Mémoires d'une chienne - 2

Mémoires d'une chienne - 2

Cette nuit, je me suis pris trois queues.
Je ressens le besoin de poser cela par écrit. Pour essayer de comprendre comment j'en suis arrivé là, si bas, et en laissant tout contrôle m'échapper. Jamais je ne me suis autant senti humilié, souillé. Et pourtant, d'un autre côté, fier d'être une bonne salope qui s'est faite tournée...

Depuis la dernière fois (voir mon premier texte), peu de choses ont changé : toujours en couple hétéro, toujours des rencontres occasionnelles avec de jeunes gars ayant besoin d'un trou.
Pendant un temps, j'ai expérimenté l'exhibition, par cam et vidéos/photos. Un membre du site en particulier m'a encouragé en ce sens, en demandant sans cesse à voir mon cul. Me demandant de l'appeler maitre et me demandant de me montrer dans des situations de plus en plus osées, m'insérant des phallus de substitution et offrant une vue royale à la caméra et aux voyeurs.

Mais rien ne remplace le réel - aussi j'ai continué à voir ce jeune gars, dominant et simplement intéressé par mon postérieur. Petit à petit, le rythme des rencontres s'est accéléré - d'une fois de temps en temps au départ, il m'a ensuite recontacté de plus en plus fréquemment et, du moment où il a eu son propre appartement, ses appels se sont fait quotidiens : pendant quelques temps, chaque soir après le travail, je passais par chez lui me faire sodomiser.

Sa porte m'attendait ouverte - je devais simplement entrer, baisser mon pantalon sur les cuisses, me mettre à quatre pattes sur son lit ou sur le sol et me donner à lui pour quelques minutes - souvent douloureuses et un plaisir étrange en même temps. J'étais généralement dehors moins de deux minutes après qu'il ait fini de se soulager, remontant simplement mon pantalon et prenant la route de la maison, baissant les yeux dans la rue comme si ce que je venais de faire était marqué sur mon front.

Petit à petit, ses désirs ont évolué - lui qui ne voulait pas voir mon visage car pas féminin, a commencé à me jouir dessus. Pas qu'il me trouve plus à son gout, mais je suppose qu'il a fini par se lasser de mon derrière, et s'est pris au jeu d'utiliser ma bouche et de dominer un autre garçon en lui baisant la bouche et le couvrant de sperme.

Nous avons moins de temps libre ces temps-ci, aussi nos rencontres se font plus rares (mais pas une semaine ne se passe sans qu'il n'éprouve le besoin de visiter mon fondement ou ma gorge :) ).

Hier soir, il m'a appelé, et je ne me doutais pas à ce moment là que la nuit serait longue.
Lui -'Tu es libre là? Je peux passer vite fait ?'
Il était 22h, et pour une fois j'étais seul pour le Week end. Il était le bienvenu, et il est donc venu prendre son plaisir. Il m'a dit être en route pour une soirée en ville avc ses potes, m'a remercié pour l'avoir bien vidé (je pense lui avoir répondu 'de rien', les lèvres serrées car encore recouvertes de foutre :D ) et est reparti. Comme toujours.

Après une douche bienvenue, je suis allé me coucher.
Vers 1h, le téléphone a vibré - c'était lui.
Lui - 'Hey tu dors' ?
... Pensant qu'il voulait passer une nouvelle fois, je lui ai répondu.
Lui - 'On est à la soirée. J'ai un pote il sait pour toi, je lui ai dit comment t'es trop une bonne chienne. Il a pas de copine et il a envie de se faire sucer, il peut venir ?'

Je suis resté pétrifié. Qu'il ait parlé de moi. Et qu'il se permette comme ça de m'envoyer ses potes. Mais d'un autre côté... après tout, pourquoi pas ?
Moi - '... Il est discret ? Tu lui as dit ou je suis ? Je veux pas le faire monter à l'appart, je descendrai à la cave' (un petit espace privatif, pratique parfois ...)
Lui - 'Dépèche, il est déjà en bas. T'avais pas vraiment le choix de toute façon lol. Fait moi pas honte'

Pas encore bien réveillé, toujours sous le choc de la situation, je me souviens avoir mécaniquement passé un jogging, sans rien dessous, un vieux tshirt, et être entré dans l'ascenseur. Dans le hall, en effet, il était déjà là. Look racaille, la vingtaine. Je n'ai pas réussi à le regarder dans les yeux, et l'ai invité a entrer dans l'immeuble. Sans un mot, nous sommes descendus au sous sol, j'ai ouvert la porte de ma cave, ait allumé la torche du tel pour avoir un peu de lumière, ... et me suis mis à genoux.

Me voir à genoux l'a fait bander direct - il a sorti sa queue, et... j'ai fait ce que j'étais supposé faire. Avec plaisir, pour être honnête. Il n'a pas tenu trop longtemps et m'a demandé d'arrêter, avant de se finir à la main en quelques secondes sur mon visage offert. Bien entendu, j'avais été trop con pour prendre un mouchoir - je me suis débarbouillé sommairement avec mon thsirt, et c'est ainsi souillé que je suis remonté chez moi.

Moi - 'Il vient de partir, j'ai fait ce que tu voulais'
Lui - 'Ok, jmen bat les couilles lol. T'es vraiment une grosse pute'

Que répondre à ça...
Je me suis lavé le visage, et suis retourné au lit. Sans vraiment trouver le repos - un mélange entre honte, humiliation, et ... excitation.

Vers 5h, le téléphone a vibré de nouveau. Je savais de suite qui c'était...
Lui - 'On arrive, lave ton cul et descends'
Moi - 'Quoi ? non, ça va, pas maintenant'
Lui - 'On est en bas, fait pas chier. Tu vas aimer'
... et la sonnette a retenti. A cette heure, dans le silence de la nuit, j'avais l'impression que tout l'immeuble pouvait entendre.
Lui - 'Descends'
... et je suis descendu.

Ils étaient trois. Lui, son pote d'un peu plus tôt, et un troisième encore plus jeune. Je me suis senti paniqué. Mais j'avais peur qu'ils ne fassent du bruit si je n'ouvrais pas - ils étaient bourrés, c'était clair.
J'ai ouvert, sans clairement réaliser les conséquences - me donner à trois jeunes racailles en même temps.

Nous sommes descendus à la cave, de nouveau. En entrant, mon esprit a machinalement bloqué sur un reste de sperme au sol,tombé de mon visage après la fellation du milieu de la nuit, et que le béton n'avait pas absorbé durant ces dernières heures.

'A poil et à genoux'
Ils ont mis de la musique sur leur téléphone (musique de djeuns de merde bien entendu...) et on sorti leurs queues.
Et j'ai fait mon taf, léchant des glands, pompant, suçottant, essayant de gérer leurs trois membres (un dans chaque main, un dans la bouche ... alternant fréquemment. Pas facile, au passage, je n'avais jamais réalisé).
Ils sont vite devenus plus 'physique'. Forçant le plus loin possible, bloquant ma nuque et me faisant baver et presque étouffer. Limant ma bouche en cadence.
Devenant aussi de plus ne plus dominants - le plus jeune me demandant tout à coup de lui 'bouffer les couilles'... ce que j'ai du faire aux autres aussi, l'un après l'autre : moins pour leur plaisir physique que pour le plaisir de m'humilier je pense.

Le plus jeune, qui n'avait pas eu son compte plus tôt comme les deux autres, a joui le premier. Sans prévenir, il a juste bloqué ma nuque et explosé dans ma bouche alors qu'il me baisait profondémment la bouche. Je n'ai pratiquement pas senti de gout au départ, juste une substance bizarre et abondante. Puis son sperme est passé de ma gorge à ma langue, et j'ai compris sans le moindre doute au gout puissant et à son râle qu'il était bien en train de se soulager...
Mais que dire. Il était déjà trop tard, et ils sont trois en face de moi...
Je l'ai docilement laissé finir, jet après jet. J'en ai craché/toussé une partie. Et avalé le reste, bien forcé. Non pas que je n'aime pas ça, mais ce n'est pas safe.

'Tain il suce trop bien ce gros pd'

En face de moi, 'lui', celui que je connais, a mis une capote sur sa queue. Je sais bien entendu ce que ça veut dire, mais je ne suis pas prêt. Machinalement, par habitude, je crache sur mes doigts pour me lubrifier... je réalise un peu tard, alors que mes doigts coulissent déjà dans mon trou, que c'est un mélange de salive et de sperme qui restait dans ma bouche.

Pas le temps de trop réfléchir, je suis debout, cambré, et je m'offre contre le mur. En une seconde il m'enfile, comme à son habitude. Ca coulisse de dingue - le mélange de salive, de sperme gluant, et... d'excitation...
Mais dans cette position, je ne peux rien faire pour son pote, qui reste à regarder comme un con. J'ai le sentiment que je vais finir a quatre pattes sur le sol de la cave, mais 'lui' a une autre idée - 'On va chez toi, ce sera plus confortable'

Moi - 'Il faut être super discret pour les voisins'
Lui - 'T'inquiètes, on veut pas de problèmes'

Je remet mon jogging, le tshirt, et prend le chemin de l'ascenseur. L'un d'entre eux me claque soudainement le cul. Dans l'ascenseur, c'est silence, mais je sens une main sur ma fesse, puis une bite pressée sur mon cul. Ce n'est pas 'lui' mais son pote, qui pourtant plus tôt voulait juste se faire sucer, qui appremment trouve aussi mes fesses à son gout...
Le plus jeune suit, mais tu sens qu'il n'en a plus rien à faire - il est vidé.

Dans l'appartement, je n'allume pas la lumière. J'ai un moment de flottement, et attend comme un con debout, les bras ballants.
'A genoux'
Et c'est reparti pour un tour, encore de la bite à pomper. Je leur ai offert de prendre un verre, donc ils sont désormais tous les trois autour de moi, un verre de whisky coca à la main.
Le plus jeune n'est pas encore capable d'être dur, mais il kiffe aparemment se faire lêcher... je m'exécute docilement. Ils sont relativement silencieux, c'est tout ce qui compte pour moi à ce moment là.

Je me retrouve à en sucer un, qui s'est assis dans le canapé. Dans cette position, je réalise que j'offre mes fesses à la vue - et bien entendu, je me fait assez vite cracher sur le cul et sent une queue se frotter puis forcer l'entrée.
Je me sens bien. Je commence à m'habitur à eux trois, à avoir plusieurs queues en même temps. Le plaisir de sucer, le gout du sperme toujours dans ma bouche, une bite qui coulisse en rythme...

Mais ainsi je ne suis également plus capable de rien contrôler. Une main sur ma nuque pousse pour que j'avale une queue jusqu'à la garde. Par derrière une main a immobilisé mes bras en croix dans mon dos - je ne peux me 'défendre' contre le sexe qui me prend la bouche. Je suis au bord de vomir, de ma bouche sortent des filets de bave blanche et épaisse, ainsi que des bruits de gorge obscènes. Ca les excite encore plus, le jeune est de nouveau dur et, quand enfin on me laisse respirer, il se met à me gifler le visage de sa queue, étalant une bonne partie de la salive qui sort désormais même par mon nez.

J'ai perdu le contrôle.
Ils ne parlent pas fort, mais très distinctement m'insultent. Me traitent de salope, de pute. et là, d'un coup, 'lui' me crache dessus. A la face. Le jeune rigole et l'imite. Leur pote, toujours en train de me limer le cul, les imite sur mon dos et se met à me claquer les fesses comme à une jument.

Je ne me défend pas. Je suis paralysé. Par la peur du bruit. Et par, quelque part, le plaisir. Le plaisir de cette queue qui me prend, et le plaisir de cette situation.

Ils ont tous alterné, pendant un temps incalculable, entre mon cul et ma bouche. J'ai perdu la notion du temps, concentré sur le plaisir montant dans mon ventre, et la concentration sur ma tâche (on est une chienne dévouée ou pas, j'imagine...).
Mes souvenirs sont flous ce cette phase. Je me souviens simplement de la sensation que mon cul est un trou béant - ils ne font plus des va et vient dans mon fion, non, ils entrent et ressortent. Entrent et ressortent. Entrent et ressortent. Totalement. M'arrachant un râle incontrolable à chaque pénétration. J'ai souvent deux mains qui m'écartent les fesses - je sais ce que ça veut dire : plus facile pour eux de viser, et le plaisir je suppose de contempler mon anus totalement offert et ouvert.

Je n'ai pas mal, pas une seconde. Au contraire, je me sens terriblement bien. Je ne joui pas, mais j'étais très proche je crois d'un premier orgasme anal.

L'un après l'autre, ils ont joui de cette sodomie - ma bouche servant juste à patienter et récupérer entre deux capotes et sessions dans mon ventre. Un par un, ils sont sortis, et se sont vidés sur mon visage et dans ma bouche alors que je restais les fesses en l'air, en attente pour le prochain. J'avais envie d'ouvrir la bouche. Ils n'ont pas eu à me demander...

Le dernier à terminer a été mon régulier. Il m'a souri, m'a giflé (pas fort) - transférant du sperme de mon visage à sa main, et m'a demandé de nettoyer. J'ai lêché ses doigts sans discuter.

Ils se sont sommairement nettoyés, ont remis leurs habbits, et sont partis joyeusement, en me disant merci et en me félicitant.

Lorsque la porte à été fermée, j'ai regardé l'heure - entre leur arrivée et leur départ, presque 1h45. De sexe non stop, brut. Je me suis soudainement senti épuisé, et sale (en même temps, couvert de sperme, de bave et de transpiration...et entouré de plein de préservatifs). Mon trou s'est mis à bruler - la v******e et persistence de leurs assauts s'est fait sentir.
Je suis directement allé sur le PC, et me suis connecté ici. Personne à qui parler à cette heure. Je me suis caressé et ai explosé en quelques secondes - j'étais proche.

La douche, le lit, essayer de se reposer.
Quelques heures après je ne sais pas quoi en penser. C'était... spécial. J'ai détesté, et en même temps adoré. Je sais que je viens de franchir un nouveau cap.
Publié par Zimask
il y a 2 ans
Commentaires
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tvdavina
tvdavina il y a 3 mois
superbe aventure , tu a du te régaler ma salope !!
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cemsifpa2
cemsifpa2 il y a 2 ans
excellent
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chouksam il y a 2 ans
à Zimask : oui ms entre un membre du site et un maitre il y'a un monde
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Zimask Éditeur il y a 2 ans
à chouksam : Je ne savais pas si vous vouliez voir votre pseudo apparaitre...
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chouksam il y a 2 ans
Un membre du site??c plus maitre sami??sale pute lol
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