Martine, ma cousine. Chapitre 3 Annette, la copine
Un matin, j’attendais ma cousine dans la grange et rien que de penser à sa petite chatte sans poil, et au plaisir qu’elle m’avait donné cette nuit, j’avais sorti ma bite de mon pantalon et je me branlais gentiment.
Je n’ai même pas entendu ma cousine arriver, mais quand elle a dit :
« Il est là ! Ooohhh, il a déjà sa queue à l’air ! Il se branle ! »
Putain ! Ce n’est pas Martine ! C'est Annette ! Sa copine !
Comme vous pouvez l'imaginer, j'ai presque paniqué en les voyant toutes les deux, mais quand Annette s’est exclamée :
« Tu as raison, il a une belle bite, ton cousin ! »
Et que Mellie, juste derrière, a ajouté :
« Salut, cousin, ma copine s’ennuyait toute seule et quand je lui ai dit ce que j’allais faire…, elle ne m’a plus lâchée ! »
Je n’ai même pas essayé de remettre ma bite dans mon froc car elle avait l’air de vraiment intéresser sa copine.
Martine m’avait promis une surprise et je comprends que la surprise…, c’est Annette.
Annette est plus jeune que Martine, un peu boulotte, mais juste pour avoir des belles formes vraiment appétissantes. Gros cul et gros seins que je mate souvent et ça n’a sûrement pas échappé à ma cousine.
Martine s’assied à côté de moi et prend ma bite dans sa main.
« Approche-toi Annette, tu verras mieux ce qui me fait jouir autant !
.. Toi, Bernard, tu fermes tes yeux et tu te laisses faire ! »
Ma cousine a de nouveau envie de jouer avec moi, mais cette fois, elle n’est pas toute seule ! Toujours prêt à lui obéir dans ces moments-là, je ferme mes yeux et je m’allonge sur le foin.
« Regarde, Nénette, il est en pleine forme ! »
La douce main de Martine caresse ma bite et décalotte mon gland et une bouche commence déjà à me sucer.
Est-ce Martine ou sa copine ? Je ne peux pas vraiment dire, jusqu'à ce que Martine demande si c’est bon…, alors que mon sexe est toujours dans une bouche chaude et qu’une langue tourne autour de mon gland.
C'est Annette ! Annette suce mon gland ! Sa bouche descend le long de ma tige et…, c'est incroyable ! Elle me l’avale entièrement, car Martine a retiré sa main pour prendre mes couilles et s’exclame :
« Waouh…, tu ne perds pas de temps ma cochonne, je vois que tu t’es bien entraînée après mes cours de turlute ! »
Annette lâche une seconde ma queue pour répondre :
« Avec un peu de pratique, on y arrive facilement, le sexe de Rémy est même un peu plus long ! » Dit-elle, avant de m'engloutir à nouveau complètement et geindre lorsqu’elle sa bouche touche mon pubis et que mon gland soit dans sa gorge.
Martine est une bonne suceuse, presque aussi bonne que ma cousine. Si elle continue comme ça, je ne vais pas tarder à jouir.
Pendant qu’elle me suce et me tète le gland, Martine a retiré mon t-shirt et elle caresse ma poitrine et mes couilles.
« Dis, Nénette…, j’espère que maintenant, tu avales toute la purée… ? »
Annette retire ma bite de sa bouche et répond :
« Oui…, j’avale tout ! C’est tellement mieux et j’adore ça !
– Pousse-toi, c’est mon tour ! »
La main de Martine att**** ma queue pour la mettre à la verticale et je sens ses lèvres autour de mon gland pour aspirer le jus qui commence à suinter sur le bout. Sa bouche avale mon sexe et elle me suce divinement. Une main de sa copine a attrapé mes bourses et elle dit :
« Fais attention, Martine, ses couilles deviennent très dures, il ne va pas tarder à gicler ! »
Martine serre fortement la base de ma bite et répond :
« Ne crains rien, je le tiens bien ! »
Elle écrase tellement mon sexe que mon envie de jouir passe et qu’elle peut desserrer son étreinte pour s’amuser à balancer ma queue de gauche à droite.
Annette vient de retirer sa petite culotte et elle dit :
« Pousse-toi, tu en as profité cette nuit, maintenant, c’est mon tour !
– OK. Il est tout à toi, je vais même t’aider…, tu la veux toujours dans ton petit cul ?
– Ouiiiii, tu m’as dit que ça faisait un drôle d’effet et je veux vérifier par moi-même !
.. J’ai amené le gel lubrifiant qu’utilise maman…, tu me prépares… ? »
Quelles petites salopes ! Elles ont tout manigancé ensemble. Et en plus, Annette veut se faire dépuceler sa petite rondelle ! Une main enduit ma queue de lubrifiant et Annette passe au-dessus de moi.
Avant de poser sa bouche sur la mienne, Annette dit :
« Prépare bien mon petit trou, Mess, il a quand-même une grosse bite, ton cousin ! »
Le cul en l’air, Annette me roule un patin d’enfer pendant que ma cousine lui graisse son petit trou en enfonçant ses doigts dedans. Ça ne doit pas déplaire à sa copine qui geint de plaisir dans ma bouche. Une main reprend ma queue et Martine déclare :
« Je pense que tu es prête, ma chérie, ton petit cul palpite et il est bien entrouvert ! »
Annette lâche ma bouche et, écartant ses fesses de ses deux mains, elle descend son cul vers ma queue tenue par Martine. Lorsque mon gland se pose sur son anus, il pénètre légèrement dedans et l’étanchéité est parfaite. Son anus se contracte lorsque je me soulève un peu pour aller plus loin et je n’insiste pas. Annette gémit, mais elle suit le mouvement de mon cul qui retombe sur le lit et mon gland passe d’un seul coup la barrière de muscles anaux.
« Oooohh, putain ! Elle est rentrée ! Regarde, Messi ! »
Annette reste comme ça un moment, probablement pour s’habituer à cette intrusion inusitée et elle reprend ma bouche pour la fouiller de sa langue sacrément agile.
Pendant notre baiser baveux, je sens son cul qui descend tout doucement sur ma bite. Elle est incroyablement serrée, mais progressivement, ma bite pénètre dans ses entrailles sous les gémissements d’Annette dans ma bouche.
Quand ma queue est entièrement prisonnière de son étroit conduit, Annette pousse un long soupir et s’exclame :
« Non de dieu ! Tu m’avais prévenue… mais ça fait une drôle de sensation !
.. Je suis complètement remplie par son sexe ! Putain ! C’est dingue ! »
Annette se soulève lentement, mais laisse le bout de ma bite enserré dans son anus et bouge légèrement son cul pour se complaire de cette nouvelle sensation que lui procure ma bite dans son trou du cul.
« Huuummm, c’est super ! Oooohh, la vache ! Qu’est-ce que je la sens bien ! »
Et elle redescend sur ma queue pour baiser son joli petit cul que je viens de déflorer.
Je sens une main qui se faufile entre nous deux et ma cousine se met à doigter la chatte de sa copine pendant qu’elle chevauche ma bite qui va et vient dans son trou du cul. Son autre main emprisonne mes couilles et elle s’écrie :
« Ses boules se gonflent ! Il va t’arroser le cul !
– Ooohh, nooonnn ! Je ne suis pas prête ! »
Du coup, Martine serre fortement mes couilles en tirant dessus, ce qui bloque, presque instantanément, mon envie de jouir.
Annette en profite pour baiser son cul plus rapidement en gémissant bruyamment et Martine frotte plus rapidement son clito, en essayant de suivre sa cadence.
Quel beau spectacle ! Annette presse ses seins en pinçant ses tétons. Elle a les yeux fermés, la bouche ouverte, se concentrant sur son orgasme. Annette commence à perdre le rythme et son corps se met à trembler sous l’orgasme qui éclate dans son ventre et son cul. Sa jouissance se voit sur son visage. Elle en bave de plaisir et, pinçant ses tétons, elle crie son bonheur :
« OOOOOooohhhh, ouiiiiiiiiiii ! Ouiiiiiiii ! AAAAAaaaaahhhhh… !
– C'est ça, Nénette ! C’est bon…, hein…, je te l’avais dit !
.. Tu aimes ça, te faire enculer, petite cochonne ! »
Annette ne répond rien, toute à sa jouissance, depuis que son cul a commencé ses convulsions sur ma queue et que son orgasme est entretenu par mon éjaculation qui, par des tirs de sperme saccadés, remplit ses entrailles brûlantes.
« Martine ! Il jouit dans mon cul ! Je le sens ! OOOoohhh, putain ! Que c’est booonnnnn… ! »
Annette s’est dégagée, ensuite, de ma queue et ma salope de cousine s’est empressée de saisir ma bite pour récolter le sperme qui continuait de s’écouler.
Je récupère, allongé sur le lit, et j’entends ma cousine dire :
« Ouiiiii, lèche bien ! Prépare-moi en attendant qu’il reprenne des forces ! »
Je lève ma tête et je vois ma cousine assise sur le bord d’une chaise qui tient la tête de sa copine entre ses mains et qui la plaque sur sa chatte, entre ses cuisses écartées. Annette ne se contente pas de lui lécher sa chatte, elle a, aussi, au moins 2 doigts à l'intérieur du sexe de Martine qui gémit de plus en plus fort au fur et à mesure que sa copine enfonce ses doigts plus profondément et qui la baise de plus en plus vite.
« Ooooh, ouiii, Nénette ! Continue comme ça, t’es de plus en plus douée pour faire ça ! »
Allongé sur le lit, devant ce spectacle, ma bite reprend un peu de vigueur et se redresse.
« Waouh ! Regarde Nénette, mon cousin reprend des forces ! »
Toutes deux s’approchent de moi et ma cousine, en prenant ma queue en main, dit :
« À mon avis, il faut quand-même lui donner un coup de main ! »
Sa bouche gobe mon sexe et sa langue polit mon gland. Apres quelques commentaires sur les saveurs de ma queue, elle serre ses lèvres autour et descend sa tête jusqu'à ce que je sente sa gorge s’ouvrir pour laisser passer mon gland et absorber toute ma bite dans sa bouche. Elle est vraiment douée pour les pipes, ma cousine. Et sûrement un bon professeur, car sa copine a parfaitement assimilé ses cours.
Martine libère ma queue particulièrement tendue et dure et Annette s’exclame :
« Ooooh, la belle bête ! Elle est vraiment belle et prête pour toi, Martine ! »
Martine n'a pas besoin de se le faire dire deux fois. Tenant ma queue à la verticale, elle se glisse au-dessus de moi et je sens la chaleur de son sexe sur mon gland qui écarte ses grandes lèvres humides.
Dans un long feulement de plaisir, elle s’empale sur mon sexe. Sa chatte est brûlante, humide et ma bite la pénètre entièrement avant qu’elle ne s’allonge sur moi pour écraser son clitoris sur mon pubis.
« Huuuuummm, Bernard…, j’adore ta bite ! »
Je suis au paradis quand ma cousine enfonce profondément mon sexe dans le sien, à chaque fois qu’elle retombe sur moi et que sa chatte tourbillonne sur ma queue dans un mouvement très sensuel de son cul. Quand elle fait ça, je peux atteindre ses seins pour les sucer ou son cul pour le malaxer en ouvrant et refermant ses fesses. Mais je la laisse libre de ses mouvements pour faire tout le travail, car elle adore ça. Elle aime me dominer, et contrôler la montée de sa jouissance. Quand elle sent son orgasme venir, elle ralentit ses va-et-vient sur mon membre palpitant. Complètement empalée sur ma queue, elle m’embrasse sauvagement jusqu'au reflux de la houle qui bat dans son ventre. Puis, elle remet ça en claquant son cul sur mes cuisses, sous le regard brillant de sa copine.
« Oooohh, Martine..., tu es belle comme ça ! Baise bien ton cousin !
– Putain, que c’est bon !
– Sûrement ! Et c’est beau à voir !
– Alors, regarde bien, Nénette, regarde comment on fait gueuler un mec ! » Dit ma cousine, en se cambrant et en se rejetant en arrière, pour malaxer et torde ma bite coincée dans sa chatte étroite.
Annette en profite pour jouer avec son clito.
« Oooohh, ouiiiiiii ! Continue... ! »
Je sens un doigt glisser le long de ma bite et ma cousine gémit encore plus fort. Elle est au bord de la jouissance.
Sa chatte a des convulsions et elle rebondit sur ma queue, avant de pousser un grand cri quand son orgasme éclate. Elle continue quand-même à s’agiter sur ma queue et Annette qui a retiré sa main s’écrie :
« Vas-y ! Fais-le jouir ! Fais-le gueuler ! »
Pour gueuler, j’ai gueulé ! J’ai beau avoir vidé mes couilles dans Annette, ces deux salopes me font encore jouir. J'explose de nouveau en serrant des fesses sous la pression des doigts d’Annette sur mes couilles et je déverse mon sperme dans la chatte de ma cousine toujours agitée par des spasmes qui broient ma bite.
« Waouh, s’exclame Annette, il a encore joui ! Il t’a bien rempli ta chatte ?
– Oooohhh, ouiiiiii ! Regarde… ! »
Ma cousine se retire de moi et ma bite apparaît, recouverte de son jus mélangé au mien, en laissant un long filet qui relie nos deux sexes.
Annette s’empresse d’att****r ma queue et elles se relayent pour sucer ma queue dégoulinante de jus. Elles ne l’abandonnent que lorsqu’elle est toute propre.
Ma cousine s’allonge sur le lit et passant sa main entre ses cuisses et s’écrie :
« Putain ! Ça déborde ! »
Annette, voyant sa chatte ouverte et dégoulinante de jus, se précipite sur elle et, comme une petite chienne, elle lape goulûment ce mélange de jus qu’elle semble vraiment apprécier.
J’ai, devant mes yeux, son cul encore humide et poisseux. J’écarte largement ses fesses et, moi aussi, je plonge ma langue dans ses puits d’amour, débordant de cette liqueur générée par nos jouissances.
C’est vraiment deux belles salopes avides de sexe…, mais je ne vais pas m’en plaindre. J’adore le sexe autant qu’elles.
Je n’ai même pas entendu ma cousine arriver, mais quand elle a dit :
« Il est là ! Ooohhh, il a déjà sa queue à l’air ! Il se branle ! »
Putain ! Ce n’est pas Martine ! C'est Annette ! Sa copine !
Comme vous pouvez l'imaginer, j'ai presque paniqué en les voyant toutes les deux, mais quand Annette s’est exclamée :
« Tu as raison, il a une belle bite, ton cousin ! »
Et que Mellie, juste derrière, a ajouté :
« Salut, cousin, ma copine s’ennuyait toute seule et quand je lui ai dit ce que j’allais faire…, elle ne m’a plus lâchée ! »
Je n’ai même pas essayé de remettre ma bite dans mon froc car elle avait l’air de vraiment intéresser sa copine.
Martine m’avait promis une surprise et je comprends que la surprise…, c’est Annette.
Annette est plus jeune que Martine, un peu boulotte, mais juste pour avoir des belles formes vraiment appétissantes. Gros cul et gros seins que je mate souvent et ça n’a sûrement pas échappé à ma cousine.
Martine s’assied à côté de moi et prend ma bite dans sa main.
« Approche-toi Annette, tu verras mieux ce qui me fait jouir autant !
.. Toi, Bernard, tu fermes tes yeux et tu te laisses faire ! »
Ma cousine a de nouveau envie de jouer avec moi, mais cette fois, elle n’est pas toute seule ! Toujours prêt à lui obéir dans ces moments-là, je ferme mes yeux et je m’allonge sur le foin.
« Regarde, Nénette, il est en pleine forme ! »
La douce main de Martine caresse ma bite et décalotte mon gland et une bouche commence déjà à me sucer.
Est-ce Martine ou sa copine ? Je ne peux pas vraiment dire, jusqu'à ce que Martine demande si c’est bon…, alors que mon sexe est toujours dans une bouche chaude et qu’une langue tourne autour de mon gland.
C'est Annette ! Annette suce mon gland ! Sa bouche descend le long de ma tige et…, c'est incroyable ! Elle me l’avale entièrement, car Martine a retiré sa main pour prendre mes couilles et s’exclame :
« Waouh…, tu ne perds pas de temps ma cochonne, je vois que tu t’es bien entraînée après mes cours de turlute ! »
Annette lâche une seconde ma queue pour répondre :
« Avec un peu de pratique, on y arrive facilement, le sexe de Rémy est même un peu plus long ! » Dit-elle, avant de m'engloutir à nouveau complètement et geindre lorsqu’elle sa bouche touche mon pubis et que mon gland soit dans sa gorge.
Martine est une bonne suceuse, presque aussi bonne que ma cousine. Si elle continue comme ça, je ne vais pas tarder à jouir.
Pendant qu’elle me suce et me tète le gland, Martine a retiré mon t-shirt et elle caresse ma poitrine et mes couilles.
« Dis, Nénette…, j’espère que maintenant, tu avales toute la purée… ? »
Annette retire ma bite de sa bouche et répond :
« Oui…, j’avale tout ! C’est tellement mieux et j’adore ça !
– Pousse-toi, c’est mon tour ! »
La main de Martine att**** ma queue pour la mettre à la verticale et je sens ses lèvres autour de mon gland pour aspirer le jus qui commence à suinter sur le bout. Sa bouche avale mon sexe et elle me suce divinement. Une main de sa copine a attrapé mes bourses et elle dit :
« Fais attention, Martine, ses couilles deviennent très dures, il ne va pas tarder à gicler ! »
Martine serre fortement la base de ma bite et répond :
« Ne crains rien, je le tiens bien ! »
Elle écrase tellement mon sexe que mon envie de jouir passe et qu’elle peut desserrer son étreinte pour s’amuser à balancer ma queue de gauche à droite.
Annette vient de retirer sa petite culotte et elle dit :
« Pousse-toi, tu en as profité cette nuit, maintenant, c’est mon tour !
– OK. Il est tout à toi, je vais même t’aider…, tu la veux toujours dans ton petit cul ?
– Ouiiiii, tu m’as dit que ça faisait un drôle d’effet et je veux vérifier par moi-même !
.. J’ai amené le gel lubrifiant qu’utilise maman…, tu me prépares… ? »
Quelles petites salopes ! Elles ont tout manigancé ensemble. Et en plus, Annette veut se faire dépuceler sa petite rondelle ! Une main enduit ma queue de lubrifiant et Annette passe au-dessus de moi.
Avant de poser sa bouche sur la mienne, Annette dit :
« Prépare bien mon petit trou, Mess, il a quand-même une grosse bite, ton cousin ! »
Le cul en l’air, Annette me roule un patin d’enfer pendant que ma cousine lui graisse son petit trou en enfonçant ses doigts dedans. Ça ne doit pas déplaire à sa copine qui geint de plaisir dans ma bouche. Une main reprend ma queue et Martine déclare :
« Je pense que tu es prête, ma chérie, ton petit cul palpite et il est bien entrouvert ! »
Annette lâche ma bouche et, écartant ses fesses de ses deux mains, elle descend son cul vers ma queue tenue par Martine. Lorsque mon gland se pose sur son anus, il pénètre légèrement dedans et l’étanchéité est parfaite. Son anus se contracte lorsque je me soulève un peu pour aller plus loin et je n’insiste pas. Annette gémit, mais elle suit le mouvement de mon cul qui retombe sur le lit et mon gland passe d’un seul coup la barrière de muscles anaux.
« Oooohh, putain ! Elle est rentrée ! Regarde, Messi ! »
Annette reste comme ça un moment, probablement pour s’habituer à cette intrusion inusitée et elle reprend ma bouche pour la fouiller de sa langue sacrément agile.
Pendant notre baiser baveux, je sens son cul qui descend tout doucement sur ma bite. Elle est incroyablement serrée, mais progressivement, ma bite pénètre dans ses entrailles sous les gémissements d’Annette dans ma bouche.
Quand ma queue est entièrement prisonnière de son étroit conduit, Annette pousse un long soupir et s’exclame :
« Non de dieu ! Tu m’avais prévenue… mais ça fait une drôle de sensation !
.. Je suis complètement remplie par son sexe ! Putain ! C’est dingue ! »
Annette se soulève lentement, mais laisse le bout de ma bite enserré dans son anus et bouge légèrement son cul pour se complaire de cette nouvelle sensation que lui procure ma bite dans son trou du cul.
« Huuummm, c’est super ! Oooohh, la vache ! Qu’est-ce que je la sens bien ! »
Et elle redescend sur ma queue pour baiser son joli petit cul que je viens de déflorer.
Je sens une main qui se faufile entre nous deux et ma cousine se met à doigter la chatte de sa copine pendant qu’elle chevauche ma bite qui va et vient dans son trou du cul. Son autre main emprisonne mes couilles et elle s’écrie :
« Ses boules se gonflent ! Il va t’arroser le cul !
– Ooohh, nooonnn ! Je ne suis pas prête ! »
Du coup, Martine serre fortement mes couilles en tirant dessus, ce qui bloque, presque instantanément, mon envie de jouir.
Annette en profite pour baiser son cul plus rapidement en gémissant bruyamment et Martine frotte plus rapidement son clito, en essayant de suivre sa cadence.
Quel beau spectacle ! Annette presse ses seins en pinçant ses tétons. Elle a les yeux fermés, la bouche ouverte, se concentrant sur son orgasme. Annette commence à perdre le rythme et son corps se met à trembler sous l’orgasme qui éclate dans son ventre et son cul. Sa jouissance se voit sur son visage. Elle en bave de plaisir et, pinçant ses tétons, elle crie son bonheur :
« OOOOOooohhhh, ouiiiiiiiiiii ! Ouiiiiiiii ! AAAAAaaaaahhhhh… !
– C'est ça, Nénette ! C’est bon…, hein…, je te l’avais dit !
.. Tu aimes ça, te faire enculer, petite cochonne ! »
Annette ne répond rien, toute à sa jouissance, depuis que son cul a commencé ses convulsions sur ma queue et que son orgasme est entretenu par mon éjaculation qui, par des tirs de sperme saccadés, remplit ses entrailles brûlantes.
« Martine ! Il jouit dans mon cul ! Je le sens ! OOOoohhh, putain ! Que c’est booonnnnn… ! »
Annette s’est dégagée, ensuite, de ma queue et ma salope de cousine s’est empressée de saisir ma bite pour récolter le sperme qui continuait de s’écouler.
Je récupère, allongé sur le lit, et j’entends ma cousine dire :
« Ouiiiii, lèche bien ! Prépare-moi en attendant qu’il reprenne des forces ! »
Je lève ma tête et je vois ma cousine assise sur le bord d’une chaise qui tient la tête de sa copine entre ses mains et qui la plaque sur sa chatte, entre ses cuisses écartées. Annette ne se contente pas de lui lécher sa chatte, elle a, aussi, au moins 2 doigts à l'intérieur du sexe de Martine qui gémit de plus en plus fort au fur et à mesure que sa copine enfonce ses doigts plus profondément et qui la baise de plus en plus vite.
« Ooooh, ouiii, Nénette ! Continue comme ça, t’es de plus en plus douée pour faire ça ! »
Allongé sur le lit, devant ce spectacle, ma bite reprend un peu de vigueur et se redresse.
« Waouh ! Regarde Nénette, mon cousin reprend des forces ! »
Toutes deux s’approchent de moi et ma cousine, en prenant ma queue en main, dit :
« À mon avis, il faut quand-même lui donner un coup de main ! »
Sa bouche gobe mon sexe et sa langue polit mon gland. Apres quelques commentaires sur les saveurs de ma queue, elle serre ses lèvres autour et descend sa tête jusqu'à ce que je sente sa gorge s’ouvrir pour laisser passer mon gland et absorber toute ma bite dans sa bouche. Elle est vraiment douée pour les pipes, ma cousine. Et sûrement un bon professeur, car sa copine a parfaitement assimilé ses cours.
Martine libère ma queue particulièrement tendue et dure et Annette s’exclame :
« Ooooh, la belle bête ! Elle est vraiment belle et prête pour toi, Martine ! »
Martine n'a pas besoin de se le faire dire deux fois. Tenant ma queue à la verticale, elle se glisse au-dessus de moi et je sens la chaleur de son sexe sur mon gland qui écarte ses grandes lèvres humides.
Dans un long feulement de plaisir, elle s’empale sur mon sexe. Sa chatte est brûlante, humide et ma bite la pénètre entièrement avant qu’elle ne s’allonge sur moi pour écraser son clitoris sur mon pubis.
« Huuuuummm, Bernard…, j’adore ta bite ! »
Je suis au paradis quand ma cousine enfonce profondément mon sexe dans le sien, à chaque fois qu’elle retombe sur moi et que sa chatte tourbillonne sur ma queue dans un mouvement très sensuel de son cul. Quand elle fait ça, je peux atteindre ses seins pour les sucer ou son cul pour le malaxer en ouvrant et refermant ses fesses. Mais je la laisse libre de ses mouvements pour faire tout le travail, car elle adore ça. Elle aime me dominer, et contrôler la montée de sa jouissance. Quand elle sent son orgasme venir, elle ralentit ses va-et-vient sur mon membre palpitant. Complètement empalée sur ma queue, elle m’embrasse sauvagement jusqu'au reflux de la houle qui bat dans son ventre. Puis, elle remet ça en claquant son cul sur mes cuisses, sous le regard brillant de sa copine.
« Oooohh, Martine..., tu es belle comme ça ! Baise bien ton cousin !
– Putain, que c’est bon !
– Sûrement ! Et c’est beau à voir !
– Alors, regarde bien, Nénette, regarde comment on fait gueuler un mec ! » Dit ma cousine, en se cambrant et en se rejetant en arrière, pour malaxer et torde ma bite coincée dans sa chatte étroite.
Annette en profite pour jouer avec son clito.
« Oooohh, ouiiiiiii ! Continue... ! »
Je sens un doigt glisser le long de ma bite et ma cousine gémit encore plus fort. Elle est au bord de la jouissance.
Sa chatte a des convulsions et elle rebondit sur ma queue, avant de pousser un grand cri quand son orgasme éclate. Elle continue quand-même à s’agiter sur ma queue et Annette qui a retiré sa main s’écrie :
« Vas-y ! Fais-le jouir ! Fais-le gueuler ! »
Pour gueuler, j’ai gueulé ! J’ai beau avoir vidé mes couilles dans Annette, ces deux salopes me font encore jouir. J'explose de nouveau en serrant des fesses sous la pression des doigts d’Annette sur mes couilles et je déverse mon sperme dans la chatte de ma cousine toujours agitée par des spasmes qui broient ma bite.
« Waouh, s’exclame Annette, il a encore joui ! Il t’a bien rempli ta chatte ?
– Oooohhh, ouiiiiii ! Regarde… ! »
Ma cousine se retire de moi et ma bite apparaît, recouverte de son jus mélangé au mien, en laissant un long filet qui relie nos deux sexes.
Annette s’empresse d’att****r ma queue et elles se relayent pour sucer ma queue dégoulinante de jus. Elles ne l’abandonnent que lorsqu’elle est toute propre.
Ma cousine s’allonge sur le lit et passant sa main entre ses cuisses et s’écrie :
« Putain ! Ça déborde ! »
Annette, voyant sa chatte ouverte et dégoulinante de jus, se précipite sur elle et, comme une petite chienne, elle lape goulûment ce mélange de jus qu’elle semble vraiment apprécier.
J’ai, devant mes yeux, son cul encore humide et poisseux. J’écarte largement ses fesses et, moi aussi, je plonge ma langue dans ses puits d’amour, débordant de cette liqueur générée par nos jouissances.
C’est vraiment deux belles salopes avides de sexe…, mais je ne vais pas m’en plaindre. J’adore le sexe autant qu’elles.
3 años atrás
