans la bouche, nous nous pompons mutuellement. Mes mains sur ses fesses, avec un de mes doigt, j’essayais de masser sa petite rondelle.
Pendant que je massais son cul, son excitation étais à son comble, j’essayais rentrer un doigt dans son cul, il poussa un gémissement tout en me pompant ma queue. Sa respiration devenait de plus en plus saccadée, et, lors du début de la pénétration dans son cul je sentis sa bite gonfler dans ma bouche, je continuai à le masser, il cracha sans retenue son jus dans ma bouche ! J’avalas son sperme et je continuais à le pomper pour nettoyer sa foutre. Il se leva, me regarda dans les yeux ! Il n’y avait pas besoin de traduction, il avait pris son pied ! Il me glisse dans l’oreille ! A ton tour maintenant !
Je m’assis, il se mit à genou devant moi, il écarta mes jambes, ma bite raide, il a commencé par me lustrer les boules, puis avec sa langue experte il monta le long de ma bite ! Il me décalotta, avec sa langue, il jouait sur mon gland. Je prenais mon pied, il continua à me pomper, mais mon excitation était aussi à son comble, je lui lâche mon sperme sur sa figure, il me prit encore une fois ma bite dans sa bouche pour commencer à me la nettoyer.
Que du plaisir cette première rencontre!
Cette fin de semaine il y avait une sortie entre collègues pour fêter la naissance d’un enfant, nous étions invités dans un petit restaurant près du travail. Nous passons une magnifique soirée entre collègues, nous buvons à la santé du nouveau-né.
Un des serveurs, que je vis me semblait très mignon. Ce serveur est un peux efféminé mais pas trop, il me plaît beaucoup. Je l’ai mâté toute la soirée, vraiment mignon !
Nous finissons les derniers verres, avec les collègues. Nous payons, et, avant de dire au revoir à mes collègues, je décidai de passer au WC, j’entre dans ceux-ci, je me dirige vers les urinoirs, je commence à pisser, au même moment la porte des cabinets de toilette s’ouvre, le serveur entra, Il est vraiment à mon goût, la trentaine, pas trop musclé, il a l’air, avec ses habits de services bien proportionné. Nous nous saluons, en pissant, je devinai qu’il était gay, pendant qu’il sort son matériel pour pisser, je lui lâche un : tu es mignon ! Il me répond : t’es pas mal non plus!
Définitivement nous nous plaisons ! J’avais vraiment envie de continuer de parler et de passer du temps avec lui. Tout en finissant de pisser, dare-dare, je me présente, je lui dis que je m’appelle Jean, Il me dit qu’il s’appelle Ron, en me lavant les mains je lui demande quand il termine son travail, il me répondit qu’il termine dans un quinzaine de minutes, et, que nous pourrions passer le reste de la soirée ensemble. Trop cool, je me dis, je vais l’attendre dehors en tout en disant au revoir à mes collègues.
Une petite quinzaine de minutes plus tard Ron sorti du restaurant, avec un grand sourire, moi aussi je me suis mis à sourire en le voyant ! Plus il approchait, plus mon sourire devenait large. Il me dit : vient ! On va aller se promener ! Pendant la promenade, nous parlons de tout et de rien, nous parlons de ses anciens amis et moi des miens, bref une discussion tout à fait banale.
Sur le chemin de son retour, qui étais aussi le mien, au coin d’une rue je me mis face à lui, nous sommes de la même taille, je le regarde, à l’intérieur de moi je me suis dit qu’il fallait que je l’embrasse ! Sans aucuns mots, nous nous regardons et la magie de Cupidon frappa, nous nous embrassâmes, chacun de nous deux avait envie de continuer de s’embrasser plus intensément.
Nous nous serrâmes dans les bras pour mieux nous embrasser, à la vue de tout le monde ! Quel Bonheur ! Nos langues tournèrent et tournèrent dans nos bouches respectives, personnellement, dans mon pantalon cela commençait à bander sec. Je lui posai mes mains sur ses fesses, il posa aussi les siennes sur le miennes afin que nos bas ventres se rapprochent. Je pouvais sentir, malgré ma trique qu’il bandait tout autant que moi. Quel signe ! Il fallait absolument continuer ce moment de bonheur. Je lui dis que mon appartement est à une petite dizaine de minutes à pieds, il me dit que le siens étais tout aussi près !
Lequel choisir, il me donna son adresse, c’était à deux rues de chez moi, je lui proposai de monter chez moi, l’appartement étais plus près ! il a, sans hésité, accepté la proposition. Pendant notre retour, nous marchons côtes-à-côtes, nous nous frôlons les mains, nos regards se croisèrent de plus en plus, je ressentais pour la première fois depuis quelques années du bonheur, je luis dis mon ressentis, il me dit qu’il se sent bien avec moi.
Une fois arrivé dans mon appartement, un appartement moderne sans trop de fioritures, je le débarrasse de sa veste, nous ôtons aussi les chaussures. Nos regards se croisèrent, nous nous approchons, nous nous embrassâmes goulûment. Nos langues jouent au manège dans nos bouches respectives, Comme auparavant, je mis mes mains sur ses fesses et il mit les siennes sur les miennes. Je sentis dans son pantalon que sa bite commençait à se réveiller, cela m’excitait de plus en plus, ma bite suivi le mouvement rapidement. Je glissai mes mains sur ses hanches afin de lui ôter son tee-shirt, il fit de même avec moi, nous découvrons nos corps respectifs, le mien un peux enrobé, le sien très bien dessiné, il n’est pas maigre non plus, bref, un torse comme je les aime avec peu de poils. J’embrasse sa poitrine, tout en caressant son pantalon, il triquait, moi aussi je triquais à fond, l’envie étais là, je lui déboutonnai son pantalon et il le laissa tomber sur le sol, il fit de même avec le mien.
Tous les deux en caleçons nous continuons à nous embrasser, quel bonheur ! Face-à-face nous jouons avec nos sexes enfermés dans nos caleçons, on n’avait toujours pas découvert notre anatomie ! cette fois-ci je mis mes mains dans son slip australien, je suis caressait directement ses fesses, il fit de même, ce fût fort, nos mains se baladèrent de haut en bas, je descendit son caleçon de moitié pour libérer son membre, quel joli sexe, un bite bien dure avec des couilles bien pendantes, un sexe non circoncit, comme je les aime, pubis pas rasé, bref que du naturel, il découvrit le mien, pareil au sien, je ne suis pas circoncit, pas rasé, la bite bien dure nos longueur sont assez semblable, j’en ai une plus épaisse que la sienne.
Avec une telle excitation, nous nous saisissons de nos membres, il commence à me branler, je fît de même avec sa bitte ! assez rapidement nous nous dirigeons vers le canapé, assis côte-à-côte, nous nous branlons mutuellement, que du bonheur, je l’embrasse, je lui mordille les tetons, je continue de l’embrasser jusque à son bas ventre, tous en le branlant ! Cela faisait longtemps que je n’avais pas fait cela et, je prenais mon pied à le faire. Sa bite était déjà mouillée par l’excitation, je commençais à jouer avec sa mouille, je le décalottai, approcha ma langue est, je commençais à sucer sa bite, c’était bon ! par ces gémissements, il prenait du plaisir. Il me retient, et su fût à son tour de rendre l’appareil, il me prit ma bite, qui elle entre temps étais aussi mouillée, Il décalotta mon gland et commença à jouer avec sa langue, tournoyant autour du gland, je prenais mon pied, je lui propose un soixante-neuf, je me couchai sur le dos, il me glissa son membre dans la bouche, nous nous pompons mutuellement. Mes mains sur ses fesses, avec un de mes doigt, j’essayais de masser sa petite rondelle.
Pendant que je massais son cul, son excitation étais à son comble, j’essayais rentrer un doigt dans son cul, il poussa un gémissement tout en me pompant ma queue. Sa respiration devenait de plus en plus saccadée, et, lors du début de la pénétration dans son cul je sentis sa bite gonfler dans ma bouche, je continuai à le masser, il cracha sans retenue son jus dans ma bouche ! J’avalas son sperme et je continuais à le pomper pour nettoyer sa foutre. Il se leva, me regarda dans les yeux ! Il n’y avait pas besoin de traduction, il avait pris son pied ! Il me glisse dans l’oreille ! A ton tour maintenant !
Je m’assis, il se mit à genou devant moi, il écarta mes jambes, ma bite raide, il a commencé par me lustrer les boules, puis avec sa langue experte il monta le long de ma bite ! Il me décalotta, avec sa langue, il jouait sur mon gland. Je prenais mon pied, il continua à me pomper, mais mon excitation était aussi à son comble, je lui lâche mon sperme sur sa figure, il me prit encore une fois ma bite dans sa bouche pour commencer à me la nettoyer.
Que du plaisir cette première rencontre!
il y a 6 ans
