Chez le kiné...

Souffrant du dos à la suite d'efforts mals dosés, Pierre me dirigea vers l'une de ses connaissances kinésythé****ute. Bien que me sentant beaucoup mieux, je pris quand même rendez-vous, Pierre m'assurant que son ami était véritablement un spécialiste réputé.
Dans son cabinet, après quelques questions concernant mon problème, nous entrâmes dans la salle de soins. L'odeur particulière me rappela mon adolescence quand je consultais un kiné. M'y rendant 2 ou 3 fois par semaine, à la fin le kiné me laissait seul dans une des pièces avec une série de mouvements à effectuer. L'odeur de la pièce associé aux mouvements particuliers avaient sur moi un effet troublant et érotisant. Généralement à la fin de la séance je sortais de là très excité. Le kiné je crois ne s'en est jamais aperçu bien qu'avec le temps je n'en suis plus si sûr. Quoi qu'il en soit il ne se passa jamais rien...

Revenons au présent, l'ami de Pierre me demande de me mettre en caleçon. A mon grand désaroi, j'avais totalement oublié ce détail, je ne porte jamais de sous vétement excepté quand je me rends chez un médecin. Sauf que là je fus bien obligé de lui avouer mon oubli. Il ri et me dis que lui aussi n'en portait pas. La glace étant rompue, je me mis donc nu. Sur l'un des murs de la pièce, il y a un espalier. Il me demande de monter quelques échelons puis de me retourner vers lui. Je me retrouve suspendu les bras en l'air. Le téléphone sonna, il s'excusa et sortit de la pièce. Je me retrouvais seul avec mon reflet dans le miroir situé sur le mur opposé. Je sentais un début d'excitation à l'idée de me trouver nu, suspendu chez un homme que je ne connaissais pas. Je refoulais bien vite cette idée. L'homme réapparut, il me fit faire quelques exercices comme monter les genoux le plus haut possible, écarter puis reserrer les jambes, les jambes devant rester bien droites et tendues. S'en suivi une phase de repos.
Reprise...
Allongé sur le côté les bras tendus de part et d'autres de ma tête, je dois monter une jambe bien tendue le plus haut possible puis la redescendre lentement. Au bout de trois à quatre essais, il se rend compte que j'ai quelques difficultés à executer le mouvement. Il prend l'initiative de m'aider en s'accroupissant derrière moi, plaçant une main sur mon épaule et l'autre sur la partie intérieure du haut de ma cuisse puis accompagne mon mouvement de haut en bas.
A chaque fois que ma jambe est à la position la plus basse, je peux sentir l'extérieur de sa main toucher mon périnée. Au bout de dix montées, il me dit d'arrêter. Je m'execute afin de reprendre quelques forces, je me rends compte que sa main est restée entre mes cuisses. Je n'ose en faire la remarque et je reste ainsi sans bouger. Dans cette position il me demande ensuite d'effectuer des contractions/relachements des muscles fessier en suivant le ryhtme dicté par sa main. Il augmente la pression, je contracte, il diminue, je relache. Il accélère, il ralentit, il s'arrête, reprends. Je commence à y prendre plaisir, dans le reflet du miroir je constate que lui aussi à l'air d'apprécier. Je le vois à la bosse qui orne son short moulant...Je lui donne quelques signes complices en effectuant quelques ondulations subtiles. Il semble ne pas y prêter attention. Le problème est que j'ai de plus en plus de mal à cacher l'excitation qui me gagne. Il s'en aperçoit grace au miroir qui orne le mur. Mon sexe commence à durcir. D'une voix douce il me glisse à l'oreille, "pas de gêne à avoir, c'est tout à fait normal..." tout en parlant, je sens le pouce de sa main qui est restée entre mes cuisses, s'insinuer entre mes fesses, il est en contact avec mon orifice, il exerce une pression régulière et rythmée plus ou moins forte. J'ai le cardio qui augmente, je sens mon sexe durcir de plus en plus. Je me laisse aller, je soupire de plaisir. "Touche toi" me dit il dans le creux de l'oreille, "oui voilà, c'est bien....décalotte lentement, très lentement...", je ne me fais pas prier, de deux doigts je fais glisser lentement, très, très lentement le prépuce qui recouvre mon gland. A mi chemin, il me demande de stopper et de rester ainsi sans bouger, le gland à moitié décalotté. Une petite goutte perle à la sortie de l'urêtre, "récupère ta mouille et étale la sur tes lèvres". Je m'execute, celà à pour effet de me faire mouiller de plus belle..."continue, encore...". Je recommence une fois, deux fois puis je ne compte plus. Je peux constater dans le miroir que mes lèvres sont luisantes de mon jus..."Passe ta langue sur tes lèvres"...Mmmmm j'aime ça, il me dirige merveilleusement bien. Durant tout ce rituel il accentue, relache la pression de son pouce sur mon anus qui se relache de plus en plus, s'ouvre, cherche la pénétration...qui ne vient pas...Il me frustre, j'adore, c'est un vrai maître, un expert... Je gémis tout doucement. J'ondule sans m'en rendre vraiment compte au gré du rythme qu'il m'impose de son pouce...Le pouce toujours bien calé sur mon trou, de ses autres doigts, il att**** mes testicules, les fait rouler entre ses doigts, les caresse, les serre...De son autre main il caresse mes lèvres, les entrouvre, j'ai bientôt trois doigts qui pénètrent, explorent ma bouche, je les lèche goulument, sensuellement...les aspire, ma langue s'active comme elle s'activerait sur une bite. "Pierre ne m'avait pas menti sur ton potentiel érotique, érotisant..." Je ne fus pas surpris par sa remarque me doutant que Pierre savait très bien ce qui allait se passer en me recommandant au près de son ami...
Il me dit tout de go, c'est tout pour aujourd'hui...j'attends un autre patient...comme il disait ces mots, j'entendis effectivement la sonnerie de son cabinet.
Je me relevai encore tout excité mais pas si mécontent finalement de la frustration née de la situation...mmm. Je récupérais donc mes affaires, commençais d'enfiler mon pantalon quand il me dit: a moins que tu ne sois pressé, je te propose d'attendre à côté le temps de la séance, qu'en penses tu ?
Ok ça me va, j'ai le temps...
Je passe donc dans l'autre pièce, elle se trouve plongée dans une semi obscurité, je remarque qu'il a laissé la porte entrouverte...

Entrée de son patient que j'aperçois dans le reflet du miroir, il s'agit d'un homme athlétique. Il se déshabille, je peux très vite constater que l'homme est un adepte assidu du body building, il est très, très musclé. Son corps m'excite, il ne porte plus qu'une toute petite culotte. Il se tient debout. Eric, le kiné se place tout d'abord face à lui, il lui masse lentement les muscles des bras, l'homme les contracte puis les relâche en suivant les directives d'Eric. Après les bras, les mains du kiné descendent le long du torse puis des cuisses, qu'il masse à leurs tour, tantôt délicatement, tantôt fermement. Eric se place ensuite derrière lui, il lui masse maintenant les épaules. Bientôt l'homme commence à caresser ses pectoraux, ses mains passent sur ses bras, son torse, son ventre. Très vite je comprends qu'il s'agit en fait d'une séance de bodybuilder worship. L'homme maintenant ondule, se laisse aller, Eric l'encourage d'ailleurs dans cette voie puisque ses mains sont plus occupées à caresser, pincer, stimuler qu'à masser. Je me masturbe lentement en les regardant, je pince mes tétons, très excité par la scène.
Eric a sa main posée sur le sexe enveloppé du minuscule slip, il appuie, relache, serre. L'homme se tient maintenant bien droit, les bras au dessus de sa tête, Eric le caresse de plus belle, pinçant ses tétons, s'attardant sur son ventre, son bas ventre. Il finit par descendre délicatement son slip (enfin pensais je...) découvrant ainsi de magnifiques fesses musclées qu'Eric pétrie, malaxe, claque. L'homme "danse" littéralement, sans pudeur, il se lache totalement, il se laisse faire. Eric le branle, s'attarde sur son gland, ses couilles. Après un moment, Eric se recule en contemplant le résultat de ses caresses. Il bande bien, l'homme s'adosse ensuite au mur, il se branle/masturbe. Eric se contente de le regarder en caressant sa bite au travers de son pantalon. L'homme accèlère ses mouvements de va et vient sur sa tige le bassin en avant, les yeux mi clos, jambes semi écartées, il pousse quelques gémissements. Eric l'encourage, "oui c'est bien continue, je te regarde". Enfin dans un râle, le sperme jaillit, cinq ou six copieux (très) longs jets atterrissent sur le parquet de la salle...

Après avoir reprit ses esprit l'homme s'habille et s'en va... Je sors de l'endroit d'où j'ai pu apprécier le spectacle. Eric me dit, je vois que tu as apprécié la séance en posant ses yeux sur ma queue. Oui c'était heu...très excitant. Eric me regarde sans rien dire, je ne dis rien non plus, un court silence puis Eric tout soudain me dit, "Lèches"!
Les battements de mon coeur s'accélèrent, sans répondre je baisse les yeux dans une attitude soumise puis me mettant à quatre pattes, je lèche, j'aspire le jus de cet homme que je ne connais pas, son sperme est encore chaud. J'aime son gout, je suis au comble de l'excitation tandis que je suis à peine surpris du coup de fouet s'abattant sur mon dos, presque comme une caresse stimulante. Il s'agit d'un fouet court et plutôt "cool" (des lanières de cuir plates) qu'Eric manie fort bien. Toujours à 4 pattes, il me demande de bien écarter les jambes afin que la raie de mes fesses soit bien ouverte, ainsi le fouet vient frapper mon anus. Lèche bien me dit il, je ne veux pas qu'il en reste une seule trace. Ses coups sont à présent réguliers, il accélère, ralenti, monte en puissance, diminue et ce sur le dos, les fesses, l'intérieur de mes fesses, les cuisses. J'ondule, "encore, "encore", mmmm oui plus fort... Lève toi ! Mains sur la tête !...Mmmmm les coups pleuvent, la (relative) douleur me stimule, m'excite. Il s'arrête, caresse mon dos, mes fesses, il me branle aussi puis de plus belle, les coups reprennent. Je connais bien ce processus de douleur plaisir. Il pose le fouet, me prends fermement puis me plaque face contre le mur. Cambre toi me dit il, mieux que ça ! Voilà qui est mieux...Dans le miroir je le vois sortir son sexe de son pantalon. Il est bien raide, bien dur, épais comme j'aime. Après l'avoir enduit copieusement de gel, il se présente à l'entrée de mon intimité. Malgré le lubrifiant, n'ayant moi même pas été préparé, il force l'entrée...mmm j'aime. Il marque un temps d'arrêt, je peux sentir juste le bout de sa queue....je soupire, bascule ma tête en arrière, d'une main il l'a fait pivoter, ses lèvres rejoignent les miennes, sa langue rentre dans ma bouche. Ce baiser m'excite, nos langues s'entremêlent, s'aspirent tandis que de ses doigts il pince, étire et roule mes tétons. Je perds pied, je m'entends murmurer "prends moi, je suis ta chose, baises moi, encules moi". Sa bite s'enfonce lentement mais surement un peu plus. Je m'ouvre, me relâche afin de mieux l'accueillir dans mon ventre. Il est maintenant bien calé au fond. Il ressort lentement, totalement. Sa bite me manque déjà. je murmure "remplis moi". Mon anus étant déjà bien ouvert, il ne tarde pas de nouveau d'être pénétré bien au fond. Ce manège continue, 2, 3, 4 fois, je ne compte plus. Je savoure ce moment. Je soupire, gémis comme une fille...oh oui continue, j'aime...encore... Sa bite maintenant reste dans moi, il fait des mouvements de va et vient lentement, régulièrement, de temps en temps il ressort pour replonger de plus belle. Il est plus grand que moi, il s'est à la fois légèrement baissé, quant à moi je me tiens en extension sur mes pieds, mes mains agripant les barres de l'espalier. Mes jambes tremblent, cette position normalement inconfortable m'excite encore plus. Ses mouvements s'accélèrent, je l'encourage, il semble commencer à "perdre" le controle. J'adore ça. Je vais jouir, tu veux que je jouisse en toi ? Je suis clean...Oui jouis en moi, donne moi ta semence. Bien calé au fond, il se lache. Je sens les spasmes (nombreux) de sa bite, je sens également les jets puissants de son jus chaud dans mon anus maintenant bien distendu. Je jouis de mon ventre, mon cul...
Je le quittais sans avoir jouis, je compris que celà faisait partie du "jeu"...Tu viens demain soir chez Pierre ? me lança t'il. Je répondis par l'affirmative. Ne jouis pas d'ici là, tu peux te goder, te mettre des pinces aux seins ou que sais-je mais garde ton sperme, ne te masturbes pas. C'est entendu ? De nouveau je répondis par l'affirmative puis le quittais, frustré bien sûr mais terriblement excité, je n'avais d'autres choix que d'obeir à cet homme persuasif et de surcroit de talent (sexuellement bien sûr). Je me sentais dominé, j'avais envie de rentrer dans ce jeu en sachant que de nouveaux plaisirs étaient à venir.
Rentré chez moi, le souvenir de sa bite me pénétrant, m'écartant, m'inondant de foutre chaud me donnait bien sûr l'envie de me masturber. Je résistai, la sensation était intense. En revanche je ne pus m'empécher de glisser mes doigts dans ma chatte anale encore distendue. Elle était encore humide de mouille et de foutre que je léchais tout en revoyant les épisodes de cet après-midi de débauche...
Publié par bifrancois
il y a 2 ans
Commentaires
3
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à bifrancois : Hâte de les lire, elles ont un bel effet tes histoires
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à jmc4829 : Merci, j'en prépare d'autres...
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Mmmmm terriblement bandante
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