Chap.17: Leçon de jardinage
Je suis rentrée chez moi au petit matin. Toute cette jeunesse, épuisée par cette nuit, dort encore.
Je prends une douche, puis un bon café et, vers les 9 heures du matin, je vois arriver Thomas.
Il a l’air vaseux, la démarche hésitante, et se tient à l’encadrement de la baie vitrée.
- Tu vas bien ?
- Mmmm…. Oui, on a fini le rhum… avec Jules…
- Je vois ça… Tu devrais aller dormir.
Il se dirige vers moi et il me pelote les seins, qui sont nus sous une légère tunique en coton.
- Ma pute… Je te veux !
Je m’échappe de ses bras et je ris.
- Tu n’es pas en état ! Tu peux à peine tenir debout !
- Ouais… tu as raison…
Il s’assied sur le canapé et se débraguette. Il branle doucement son sexe, jusqu’à ce qu’il durcisse un peu.
- Viens me sucer ! dit-il, la voix un peu vaseuse. Allez, viens voir ton Thomas, ma petite putain… viens me vider les couilles…
Cela ressemble tellement peu au garçon timide que je connais que je ne peux m’empêcher de rire. En même temps, je suis troublée. Y a-t-il une autre facette de Thomas que je ne connais pas ? Un Thomas plus brutal, moins policé ?
Je m’agenouille devant lui. Il écarte ses genoux et me saisit par les cheveux.
- Suce, j’te dis ! Ouv’ la bouche, salope !
Je joue le jeu et le prends dans ma bouche. Il durcit un peu et se relâche complètement.
- Aaaaaah, putain que c’est bon de se faire sucer par une salope ! Hein ?
Il appuie sur ma tête et sa bite s’enfonce jusqu’à ma gorge. Il imprime le rythme en me tenant par les cheveux.
- Putain, Mylène ! Tu suces mieux que ma cousine Claire ! La femme de Romain ! Et pourtant, c’est une sacré salope !
Je ne peux pas rire, ayant la bouche pleine de sa bite qui semble encore avoir grossi. Mais je me jure bien de lui demander plus tard qui est cette Mylène.
- Aaaaaah, je sens que ça vient ! Vide-moi bien les couilles, ma pute !
Il éjacule dans ma bouche et je manque m’étrangler avec son sperme. J’en avale le maximum mais une partie coule sur mon menton.
Thomas est désormais tout mou. Je le regarde et je constate qu’il s’est end.ormi.
Je l’allonge sur le canapé, sa queue pendant mollement sur sa cuisse.
Je vais ranger quelques affaires puis je vais me baigner dans la piscine. Tandis que je fais quelques brasses, nue, j’entends du bruit dans la haie.
Je sors de l’eau, pensant qu’il s’agit de M. Durand qui me matte. Et je vois dépasser la tête de Christian.
Christian est le jardinier de M.Durand et de quelques autres voisins du quartier.
J’ai fait appel à ses services pour tailler un énorme murier que nous avons près de la terrasse. C’était à une période ou Romain était souvent absent. J’ai adoré me faire enculer par Christian sous cet arbre majestueux, sans me soucier si mes cris attiraient des voyeurs.
Christian a 55 ans et il est bien bâti, très viril.
- Besoin de mes services ? demande t’il en souriant.
- Oui. J’ai un jeune homme qui s’est end.ormi en pleine activité… Trop bu.
- Ah, l’alcool, point trop n’en faut ! dit-il en me rejoignant.
Il me prend par la taille, indifférent à l’eau qui coule encore sur mon corps nu et qui mouille sa salopette.
- On va sous le mûrier ? demande t’il.
- Oui… J’ai besoin d’une bonne bite !
- J’ai ça en magasin !
Sous le murier, je le déshabille. Son engin est prêt à l’emploi, raide comme la justice. Il s’appuie à l’arbre et moi, à ses genoux, je le suce.
Un peu frustrée par Thomas, je déballe le grand jeu pour Christian. Ma langue le lèche partout, le long de sa tige et sous les couilles que je trouve bien pleines. Il pousse un peu sur ma tête et j’avale son membre. Il a une belle grosse bite, j’adore !
Je ne sais pas pourquoi mais j’ai toujours aimé cajoler le sexe des hommes. Prendre en bouche leur queue ne m’a jamais posé de problème, ça a toujours été un plaisir, un peu comme si je suçais une sucette.
C’est comme ça que suis passée directement de la chupa chups à la bite de mon voisin.
Il avait tren.te-ci.nq a.ns et vivait avec sa femme au second étage de mon immeuble. J’avais sei.ze ans quand je l’ai sucé dans le parking souterrain de la résidence.
Et dix-s.ept quand je l’ai suivi chez lui pour qu’il m’apprenne plein de choses.
On se retrouvait chaque fois que sa femme était absente. Parfois, il y avait deux ou trois de ses copains. C’est avec eux que j’ai appris à aimer la sodomie et les amours de groupe, avec eux que j’ai compris que le sexe était la grande affaire de ma vie.
Il était inquiet que sa femme l’apprenne. Mais il n’a jamais su, je crois, que j’avais détecté chez sa femme une attirance pour les filles. Et je n’ai rien dit, même pas quand je faisais l’amour avec elle, quand il était absent. Et réciproquement.
- Attends ! fait Christian.
Il me relève et m’embrasse. Mes lèvres doivent sentir l’odeur musquée de son sexe.
Il me penche vers l’avant, les mains sur le tronc de ce vénérable murier et la croupe en extension.
- Je peux t’enculer ?
- Bien sûr !
Il prépare un peu mon anus, l’humecte avec ma mouille, me pénètre de son doigt. Je me cambre, frissonnante.
C’est là que je vois Thomas. Il est derrière la baie vitrée, ne perdant pas une miette du spectacle. Je le fixe de mon regard, sans trop savoir s’il se rend compte que je l’ai vu et que je lui offre le plaisir que je vais prendre avec Christian.
- Haaaah…
Le cri jaillit sans que je l’ai voulu. Je me cambre alors que Christian m’encule. Il me tient par les hanches et s’enfonce le plus profondément possible, m’arrachant des cris de plaisir.
- Ca va ? demande t’il.
- Oui… Continue, c’est trop bon !
Il m’encule sans ménagement mais en faisant attention à mon plaisir. Il rentre et ressort de mon cul, déclenchant mes cris et gémissements, ainsi que des tremblements incontrôlables de mon corps.
Il tient assez longtemps, dilatant mon anus par ses coups de boutoir. Et, finalement, dans un râle, il jouit dans mes entrailles, lâchant deux jets de sève tiède et collante.
A nouveau à genoux, je le suce avec voracité. Je le veux jusqu’à la dernière goutte !
Je jette un œil vers la baie vitrée. Thomas nous regarde, la bite à la main.
Christian pique une tête dans la piscine. Je le rejoins. Il bande à nouveau. Mes jambes enroulées autour de son bassin, je l’accueille dans mon vagin. Il me baise avec ardeur, comme un jeune homme qu’il n’est plus. Comme une chatte en furie, je le mords aux épaules et au cou en grognant. C’est comme s’il ne sentait rien. Et lorsqu’il se répand en moi, nous jouissons ensemble.
Si je n’avais pas Romain, je crois que j’aimerais bien vivre avec Christian. Mais serait-il aussi accommodant que mon amour ? Christian ne sait pas que j’ai une vie sexuelle débridée.
Thomas, lui, le sait. Il me suit du regard, derrière la baie vitrée tandis que je remonte vers la maison, après le départ de Christian.
Je prends une douche, puis un bon café et, vers les 9 heures du matin, je vois arriver Thomas.
Il a l’air vaseux, la démarche hésitante, et se tient à l’encadrement de la baie vitrée.
- Tu vas bien ?
- Mmmm…. Oui, on a fini le rhum… avec Jules…
- Je vois ça… Tu devrais aller dormir.
Il se dirige vers moi et il me pelote les seins, qui sont nus sous une légère tunique en coton.
- Ma pute… Je te veux !
Je m’échappe de ses bras et je ris.
- Tu n’es pas en état ! Tu peux à peine tenir debout !
- Ouais… tu as raison…
Il s’assied sur le canapé et se débraguette. Il branle doucement son sexe, jusqu’à ce qu’il durcisse un peu.
- Viens me sucer ! dit-il, la voix un peu vaseuse. Allez, viens voir ton Thomas, ma petite putain… viens me vider les couilles…
Cela ressemble tellement peu au garçon timide que je connais que je ne peux m’empêcher de rire. En même temps, je suis troublée. Y a-t-il une autre facette de Thomas que je ne connais pas ? Un Thomas plus brutal, moins policé ?
Je m’agenouille devant lui. Il écarte ses genoux et me saisit par les cheveux.
- Suce, j’te dis ! Ouv’ la bouche, salope !
Je joue le jeu et le prends dans ma bouche. Il durcit un peu et se relâche complètement.
- Aaaaaah, putain que c’est bon de se faire sucer par une salope ! Hein ?
Il appuie sur ma tête et sa bite s’enfonce jusqu’à ma gorge. Il imprime le rythme en me tenant par les cheveux.
- Putain, Mylène ! Tu suces mieux que ma cousine Claire ! La femme de Romain ! Et pourtant, c’est une sacré salope !
Je ne peux pas rire, ayant la bouche pleine de sa bite qui semble encore avoir grossi. Mais je me jure bien de lui demander plus tard qui est cette Mylène.
- Aaaaaah, je sens que ça vient ! Vide-moi bien les couilles, ma pute !
Il éjacule dans ma bouche et je manque m’étrangler avec son sperme. J’en avale le maximum mais une partie coule sur mon menton.
Thomas est désormais tout mou. Je le regarde et je constate qu’il s’est end.ormi.
Je l’allonge sur le canapé, sa queue pendant mollement sur sa cuisse.
Je vais ranger quelques affaires puis je vais me baigner dans la piscine. Tandis que je fais quelques brasses, nue, j’entends du bruit dans la haie.
Je sors de l’eau, pensant qu’il s’agit de M. Durand qui me matte. Et je vois dépasser la tête de Christian.
Christian est le jardinier de M.Durand et de quelques autres voisins du quartier.
J’ai fait appel à ses services pour tailler un énorme murier que nous avons près de la terrasse. C’était à une période ou Romain était souvent absent. J’ai adoré me faire enculer par Christian sous cet arbre majestueux, sans me soucier si mes cris attiraient des voyeurs.
Christian a 55 ans et il est bien bâti, très viril.
- Besoin de mes services ? demande t’il en souriant.
- Oui. J’ai un jeune homme qui s’est end.ormi en pleine activité… Trop bu.
- Ah, l’alcool, point trop n’en faut ! dit-il en me rejoignant.
Il me prend par la taille, indifférent à l’eau qui coule encore sur mon corps nu et qui mouille sa salopette.
- On va sous le mûrier ? demande t’il.
- Oui… J’ai besoin d’une bonne bite !
- J’ai ça en magasin !
Sous le murier, je le déshabille. Son engin est prêt à l’emploi, raide comme la justice. Il s’appuie à l’arbre et moi, à ses genoux, je le suce.
Un peu frustrée par Thomas, je déballe le grand jeu pour Christian. Ma langue le lèche partout, le long de sa tige et sous les couilles que je trouve bien pleines. Il pousse un peu sur ma tête et j’avale son membre. Il a une belle grosse bite, j’adore !
Je ne sais pas pourquoi mais j’ai toujours aimé cajoler le sexe des hommes. Prendre en bouche leur queue ne m’a jamais posé de problème, ça a toujours été un plaisir, un peu comme si je suçais une sucette.
C’est comme ça que suis passée directement de la chupa chups à la bite de mon voisin.
Il avait tren.te-ci.nq a.ns et vivait avec sa femme au second étage de mon immeuble. J’avais sei.ze ans quand je l’ai sucé dans le parking souterrain de la résidence.
Et dix-s.ept quand je l’ai suivi chez lui pour qu’il m’apprenne plein de choses.
On se retrouvait chaque fois que sa femme était absente. Parfois, il y avait deux ou trois de ses copains. C’est avec eux que j’ai appris à aimer la sodomie et les amours de groupe, avec eux que j’ai compris que le sexe était la grande affaire de ma vie.
Il était inquiet que sa femme l’apprenne. Mais il n’a jamais su, je crois, que j’avais détecté chez sa femme une attirance pour les filles. Et je n’ai rien dit, même pas quand je faisais l’amour avec elle, quand il était absent. Et réciproquement.
- Attends ! fait Christian.
Il me relève et m’embrasse. Mes lèvres doivent sentir l’odeur musquée de son sexe.
Il me penche vers l’avant, les mains sur le tronc de ce vénérable murier et la croupe en extension.
- Je peux t’enculer ?
- Bien sûr !
Il prépare un peu mon anus, l’humecte avec ma mouille, me pénètre de son doigt. Je me cambre, frissonnante.
C’est là que je vois Thomas. Il est derrière la baie vitrée, ne perdant pas une miette du spectacle. Je le fixe de mon regard, sans trop savoir s’il se rend compte que je l’ai vu et que je lui offre le plaisir que je vais prendre avec Christian.
- Haaaah…
Le cri jaillit sans que je l’ai voulu. Je me cambre alors que Christian m’encule. Il me tient par les hanches et s’enfonce le plus profondément possible, m’arrachant des cris de plaisir.
- Ca va ? demande t’il.
- Oui… Continue, c’est trop bon !
Il m’encule sans ménagement mais en faisant attention à mon plaisir. Il rentre et ressort de mon cul, déclenchant mes cris et gémissements, ainsi que des tremblements incontrôlables de mon corps.
Il tient assez longtemps, dilatant mon anus par ses coups de boutoir. Et, finalement, dans un râle, il jouit dans mes entrailles, lâchant deux jets de sève tiède et collante.
A nouveau à genoux, je le suce avec voracité. Je le veux jusqu’à la dernière goutte !
Je jette un œil vers la baie vitrée. Thomas nous regarde, la bite à la main.
Christian pique une tête dans la piscine. Je le rejoins. Il bande à nouveau. Mes jambes enroulées autour de son bassin, je l’accueille dans mon vagin. Il me baise avec ardeur, comme un jeune homme qu’il n’est plus. Comme une chatte en furie, je le mords aux épaules et au cou en grognant. C’est comme s’il ne sentait rien. Et lorsqu’il se répand en moi, nous jouissons ensemble.
Si je n’avais pas Romain, je crois que j’aimerais bien vivre avec Christian. Mais serait-il aussi accommodant que mon amour ? Christian ne sait pas que j’ai une vie sexuelle débridée.
Thomas, lui, le sait. Il me suit du regard, derrière la baie vitrée tandis que je remonte vers la maison, après le départ de Christian.
2 months ago
Yes, I think I am a nymphomaniac. I tried to cure myself, but I think I like being a nymphomaniac!
I agree, Thomas was kind of rude and drunk, but you should have avoided his advances and I’m sure he would’ve slept on the couch. And now Christian enters the story with his cock “stiff as justice.” Lol
And performing oral sex at 16, naughty, naughty!! With your neighbor when his wife is away, and then with her when he is away!! Such a nympho!!!