Une chienne soumise est née. Chapitre 3.

Monsieur Alain s'était calmé et me dit qu'une chienne doit toujours
être à genou et au pied d'un Mâle Supérieur. Il claque des doigts
en me montrant où je devais me positionner. Je m'exécute en lui
disant oui Monsieur et je retrouve à quelques cms de son gros
paquet. Il mit ses mains sur son paquet et on le secouant, il
m'explique que ma vie de chienne soumise va principalement être
axée à la bite et les couilles de tous les Mâles Supérieurs qui se
présenteront devant moi, que je devrais être toujours à genou ou à
4 pattes en présence de Mâles Supérieurs, que je ne devrais parler
seulement si je le suis autorisée, que je devrais être très obéissante
et que je devrais accepter les chatiments corporels si un Mâle
souhaite me corriger si il considère que j'ai été désobéissante ou
que son ordre a été mal exécuté. Compris salope!!!!! Je lui répond
avec une voix sanglotante, que j'avais compris mon rôle envers tous
les Mâles supérieurs, Monsieur. Monsieur Alain retire ses mains de
son gros paquet et il me prends par les cheveux pour coller et frotter
ma gueule contre sa grosse bosse. Le short de Monsieur Alain n'était
pas très propre car son odeur, que je ne connaissais pas, était très
forte et piquait mes narines. En voyant grimacer, il s'est mit à rigoler
en me disant que je devais m'habituer à ses odeurs de Mâle négligé
et il m'ordonna de lécher son short surtout sur les tâches jaunâtres
en me précisant que c'était des tâches de pisse et de sperme
mélangé. Avec dégoût, j'obéissait avec des hauts de cœur. Je devais
mal faire puisque Monsieur Alain me repris la tête, me demandait
de tirer ma langue et il me guidait de bas en haut et de gauche à
droite. Dés qu'il jugeait que maîtrisais ce qu'il désirait, il me lâcha et
me félicitait. Pleins de choses me passaient dans ma petite tête
d'ado boutonneux puceau. J'avais très envie de m'enfuire en courant
car ce que je subissais était vraiment crade et dégradant, surtout que
maintenant, ma salive commençait à diluer les tâches de pisse et de
sperme du short de Monsieur Alain et à chaque fois que je l'avalais,
j'avais l'impression de boire du jus de chaussettes. Mais d'un autre
coté, j'étais très excité car mon petit clito était très dur et me faisait
même mal. Ce qui est sûr, Monsieur Alain devait être satisfait vue
l'état de sa bonne grosse bite. Après une éternité de nettoyage,
Monsieur Alain m'ordonna d'arrêter et en me carressant la tête, il
me dit bonne chienne, et que j'apprennais vite et bien. Il déboutonna
son short pour libérer sa bonne grosse bite et ses couilles qui
pendaient. J'était en admiration devant ma première bite de Mâle
adulte. Mon cœur tapait fort à l'idée de sucer Monsieur Alain, mais
mon enthousiasme était court car Monsieur Alain, en montrant ses
belles fesses musclées, se pencha en écartant ses fesses et
m'ordonna de lui bouffer le cul sans oublier de mettre ma langue
dans son trou sale. Malgré que son joli cul sentait mauvais, j'ai pris
plus de plaisir à le lécher et mettre ma langue dans son trou. Monsieur
Alain devait apprécier car il gémissait et m'encourageait à lui mettre
la langue encore plus loin. Cela faisait 10 bonnes minutes que je me
délectais à lécher son beau cul, il s'est redressé, puis retourné. La
bonne grosse bite de Monsieur Alain était raide et il coulait de son
gland, un joli filet de mouille qui descendait jusqu'à mi cuisse.Il
m'ordonna de ne pas le laisser s'écraser à terre et je me suis
empressée de mettre ma bouche dessous et en remontant vers sa
bonne grosse bite, Monsieur Alain prit ma tête en la tirant vers sa
bonne grosse bite et naturellement j'ouvris ma bouche et, enfin,
j'avais ma première bite d'adulte dans ma bouche d'ado. Monsieur
Alain rythmait les va et vient en me tenant la tête et je sentais son
gland qui tapait de plus en plus fort au fond de ma bouche. Monsieur
Alain me demande de le regarder et il me dit, en le montrant avec
ses doigts, qu'il rest encore au moins 10 centimètres pour avaler
toute sa bite. Sur le coup, je n'avais pas trop compris ce qu'il voulait
dire, mais très vite, Monsieur Alain posa sa deuxième sur ma tête et
ce n'était plus moi qui le suçais mais sa bonne grosse bite qui me
baisait. Monsieur Alain soin après quelques bons coups de bite, de
forcer le passage de ma gorge. Plus il me baisait, plus ma gorge
s'ouvrait progressivement en me donnant des hauts de cœur.
Monsieur Alain voyait bien que j'étais prêt à vomir mais, en rigolant,
il m'encourageait en me disant qu'il ne restait que 8 centimètres. Il
s'en foutait royalement et ce qui devait arriver, arriva. Une gerbe
monumentale sorti de ma bouche et même par le nez, salissant sa
bonne grosse bite et même ses cuisses. J'avais l'impression que mes
yeux, qui pleuraient, allaient sortir de leur orbite. Monsieur Alain
s'est mit en colère et je me suis prise une baffe en recevant l'ordre
de tout nettoyer avec ma langue. J'ai nettoyé sa bonne gosse bite,
ses couilles pendantes et ses cuisses musclées en chouinant comme
une chochotte. Monsieur Alain m'encourageait à lécher la flaque de
gerbe au sol en arrêtant de chialer comme une gonzesse. Pendant ce
temps, il allait dans la cuisine et en revenant, il me tend un torchon
pour essuyer en disant qu'il avait pittié de ma pauvre personne
pathétique. Je pensais que Monsieur Alain allait passé à autre chose,
mais une fois que le sol était propre, il m'ordonna de reprendre ma
position et il m'enfila de nouveau sa bonne grosse bite au fond de
ma bouche. Elle n'était demi molle et là, Monsieur Alain arriva à ses
fins. Je l'avais dans ma gorge et je la sentais regrossir de plus belle,
toujours avec des hauts de cœur mais aucune gerbe ne sortait. Mes
yeux coulaient toujours autant et Monsieur Alain était ravi et il s'est
mit à me baiser la bouche comme une chatte. Ma salive devait bien
lubrifier ma gorge car sa bonne grosse bite rentrait toute seule. A
part qu'elle m'empêchait de respirer, quand Monsieur Alain me
maintenait la tête, elle commençait à me procurer un certain plaisir
et une certaine fierté de satisfaire Monsieur Alain. Il lacha ma tête et
me dit que je me suis bien comportée, à part la gerbe, mais ça fait
parti de mon éducation. Ma bouche et mon nez étaient plein de
salive et Monsieur Alain m'autorisait de m'essuyer la bouche de
moucher mon nez avec le torchon pein de gerbe. Il me releva et il
m'amena dans la salle de bain pour que j'admire ma gueule défoncée
par sa bonne grosse bite. Le tableau n'était si beau que ça, j'avais la
marque de la main de Monsieur Alain quan il m'a baffé, mes yeux
étaient injectée de sang et en ouvran la bouche, je regardais ma
gorge rougie par le limage de sa bonne grosse bite. Monsieur Alain
att**** mon bras et me dit que je n'ai pas fini le boulot. Je remarquais
que la bonne grosse bite de Monsieur Alain était encore vaillante.