Orientation sexuelle. Chapitre 1.
Je me nomme Eric et je vais vous raconter pourquoi mes années
collège m'ont amené à faire un voyage à travers la France en 1987, 6
mois après mes 18 ans.
Mes années collèges ont été révélatrices dans mon orientation
sexuelle. Comme beaucoup de garçons de mon âge, les filles étaient
très souvent au cœur de nos discutions et on était excité comme
peuvent l'être des puceaux pleins de boutons découvrant leur corps.
Vu que l'on n'avait pas école le mercredi, j'allais souvent chez mon
voisin Stéphane qui possédait un magnétoscope VHS. Son pére
avait une grande collection de cassettes vidéos et nous regardions
des films toutes la journée. Mais un jour, nous sommes tombés sur
une cassette non identifiée et cette cassette, avec plein d'autre, était
du porno. On a osé regarder cette cassette et ce que nous avons vu
était plutôt très hard, pour nos yeux d'ado. Je ne vous fais de dessin
sur l'état de nos 2 zizis. Le mien à pleuré immédiatement dés que je
l'ai touché pour le replacer dans mon slip et j'ai crié ma jouissance.
Honteux de cette situation humiliante, j'ai ptis mes jambes à mon
coup pour déguerpir comme un lapin. Ma première éjaculation était
né. La nuit fût très mouvementée avec toutes ces images de sexe qui
repassaient en boucle dans ma tête. Le lendemain, Stéphane me
rejoint pour aller à l'arrêt de bus. J'étais rouge de honte quand il
s'est moqué de moi par rapport à ma fuite de la veille. Chose
incroyable, j'ai encore eu une érection et plus il se moquait, plus
j'étais excité. Une semaine plus tard, toujours le mercredi, Je vais
chez Stéphane, on se regarde un film et il me demande si cela ne me
gène pas de regarder encore un porno. J'accepte avec plaisir et le film
commence. La cassette n'était pas rembobinée et la scène nous a
surpris. 2 hommes étaient entrain de se tripoter la bite, Stéphane
coupe la vidéo et moi, focalisé sur ce que je voyais, je lui dis de la
remettre en route. Il m'a regardé et il m'a dit que je j'étais un "pédé"
comme son père. Je n'ai pas pu lui répondre et en me levant pour
aller au toilette me soulager, il a vu que j'étais très excité et il s'est
encore foutu de moi. Pendant que je me soulageais, je l'entendais
dire Eric est un "pédé", Eric est un "pédé"…..
Je ne me sentais pas obligé de lui répondre pour ne pas me fâcher
avec lui et espérer voir la suite de cette vidéo très perturbante.
Pourtant, il continuait et il m'a même menacer de raconter à nos
copains en commun que je préfèrais les "pédés". Cette situation
humiliante commençait encore à m'exciter et Stéphane l'a remarquer.
Il s'est arrêté net et il a relancé la cassette. Je n'ai pas pu résister à
lui dire merci en souriant. J'étais plongé dans cette scène où le plus
jeune garçon suçait la bite du plus vieux avant qu'il se fasse retourné
pour se faire sodomiser et recevoir du sperme sur ses fesses. Mes
jambes se sont mises à trembler et je me suis affalé au fond du
canapé. Stéphane regardait au niveau de mon zizi en me disant que
je devais être malade d'être excité devant des "pédés". Je n'ai pas su
quoi lui répondre mais je me sentais tellement bien. Cette scène
me hantait tellement que j'ai complètement été largué au collège et
ce qui me motivait pour me lever tous les jours était d'essayer de
sucer quelques bites voir me faire enculer avec d'autres élèves. Vu
que j'était plus dans l'obéissance que dans la domination, il me
fallait un mec sans scrupule pour m'obliger à satisfaire sexuellement
d'autre mec. Le seul qui pouvait être mon donneur d'ordre, était
Stéphane. Mercredi après mercredi, porno après porno, mon jour
de gloire arriva. C'était juste avant les vacances d'été et quand je suis
arrivée chez Stéphane, je l'ai trouvé autoritaire et humiliant dés mon
arrivée. J'ai vite compris pourquoi il était dans cet état vu le film
qu'il regardait. Plusieurs mecs se faisaient sucer, pissaient et enculaient
un trav. J'ai eu de suite une grosse érection et Stéphane me donna
l'ordre de mettre une petite culotte, un soutient gorge, un chemisier
et une jupe de sa mère. Je n'étais pas d'accord mais quand il me dit
que mes amis et mes parents seront ravis de savoir que j'étais "pédé',
je me suis foutu à poil et en 5 mns, j'étais une trav. Il m'a obligé à
défiler devant lui tout en descendant son short et son slip et quand
j'ai vu sa bite tendue? J'étais bouche bée. Elle était 2 fois voir 3 fois
plus longue que la mienne. Je fixais sa bite avec insistance et envie,
il la branlait lentement en tirant sur son prépuce pour laisser
apparaitre son gland luisant avec du dépôt comme il m'arrivait d'en
avoir. J'attendais avec impatience qu'il m'autorise de sucer ma
première bite, pour mettre à profis mon statut de "pédé",
nouvellement révélé. Il se leva et m'ordonna de le suivre au WC.
J'obéis comme un bon toutou, il me dit de me mettre à genou la
gueule au dessus de la cuvette et même si je savais ce qu'il allait faire,
j'ai accepté sans discuter. Je regardais avec admiration sa bite quand
un jet puissant de pisse arrosa ma gueule et machinalement, j'ai
la bouche. Sa pisse était chaude et très odorante mais bizarrement,
j'ai adoré la boire. Son gros pipi fait, Stéphane me tend du papier
toilette pour m'essuyer et nous revoilà dans le salon. Stéphane s'est
entièrement déshabillé, sa bite avait repris de la vigueur et l'ordre
tomba de me mettre à genou et de le sucer. Ma langue est passée
et repassée sur son gland sale et très odorant avant de glisser sa bite
dans ma bouche. Je faisais de mon mieux et surtout, j'étais attentif
à ses gémissements pour adapter ma pipe. Je l'entendais gémir de
plus en plus fort quand il prit ma tête à 2 mains pour enfoncer sa
bite au plus profond de ma bouche et il a éjaculé en me disant
d'avaler son foutre. J'ai faillis m'étouffer et sa semence avait un goût
spécial. J'ai sucé Stéphane plusieurs fois et à la fin de cette bonne
journée mémorable, sa semence était de plus en plus goûteuse.
Les jours passant, les vacances arrivaient à grand pas et Stéphane
n'était pas pressé de partir avec sa mère et sa sœur dans le sud de la
France. Le jour avant de partir, il m'annonce qu'il avait réussis à
convaincre son père de partir avec lui 2 semaine plus tard. Les 2
semaines à venir vont être très excitantes avec pipes à volonté. tous
les matins, je devais mettre les sous vêtement de sa mère et j'étais
sa femme de maison toute la journée. Ménage, préparation des repas
et pipes étaient mon quotidien à venir. Stéphane aimait
particulièrement quand il me faisait laver tous les jours, le carrelage
de la salle de bain. Il m'ordonnait de me cambrer un maximum pour
me peloter les fesses tout en me disant que j'étais une bonne chienne
à baiser. J'étais tellement flattée que je n'ai rien vu venir. Le vendredi
de la première semaine, Je venais juste d'étendre le linge et de
nettoyer les WC,Stéphane m'appelle et me demande de monter dans
sa chambre. J'arrive et me présente un tube de pommade. Je lis à
quoi il sert et Stéphane me dit, d'un air ironique, que c'était du
lubrifiant pour facilité la sodo. Il m'a fait comprendre que je devais
passer "à la casserole" avant qu'il parte. Curieusement, je n'ai rien dis
et je lui ai même dis que c'était logique et naturel de passer par là et
que j'étais heureuse et fière que se soit lui qui prenne ma virginité.
Je lui demande de disposer pour finir mon ménage et il refuse,
prétextant que son père rentre plus tôt le vendredi. Il tape sur le lit
pour le rejoindre. Il me dit que j'étais une bonne salope serviable et
qu'il devenait amoureux. Mon cœur s'embalait et mes membres
tremblaient. Il me prit la tête et m'embrassa délicatement le cou puis
il posa ses lèvres sur les miennes et nos langues se sont rencontrées.
La sensation puis l'excitation étaient divines et quand Stéphane est
passé derrière moi, je n'ai pas résisté à coller mes fesses contre sa
bite raide. Il commença un vas et vient le long de ma raie jusqu'à mes
petites boules tout en continuant de me poser des baisés dans le cou.
Doucement, il a fait tomber ma petite culotte en dentelle noire avec
un nœud rouge devant et j'ai senti son gland humide frotter mon
petit trou vierge. Il me demande de prendre une position de chienne
avec mes fesses bien tendues vers lui, il prend le tube de lubrifiant,
il m'enduit le trou en profndeur malgré quelques grimaces de ma part,
il enduit sa bite généreusement et colla son gland contre mon trou.
Maladroitement, il essayait de me pénétrer et d'un seul coup, mon
trou lachait prise et je me suis retrouvée avec sa bonne bite tout au
fond. Je me suis écroulée, j'ai hurlé de douleur et je lui demandais
de se retirer. Stéphane était affalé sur moi et il me glissait dans
l'oreille qu'il fallait souffrir pour être belle et bonne. La douleur
commençait à s'estomper et nous nous sommes remit dans la position
initiale. Stéphane me prit les hanches et il commençait à me baiser.
Je commençais a ressentir un plaisir relatif alors que stéphane
accélérait le mouvement. Il jouit rapidement au fond de mon cul en
me disant que j'avais bonne chatte. Il me mit sa bite sale devant la
bouche en m'ordonnant de tout nettoyer. C'était dégueulasse mais,
quelque part, c'était ma merde. Stéphane m'a redit son amour en
m'embrassant encore et encore et il me mit sur le dos en me disant
qu'il voulait encore me baiser. Sa bonne bite était redevenue raide,
et sans prévenir il était au fond de ma chatte. Beaucoup moins de
douleur et je lui dit de me baiser fort. Stéphane claquait ses couilles
contre mes fesses et j'hurlais comme les femmes dans les films pornos.
Stéphane me baisait comme un dieu et je l'encourageais tellement
c'était bon. Mais là, il y avait un gros problème devant la porte de la
chambre. Alain, le père de Stéphane regardait son fils enculer son
"pédé" de voisin. Il s'est mit à gueuler, je me suis recroquevillée sur
moi et Stéphane cachait sa bite molle et sale. Alain était furax et nous
a demandé de nous habiller et de descendre dans le salon. De ma
voix timide, je dis à Alain que mes vêtements étaient dans la salle
de bain. Il me laissait descendre toute nue et une fois habillée, je les
rejoins dans le salon. Alain nous engueulé, nous a traité de pédales
etc… Son mot de fin était qu'il envoyait Stéphane rejoindre sa mère
dés ce samedi avec sa grand-mère. Alain m'a renvoyé chez moi et
j'étais triste pour mon amoureux de le quitter comme cela. Le
lendemain matin, la grand-mère de Stéphane était là de bonne heure
et je n'ai pas pu saluer mon chéri. Toute l'après-midi, j'ai erré dans mon
village, discuté avec des voisines et vers 16h, j'ai décidé de rentrer
chez moi. Je longeais les murs pour ne pas croiser Alain, mais comme
s'il m'attendait, je suis tombée dessus. Il m'a proposé une boisson,
j'ai refusé avec politesse mais il m'a fait comprendre que je n'avais
pas le choix.
La suite dans "Éducation paternelle".
collège m'ont amené à faire un voyage à travers la France en 1987, 6
mois après mes 18 ans.
Mes années collèges ont été révélatrices dans mon orientation
sexuelle. Comme beaucoup de garçons de mon âge, les filles étaient
très souvent au cœur de nos discutions et on était excité comme
peuvent l'être des puceaux pleins de boutons découvrant leur corps.
Vu que l'on n'avait pas école le mercredi, j'allais souvent chez mon
voisin Stéphane qui possédait un magnétoscope VHS. Son pére
avait une grande collection de cassettes vidéos et nous regardions
des films toutes la journée. Mais un jour, nous sommes tombés sur
une cassette non identifiée et cette cassette, avec plein d'autre, était
du porno. On a osé regarder cette cassette et ce que nous avons vu
était plutôt très hard, pour nos yeux d'ado. Je ne vous fais de dessin
sur l'état de nos 2 zizis. Le mien à pleuré immédiatement dés que je
l'ai touché pour le replacer dans mon slip et j'ai crié ma jouissance.
Honteux de cette situation humiliante, j'ai ptis mes jambes à mon
coup pour déguerpir comme un lapin. Ma première éjaculation était
né. La nuit fût très mouvementée avec toutes ces images de sexe qui
repassaient en boucle dans ma tête. Le lendemain, Stéphane me
rejoint pour aller à l'arrêt de bus. J'étais rouge de honte quand il
s'est moqué de moi par rapport à ma fuite de la veille. Chose
incroyable, j'ai encore eu une érection et plus il se moquait, plus
j'étais excité. Une semaine plus tard, toujours le mercredi, Je vais
chez Stéphane, on se regarde un film et il me demande si cela ne me
gène pas de regarder encore un porno. J'accepte avec plaisir et le film
commence. La cassette n'était pas rembobinée et la scène nous a
surpris. 2 hommes étaient entrain de se tripoter la bite, Stéphane
coupe la vidéo et moi, focalisé sur ce que je voyais, je lui dis de la
remettre en route. Il m'a regardé et il m'a dit que je j'étais un "pédé"
comme son père. Je n'ai pas pu lui répondre et en me levant pour
aller au toilette me soulager, il a vu que j'étais très excité et il s'est
encore foutu de moi. Pendant que je me soulageais, je l'entendais
dire Eric est un "pédé", Eric est un "pédé"…..
Je ne me sentais pas obligé de lui répondre pour ne pas me fâcher
avec lui et espérer voir la suite de cette vidéo très perturbante.
Pourtant, il continuait et il m'a même menacer de raconter à nos
copains en commun que je préfèrais les "pédés". Cette situation
humiliante commençait encore à m'exciter et Stéphane l'a remarquer.
Il s'est arrêté net et il a relancé la cassette. Je n'ai pas pu résister à
lui dire merci en souriant. J'étais plongé dans cette scène où le plus
jeune garçon suçait la bite du plus vieux avant qu'il se fasse retourné
pour se faire sodomiser et recevoir du sperme sur ses fesses. Mes
jambes se sont mises à trembler et je me suis affalé au fond du
canapé. Stéphane regardait au niveau de mon zizi en me disant que
je devais être malade d'être excité devant des "pédés". Je n'ai pas su
quoi lui répondre mais je me sentais tellement bien. Cette scène
me hantait tellement que j'ai complètement été largué au collège et
ce qui me motivait pour me lever tous les jours était d'essayer de
sucer quelques bites voir me faire enculer avec d'autres élèves. Vu
que j'était plus dans l'obéissance que dans la domination, il me
fallait un mec sans scrupule pour m'obliger à satisfaire sexuellement
d'autre mec. Le seul qui pouvait être mon donneur d'ordre, était
Stéphane. Mercredi après mercredi, porno après porno, mon jour
de gloire arriva. C'était juste avant les vacances d'été et quand je suis
arrivée chez Stéphane, je l'ai trouvé autoritaire et humiliant dés mon
arrivée. J'ai vite compris pourquoi il était dans cet état vu le film
qu'il regardait. Plusieurs mecs se faisaient sucer, pissaient et enculaient
un trav. J'ai eu de suite une grosse érection et Stéphane me donna
l'ordre de mettre une petite culotte, un soutient gorge, un chemisier
et une jupe de sa mère. Je n'étais pas d'accord mais quand il me dit
que mes amis et mes parents seront ravis de savoir que j'étais "pédé',
je me suis foutu à poil et en 5 mns, j'étais une trav. Il m'a obligé à
défiler devant lui tout en descendant son short et son slip et quand
j'ai vu sa bite tendue? J'étais bouche bée. Elle était 2 fois voir 3 fois
plus longue que la mienne. Je fixais sa bite avec insistance et envie,
il la branlait lentement en tirant sur son prépuce pour laisser
apparaitre son gland luisant avec du dépôt comme il m'arrivait d'en
avoir. J'attendais avec impatience qu'il m'autorise de sucer ma
première bite, pour mettre à profis mon statut de "pédé",
nouvellement révélé. Il se leva et m'ordonna de le suivre au WC.
J'obéis comme un bon toutou, il me dit de me mettre à genou la
gueule au dessus de la cuvette et même si je savais ce qu'il allait faire,
j'ai accepté sans discuter. Je regardais avec admiration sa bite quand
un jet puissant de pisse arrosa ma gueule et machinalement, j'ai
la bouche. Sa pisse était chaude et très odorante mais bizarrement,
j'ai adoré la boire. Son gros pipi fait, Stéphane me tend du papier
toilette pour m'essuyer et nous revoilà dans le salon. Stéphane s'est
entièrement déshabillé, sa bite avait repris de la vigueur et l'ordre
tomba de me mettre à genou et de le sucer. Ma langue est passée
et repassée sur son gland sale et très odorant avant de glisser sa bite
dans ma bouche. Je faisais de mon mieux et surtout, j'étais attentif
à ses gémissements pour adapter ma pipe. Je l'entendais gémir de
plus en plus fort quand il prit ma tête à 2 mains pour enfoncer sa
bite au plus profond de ma bouche et il a éjaculé en me disant
d'avaler son foutre. J'ai faillis m'étouffer et sa semence avait un goût
spécial. J'ai sucé Stéphane plusieurs fois et à la fin de cette bonne
journée mémorable, sa semence était de plus en plus goûteuse.
Les jours passant, les vacances arrivaient à grand pas et Stéphane
n'était pas pressé de partir avec sa mère et sa sœur dans le sud de la
France. Le jour avant de partir, il m'annonce qu'il avait réussis à
convaincre son père de partir avec lui 2 semaine plus tard. Les 2
semaines à venir vont être très excitantes avec pipes à volonté. tous
les matins, je devais mettre les sous vêtement de sa mère et j'étais
sa femme de maison toute la journée. Ménage, préparation des repas
et pipes étaient mon quotidien à venir. Stéphane aimait
particulièrement quand il me faisait laver tous les jours, le carrelage
de la salle de bain. Il m'ordonnait de me cambrer un maximum pour
me peloter les fesses tout en me disant que j'étais une bonne chienne
à baiser. J'étais tellement flattée que je n'ai rien vu venir. Le vendredi
de la première semaine, Je venais juste d'étendre le linge et de
nettoyer les WC,Stéphane m'appelle et me demande de monter dans
sa chambre. J'arrive et me présente un tube de pommade. Je lis à
quoi il sert et Stéphane me dit, d'un air ironique, que c'était du
lubrifiant pour facilité la sodo. Il m'a fait comprendre que je devais
passer "à la casserole" avant qu'il parte. Curieusement, je n'ai rien dis
et je lui ai même dis que c'était logique et naturel de passer par là et
que j'étais heureuse et fière que se soit lui qui prenne ma virginité.
Je lui demande de disposer pour finir mon ménage et il refuse,
prétextant que son père rentre plus tôt le vendredi. Il tape sur le lit
pour le rejoindre. Il me dit que j'étais une bonne salope serviable et
qu'il devenait amoureux. Mon cœur s'embalait et mes membres
tremblaient. Il me prit la tête et m'embrassa délicatement le cou puis
il posa ses lèvres sur les miennes et nos langues se sont rencontrées.
La sensation puis l'excitation étaient divines et quand Stéphane est
passé derrière moi, je n'ai pas résisté à coller mes fesses contre sa
bite raide. Il commença un vas et vient le long de ma raie jusqu'à mes
petites boules tout en continuant de me poser des baisés dans le cou.
Doucement, il a fait tomber ma petite culotte en dentelle noire avec
un nœud rouge devant et j'ai senti son gland humide frotter mon
petit trou vierge. Il me demande de prendre une position de chienne
avec mes fesses bien tendues vers lui, il prend le tube de lubrifiant,
il m'enduit le trou en profndeur malgré quelques grimaces de ma part,
il enduit sa bite généreusement et colla son gland contre mon trou.
Maladroitement, il essayait de me pénétrer et d'un seul coup, mon
trou lachait prise et je me suis retrouvée avec sa bonne bite tout au
fond. Je me suis écroulée, j'ai hurlé de douleur et je lui demandais
de se retirer. Stéphane était affalé sur moi et il me glissait dans
l'oreille qu'il fallait souffrir pour être belle et bonne. La douleur
commençait à s'estomper et nous nous sommes remit dans la position
initiale. Stéphane me prit les hanches et il commençait à me baiser.
Je commençais a ressentir un plaisir relatif alors que stéphane
accélérait le mouvement. Il jouit rapidement au fond de mon cul en
me disant que j'avais bonne chatte. Il me mit sa bite sale devant la
bouche en m'ordonnant de tout nettoyer. C'était dégueulasse mais,
quelque part, c'était ma merde. Stéphane m'a redit son amour en
m'embrassant encore et encore et il me mit sur le dos en me disant
qu'il voulait encore me baiser. Sa bonne bite était redevenue raide,
et sans prévenir il était au fond de ma chatte. Beaucoup moins de
douleur et je lui dit de me baiser fort. Stéphane claquait ses couilles
contre mes fesses et j'hurlais comme les femmes dans les films pornos.
Stéphane me baisait comme un dieu et je l'encourageais tellement
c'était bon. Mais là, il y avait un gros problème devant la porte de la
chambre. Alain, le père de Stéphane regardait son fils enculer son
"pédé" de voisin. Il s'est mit à gueuler, je me suis recroquevillée sur
moi et Stéphane cachait sa bite molle et sale. Alain était furax et nous
a demandé de nous habiller et de descendre dans le salon. De ma
voix timide, je dis à Alain que mes vêtements étaient dans la salle
de bain. Il me laissait descendre toute nue et une fois habillée, je les
rejoins dans le salon. Alain nous engueulé, nous a traité de pédales
etc… Son mot de fin était qu'il envoyait Stéphane rejoindre sa mère
dés ce samedi avec sa grand-mère. Alain m'a renvoyé chez moi et
j'étais triste pour mon amoureux de le quitter comme cela. Le
lendemain matin, la grand-mère de Stéphane était là de bonne heure
et je n'ai pas pu saluer mon chéri. Toute l'après-midi, j'ai erré dans mon
village, discuté avec des voisines et vers 16h, j'ai décidé de rentrer
chez moi. Je longeais les murs pour ne pas croiser Alain, mais comme
s'il m'attendait, je suis tombée dessus. Il m'a proposé une boisson,
j'ai refusé avec politesse mais il m'a fait comprendre que je n'avais
pas le choix.
La suite dans "Éducation paternelle".
2 years ago
Plein de trucs à décliner pour tous les deux