les désirs partagés jusqu'à mes vibrations les plus insondables
Mardi soir, juste ce mardi là. Au cœur des longues heures de l'après-midi, Je me confie à mon collègue : je veux un homme qu'il choisira. Mercredi après le travail, vers 18h30 jusqu'à 20h30, la mission de cet inconnu sera de me faire jouir. Fort. Très fort. Mon collègue sourit. Hausse les épaules, soupire et replonge dans son écran. Je me sens un peu désemparée, il doit me trouver excessive ou trop impulsive. Je me sens un peu idiote de m'être si rapidement confiée dès ma première pensée charnelle. Mercredi matin, je n'y pense plus. Mon conjoint m'a fait l'amour le matin même à mon réveil, j'ai enchanté son membre pour qu'il coule en moi avec douceur. Il est midi. Mon collègue me tend son smartphone où je découvre la photo d'un homme, plutôt jeune. un visage aux traits fins et au regard azur. je lève mes yeux vers ceux de mon collègue. Il sourit. J'ai compris. Il a trouvé ce que je désirai la veille. Je ne le questionne pas. j'attends qu'il me livre ses éléments. Je regarde l'heure coincée au coin de mon ordinateur. Les heures sont longues, les minutes et les secondes aussi. Je me surprends à déjà ressentir une forme d'excitation et je me sens légèrement humide. Je décide de me rendre aux toilettes et de me caresser le clito en pressant dessus pour me faire jouir vite et en silence. Derrière la porte des toilettes, dos contre mur, je dois déboutonner mon pantalon noir slim très moulant. Je glisse mes doigts et je réalise que ma tenue n'est pas très affriolante pour ma rencontre avec cet inconnu. J'aurais pu prévoir une tenue très séduisante pour émoustiller cette rencontre si mon collègue n'avait pas caché son petit jeu la veille. Tant pis, je pense à mon concubin et à cet inconnu, tout se mélange dans mon esprit, je respire fort, je bloque ma respiration. Mon clitoris me rend ce que je lui ai transmis : un orgasme gorgé de fantasme. Je suis à peine soulagée... Arrive le moment si attendu, mon collègue me demande de le suivre à la sortie du bureau. Il est 18h17. Nous marchons de longs mètres, je suis impatiente. Impatiente mais pas surprise, je reconnais cet hôtel que nous fréquentons avec mon collègue. Il me prend la main nous nous adressons à la réception pour nous présenter. Le réceptionniste nous connait, il nous laisse monter les étages. Deux étages et au fond du couloir, la porte de droite? Plantée devant, mon collègue me demande d'ouvrir la porte. Je veux remercier mon collègue et le surprendre à mon tour avant toute chose avec cet inconnu. Je me tourne vers lui, je fléchis, je suis accroupie. je sors son sexe de son pantalon et je le mets dans ma bouche. Il durcit vite. Je sait comment faire avec lui. Il prend ma tête entre ses mains et accompagne mes mouvements. Il explose dans ma bouche, j'avale tout. Il faut respecter les lieux et ne pas salir la moquette du couloir ! Nous nous embrassons, il goutte le reste de sa semence autours de nos langues tout en ouvrant la porte. Je tourne la tête et je découvre cet inconnu, il est beau. Il est torse nu, juste un jean et il se lève pour se rapprocher de moi. Au moment où il veut parler, peut-être pour se présenter; ou que sais-je, je lui pose mon index sur la bouche pour lui demander de garder le silence. Je veux faire l'amour dans ce mystère. Je le pousse lentement vers le lit, déjà légèrement défait. Je le déshabille, il me déshabille. Nous ne nous quittons pas des yeux. Il m'embrasse, je le repousse, je le veux nu. J'enlève son boxer noir. Il enlève ma culotte en dentelle et arrache mon soutien-gorge. Il m'allonge sur le lit et engage un long cunnilingus, sa langue est petite et douce. Il lape mon clitoris qui se dresse de désir. Il joue avec ses doigts qui me pénètrent doucement. Je suis très excitée, je peine à relever la tête pour observer son sexe déjà si dur que je désire en moi. Je suis très humide, trop peut-être, je l'allonge à mon tour et je lui offre une fellation : je tourne lentement avec ma langue autours de son gland avec précaution et je le branle vigoureusement. Il gémit. il veut dire des choses. Je relève la tête et je lui fais un "chut" très discret qui l'apaise immédiatement. Je profite de sa queue pour si croquante pour masseoir dessus comme j'aime le faire. Accroupie, je monte et descends sur son membre, les yeux dans les yeux. J'adore ses yeux, il m'excite à me fixer comme ça. Il caresse mes seins, ses doigtes tournent paisiblement autours de mes tétons pour faire monter le feu du désir. Je change de sens, je me mets sur lui, mais dos à lui. Je glisse de nouveau sur son sexe, je suis plus énergique et le bruit claquant de nos cuisses rythment nos ébats. Tournant la tête au bord de l'orgasme, je vois mon amant et collègue se masturber en nous regardant. Je suis en feu. J'adore : je suis avec un inconnu et mon amant me regarde, j'explose avec un court cri aiguë que je répète à chaque nouvelle pénétration. Linconnu me tient le bas du dos pour bien entrer en moi, je crois qu'il va éjaculer. Moment de stress : figée, je regarde mon amant, je ne me suis pas protégée et je me fais pénétrer ! Il comprend mon regard de panique et désigne un papier sur le petit bureau. Je comprends qu'il s'agit de son test MST e HIV. Je reprends mes vas et viens, et je sors sa queue, je la branle contre mon vagin, je tapote mon clito avec son gland, il vient, il éjacule sur mon minou jusqu'à mon nombril. Je me relève et je vais voir mon amant. Il m'embrasse les seins. Je le branle contre moi, très fort, très vite. Il gicle de nouveau, raisonnablement, mais contre moi. Je me déplace, je jette un œil au papier, c'est bien un test médical. Ouf. Je vois même que le bel inconnu s'appelle Olivier. Je l'appelle par son prénom pour lui demander de venir jusqu'à moi. Il marche vers moi, son sexe toujours dressé. Il me retourne me penche contre le mur, il me prend bien et fort. Par derrière. C'est si agréable, je suis émue de désirs. Il sait faire vibrer mon corps malgré son jeune âge. Il est doué, il me pénètre et je me cambre. je l'accueille en moi, je suis très excitée et je fonds. Je me rehausse pour jouir, je crie entre mes dents et je sens ma vulve se contracter contre son membre à chaque saccade d'orgasme. Il me tient par les seins, il me presse vers lui, il continue ses pénétrations si vigoureuses. Je lâche prise, je jouis encore mais presque debout en silence. Et jinonde nos jambes, nos corps collés l'un à l'autre. Ma cyprine coule entre nous, il me repousse et m'ordonne de me mettre à genou. j'entends sa voix pour la première fois et je mexécute. Il se branle en direction de mon visage. Je me redresse légèrement lui offrant ma poitrine. Il est rejoint par mon collègue qui lui aussi se masturbe vers moi. Mon collègue vient d'abord contre mes seins et rapidement le mystérieux olivier colle son sexe au coin de ma bouche pour juter sur mon visage. Les yeux fermés, je le laisse se finir. Il éjacule par séquence, deux secondes ou trois secondes entre ses trois jets, et il soupire si fort... Nous restons là, moi souillée au sol, j'explose de rire. Eux aussi, le beau mystérieux me caresse tendrement les cheveux, et s'abaisse pour me couvrir de baiser. Nous faisons de tendres câlins tous les deux pendant un bon moment : caresses, effleurement, petit baiser, embrassade, jusqu'au moment où nos respirations se remettent à exprimer nos désirs. Il bande. Je mouille. Je m'apprête à le sucer mais il plaque sur le tapis, il me pénètre en missionnaire, il est viril, il dirige notre baise, il me tient fermement, je suis excitée et à chacune de ses pénétrations, ce désir monte d'un cran. Je me laisse guider, quoi de plus agréable que de se faire prendre dans la position du missionnaire avec membre frotte le haut de mon vagin, stimulant mon clitoris et je vibre. Je vibre, mes orgasmes sont lents et longs. Il me regarde dans les yeux, et m'embrasse les seins. Il me parle à nouveau : il me dit qu'il aime ma poitrine. j'aime l'entendre parler. Je lui demande de continuer de parler. il me parle de mon fessier, de me seins bougeant à chacun de ses coups de rein, de ma bouche aux lèvres légèrement gonflées par l'excitation. Je le veux plus fort, je lui dit que je suis "sa petite salope", je lui parle cru. Il aime. Je lui dit qu'il me baise bien comme le désir une femme mariée qui veut une queue pour se faire bien prendre comme une salope. Je me sens salope. J'aime l'exciter, il me dévore des yeux, il ouvre sa bouche. son visage trahit son orgasme naissant, il va jouir. J'aime le visage d'un homme dont le regard se perd dans le vide, bercé par l'éjaculation. Il est pris par ses propres spasmes. Il sagrippe à moi, je lui demande de se vider en moi complètement, jusqu'au bout. Le sperme est encore là, je sens la chaleur de son liquide en moi. Il se retire épuisé, il se met à côté de moi. Mon amant me rejoint, il vient me masturber. Il sait que j'aime finir sur une note d'orgasme. Même la plus infime. Il colle sa cuisse entre mes jambes et frottent contre mon minou. C'est bon, il est magnifique, je l'entoure de mes bras et je me laisse aller à un dernier orgasme qui vient envahir lentement mon bassin au rythme de sa jambe me caressant. Mon collègue et amant a le sens de l'érotisme et de la sensualité. Il a su faire monter chaque degré de mon désir sans répondre directement à mes pulsions. C'est cela que je voulais partager à vous, et que j'aimerai partager en réel près de certains d'entre vous. Vive l'amour et ses vibrations insondables.