Ma femme baisée sur la plage par un chien (1)
Une année lors d’un voyage en Hollande, avec ma femme nous étions allés, un soir faire une sortie coquine à Amsterdam, lieu incontournable quand on se trouve dans ce pays et qu’on est un tant soit peu ouvert aux plaisirs du sexe !
Nous faisions la tournée des sex-shops dans le quartier rouge et mon attention a été arrêtée par un panneau invitant à rentrer dans un cinéma projetant des films avec des animaux, ma chérie, voyant que je marquais un temps d’arrêt devant ce panneau, me demanda si je voulais entrer, je lui répondis que c’était un vieux fantasme et que je serais ravi de rentrer voir ça !
Nous voilà donc dans une salle obscure, où tournait en boucle un film dans lequel une jeune femme plutôt bien de sa personne profitait des attributs virils de son chien, et même, à un moment, d’un poney.
Nous étions assis dans la même rangée qu’un couple que nous ne vîmes qu’une fois que nos yeux se furent habitués à la lumière.
Une place vide se trouvait entre ma femme et l’homme du couple voisin.
Rapidement excité par les images de la femme qui à quatre pattes sur le sol, se faisait vigoureusement baiser par un gros chien dont on voyait la grosse bite rouge entrer et sortir de sa chatte toute dégoulinante de sperme canin, je bandais ferme et ma femme dont la main était posée sur ma braguette me regarda avec un petit sourire et me dit à l’oreille de l’aider à sortir ma queue discrètement pour qu’elle puisse me branler.
Je lui fis remarquer que l’homme non loin d’elle était dans le même état que moi et ne se cachait pas, en effet, il était pantalon défait, la queue bien visible malgré la pénombre, le gland brillant et décalotté, et la main de la femme à côté de lui qui lui caressait les couilles.
Nous vîmes aussi qu’il regardait de notre côté et particulièrement qu’il détaillait ma femme avec appétit.
C’est donc sans nous cacher que je me suis mis à l’aise et que je me suis fait prendre en main par la petite mimine de ma chérie, tout en envoyant la mienne en reconnaissance sous sa jupe longue que je fis remonter pour avoir accès plus facilement à sa chatte.
C’est une chatte bien coulante que je découvrais entre ses cuisses et je lui fis remarquer que mon fantasme avait l’air de bien l’exciter elle aussi. Elle prétendit que c’était la situation avec le couple à côté de nous en train de se caresser et de nous mater qui l’excitait. Je découvrais donc ses cuisses largement , lui fis écarter les jambes pour que son voisin puisse admirer ses trésors humides, ce qu’il ne se priva pas de faire et la femme située à côté de lui, elle aussi se pencha au dessus de lui pour nous regarder nous exhiber devant eux.
Ils nous souriaient et avaient l’air fort avenants, nous mations et nous exhibions tous les quatre, tout en continuant de regarder l’écran où la femme maintenant était en train de se faire défoncer par un poney, allongée sur le ventre sur un banc prévu à cet effet, et à la bonne hauteur, elle dirigeait vers son con grand ouvert, la queue monstrueuse, terminée par une sorte de champignon d’où s’écoulait un sperme abondant, de sa chatte aussi un trop plein de sperme a****l dégorgeait jusque sur ses cuisses. L’a****l poussait violemment son vit démesuré dans le ventre inondé de la femme dont les quelques gros plans sur le visage laissaient à penser qu’elle y prenait un plaisir intense.
Il était incroyable de voir cette grosseur entrer si facilement dans cette fente humaine, il faut dire que la bête coulait abondamment et qu’elle poussait si fort qu’il fallait bien que les chairs s’écartent pour laisser passer son ardeur bestiale d’ailleurs bien dirigée par la main même de la femme.
Cette scène accapara tellement notre attention que nous ne vîmes par nos voisins se rapprocher de nous et c’est seulement quand la main de l’homme vint se joindre à la mienne pour caresser le con gluant de ma petite salope, que nous en prîmes conscience.
Ma femme me regarda, au moment où elle sentit les doigts de l’inconnu la toucher, avec un regard tout chaviré. Je l’embrassais pour l’encourager à se laisser aller à son plaisir. Elle se pencha sur moi pour me prendre dans sa bouche, et se faisant offrir sa croupe dénudée aux mains exploratrices.
Les doigts de l’homme entraient maintenant dans la petite chatte de ma femme adorée lui faisant un bien fou. Elle adore se faire fouiller de la sorte.
Puis je vis l’homme se lever et se positionner pour embrocher ma petite pute, je le vis avec soulagement enfiler une capote sur son vit congestionné, je saisis alors cette bite tendue dans mes doigts, en appréciant la rigidité et la longueur et la fis glisser contre les lèvres vaginales de mon épouse, la faisant attendre pour qu’elle le souhaite en elle le plus fort possible. Jugeant enfin qu’elle avait droit à sa récompense, je le positionnais bien entre ses lèvres juteuses et le poussais à l’intérieur de son ventre.
Je lui murmurais en même temps qu’elle était une chienne, qu’elle se faisait prendre comme une chienne, que je l’aimais quand elle était bien salope comme ça et que je voulais qu’elle prenne bien son plaisir avec la queue qui la labourait maintenant.
Elle serrait ma main avec force me faisant ainsi participer à l’orgasme dévastateur qui montait en elle alors que de l’autre main je sentais la bite de l’homme entrer et sortir de ses entrailles, poussée aussi par la main de sa compagne que je sentais par moment se joindre à la mienne.
Puis l’inconnu se jeta contre elle, le ventre collé à son cul relevé et dans des spasmes fulgurants se vida de son jus épais dans le ventre de ma chérie qui hurlait son plaisir. Heureusement le film faisait plus de bruit que nous, mais nous avions fini, malgré le fait que nous soyons placés au fond de la salle, par attirer l’attention des autres spectateurs, aussi, nous dûmes nous sauver rapidement car un attroupement d’hommes en rut, commençait à se faire autour de nous.
Si mon histoire vous a plu, vous pouvez la commenter. J’aime imaginer ma femme aux mains d’autres personnes qui lui font du bien en se faisant du bien aussi à eux même.
Bientôt la suite sur la plage, comme l’indique le titre...
Nous faisions la tournée des sex-shops dans le quartier rouge et mon attention a été arrêtée par un panneau invitant à rentrer dans un cinéma projetant des films avec des animaux, ma chérie, voyant que je marquais un temps d’arrêt devant ce panneau, me demanda si je voulais entrer, je lui répondis que c’était un vieux fantasme et que je serais ravi de rentrer voir ça !
Nous voilà donc dans une salle obscure, où tournait en boucle un film dans lequel une jeune femme plutôt bien de sa personne profitait des attributs virils de son chien, et même, à un moment, d’un poney.
Nous étions assis dans la même rangée qu’un couple que nous ne vîmes qu’une fois que nos yeux se furent habitués à la lumière.
Une place vide se trouvait entre ma femme et l’homme du couple voisin.
Rapidement excité par les images de la femme qui à quatre pattes sur le sol, se faisait vigoureusement baiser par un gros chien dont on voyait la grosse bite rouge entrer et sortir de sa chatte toute dégoulinante de sperme canin, je bandais ferme et ma femme dont la main était posée sur ma braguette me regarda avec un petit sourire et me dit à l’oreille de l’aider à sortir ma queue discrètement pour qu’elle puisse me branler.
Je lui fis remarquer que l’homme non loin d’elle était dans le même état que moi et ne se cachait pas, en effet, il était pantalon défait, la queue bien visible malgré la pénombre, le gland brillant et décalotté, et la main de la femme à côté de lui qui lui caressait les couilles.
Nous vîmes aussi qu’il regardait de notre côté et particulièrement qu’il détaillait ma femme avec appétit.
C’est donc sans nous cacher que je me suis mis à l’aise et que je me suis fait prendre en main par la petite mimine de ma chérie, tout en envoyant la mienne en reconnaissance sous sa jupe longue que je fis remonter pour avoir accès plus facilement à sa chatte.
C’est une chatte bien coulante que je découvrais entre ses cuisses et je lui fis remarquer que mon fantasme avait l’air de bien l’exciter elle aussi. Elle prétendit que c’était la situation avec le couple à côté de nous en train de se caresser et de nous mater qui l’excitait. Je découvrais donc ses cuisses largement , lui fis écarter les jambes pour que son voisin puisse admirer ses trésors humides, ce qu’il ne se priva pas de faire et la femme située à côté de lui, elle aussi se pencha au dessus de lui pour nous regarder nous exhiber devant eux.
Ils nous souriaient et avaient l’air fort avenants, nous mations et nous exhibions tous les quatre, tout en continuant de regarder l’écran où la femme maintenant était en train de se faire défoncer par un poney, allongée sur le ventre sur un banc prévu à cet effet, et à la bonne hauteur, elle dirigeait vers son con grand ouvert, la queue monstrueuse, terminée par une sorte de champignon d’où s’écoulait un sperme abondant, de sa chatte aussi un trop plein de sperme a****l dégorgeait jusque sur ses cuisses. L’a****l poussait violemment son vit démesuré dans le ventre inondé de la femme dont les quelques gros plans sur le visage laissaient à penser qu’elle y prenait un plaisir intense.
Il était incroyable de voir cette grosseur entrer si facilement dans cette fente humaine, il faut dire que la bête coulait abondamment et qu’elle poussait si fort qu’il fallait bien que les chairs s’écartent pour laisser passer son ardeur bestiale d’ailleurs bien dirigée par la main même de la femme.
Cette scène accapara tellement notre attention que nous ne vîmes par nos voisins se rapprocher de nous et c’est seulement quand la main de l’homme vint se joindre à la mienne pour caresser le con gluant de ma petite salope, que nous en prîmes conscience.
Ma femme me regarda, au moment où elle sentit les doigts de l’inconnu la toucher, avec un regard tout chaviré. Je l’embrassais pour l’encourager à se laisser aller à son plaisir. Elle se pencha sur moi pour me prendre dans sa bouche, et se faisant offrir sa croupe dénudée aux mains exploratrices.
Les doigts de l’homme entraient maintenant dans la petite chatte de ma femme adorée lui faisant un bien fou. Elle adore se faire fouiller de la sorte.
Puis je vis l’homme se lever et se positionner pour embrocher ma petite pute, je le vis avec soulagement enfiler une capote sur son vit congestionné, je saisis alors cette bite tendue dans mes doigts, en appréciant la rigidité et la longueur et la fis glisser contre les lèvres vaginales de mon épouse, la faisant attendre pour qu’elle le souhaite en elle le plus fort possible. Jugeant enfin qu’elle avait droit à sa récompense, je le positionnais bien entre ses lèvres juteuses et le poussais à l’intérieur de son ventre.
Je lui murmurais en même temps qu’elle était une chienne, qu’elle se faisait prendre comme une chienne, que je l’aimais quand elle était bien salope comme ça et que je voulais qu’elle prenne bien son plaisir avec la queue qui la labourait maintenant.
Elle serrait ma main avec force me faisant ainsi participer à l’orgasme dévastateur qui montait en elle alors que de l’autre main je sentais la bite de l’homme entrer et sortir de ses entrailles, poussée aussi par la main de sa compagne que je sentais par moment se joindre à la mienne.
Puis l’inconnu se jeta contre elle, le ventre collé à son cul relevé et dans des spasmes fulgurants se vida de son jus épais dans le ventre de ma chérie qui hurlait son plaisir. Heureusement le film faisait plus de bruit que nous, mais nous avions fini, malgré le fait que nous soyons placés au fond de la salle, par attirer l’attention des autres spectateurs, aussi, nous dûmes nous sauver rapidement car un attroupement d’hommes en rut, commençait à se faire autour de nous.
Si mon histoire vous a plu, vous pouvez la commenter. J’aime imaginer ma femme aux mains d’autres personnes qui lui font du bien en se faisant du bien aussi à eux même.
Bientôt la suite sur la plage, comme l’indique le titre...
5 years ago
Maintenant , étant sur ma page , je vous demander de quitter ces lieux svp... sinon je me verrai dans l'obligation de vous éjecter manu military , comme vous avez pu l'être a votre époque collégienne... merci
En résumé , je disais " j'espère que çà vous fera du bien "...
Mais vous êtes un vieil homme aigri... et je n'ai AUCUNE excuse à vous faire...
Bon vent à vous , la porte est ouverte , bye