De Peggy à groslopenlingerie
La vie de couple s'installe, dans cette petite maison à la campagne.
Nous sommes heureux, ma femme s'occupe de moi, avec ma cheville cassé je bouge très peu, je me laisse aller à son Bon vouloir.Ce n'est pas désagréable. Notre vie sexuelle e sd t au ralenti.
Et régresse de plus en plus.
Malgré mes besoins, elle se dérobe de plus en plus souvent.
Elle finit par m'avouer qu'elle n'y a plus goût, plus d'envies.
Elle ne porte plus de lingerie sexy, celles que je lui offrais ou qu'elle achetais pour m'exiter.
Je ne suis pas fautif, dit elle, mais je me pose des questions.
Donc plus rien , nada, main droite,main gauche, pour varier.Mais la vie continue.
Je suis heureux.ma santé s'améliore. Je fais les travaux.
La famille, les amis.tout vas bien.
Mais plus de sexe.
Ma femme fait régulièrement ses courses avec sa copine qui vie à 500m de chez nous.
Un jour, elles reviennent et je vois posé sur son sac a main de jolies culottes en dentelle.Je lui dit , ta copine à oublié ces culottes.
Elle me dit , non, elles sont trop grandes pour elle, elle me les a donné.
Elle repart avec sa copine et je me retrouve seul avec les petites culottes.
Et je me mets à les carresser, les sentir.
Et fatalement, le naturel reviens au galop, j'enfile une des petites culottes.
J'ai cru que j'allais jouir dedans, tellement le plaisir est remonté de mon intérieur, comme un souvenir caché.
J'ai eu une érection violente avec une monté de sève aussi rapide.
Et jour après jour, j'allais dans le tiroir à petite culottes, les sentir, les mettre.
Et je sentais un manque.
Les quelques cartons de ma vie de Peggy étant stocké dans mon atelier, je me suis décidé à les ouvrir.
J'ai commencé à trier , à carresser ma lingerie, je retrouvais,les sensations enfouis dans mon corps,dans mon esprit.
Le sébum, s'écoulait de ma petite bite, comme un filet.je le récupérai, sur mes doigts et me délectait en le sucent.Je retrouvais un paradis perdu.
Dans la foulée,je redécouvrais ma boîte de gadgets, mes godes, plugs, ou autre petites merveilles, qui me faisaient passientier entre mes rencontres.
Fatalement, je me suis vêtu de mes lingeries, et recommencer à joué avec mes petits amis.
La nuit,je me levais et enfilais une petite culotte,des bas,un plug, et passais la nuit avec sous mon pijama .
Et bien sûr, je me reconnectai sur internet.
Les sites où j'allais étaient certains toujours actif, avec mes pseudo de Peggy.
Mais hors de question de redevenir Peggy, j'étais devenu barbu pour le plaisir de ma femme.
J'avais énormément grossi suite à mon laisser aller durant ma convalescence.
Et en serrant sur les sites,je découvrais que je n'étais pas seule dans mon cas.
J'ai décidé d'assumer : j'étais devenue une grosse lope en lingerie.
Nous sommes heureux, ma femme s'occupe de moi, avec ma cheville cassé je bouge très peu, je me laisse aller à son Bon vouloir.Ce n'est pas désagréable. Notre vie sexuelle e sd t au ralenti.
Et régresse de plus en plus.
Malgré mes besoins, elle se dérobe de plus en plus souvent.
Elle finit par m'avouer qu'elle n'y a plus goût, plus d'envies.
Elle ne porte plus de lingerie sexy, celles que je lui offrais ou qu'elle achetais pour m'exiter.
Je ne suis pas fautif, dit elle, mais je me pose des questions.
Donc plus rien , nada, main droite,main gauche, pour varier.Mais la vie continue.
Je suis heureux.ma santé s'améliore. Je fais les travaux.
La famille, les amis.tout vas bien.
Mais plus de sexe.
Ma femme fait régulièrement ses courses avec sa copine qui vie à 500m de chez nous.
Un jour, elles reviennent et je vois posé sur son sac a main de jolies culottes en dentelle.Je lui dit , ta copine à oublié ces culottes.
Elle me dit , non, elles sont trop grandes pour elle, elle me les a donné.
Elle repart avec sa copine et je me retrouve seul avec les petites culottes.
Et je me mets à les carresser, les sentir.
Et fatalement, le naturel reviens au galop, j'enfile une des petites culottes.
J'ai cru que j'allais jouir dedans, tellement le plaisir est remonté de mon intérieur, comme un souvenir caché.
J'ai eu une érection violente avec une monté de sève aussi rapide.
Et jour après jour, j'allais dans le tiroir à petite culottes, les sentir, les mettre.
Et je sentais un manque.
Les quelques cartons de ma vie de Peggy étant stocké dans mon atelier, je me suis décidé à les ouvrir.
J'ai commencé à trier , à carresser ma lingerie, je retrouvais,les sensations enfouis dans mon corps,dans mon esprit.
Le sébum, s'écoulait de ma petite bite, comme un filet.je le récupérai, sur mes doigts et me délectait en le sucent.Je retrouvais un paradis perdu.
Dans la foulée,je redécouvrais ma boîte de gadgets, mes godes, plugs, ou autre petites merveilles, qui me faisaient passientier entre mes rencontres.
Fatalement, je me suis vêtu de mes lingeries, et recommencer à joué avec mes petits amis.
La nuit,je me levais et enfilais une petite culotte,des bas,un plug, et passais la nuit avec sous mon pijama .
Et bien sûr, je me reconnectai sur internet.
Les sites où j'allais étaient certains toujours actif, avec mes pseudo de Peggy.
Mais hors de question de redevenir Peggy, j'étais devenu barbu pour le plaisir de ma femme.
J'avais énormément grossi suite à mon laisser aller durant ma convalescence.
Et en serrant sur les sites,je découvrais que je n'étais pas seule dans mon cas.
J'ai décidé d'assumer : j'étais devenue une grosse lope en lingerie.
před 3 roky/let