La femme du rouquin 1
Une ombre se dessine sur la porte, c'est Georges qui est là nous observer. Il entre, pas l'air très content le rouquin. J'ai posé la bouteille. Elle se redresse, accroupie sur la table. Je commence à parler.
- ben...heu...
-Ta gueule toi. Et toi salope, tu profite que je sois absent pour te faire baiser... par une bouteille en plus. C'est sur qu'elle est plus grosse que sa bite cette bouteille de champ.
Il se tourne vers moi. Alors comme ça tu viens baiser Geneviève en mon absence. Cela dure depuis combien de temps votre manège.
- C'est la première fois, je n'étais jamais venu chez toi avant Georges. Geneviève ma dit d'entrer et la chaleur aidant, je ne suis pas de bois. Geneviève est très attirante. Excuse moi, je n'aurait pas dut... C'est de ma faute, je vais vous laisser.
- Ben tiens, il baise ma femme et il s'excuse. Et toi salope, tu ne dit rien. Cela fait dix minutes que je vous observe derrière la porte. Tu devrais avoir honte. Vieille pute va.
Geneviève descend de la table. Ses gros nichons pendent, ils sont lourds. Les tétons pointent, encore excités. Elle s'avance vers moi. Tends la main et saisi ma bite. Elle me branle devant lui.
- Regarde Georges, tu vois je le branle devant toi... Tu te rappelle , plus jeune dans notre maison du sud, quand nous ramenions un jeune auto-stoppeur a la maison et que tu voulais que je le branle devant toi pour t'exciter. Tu ne disais rien, tu aimais voir la bite grossir dans ma main et quand elle était bien dressée, tu venais la sucer... Hein tu ne disais pas que j'étais une vieille pute.
- Mais on avait quarante ans, on ne les connaissaient pas. Mic, on le connais, et puis on est vieux maintenant.
- Vieux, oui mais là tu étais parti chez tes copains pour te faire baiser... Pour les sucer... Pour faire je ne sais quelles saloperies, tout les trois. Et pourquoi tu es rentré aussitôt parti? Tu avais oublié ton god?
- Heu non... Ils étaient absents... Mais comment tu sais tout ça, Riri et Fifi, ton dit quelque chose? On à toujours étaient discrets!
- Discret, ben non... fallait pas laisser ton ordi ouvert, j'ai vu vos vidéos, le soir où tu étais partis donner un coup de main aux associations pour le bal des vendanges. Ils se baisent et ils se filment... c'est vous les vicieux.
Je suis la comme un con, a me faire branler la bite par cette femme qui balance tout à son mari. Elle branle doucement la salope, caressant mes bourses, passant son doigt sur la tête, jouant avec. De temps à autre une goutte perle. Elle passe son doigt et le suce avec délice.
- Bon alors si tu sais... Tu sais bien que j'ai toujours été bi, homme, femme, je n'arrive pas a avoir une préférence et comme j'ai du mal a bander maintenant, je suce plus souvent et me faire mettre me procure pas mal de plaisir. Alors te voir, Geneviève, branler Mic, ça commence à m'exciter et j'aimerais refaire comme quand on était jeune avec les auto-stoppeurs.
- Si tu t'excuse de m'avoir crier dessus et me pardonne d'avoir eu envie de baiser avec Mic.
- Ok, je m'excuse et te pardonne... Maintenant donne moi sa bite à lécher, j'ai très envie d'une belle bite pas trop grosse dans ma bouche.
- Alors déshabille toi, a poil complètement.
Le rouquin retire sa chemise, les poils roux sur sa poitrine ne m'attirent pas plus que ça. Il baisse son pantalon. Puis son slip. Sa bite est moyenne, plus grande que la mienne avec de grosses couilles qui pendent. Ca j'aime quand sa pend. Elle passe sa main entre ses jambes, saisi les bourses, les secouent, les enserres de ses doigts et tirent dessus.
- A genoux Georges et suce le bien.
Elle monte sur la table et me présente sa vulve gonflée.
- Bouffe moi la chatte, Mic. Bouffe moi bien, mord mes lèvres et rentre ta langue. Georges va glisser sous la table pour te sucer la queue. Cette vieille tapette n'est bonne qu'à lécher. Allez, écarte mes cuisses et bouffe moi le cul dit elle en se retournant et se pendant en mettant ses mains sur ses genoux.
Je regarde dans la grande glace de la salle bain dont la porte est ouverte. Je vois cette femme sur la table, courbée, le cul tendu vers ma bouche. Les seins pendants. Lui est sous la table, a genoux entrain de me sucer la bite. Je me vois, nu, excité au bout de cette table avec ce couple de 65 ans en plein délire. Seize heures sonnent au clocher du village. Quand je pense que j'étais juste passé dire bonjour.
- Tu rêve Mic ? Tu as perdu ta langue?
Geneviève me rappelle a l'ordre. Je me remet à lui bouffer la chatte, puis le cul, puis la chatte... Elle à ramasser la boite de pinces à linges qui était sur la table. Elle place une pince sur chaque tétons de ses gros nichons pendant. C'est trop bon, ce cul de salope. Et l'autre qui me pompe goulument. Elle est belle la vie.
- ben...heu...
-Ta gueule toi. Et toi salope, tu profite que je sois absent pour te faire baiser... par une bouteille en plus. C'est sur qu'elle est plus grosse que sa bite cette bouteille de champ.
Il se tourne vers moi. Alors comme ça tu viens baiser Geneviève en mon absence. Cela dure depuis combien de temps votre manège.
- C'est la première fois, je n'étais jamais venu chez toi avant Georges. Geneviève ma dit d'entrer et la chaleur aidant, je ne suis pas de bois. Geneviève est très attirante. Excuse moi, je n'aurait pas dut... C'est de ma faute, je vais vous laisser.
- Ben tiens, il baise ma femme et il s'excuse. Et toi salope, tu ne dit rien. Cela fait dix minutes que je vous observe derrière la porte. Tu devrais avoir honte. Vieille pute va.
Geneviève descend de la table. Ses gros nichons pendent, ils sont lourds. Les tétons pointent, encore excités. Elle s'avance vers moi. Tends la main et saisi ma bite. Elle me branle devant lui.
- Regarde Georges, tu vois je le branle devant toi... Tu te rappelle , plus jeune dans notre maison du sud, quand nous ramenions un jeune auto-stoppeur a la maison et que tu voulais que je le branle devant toi pour t'exciter. Tu ne disais rien, tu aimais voir la bite grossir dans ma main et quand elle était bien dressée, tu venais la sucer... Hein tu ne disais pas que j'étais une vieille pute.
- Mais on avait quarante ans, on ne les connaissaient pas. Mic, on le connais, et puis on est vieux maintenant.
- Vieux, oui mais là tu étais parti chez tes copains pour te faire baiser... Pour les sucer... Pour faire je ne sais quelles saloperies, tout les trois. Et pourquoi tu es rentré aussitôt parti? Tu avais oublié ton god?
- Heu non... Ils étaient absents... Mais comment tu sais tout ça, Riri et Fifi, ton dit quelque chose? On à toujours étaient discrets!
- Discret, ben non... fallait pas laisser ton ordi ouvert, j'ai vu vos vidéos, le soir où tu étais partis donner un coup de main aux associations pour le bal des vendanges. Ils se baisent et ils se filment... c'est vous les vicieux.
Je suis la comme un con, a me faire branler la bite par cette femme qui balance tout à son mari. Elle branle doucement la salope, caressant mes bourses, passant son doigt sur la tête, jouant avec. De temps à autre une goutte perle. Elle passe son doigt et le suce avec délice.
- Bon alors si tu sais... Tu sais bien que j'ai toujours été bi, homme, femme, je n'arrive pas a avoir une préférence et comme j'ai du mal a bander maintenant, je suce plus souvent et me faire mettre me procure pas mal de plaisir. Alors te voir, Geneviève, branler Mic, ça commence à m'exciter et j'aimerais refaire comme quand on était jeune avec les auto-stoppeurs.
- Si tu t'excuse de m'avoir crier dessus et me pardonne d'avoir eu envie de baiser avec Mic.
- Ok, je m'excuse et te pardonne... Maintenant donne moi sa bite à lécher, j'ai très envie d'une belle bite pas trop grosse dans ma bouche.
- Alors déshabille toi, a poil complètement.
Le rouquin retire sa chemise, les poils roux sur sa poitrine ne m'attirent pas plus que ça. Il baisse son pantalon. Puis son slip. Sa bite est moyenne, plus grande que la mienne avec de grosses couilles qui pendent. Ca j'aime quand sa pend. Elle passe sa main entre ses jambes, saisi les bourses, les secouent, les enserres de ses doigts et tirent dessus.
- A genoux Georges et suce le bien.
Elle monte sur la table et me présente sa vulve gonflée.
- Bouffe moi la chatte, Mic. Bouffe moi bien, mord mes lèvres et rentre ta langue. Georges va glisser sous la table pour te sucer la queue. Cette vieille tapette n'est bonne qu'à lécher. Allez, écarte mes cuisses et bouffe moi le cul dit elle en se retournant et se pendant en mettant ses mains sur ses genoux.
Je regarde dans la grande glace de la salle bain dont la porte est ouverte. Je vois cette femme sur la table, courbée, le cul tendu vers ma bouche. Les seins pendants. Lui est sous la table, a genoux entrain de me sucer la bite. Je me vois, nu, excité au bout de cette table avec ce couple de 65 ans en plein délire. Seize heures sonnent au clocher du village. Quand je pense que j'étais juste passé dire bonjour.
- Tu rêve Mic ? Tu as perdu ta langue?
Geneviève me rappelle a l'ordre. Je me remet à lui bouffer la chatte, puis le cul, puis la chatte... Elle à ramasser la boite de pinces à linges qui était sur la table. Elle place une pince sur chaque tétons de ses gros nichons pendant. C'est trop bon, ce cul de salope. Et l'autre qui me pompe goulument. Elle est belle la vie.
2 años atrás
