Mes premiers pas de femelle (réel)
C'est au début de l'adolescence que j'ai commencé à essayer mes première culottes féminines, ou encore à essayer les jupes de ma soeur. Lorsque j'étais seule chez moi, j'en profitais.
Plus tard, à 19 ans, j'étais seule plusieurs jours. Ni une ni deux, dès le samedi soir, j'en ai profité. Epilation totale, je prends une douche, puis porte la lingerie que je cachais. Je pique une jupe et un haut, des sandales, me maquille et mets les accessoires de maquillage dans un sac à mains. Il fait nuit. Je prend la voiture, puis me rends sur un lieu de drague de la région ou des hommes cherchent d'autres hommes. Je ne cherchais rien de spécial : il s'agissait surtout de curiosité. Je me gare et observe. Un peu de lumière pour remettre du rouge à lèvres... et bien-sûr quelqu'un vint frapper à ma fenêtre ! Je baisse donc la vitre et il m'aborde :
« Bonsoir !
- Bonsoir.
- Tu cherches quelque-chose ? »
Travestie sur un lieu de drague, et même si je n'étais pas venue pour ça, je me voyais mal répondre autrement que par l'affirmative. Fort de cette réponse, il me propose de nous rendre dans un endroit discret qu'il m'indiquerait. Je l'invite à monter, et au lieu de se mettre à l'avant comme je l'imaginais, il se plaça derrière moi. C'était pour mieux me caresser ! Tout en m'indiquant le trajet, je sentais ses mains se balader sur moi. J'appréciais cela.
Une fois arrivés, il m'invita à le rejoindre derrière. Pendant que je sors, il ouvre la portière. Je découvre alors un homme qui avait déjà retiré son pantalon et son caleçon. Son sexe dressé était bien en évidence. Je savais ce que je devais faire. Ni une ni deux je m'accroupis, jambes écartées, et ouvre grand la bouche pour y mettre sa bite. Je prends plaisir à le pomper. Parfois, il me force à le mettre tout entier, ou me donne le rythme en me tenant la tête avec douceur. Je me laisse faire. Je me laisse faire jusqu'au bout. Jusqu'à ce moment ou il accélère avant de me plaquer la tête contre lui et se vide au fond de ma gorge. Je me suis sentie femelle. Il se retire. Je nettoie sa queue avec ma bouche, bien décidée à ne laisser aucune goutte de son délicieux nectar. Je me redresse, réajuste ma jupe. Il me félicite de mes qualités de suceuse, ce dont je le remercie, ce compliment m'ayant réellement fait plaisir. Sur le retour, il échange quelques banalités, puis je rentre chez moi.
J'ai peu dormi cette nuit-là : un homme m'avait abordée, m'a offert son magnifique sexe, m'a fait goûter son jus, et m'a confortée dans l'idée que j'étais à ma place et que j'étais faite pour cela.
Depuis, je n'ai eu de cesse de rechercher l'approbation masculine. Les hommes sont devenus un besoin. Je suis faite pour les satisfaire et pour leur obéir.
Plus tard, à 19 ans, j'étais seule plusieurs jours. Ni une ni deux, dès le samedi soir, j'en ai profité. Epilation totale, je prends une douche, puis porte la lingerie que je cachais. Je pique une jupe et un haut, des sandales, me maquille et mets les accessoires de maquillage dans un sac à mains. Il fait nuit. Je prend la voiture, puis me rends sur un lieu de drague de la région ou des hommes cherchent d'autres hommes. Je ne cherchais rien de spécial : il s'agissait surtout de curiosité. Je me gare et observe. Un peu de lumière pour remettre du rouge à lèvres... et bien-sûr quelqu'un vint frapper à ma fenêtre ! Je baisse donc la vitre et il m'aborde :
« Bonsoir !
- Bonsoir.
- Tu cherches quelque-chose ? »
Travestie sur un lieu de drague, et même si je n'étais pas venue pour ça, je me voyais mal répondre autrement que par l'affirmative. Fort de cette réponse, il me propose de nous rendre dans un endroit discret qu'il m'indiquerait. Je l'invite à monter, et au lieu de se mettre à l'avant comme je l'imaginais, il se plaça derrière moi. C'était pour mieux me caresser ! Tout en m'indiquant le trajet, je sentais ses mains se balader sur moi. J'appréciais cela.
Une fois arrivés, il m'invita à le rejoindre derrière. Pendant que je sors, il ouvre la portière. Je découvre alors un homme qui avait déjà retiré son pantalon et son caleçon. Son sexe dressé était bien en évidence. Je savais ce que je devais faire. Ni une ni deux je m'accroupis, jambes écartées, et ouvre grand la bouche pour y mettre sa bite. Je prends plaisir à le pomper. Parfois, il me force à le mettre tout entier, ou me donne le rythme en me tenant la tête avec douceur. Je me laisse faire. Je me laisse faire jusqu'au bout. Jusqu'à ce moment ou il accélère avant de me plaquer la tête contre lui et se vide au fond de ma gorge. Je me suis sentie femelle. Il se retire. Je nettoie sa queue avec ma bouche, bien décidée à ne laisser aucune goutte de son délicieux nectar. Je me redresse, réajuste ma jupe. Il me félicite de mes qualités de suceuse, ce dont je le remercie, ce compliment m'ayant réellement fait plaisir. Sur le retour, il échange quelques banalités, puis je rentre chez moi.
J'ai peu dormi cette nuit-là : un homme m'avait abordée, m'a offert son magnifique sexe, m'a fait goûter son jus, et m'a confortée dans l'idée que j'étais à ma place et que j'étais faite pour cela.
Depuis, je n'ai eu de cesse de rechercher l'approbation masculine. Les hommes sont devenus un besoin. Je suis faite pour les satisfaire et pour leur obéir.
3 años atrás
