Collé à moi
Ce devait être l'un, voilà l'autre§ Alors que L. devait passer pour des retrouvailles très chaudes, son travail le retient! Oh nooonnn, trop déçue! Enfin non, pas trop, parce que, méfiante, j'avais pris un autre rdv pour 2 heures avant. Ah, tout s'enchaîne parfaitement... Non! Voilà que la femme de ménage prend son temps aujourd'hui... Sans honte, je me lave intégralement pendant qu'elle passe aspirateur et serpillère au rdc. Mais j'attends quand même son départ pour enfiler mes atours féminins et rassurer mon petit jeune qui poireaute dans sa voiture. Nothing is ever that simple! Mais en fait si: avec 30mn de retard dur l'horaire, une voiture se gare devant chez moi, et une grande blonde en minijupe et top noir moulant ouvre à une jeune inconnu, qui fait la moitié de mon âge.
Un gentleman: il m'a apporté de quoi boire! Surprise par l'énorme bouteille de coca, je le remercie quand même, touchée (déjà) par cette délicatesse. Debout derrière lui, vertigineuse sur mes talons aiguilles, je me colle à lui et le caresse: oui, j'ai un boulot hyper ennuyeux, du coup j'ai besoin de rencontrer des garçons comme toi, et de vivre des choses très intenses... c'est lui qui se colle à moi maintenant, et me caresse...
Dans ma chambre, rapidement, je tiens à déballer le paquet. Je m'attends à du bon, au vu des commentaires qu'il a reçus, je ne suis pas déçue. Longue, raide, intégralement lisse et douce, c'est un régal pour ma langue de s'égarer de ses couilles au bout de sa hampe, pour mes doigts de l'effleurer sensuellement pour, en douceur, la décalotter complètement, faire apparaître le gland, triomphal... et enfin, capote mise, pour la prendre en bouche.
Baskets, jean enlevés, le voilà à l'aise! A l'aise pour me baiser la bouche! Ah, je lui ai fait quelques gorges profondes, en douceur, mais voilà que sa verge s'enfonce jusqu'à mes profondeurs amygdalesques, coulissant librement, alors qu'il fait jouer ses reins et me tient la tête. Je m'étouffe un peu, reprends ma liberté... pour m'apercevoir que j'ai moi aussi une érection impressionnante! Quoiiii? Joana trahie par son corps? J'aimerais me faire baiser la bouche, tenir la nuque alors que je pensais que non? Je reprends la pose: le verdict est clair: plus il me soumet à sa tige, plus je bande! Voilà de quoi méditer ce soir au coin du feu, ma grande...
Au bout d'un moment, sucer, c'est bien joli, mais empoigner ses jolis testicules ronds ,s'y agripper, remonter toute la longueur de la hampe et avaler sa bite, ça m'enchante, mais je veux donner plus. Mieux. Plus profond.
Debout, appuyée au lit, bien visible dans le miroir, je le vois se mettre en position, et enfiler en douceur sa queue que je viens de sucer pendant un bon quart d'heure. Hmmm, c'est gros, c'est long, ça pousse et ça écarte, c'est aussi bon à voir qu'à sentir en moi. Et quand ça commence à entrer, à sortir, à imprimer à mon corps ce balancement si féminin, je suis fascinée. Mon reflet, sexy en diable, me le confirme: oui, un mec bande pour moi, me prend; me traite comme un femme. Mes hanches rondes, mes seins arrogants, mes beaux cheveux longs, ma taille fine, le "O" mauve sombre de mes lèvres. Voilà pour le visuel. Et dans mon petit cul: la défonce, franche et sauvage, d'un jeune infatigable: un sportif!
La levrette sur le lit, c'est bien. Mais si tu aimes le sport, faisons un peu d'équitation. Et me voilà assise sur lui, à me faire ramoner le cul par sa grosse bite, mon cul que je monte et descends rageusement sur son chibre, avant de crier grâce, quelle endurance il a, et de repasser à genoux entre ses cuisses.
Reprise en levrette, me voir ainsi sodomisée par cet homme m'excite trop: sous ses coups de bite, lentement, sûrement, ma verge gonfle, se lève, se tend, se raidit à nouveau. Doucement, doucement, je vais jouir, il se met au bon rythme, je cale mon cul pour le sentir au mieux taper où il faut, et lentement, du bout de mes doigts, je libère mon plaisir, longtemps, chaud, liquide, blanc alors que sa bite lime et ramone mon cul comme jamais!
Il continue, impitoyable, se couche sur moi, corps à corps sensuel, alors que les dernières ondes de plaisir me parcourent intégralement. Il passe ses mains sous mes bras, agrippe mes épaules, met sa bouche dans le creux de mon coup, et redouble de force et de vigueur entre mes fesses. Je suis pénétrée, offerte, prise, dominée, j'adore ça, je vais jouir, tu vas me faire jouir, ton cul est incroyable, et mes oreilles s'emplissent du cri de ce jeune inconnu qui s'abandonne au creux de mes reins sous mes encouragements, vas-y, vas-y, j'aime faire jouir les mecs avec mon cul, mets-moi tout, fais-moi le cul... alors que la puie tombe dans la froide grisaille de novembre, nous reprenons nos esprits. Toi mon grand, j'espère te revoir un jour!
Un gentleman: il m'a apporté de quoi boire! Surprise par l'énorme bouteille de coca, je le remercie quand même, touchée (déjà) par cette délicatesse. Debout derrière lui, vertigineuse sur mes talons aiguilles, je me colle à lui et le caresse: oui, j'ai un boulot hyper ennuyeux, du coup j'ai besoin de rencontrer des garçons comme toi, et de vivre des choses très intenses... c'est lui qui se colle à moi maintenant, et me caresse...
Dans ma chambre, rapidement, je tiens à déballer le paquet. Je m'attends à du bon, au vu des commentaires qu'il a reçus, je ne suis pas déçue. Longue, raide, intégralement lisse et douce, c'est un régal pour ma langue de s'égarer de ses couilles au bout de sa hampe, pour mes doigts de l'effleurer sensuellement pour, en douceur, la décalotter complètement, faire apparaître le gland, triomphal... et enfin, capote mise, pour la prendre en bouche.
Baskets, jean enlevés, le voilà à l'aise! A l'aise pour me baiser la bouche! Ah, je lui ai fait quelques gorges profondes, en douceur, mais voilà que sa verge s'enfonce jusqu'à mes profondeurs amygdalesques, coulissant librement, alors qu'il fait jouer ses reins et me tient la tête. Je m'étouffe un peu, reprends ma liberté... pour m'apercevoir que j'ai moi aussi une érection impressionnante! Quoiiii? Joana trahie par son corps? J'aimerais me faire baiser la bouche, tenir la nuque alors que je pensais que non? Je reprends la pose: le verdict est clair: plus il me soumet à sa tige, plus je bande! Voilà de quoi méditer ce soir au coin du feu, ma grande...
Au bout d'un moment, sucer, c'est bien joli, mais empoigner ses jolis testicules ronds ,s'y agripper, remonter toute la longueur de la hampe et avaler sa bite, ça m'enchante, mais je veux donner plus. Mieux. Plus profond.
Debout, appuyée au lit, bien visible dans le miroir, je le vois se mettre en position, et enfiler en douceur sa queue que je viens de sucer pendant un bon quart d'heure. Hmmm, c'est gros, c'est long, ça pousse et ça écarte, c'est aussi bon à voir qu'à sentir en moi. Et quand ça commence à entrer, à sortir, à imprimer à mon corps ce balancement si féminin, je suis fascinée. Mon reflet, sexy en diable, me le confirme: oui, un mec bande pour moi, me prend; me traite comme un femme. Mes hanches rondes, mes seins arrogants, mes beaux cheveux longs, ma taille fine, le "O" mauve sombre de mes lèvres. Voilà pour le visuel. Et dans mon petit cul: la défonce, franche et sauvage, d'un jeune infatigable: un sportif!
La levrette sur le lit, c'est bien. Mais si tu aimes le sport, faisons un peu d'équitation. Et me voilà assise sur lui, à me faire ramoner le cul par sa grosse bite, mon cul que je monte et descends rageusement sur son chibre, avant de crier grâce, quelle endurance il a, et de repasser à genoux entre ses cuisses.
Reprise en levrette, me voir ainsi sodomisée par cet homme m'excite trop: sous ses coups de bite, lentement, sûrement, ma verge gonfle, se lève, se tend, se raidit à nouveau. Doucement, doucement, je vais jouir, il se met au bon rythme, je cale mon cul pour le sentir au mieux taper où il faut, et lentement, du bout de mes doigts, je libère mon plaisir, longtemps, chaud, liquide, blanc alors que sa bite lime et ramone mon cul comme jamais!
Il continue, impitoyable, se couche sur moi, corps à corps sensuel, alors que les dernières ondes de plaisir me parcourent intégralement. Il passe ses mains sous mes bras, agrippe mes épaules, met sa bouche dans le creux de mon coup, et redouble de force et de vigueur entre mes fesses. Je suis pénétrée, offerte, prise, dominée, j'adore ça, je vais jouir, tu vas me faire jouir, ton cul est incroyable, et mes oreilles s'emplissent du cri de ce jeune inconnu qui s'abandonne au creux de mes reins sous mes encouragements, vas-y, vas-y, j'aime faire jouir les mecs avec mon cul, mets-moi tout, fais-moi le cul... alors que la puie tombe dans la froide grisaille de novembre, nous reprenons nos esprits. Toi mon grand, j'espère te revoir un jour!
il y a 10 mois
