La guêpière blanche de Nadine

1991, j avais 31 ans, j'étais gendarme à Briançon dans les hautes alpes. J'étais marié à Nicole une sacrée coquine qui fréquentait une amié bien plus coquine encore. Le genre de nana qui travaillait dans une maison de retraite et qui arrondissait ses fins de mois en suçant les vieux vicieux de l établissement.

Elle était toujours coquette, habillée sexy et même si son visage n'était pas angélique elle véhiculait une image de chienne, son attitude laissant supposer qu'elle aimait le sexe.


Quelques mois auparavant cette aventure que je vais vous relater, au retour d'un voyage en Moselle, mon épouse m'avait demandé si j'avais des fantasmes que j'aimerai réaliser.

Je répondais que j'en avais un en particulier qui me tenait à coeur, j'aurais aimé être obligé de porter une guêpière et déambuler en nana devant elle, enserrée dans cette camisole si sexy. Elle paru surprise de ma réponse, se posa des questions dont j ai perdu le souvenir et ne m en parla plus pendant longtemps.





Au printemps 1991, elle m'avisa qu'elle avait invité Nadine sa copine chaude et qu'elle resterait quelques jours chez nous en vacances.
Le jour venu, nous avions accueilli Nadine comme il se doit, nous lui avions présenté mon lieu de travail, bureaux, collègues, et à l'heure de l'apéro je vis Nicole mon épouse arriver avec une belle boite blanche rectangulaire qu'elle m'offrit en disant:
Voilà !! tu voulais porter un jour une guêpière et Nadine à apporté la sienne pour te voir la porter.
J'ouvris la boite dans laquelle du papier de soie recouvrait une magnifique guêpière blanche qui me mis aussitôt le sexe en érection. Connaissant ma faiblesse sexuelle, mon épouse vint frotter mon clito dans le pantalon et expliqua à Nadine mes énormes érections dès que je touchais un dessous féminin.

Cette dernière rigola de la situation et ajouta : Fais lui essayer qu'on admire sa joie physique.

Nicole insista devant ma gène pour que j 'aille enfiler dans la salle de bains cette belle parure de mariée. Je fis mine de refuser mais pas longtemps afin de ne pas les laisser changer d idée.


Je filais dans la Sdb et me déshabillait avant d enfiler cette superbe pièce féminine dans lequel mon corps emprisonné frémissait.
Mon érection était intense et pour calmer mes envies je décidais de m'astiquer la queue quelques minutes sans me porter à la jouissance. Cet acte idiot me donna doublement envie de jouer la femelle et je me présentais devant les deux filles dans cette tenue affriolante ne pouvant cacher l'excitation qui m'avait gagné.
Nadine vint att****r ma queue et la ceintura de ses doigts agiles en me fixant droit dans les yeux avant d ajouter : "Toi mon gars tu vas finir la soirée féminisé dans sa totalité. Et tu vas devenir une femme, tu seras une jeune mariée ce soir car tu vas être dépucelé de ton attitude hétéro pour devenir une vraie gonzesse".

Elle s'empressa aussitôt de me vernir les doigts des pieds avant de faire ceux des mains qu'elle dessina comme les doigts d un mannequin suédoise.

Elle m'obligea à retourner dans la sdb enfiler les bas blancs comme elle me l avait montré, sans les filer, tout en délicatesse et bien ajustés avec les jarretières de la guêpière blanche

Je m'exécutais tout heureux de vivre enfin mon fantasme. J'étais dans de bonnes mains me semblait il et j'allais atteindre sans doute d extase avant la fin de la nuit.

Après les bas ce fut les hauts escarpins à talons de 12 cms que je dus chausser et dans lesquels elle m'apprit le déhanchement féminin et la marche souple et sensuelle. Je cassais presque l'élastique du string assorti à la guêpière fait de broderies et de perles, de dentelles. Mon sexe était comme un oiseau en cage et tentait de s'envoler mais je ne souhaitais pas que mon érection déforme mon apparence féminine dans la jupe droite qu'elle m'avait réservée.

Les deux garces avaient tout manigancé sans que je ne me doute un instant du sort qui m'attendait.
Jupe droite, chemise blanche et perruque tirant sur le brun auburn, maquillage et bijoux finirent par me transformer complètement.
Elle m aidèrent à travailler ma voix car elles avaient prévu de faire venir quelques gars pour elles mais aussi pour dépuceler mon machisme, me montrer ce que c était parfois d'être femme.
J'étais une femelle entourée de deux chiennes décidées à faire de moi une chienne également. Je fus pris d 'une envie d'uriner et filait aux toilettes. Je m'assis sur la cuvette comme une gonzesse et elles profitèrent pour entrer inopinément et me passer mes menottes de service qu'elles accrochèrent à la canalisation d'eau. Je me retrouvais prisonnière de leur scénario.

5 minutes plus tard, j'entendis frapper des coups à la porte et Nadine tout sourire se précipita pour aller ouvrir. Elle bavarda et blagua un court moment avec eux et les invita à venir voir ce que Candice (le nom qu'elle m avaient attribué) faisait en attendant leur venue. Attachée, je paniquais à l'idée de croiser le regard d'hommes devant un travesti et ce malgré mes rêves interdits que je faisais souvent.
Les 4 gaillards, mes collègues de bureau. Les deux femmes avaient convaincu ces derniers de nous rejoindre en soirée. J'étais dans mes petits souliers devant eux lorsqu'ils se placèrent dans l'embrasure de porte et me regardèrent avec des yeux admiratifs, des yeux chargés d envie...Je venais de découvrir que je pouvais plaire à des hommes, que je n étais pas jugée par mes collègues parce que j avais éveillé leurs désirs et mon excitation redoubla d intensité. Ma queue palpitait comme un coeur affolé, le sang circulait dans la verge comme dans une conduite d'évacuation d' eaux usées. Des litres de sang circulaient au point de la rendre toute cramoisie et rouge de désir.


Un mec s approcha de moi toujours menottée et commença à me caresser le corps à travers la jupe et la guêpière. Il se pencha sur mes tétons et les suça délicatement ce qui me fit miauler comme une vierge au moment de la défloration. JE ne tenais plus d 'envie, je souhaitais être la putain de service et je ne cachais pas mon désir.

Philippe descendit sa braguette pour laisser apparaitre une verge de musée, elle était dessinée comme un gode avec la courbe pointant vers le ciel, le gland découvert se démarquait nettement du reste de la verge que j'imaginais aussitôt dans ma bouche. Je n'eu pas à attendre longtemps lorsque Philippe m'invita à m'asseoir sur la cuvette afin d être à la hauteur de sa queue qui ne demandait qu'à être sucée. Je ne me fis pas prier et j avalais cette bite dans toute sa longueur afin de la mettre au chaud et dévoiler mes talents de suceuse que je soupçonnais. Elle glissa, entra et sorti longuement entre mes lèvres pendant que deux mains habiles me caressaient les seins et que deux autres profitaient de ma faiblesse passagère pour venir me branler et maintenir mon érection à son paroxysme. Ainsi excitée je n étais pas prête à refuser quoi que ce soit.
Nadine et Nicole vinrent admirer la situation et Nadine poussa Serge, un autre collègue à me retrousser le cul en me poussant le ventre sur la toilette, la tête appuyée comme le rabat de cuvette, le maquillage souillant cette dernière. Il souleva ma jupe et enfila sa queue de pointeur dans mon cul qu'il déflora sans se préoccuper que j'étais vierge. Nadine riait et provoquait les mecs en suggérant que j étais une bonne chienne à défoncer, que mon anus mouillait toutes les nuits depuis longtemps en imaginant se faire défoncer...il est vrai que mes fesses étaient humides de désir et que la queue de Serge coulissait dans mon cul comme dans une gaine bien huilée. Je criais de plaisir tandis que Philippe et Eric me frappait le visage avec leurs queues écarlates. Une punition aux gourdins que je n'avais jamais imaginé.


Intérieurement je remerciais Nadine et Nicole d'avoir mis à exécution se plan machiavelique que j approuvais.
La mariée était déflorée et mon amant du soir maintenait mes hanches fermement afin de pouvoir enfoncer sa bite jusqu'à la garde dans mon trou du cul serré. Il défit mes menottes et j'en profitais pour écarter mes fesses largement à l'aide de mes mains vernies qui contrastaient avec le blanc immaculé de mes fesses et de la tenue. Mes doigts aux ongles longs et soignés firent exploser mon collègue dans mon cul et ses râles de plaisir vinrent augmenter l'excitation des autres qui visiblement n avaient pas besoin de ça.
Nadine m'attrapa ensuite par la main de me demanda de m'agenouiller devant le canapé où elle fit prendre position à Daniel, les jambes bien écartées, le sexe raide. Je dus sucer ce dernier devant tout le monde pendant qu'elle dévoilà un gode ceinture qu'elle s'empressa d'enfiler et de positionner sur le galbe de mes fesses. Je gémissais de plaisir comme jamais je ne l'avais fait et je sentais bien que je perdais le contrôle de mon âme en acceptant ces humiliations devant des collègues de travail qui apprirent à cette occasion qu'il m'arrivait parfois de partir en patrouille en string rose et bas noirs ou collants.


Je suçais Daniel pendant 15 minutes en alternant avec le gourdin impressionnant tout en marquant des pauses dans ma fellation afin de le maintenir en chaleur et exciter encore les autres qui m'entouraient. Les gars ne perdaient aucune miette de la scène et je crois qu'ils bandaient plus qu'à l'accoutumée avec leurs épouses respectives.
Je dois dire que j'aimais l'idée de tromper ces dernières avec leur époux sans qu'elles ne se doutent que derrière mon aspect macho j'étais une vulgaire trainée, un nymphomane du sexe, du sexe, accro aux belles bêtes de 18 cms sur 5 et plus.
Daniel se maintenait fermement au canapé lorsque je mordis délicatement son gland avant de plonger sur ses couilles lisses qui s offraient à moi.

Le gode de Nadine me perforait les entrailles et elle ne ménageait pas ses efforts pour me limer le cul comme une salope... Elle appuya sur la poire du gode qu'elle avait préalablement remplie et aspergea mon anus d un demi litre de lait concentré sucré.
Je sentis aussitôt une langue gourmande fouiller mon anus et se régaler de se plat offert aux gourmands. Serge n'avait pas donné sa place et se branlait allègrement pendant qu'il me faisait cette feuille de rose mémorable. J'ondulais de cul comme une nymphette en mal de plaire et avec une main je plaquais son visage dans mes fesses.


Je suçais toujours Daniel qui soudain éjacula une gerbe de sperme qui jaillit comme un jeyser au point d'effleurer le plafond et de retomber sur mon front. Elle dégoulina sur mes joues et vient mourir sur ma langue qui se régala de cette sauce improvisée.
Serge cria sa jouissance presqu'au même moment et se redressa pour souiller mes fesses. Nadine étala toute cette semence sur mon corps en riant et en expliquant à Nicole mon épouse que le contrat était rempli, qu'elle avait réussi à faire de moi une salope en devenir. Elle avait fait exprès de me montrer aux collègues pour m'humilier et faire en sorte que je sois désormais quand Nicole le souhaiterait, la putain du quartier. Elle s'était entendue avec mes copains de boulot de m obliger à porter des dessous féminins pour me sauter en patrouilles dans la camionnette.
Nadine promis une autre soirée où je serais habillée en gendarmette, jupe bleue roi, chemise bleu ciel, bas noirs et talons hauts avec bien entendu des dessous sexys cachés sous les fringues.
Je sentais déjà de l'émoi dans le regard de mes collègues qui à tour de rôle vinrent s'asseoir à côté de moi sur le canapé avant de me prendre dans leurs bras et de me câliner comme une vraie nana, baisers de cinéma, caresses sur les jambes, mains sur les fesses, parfois sur mon sexe qui souhaitait jouir à son tour et que j'offrais à sucer à Philippe qui trépignait d impatience. Il gémissait en me suçant comme un enfant comblé devant une glace en été, il reprenait des couleurs sur son sexe et n hésitait pas à se branler tout en cambrant les fesses.
D'ici à ce que mon aventure réveille en eux une envie insoupçonnée ?