Le retour de Nicole

Il y a longtemps que je ne vous avais pas parlé de Nicole. Plus e d’un mois que je ne l’avais pas baisée. A cause des vacances. Les miennes, les siennes. Et ça lui manquait. Mi-août, moi j’avais déjà repris le travail, elle pas encore, elle m’a proposé de passer l’après-midi ensemble. Ailleurs que chez elle, à cause de son mari.
Problème, venant à peine de reprendre le boulot, je n’avais pas trop de dispo. A part la pause déjeuner et encore, travaillant en équipe à l’installation d’une nouvelle chaudière, j’avais donc une petite heure de libre.
‘ J’ai très envie de te voir….Tu peux te libérer ? Elle, elle s’arrangerait….
Je lui ai donné l’adresse du chantier, un lycée professionnel de la ville et à l’heure prévue, elle était là à m’attendre sur le parking.
Où tu m’emmènes ?
Je n’en savais fichtrement rien. On n’avait pas beaucoup de temps et je ne connaissais pas du tout le quartier pour trouver un endroit tranquille. Par contre, j’avais déjà le barreau. Dans sa petite robe dont elle avait déjà dégrafé quelques boutons, je la trouvais terriblement sexy. Sage dehors comme une femme de son âge peut l’être et terriblement salope dessous. Elle sentait bon et ma main que j’avais plongée entre ses cuisses me disait qu’elle était déjà chaude.
Viens ! On a qu’à aller là, y a personne.
Là, c’était le bahut. Et c’est vrai que c’est la meilleure idée que j’avais. A cette heure, le gardien des lieux devait manger et on serait tranquille.
Elle a réfléchi puis a lâché « Tu es fou » tout en ouvrant la portière. Elle avait faim la coquine…. Et terriblement sexy.
Par transparence, on voyait ses formes au travers du tissu et chaque pas qu’elle faisait, découvrait très haut ses jambes. Son petit sourire en coin m’indiquait qu’elle n’était pas sans l’ignorer.
Il nous a fallu quelques minutes avant de trouver une porte ouverte. C’était celle d’un atelier de menuiserie. Parmi toutes les machines-outils, je repérai un vaste établi. C’est là que je l’ai entraînée. Nous étions pour le moins abrités. Au cas d’une entrée intempestive, dissimulée par les installations Nicole aurait la possibilité de se cacher (peut-être) seul inconvénient, les larges fenêtres qui nous exposaient beaucoup plus. Celui devait toutefois lui convenir car déjà, elle se collait à moi. Nous avons échangé un baiser torride, sa bouche mangeant littéralement la mienne tandis que moi je m’accrochai à ses seins. (un régal). Elle bandait elle aussi. Un, deux boutons et voilà que j’avais sous ma bouche, deux beaux obus supportaient par un soutien super sexy (redresse seins, je crois). Deux belles tiges très sombres, très dures à la merci de mes dents (elle adore).
En deux temps trois mouvements, elle avait sorti ma queue et avant même que je commence à m’occuper d’elle sérieusement, elle s’est penché sur moi pour m’avaler. J’ai senti la chaleur de sa bouche glisser le long de ma queue, m’avalait très loin, m’aspirait.
Même si ma copine fait beaucoup d’efforts, Jamais je n’ai été sucé comme ça. (je n’ose imaginer le nombre de bites qu’elle a dû sucer pour en arriver là).
J’avais relevé le bas de sa robe et j’écartai sa culotte. Une sorte de shorty assez ample pour que je puisse glisser ma main entre ses fesses. Pendant que je la doigtai, elle suçait avec « professionnalisme ». C’est son fantasme à Nicole, elle aime entendre des mots crus. Du style salope, Putain…. Ca l’excite.
Les fesses bien relevées, les jambes écartées, elle offrait sa chatte à mes doigts. Elle mouillait tellement que c’est sans problème que je l’ai pénétrée taquinant au passage l’entrée de ses reins de mon pouce.
Elle s’attardait toujours sur ma queue lorsque mon regard soudain attiré par un mouvement s’est porté sur une fenêtre. Deux guignols s’agitaient à l’extérieur. Mes collègues. Les salauds nous avaient débusqués.
Ils sont comme moi, ils aiment le cul et souvent on en parle. Ils savent aussi que je ne suis pas très fidèle mais, ils ne savaient pas pour Nicole. Là c’était le flagrant délit… C’est sûr qu’à 25 ans on se figure mal à se taper une femme en ayant le double. Mais avec Nicole c’est spécial, j’ose et je fais ce qu’avec ma copine ça reste parfois une frustration. Le respect de ne pas trop la brusquer peut-être. Nicole, elle si en trompe son mari avec moi ce n’est pas pour refaire sa vie. Je lui donne du plaisir. Elle aime nos petits jeux et ce qu’elle demande, c’est juste de la discrétion. Pour le reste, elle est joueuse et elle a du vécu et c’est avec elle que je fais ce que je ne fais pas à la maison.
Pour la discrétion, ce coup-ci c’est sûr que là….Mais bon, ils ne la connaissaient pas mais c’est sûr qu’ils allaient m’en parler, qu’ils voudraient savoir.
Attends ! Viens….j’ai envie de toi !
Elle ne s’est pas fait prier. Prenant bien soin qu’elle ne les voit pas, je l’ai attiré vers un coin de l’établi et me suis plaqué derrière elle. J’avais ma main dans sa culotte, je l’ai aidé à s’en débarrasser. Elle mouillait et roulait des fesses contre mon ventre. J’ai carrément ouvert sa robe et découvert ses seins. J’adore la prendre en levrette et voir sa lourde poitrine se balancer Là, mes petits collègues allaient en profiter aussi. Et mieux encore, j’ai relevé sa robe pour dévoiler son cul.
Accroché à ses hanches, je l’ai pénétrée brusquement. Elle n’est pas très grande, moi non plus, mais avec ses chaussures à semelles compensées, elle était plus haute et ça devait mieux lui convenir car elle a tout de suite réagit.
Fort ! Vas-y fort…
C’est ce que j’ai fait. Je l’ai carrément bourrée. Heureusement, le matin même j’avais déjà honoré ma copine. J’ai quand même modulé le mouvement. Doucement, fort, doucement, fort….
Elle se tenait plus, tendait ses fesses. Moi, j’imaginais mes potes….
Pour la première fois, je l’ai fessée. J’ai claqué ses belles grosses fesses et à ma grande surprise, elle n’a rien dit. Elle s’est tournée vers moi, j’ai eu peur qu’elle aperçoive les autres mais non, elle s’accrochait à l’établi elle était vraiment partie. Je le voyais dans ses yeux.
Vas y mon chéri, oui fort c’est bon … Continue !
J’ai bien écarté ses fesses, craché dans sa raie et mes pouces à l ‘entrée de son cul, j’ai commencé à la caresser. Elle a découvert ce plaisir avec moi. Son mari avait bien essayé mais elle n’était pas fan. Ca a changé. A chaque fois que l’on baise, je la prends comme ça et depuis qu’on a fait les tests, elle aime que je lui graisse le cul….
Peu à peu, elle s’est ouverte. Mes doigts entre ses fesses, je l’ai baisée sous les regards goguenards de mes deux observateurs qui s’étant même déplacés, n’en rataient pas une miette. J’allais à grands coups de reins de toute la longueur de ma queue. J’imaginais leur stupeur de voir une femme comme Nicole se faire démonter par un jeune branleur comme moi…
Tu aimes ça ? Tu aimes te faire prendre comme ça…comme une salope !
Et c’était le cas, je le savais….Elle aime que je la traite comme ça.
Elle ne répondait pas et pour cause, on entendait que ses petits couinements et le choc de nos deux corps, le bruit du ballottement de ses seins.
Avec mes deux pouces bien enfoncés en elle et ma queue toujours plus raide, je n’ai pas tenu longtemps, elle l’a senti. J’ai senti les muscles de son ventre enserrés ma queue tandis qu’elle ondulait des fesses. Je l’ai quitté précipitamment pour arroser le sillon de son cul, imprégnant l’entrée de ses reins de mon sperme. Elle roucoulait encore, sûr qu’elle aurait voulu que je la visite encore de ce côté-là mais le temps s’écoulait et j’avais tout donné.
Se collant à moi comme une chatte, elle m’a pris la bouche « c’était bon…. » M’a-t-elle dit visiblement toute contente et sa main de nouveau sur ma queue. « Et toi ?.... »
Comment lui dire ma satisfaction, ma fierté de jeune coq de l’avoir satisfaite devant témoin !
Vite fait, elle avec sa culotte dans son sac, nous sommes ressortis et avons retraversé discrètement la cours. Près du portail d’entrée, nous sommes tombés sur mes collègues qui, inopinément, grillaient une cigarette…
« Au revoir, messieurs » leur a-t-elle jeté timidement en accélérant le pas, sans se retourner. A contre-jour, on devinait toujours ses jambes et ils ne s’en privaient pas.
Grande timide ? Ils s avaient de quoi elle était capable et bien sûr, ils voulaient savoir…
Je l’ai vu repartir, pressée. Elle avait eu de ce qu’elle voulait maintenant il fallait qu’elle rentre vite. Quelle salope ! Voilà surtout ce qu’ils ont retenu. Un compliment.
Publicado por huguo
há 6 anos
Comentários
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rasoir há 6 anos
encore une belle aventure !
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