Cochonne exhibée et suceuse
Plage de St Pierre sur mer:
Arrivés avec un ami sur la plage naturiste de Pissevache, nous nous sommes installé à l’abri du vent derrière des tronc d’arbres configurés en nids, non loin de la rangée de tamaris qui longe la plage. Vite nus, je ne portais qu’un anneau en dessous du gland maintenu décalotté par un serre-couilles en cuir. Mon ami jouait avec pendant que je lui caressais le sexe puis le suçais. Il me caressait le gland et m’obligea à ma tenir à quatre pattes pour me fouiller l’anus. Nous n’étions pas seuls, de nombreux voyeurs déambulaient dans les tamaris voisins et regardaient les couples nus à la recherche d’une invitation. A quelques mètres, un couple mixte s’exhibait, la femme faisait une fellation et le mari la caressait et écartait ses fesses pour montrer ses orifices devant deux voyeurs qui se masturbaient devant eux.
Mon ami tenait souvent ma queue bien droite pour bien la faire voir aux promeneurs, en fait que des hommes, certains portant des anneaux et des piercings aux parties génitales. La femme regardait aussi avec insistance. S’étant mis à genoux devant moi, mon ami entreprit de rentrer et sortir son sexe dans ma bouche et je le suçai goulument jusqu’à l’explosion de son sperme que j’avalai jusqu’à la dernière goutte.
Ma position de vide couilles avait attiré trois voyeurs qui se sont approchés la queue raide et m’ont montré leur envie de les sucer à leur tour. Je ne me suis pas fait prier, un gros gland rose foncé se présenta devant mon visage, je le léchai déjà pour en apprécier le goût puis engloutis la queue entière en l'aspirant, masturbant les deux autres avec mes mains. Ma bouche devint un orifice voué aux va-et-viens et créa en moi une sorte d’ivresse, je m’entendais traitée de grosse cochonne et de pute, ce qui m’encourageait à sucer plus avidement encore. Bientôt un premier me juta sur la joue en grosses et chaudes giclées suivi bientôt par le second qui m’arrosa de son sperme. Je le sentais couler sur l’épaule et dans le dos, délicieuses sensations de recevoir une douche tiède et gluante. Le troisième ne tarda pas à éjaculer dans ma bouche, de grosses giclées de sperme que j’avalai avec délectation et docilité de peur d’étouffer car il maintenait son gland au fond de ma gorge. Puis ce fut un grand moment de bonheur et de satisfaction d’avoir reçu leurs hommages intimes, je les regardais encore essoufflé par ma longue fellation et m’aperçu que la femme en était au même point en honorant plusieurs hommes par la bouche et par la cul, encouragée par son mari qui la filmait.
Je me retrouvais entièrement spermé, celui-ci dégoulinant sur mon corps, et décidai d’aller me laver dans la mer. Je devais traverser les cent mètres de la plages au milieu des couples qui bronzaient sous leurs parasols. Ce moment me parut comme un chemin initiatique, je voyais les regards tournés vers moi, surtout des femmes, qui s’apercevaient que les coulées luisantes sur mon corps étaient du sperme. J’avais l’impression qu’un grand silence s’établissait à mon passage, dévisagé par des regards qui exprimaient à la fois la surprise et la curiosité. J’en ressentais de la gêne mêlée à de la honte de marcher nu et couvert de foutre d’homme, bravant les interdits. Mais cette façon de m’exhiber devant tout le monde en ayant vaincu ma peur et mes appréhensions me donna une très grande fierté. J’assumai entièrement mon statut de salope soumise au jus, statut de vide couilles que je revendique…j’aime trop ça !
Arrivés avec un ami sur la plage naturiste de Pissevache, nous nous sommes installé à l’abri du vent derrière des tronc d’arbres configurés en nids, non loin de la rangée de tamaris qui longe la plage. Vite nus, je ne portais qu’un anneau en dessous du gland maintenu décalotté par un serre-couilles en cuir. Mon ami jouait avec pendant que je lui caressais le sexe puis le suçais. Il me caressait le gland et m’obligea à ma tenir à quatre pattes pour me fouiller l’anus. Nous n’étions pas seuls, de nombreux voyeurs déambulaient dans les tamaris voisins et regardaient les couples nus à la recherche d’une invitation. A quelques mètres, un couple mixte s’exhibait, la femme faisait une fellation et le mari la caressait et écartait ses fesses pour montrer ses orifices devant deux voyeurs qui se masturbaient devant eux.
Mon ami tenait souvent ma queue bien droite pour bien la faire voir aux promeneurs, en fait que des hommes, certains portant des anneaux et des piercings aux parties génitales. La femme regardait aussi avec insistance. S’étant mis à genoux devant moi, mon ami entreprit de rentrer et sortir son sexe dans ma bouche et je le suçai goulument jusqu’à l’explosion de son sperme que j’avalai jusqu’à la dernière goutte.
Ma position de vide couilles avait attiré trois voyeurs qui se sont approchés la queue raide et m’ont montré leur envie de les sucer à leur tour. Je ne me suis pas fait prier, un gros gland rose foncé se présenta devant mon visage, je le léchai déjà pour en apprécier le goût puis engloutis la queue entière en l'aspirant, masturbant les deux autres avec mes mains. Ma bouche devint un orifice voué aux va-et-viens et créa en moi une sorte d’ivresse, je m’entendais traitée de grosse cochonne et de pute, ce qui m’encourageait à sucer plus avidement encore. Bientôt un premier me juta sur la joue en grosses et chaudes giclées suivi bientôt par le second qui m’arrosa de son sperme. Je le sentais couler sur l’épaule et dans le dos, délicieuses sensations de recevoir une douche tiède et gluante. Le troisième ne tarda pas à éjaculer dans ma bouche, de grosses giclées de sperme que j’avalai avec délectation et docilité de peur d’étouffer car il maintenait son gland au fond de ma gorge. Puis ce fut un grand moment de bonheur et de satisfaction d’avoir reçu leurs hommages intimes, je les regardais encore essoufflé par ma longue fellation et m’aperçu que la femme en était au même point en honorant plusieurs hommes par la bouche et par la cul, encouragée par son mari qui la filmait.
Je me retrouvais entièrement spermé, celui-ci dégoulinant sur mon corps, et décidai d’aller me laver dans la mer. Je devais traverser les cent mètres de la plages au milieu des couples qui bronzaient sous leurs parasols. Ce moment me parut comme un chemin initiatique, je voyais les regards tournés vers moi, surtout des femmes, qui s’apercevaient que les coulées luisantes sur mon corps étaient du sperme. J’avais l’impression qu’un grand silence s’établissait à mon passage, dévisagé par des regards qui exprimaient à la fois la surprise et la curiosité. J’en ressentais de la gêne mêlée à de la honte de marcher nu et couvert de foutre d’homme, bravant les interdits. Mais cette façon de m’exhiber devant tout le monde en ayant vaincu ma peur et mes appréhensions me donna une très grande fierté. J’assumai entièrement mon statut de salope soumise au jus, statut de vide couilles que je revendique…j’aime trop ça !
il y a 1 an