Mon homme, cette femme inconnue (vu par une femme)

Cela faisait environ 10 mois que nous nous fréquentions lorsqu'un e première alerte aurait du retentir dans mn corps. Penché sur ma commode à slips de dentelles et de satin, Jean-Paul s'amusait à regarder chaque dessous bien étalés devant son visage jusqu'à le sentir longuement. Pour cela il aurait fallu qu'il aille dans le coffre à linge où j'entreposais toutes mes culottes sales sans exception. Certaines devaient être passablement odorantes car de subites envies refreinées avaient néanmoins inondées mes culottes tandis que d'autres avaient accueilli la semence de mes amants chauds auxquels je n'avais pas su dire non. Devant, derrière, peu importe ce n 'était qu'une queue à laquelle je ne me serais refusée pour rien au monde. Bref il voulait des odeurs, qu'il suivent les bonnes pistes ou collecte les bonne infos. Je décidais, pour garder mon tiroir rangé, à lui montrer la richesse d'un coffre à linge familial.
Plantés tous les deux dans la salle de bains je lui montrais le coffre aux trésors.
ni une, ni deux, il se pencha au dessus et jeta son dévolu sur un soutif coloré à fleurs qui venait sans doute de vivre une journée trépidante. L'odeur qu'il dégageait refoulait agréablement les aisselles suintantes de Patricia sa jeune soeur actuellement en vacances. Portant à hauteur de ses narines les bonnets 95B de cette dernière il fut envahit d'un nuage érotique qui faillit le faire s'évanouir. Il découvrait l ivresse des dessous de bras naturels, la senteur boisée des efforts non masquée par un déodorant anonyme.IL s'empressa de le passer autour de sa taille pour parvenir à le boucler et le remonter sur ses petits seins de jeune gonzesse qui s'ignore. Plus loin il retrouva le string assorti qui sentait la mouille séchée, un muscade épicée bien reconnaissable aux relents que dégageais se sooeur lorsqu'elle semblait en mode de chasse, en mode recherche d'accouplement. On suivait sa chatte dès le matin à chaque mouvement en ayant qu'une hâte de le trouver jeté dans le coffre juste avant notre douche. Sentir, renifler, humer ce nectar juste en entrant dans la douche garantissait une augmentation de la surface du corps à nettoyer ainsi qu'un crémage bien humain qu'aucune laiterie ne collectait. et pourtant, sans étude d impact, la demande semblait plus forte que la production.

Donc j'avais vu agir Jean-Paul et je m en étais amusée à le taquiner sur le sujet.

Quelques mois plus tard, de retour inopiné de mon boulot, j'entre dans la maison où je suis sensée trouver mon mec entrain de remplir des pages blanches de contrats pour son employeur. Je cherche quelques minutes avant d'entendre au sous sol, un mec glousser de douleurs ou de plaisir. JE descends lentement et discrètement en bas afin de n'interrompre aucun pédé trav aïe. Je reconnais jean-Paul habillé avec un ensemble soutif, culotte, porte jarretelles de couleur ambre sorti de ma garde robe. il porte merveilleusement l'ensemble ainsi que les escarpins assortis et je constate qu'il est en position de levrette devant notre voisin bedonnant dont le ventre se repose sur ses reins. La queue de ce dernier ne se voit pas perdue dans cet amas de graisse et de gras mais elle doit se sentir car Jean-Paul alias Candice gémit comme une pucelle déflorée tout en suppliant de continuer. Mon mari, mon macho, mon épaule puissante sur laquelle j'aimais me reposer lorsque j'avais besoin 'aide se faisait sauter comme une petite vilaine corps et cul en feu...... alors que je le croyais encore hétéro hier. Le voilà métamorphosée en nymphomane insatiable qui réclame à cors et cris des bites en suppléments. Heureusement les deux compères principaux n'étaient pas venus seuls s'éclater au sous sol et quelques âmes charitables s'empressèrent d'offrir leurs bouts de chair qui n'étaient pas mortes. Voilà Candice ma nouvelle compagne entrain de se faire sauter plus fort que je ne l ai moi même accepté. elle prend à témoin de son corps toutes les queues qui gravitent autour d'elle, n'ayant pas constaté ma présence qui la freinerait sans doute. Elle pompe, ondule du cul, aspire, relâche, lèche des couilles de taureau comme si elle découvrait un plat de fête. La voilà accroupie sous le boeuf propriétaire de ses couilles primées à la foire agricole locale entrain de gober les oeufs bien plein, entrain de rudoyer la bite assortie au service trois pièces campagnard, les poils représentant forcément la virilité du taureau;
je découvre mon mari chienne que je ne connaissais pas. Même moi dans mes années de fraicheur je n avais fait le quart. Là il semblait ratt****r toutes mes années de sevrage, de disette, d abandon de ça pour soulager son pote aussi bien qu'ik pouvait pour lui faire oublier tous les soirs de frustrations à s'endormir srur une béquille parce ue madame avait les mal à la tête, soit les regneugneus. Travesti, nettoyée comme une cuve à gaz, il pouvait assouvir tous les fantasmes possibles sans invoquer un quelconque malaise qui l'éloignerait du sexe contre sa volonté. Jouer la travestie c est assurer son partenaire qu'aucun cachet pour maux de tête ne se trouve sur la table de nuit, c est donner confiance à ce même partenaire que la porte de derrière n est pas condamnée, l'assurer que les dents sont bien brossées et prêtes à accueillir les bites qui voudront s'y aventurer. J'ai admiré mon mec, ce macho se faire prendre pour un vide couille, position qu'il semblait apprécier, se faire enculer, sucer 3 ou 4 bites, se branler de plaisir sans me dévoiler. Je sais aujourd'hui pourquoi quelquefois mes dessous sont déplacés ou se trouvent au lavage alors que je n ai aucun souvenir de les avoir portés. Je vais le laisser faire, j ai envie d adoucir son machisme au point d'en faire une lope dans le droit chemin qu il semble emprunter lorsqu'il pense que je suis absente. Je vais me faire plaisir en achetant de nouveaux dessous plus affriolants les uns que les autres dans le seul but de le voir me les emprunter. J ajouterai quelques paires de bas pour cette chienne qui vit sous mon toi