Série Artistes : Objets de Cinéma

L’idée est née d’un constat…
Quelques musées en France proposent des collections provenant du 7ème Art…
Dans notre Musée, tableaux et sculptures remplissent nos salles…

Marie, notre Conservatrice, axe ses expositions sur les arts très riches dans nos réserves qui regorgent d’objets hétéroclites pouvant prendre part à des expositions temporaires et des prêts, pour mettre en valeur un artiste, comme nous l’avons fait dans les deux premiers chapitres de cette saga…

L’expo que nous allons réaliser est un florilège d’œuvres des plus grands peintres de la renaissance italienne et française. Mais ce qu’attend le visiteur, c’est un rêve…
Pour la plupart des gens, les œuvres des peintres connus, sont appréciées, mais les voir dans un autre contexte serait un plus évident…

Nous avons donc conçu un itinéraire particulier, une visite ludique, mettant en scène nos plus belles œuvres…
Mais dans un chemin éclairé, illuminé par des rappels aux plus grands films de ces périodes, retraçant soit la vie d’un artiste, soit une période de l’histoire, un événement…

Ce chemin, sera présenté par des tableaux et des sculptures, des costumes, des robes, puisées dans les réserves de divers musées, ayant trait au cinéma…

Notre fil rouge, sera de nous amener dans chaque salle, à retrouver des images de ces films, associées à ces œuvres, à ces peintres… D’y retrouver robes, accessoires, ayant marqué une époque, une ville, un film…

Venise, a été maintes fois représentée dans divers styles, nous la montrerons, par exemple avec quelques tableaux, aux côtés de photos et d’objets issus de Mort à Venise…
Affiches, vêtements, objets se côtoierons…
Le visiteur sera guidé dans cette approche nouvelle…

Pourquoi ne pas intégrer alors une vision inédite ? Celle d’un scénariste, d’un réalisateur ?

Voici Andrea, célèbre acteur et réalisateur, à l’accent chantant et aux mains sans cesse en mouvement…

- Marie ?
- Oui, Myriam ?
- Il te plait cet Andrea ?
- Bien, après lui avoir exposé ce que je veux de lui, il m’a fait comprendre ce qu’il voulait de moi…
- J’ai joué les ingénues, un peu surprise par son attitude directe… Surtout que je n’avais rien fait de déplacé… Nous étions dans mon bureau… Parfois Brigitte passait dans le couloir… Il détournait les yeux de mes seins pour la suivre…
- Et ?
- Son regard était très perçant, très appuyé… Quand je lui ai montré quelques toiles, je l’ai senti sur tout mon corps… Il me passait aux rayons X… Je me trouvais à contrejour… Alors je n’ai pas tenté le diable… Je me suis déplacée…
- Il n’a rien dit ?
- Heu… Non, ou je n’ai rien entendu…
- Tu aurais aimé ?
- Je perdais le fil de ma conversation, parfois… Il a senti sans doute qu’il me déstabilisait… Mais non, il a battu en retraite, poli et réfléchissant pour sa réponse… J’attends son étude…
- Il est craquant…
- Oui, mais nous avons déjà croqué quelques artistes…
- Ils sont fatigués ! Marco ne vient plus, pareil pour Éric qui est à l’étranger… Bastien est très occupé aussi… Brigitte, oui, mais c’est pas pareil…
- Il te plaît celui-là ?
- Yes…
- Quand il reviendra, on le traitera avec tous les honneurs… Je pense à Brigitte, elle passait et repassait dans le couloir… Elle en a envie aussi ? On pourrait sortir toutes les trois ?

Sitôt dit, sitôt fait !...
Nous voici dans une petite station balnéaire, on a décidé de se lâcher toutes les trois…
Restaurant, puis boîte jusqu’au bout de la nuit…
Habillées en mode drague, robe mi-cuisse, décolleté, moi rouge, Marie bleue et Brigitte jaune doré…

Au restaurant c’est pas trop mal parti…
Pas mal de rires, en nous moquant du serveur, puis de clients guindés, de femmes un peu saoules… D’autres un peu jalouses…
On a le temps, le Casino n’ouvre qu’à 23 heures…

Le repas s’étire, et nous décidons de prendre l’air sur la jetée…
Il fait frais, mais cela nous fait du bien, nous dégrise un peu, et on continue nos rires, sur les personnes qui nous entourent… Au Musée… Les femmes, les hommes…
Brigitte a des préférences…

- Tu en as essayé ?
- Oui, un jeune comptable en stage il y a deux ans… 22 ans, beau, il n’a pas craché sur ma trentaine passée…
- Vous l’avez fait où, la première fois?
- Chez moi… Il a pris ma main sur le canapé pendant l’apéritif , il a compté mes doigts… Et comme la réponse était juste… Il m’a souri, j’ai craqué… Il était jeune mais à point… J’ai passé une excellente soirée et une bonne nuit… Il m’a baisée avec tendresse, je me suis détendue et j’ai pris l’initiative et il a aimé…
- Tu l’as fait par derrière ?
- Oui, sur le matin… Il a explosé son compteur ! Il m’a dit que j’avais une chatte d’adolescente et un cul de bourgeoise… Et quand je l’ai branlé entre mes seins, il a crié sa mère !
- Vous me donnez envie les filles… Je vais penser à ça si on danse… Je vais me liquéfier si il le mérite…
- Allez, ça a dû ouvrir, il est 23h30…

Trois princesses bien en vue au bord de la piste, dans des canapés moelleux, leurs cuisses éclairées par les spots, papotant en regardant les jeunes se démener…
Puis nous levant ensemble, et nous mêlant aux excités, effleurées, bousculées, branchées…

Brigitte est partie bien vite, sa vodka orange l’a boostée…
Une heure avec des envolées de robes, nous sommes sorties prendre l’air…

Quelques-uns étaient là, fumant, et on a continué à parler, à faire connaissance…
Quand ce fut fait, nous étions prêtes…

Brigitte a été la première, un patin de malade, lui bouffant le museau…
Quand nous sommes rentrées, quelques minutes plus tard, elle l’a entraîné avec nous…
Elle se laissait caresser les seins, palper les fesses, une main sur la boursouflure du pantalon de son danseur…

Elle passait en mode cougar, se frottant contre lui… Indécente et sensuelle…

Le mien était plus mièvre, un tantinet timide, 23/25 ans, ses baisers étaient doux, passionnés… Je ne disais pas non à une continuité… Il parlait bien, me caressant, osant un peu plus… Dans un recoin de ce bar, collés l’un à l’autre, sa main frôlait l’indécence, atteignait à ma vertu… J’allais craquer… Je commençais à respirer fort… Mes jambes tremblotaient, mon ventre le voulait…
Il avait fait le tour du propriétaire, et allait signer l’acte…
Son stylo était prêt !

Marie se laissa entreprendre par deux jeunes hommes…
Riant aux éclats, ses cuisses bien exposées, ses seins tressautant dans son décolleté…
Embrassée par l’un, tripotée par l’autre… Elle se leva et me fit signe pour les accompagner dehors…

- Ta copine va y passer, elle a l’air d’apprécier… Il y a une annexe, à côté, plus tranquille et sécurisée… Tu veux les suivre ? Ce sont mes copains avec elle…
- On est 3, la blonde aussi, avec ce gars…
- Dis leurs de nous attendre… ?

Tous les sept, la porte franchie, accueillis par deux belles jeunesses aux seins nus, elles nous proposent un vestiaire pour nos affaires, pour nous mettre à l’aise, et de nous assoir sur un espace libre, il y en a encore…
La pièce est vaste, bien sonorisée, parfumée, peu éclairée, le temps qu’on s’habitue… Les clients dansent aux sons de salsas, reggae, disco, funk, rap, et des variétés internationales.
J’ai gardé ma robe, j’ai retiré tout le superflu… Je ne porte pratiquement qu’elle…

Des yeux nous passent aux rayons X… Marie est comme moi, presque transparente…
Des couples sont passés à l’action, étroitement enlacés, ils se donnent du plaisir…
Au fond, je vois des torses féminins, nus, dépasser des fauteuils, des fières amazones, jouissent lentement d’un sexe masculin, très occupées, les yeux dans le vague…

D’autres, se laissent caresser, debout dans l’obscurité, en dansant, sans se gêner… Une s’est agenouillée et fait une fellation à son compagnon…
Puis elle disparait dans le fond de la pièce avec lui…

Il m’a retrouvée… Collée contre lui… Il a découvert mon secret…
Oui, je suis nue… A la portée de ses mains, et son sexe, que je sens contre ma cuisse, a doublé depuis le Club…

Marie, à mon côté, suit Brigitte, emportée par ses copains…
Nous suivons ce petit monde…

Un « espace dédié », c’est un ensemble de matelas, de coussins, de tables basses, où l’on passe aux choses sérieuses, des alcôves discrètes, pour des moments érotiques et sensuels…
Brigitte a écarté ses cuisses, allongée sur le dos, la tête de son amant va et vient…
Nous nous mettons à jour, robe déposée à l’abri des accrocs…

69 par-ci, levrette par-là, l’heure qui suit est riche en soupirs, et feulements…
Après une fellation et un cunnilingus, je me laisse pénétrer, à bout de ce désir tenace…
Je m’offre comme une gourgandine, sur le dos, genoux repliés, la chatte bien offerte…

Elle se dilate sous la pression d’un dard généreux, je suis empalée par un connaisseur qui prend son temps de ressentir mon émoi, mes premiers râles…
Il me lutine lentement, cadence de sénateur…
Il me prend en capitaine, écarte mes cuisses, me conduit dans l’océan, la houle m’emporte, je ne veut plus rien, que ce dard qui me transporte, qui remplit mon vagin…
J’ai du mal à garder ça pour moi… Mes feulements l’excitent…

Je participe, relevant mon bassin, m’ouvrant à lui, bloquant ses hanches avec mes cuisses…

Mes seins ballotent, il les empaume, les titille, en accélérant…

Il va y aller, c’est certain… Ma chatte savoure ses allers-retours… Il me culbute…
Je me délivre et gémis mon plaisir…

Mais il se reprend et me sourit…

- Attend… J’ai encore envie… Tu n’as fait que le recto…
- Oui ! Tu me plais… Au moins tu sais ce que tu veux, toi…
- Je suis un peu trop directe ?
- Oh, non ! Tu es expressive, et ça me donne la trique !

Marie est prise en sandwich, et se fait double pénétrer… Elle adore…
Couchée sur un, se pénétrant avec fougue, elle se fait sodomiser par le second…
Gémissant de leurs assauts combinés, griffée, comme violée…
Elle se tord et en veut encore, cherchant à les piéger en elle…

Brigitte est arrivée à ses fins… Après un soixante-neuf très érotique, avec maintes envolées lyriques de sa part, elle est passée au reste, se donnant avec passion, dans toutes les positions, et reprenant les rênes, elle s’est allongée sur le ventre, lui offrant son jardin secret…
Il l’a prise sans ménagement, en levrette, comme une bourgeoise en partouze…

Il l’a démontée, déboitée, ouvrant sa rondelle, plantant son épée magique au fond de ses entrailles… Je l’entendais jouir sous les coups de reins de son amant, écrasée, détruite, sans force pour se relever…

4 hommes pour 3 femmes… Après réparation et boissons réconfortante, les amants de Marie m’ont proposé d’échanger…
Je me suis retrouvée dans les bras d’un autre, venu derrière moi, pendant que je récupérais, étendue sur le côté…

J’ai compris son attrait…
En sentant son pénis sur ma cuisse…
Je n’ai plus rien pensé… J’ai fermé les yeux…

J’ai senti sa queue effleurer ma fente, tentant une approche directe… Le gland en tête de convoi…
Avant de réagir, je jouissais déjà… Dans ma tête, c’était branle-bas de combat !

Plantée comme un catin, il me baisait trop bien…
Pourtant c’était pas le premier de cette soirée…
J’avais déjà bien reçu, démontée par plusieurs amants…

Mais il y avait un grain, un quelque chose de nouveau, de bon, de tendre…
Il me bisait le cou, effleurait mes cheveux, son parfum me parlait…
Sa bite glissait en moi comme si elle connaissait l’endroit…
Mon vagin me transmettait des signaux alléchants, torrides, en fait, il se régalait de cette cadence douce et de ce précieux objet qui le dilatait…

Je me laissais emporter par mes délires…
Je pensais à quelqu’un, je ne voulais pas savoir avant qu’il n’ait fini…
Je ne voulais pas casser mon rêve, mon désir venait, repartait, et il me fourrait encore, comme les vagues qui ne s’arrêtent jamais, vont et viennent…

C’est divin…

Il s’arrêta un instant, je me détendis…
Il était tapi dans mon corps… Gentil, chaud, et j’en voulais encore…
C’est moi qui ondula la première…

Des instants comme ça, ça ne se refuse pas…
Ça se ménage, ça se délecte…

Il massa mes seins, d’un geste si tendre, si protecteur…
Je repliais mes cuisses, il gagna de la place et m’embrocha plus virilement…

La pièce était silencieuse, juste quelques soupirs, des feulements de lionnes…
J’aimais cette ambiance, le calme, et sa queue qui donne la cadence, et mon ventre qui s’agite… Deux coups un peu plus forts…

Je griffe ma couche… Mon désir monte encore, il le sent…
Il embrasse mes épaules… Puis le cou… Comme une poule…
Je vais y laisser des plumes !...

Il m’a poussée, je suis à plat ventre… écartelée… Sauvagement fourrée…
Il accélère…

Je pleure de désir, de plaisir, d’ivresse, mes sens sont en émoi, je ressens ses coups de bite, au fond de mon vagin pilonné…

Allez, viens… Oui !... Oh !...
Il me fait crac-crac !
La couche aussi !
Son dard, devient dur, il va de plus en plus profond, son pubis tape contre mes fesses…
On ahane tous les deux les derniers instants…

Oh, oui, donne-moi ton foutre ! Tu vas te libérer… Tu as l’air de me désirer !...
Je craque, jouissant comme une folle, mon fessier tout à lui…

Et vlan ! Une salve de semence, je sens la chaleur quand il se calme d’un coup…
Mais il continue à me prendre… Sur sa lancée…
Mes yeux se révulsent, je perds le nord quelques secondes, j’ai tremblé mon orgasme…

Que c’est bon l’amour !
Il débande calmement, mais toujours en moi, collé, récoltant le fruit de son effort…
Je suis trempée… Lui aussi…
J’ai les bras en croix… Il est sur moi, ses mains sculptent mes épaules, mon cou, glissent vers mes seins, je lui fais une place…
Son sexe est ressorti, flasque, heureux de sa prestation !

Le mien a eu un sursaut… Ce retrait soudain, qui me fait sursauter….

La nuit est totale, mes amies se sont calmées, endormies, leurs partenaires épuisés…
Son jus s’étale sur la couche, traversant le drap, je me vide de lui, libérant des bébés…

Dieu que j’ai joui, j’ai encore mal de partout…
Je m’étire comme une chatte et m’endors dans ses bras, sans avoir vu son visage…

Si il me fait la même chose, un jour ou l’autre, dans mon derrière, s’il me fait jouir autant en me sodomisant, je pense que je crèverai mon plafond de plaisir…

Un brouhaha me tire du sommeil, je suis encore lovée entre les bras de mon dernier amant…
Il fait sombre dans la chambre…

Je vais savoir qui m’a fait tout ça…
Il s’approche de mon oreille…

- Bonjour toi… Tu as dormi comme une reine…
- Mais qui es-tu ?
- Romain, le collègue de ton ex…

Romain !... Oui, je vois et je comprends.. Lui aussi a été délaissé récemment…
Il vient de me donner toute sa tendresse accumulée, son désir refoulé, son ardeur inutile, sa semence stockée depuis des mois…

- Tu n’as pas été très sage… Tu as abusé de mon corps…
- Oui, et j’en ai été récompensé, en entendant tes râles dans tout le bâtiment…
- C’était féérique…
- Pour moi, tu étais évidente… On se croisait souvent, avant… Je te désirais en silence… Je rêvais de toi… Je n’ai pu résisté en t’apercevant dans cet endroit de perdition…
- Tu as bien fait, je crois… Je te remercie… pour tout…
- Cela te dirait de continuer que tous les deux ? Faire connaissance, parler du bon vieux temps ?
- Si tu me promets de ne plus m’agresser…
- Ça va être difficile… J’ai encore envie de toi !
- Alors je prends le risque…

Une heure plus tard, je suis allongée dans ma chambre…
Sa langue va et vient sur mon bonbon d’amour…
Je feule sans m’arrêter, me contorsionnant, m’offrant, écartelée, genoux repliés, le soleil éclairant mes formes…

On a remis le couvert, cette fois en terrain connu…
Il venait parfois chez nous, il était marié avec… J’ai oublié sa femme…
Ils partageaient nos sorties, quelques soirées entre collègues de travail…
Je n’ai jamais pensé que Romain pourrait devenir mon amant…

Mais là… Ses doigts ouvrent mes portes, déclenchent des plaisirs enfouis…
Je me laisse emporter par la vague de plaisir qui me submerge et déclenche un orgasme…
Il excite mon clito, je craque !

Mon intimité est détrempée, mes méats bien béants…
Quand il me pénètre, je gémis…
Toute la pièce bascule, il me prend comme tout à l’heure…
Son sexe glisse en moi, je m’ouvre comme une fleur, c’est un déluge de tendresse, d’amour, une invasion de sexe…

Il me lutine tranquillement, et je pars en vocalises…

On s’embrasse, je le griffe, je le veux…
Il me prend en levrette… Je subis ses assauts plus puissants, plus virils…
Je larmoie, prise de frénésie sous ses coups de reins brutaux…
Il me tient par les hanches et me bourre comme un névrosé !
Je hurle, j’orgasme, il se calme…
Puis son sexe vient contre ma porte arrière…
D’un coup sec, il pénètre et glisse dans ma rondelle…

Cette sensation étrange d’un corps qui s’infiltre dans mes entrailles…
Je suis à lui, soumise, il me baise, il me viole, il me sodomise, m’encule…

Je me sens chienne quand il se met à me pilonner de son dard de malade, ouvrant mon cul sans ménagement, et explosant ma rondelle…

Oh, oui ! Je jouis d’elle, quand cette queue s’insère dans mon anus, me procure des sensations magiques, déclenche des étoiles dans mon ventre, des râles dans ma voix…

Il me tient, me délire, me fourre comme sa chose…
Il me la plante, sans ménagement, comme un viol consenti…
De plus en plus profond… Oh, comme c’est bon d’être baisée par un ange…

Je me donne, il le ressent, il s’excite, veut me donner toute sa science, me procurer un plaisir intense, violent, perdre le contrôle…

Il va venir, je le sens…
Sa queue est dure et puissante…

- Oh, oui, j’en peux plus, viens ! Viens dans mon ventre, dans mes entrailles, dans mon cul de bourgeoise, vide-toi comme un roi, un prince, un amant merveilleux ! Oui, là ! Baise-moi ! Ta bite m’honore, je suis comblée, remplie, pleine de semence, aspergée de ton foutre ! Je jouis ! Viens !....

Il me cabre, me roule, me fait tomber du lit…
Il me ratt****, me reprend, me viole de nouveau, en riant…
Et je perds la tête, tremble de plaisir et ferme mon âme…

Ses baisers me réveillent, j’ai plongé un long moment, bercée de tendres rêves…
Romain est mon héros…
Romain est mon amant…

C’est pas du cinéma !

L’exposition est un succès, Andrea a gagné son pari, Marie recueille ses lauriers, tendrement enlacée devant nous…

Romain détaille son corps de rêve, nous sommes seuls dans cette immense salle, il manque juste une étiquette…

On n’avait pas osé y faire figurer le cinéma X…

Brigitte apparaît alors, en tenue d’Eve…
Elle nous rejoint, me montre les caméras d’un regard discret…

Andréa lance un « Moteur ! »…
Puis il enchaîne : « Silence ! On tourne ! »

Nous voici bien éclairés, nous embrassant, Brigitte me détourne de Romain, pour mieux se faire câliner, Marie se glisse entre nous, et les hommes se partagent nos trésors…

Peu à peu l’ambiance se fait torride, nues, enlacées, caressées, les premiers râles montent, s’amplifient, et le magnifique canapé rouge nous accueille bras ouverts…

C’est après bien des scènes osées, diverses et variées, des échanges de partenaire, des doubles pénétrations, des cris, des gémissements, des râles, qu’on entend juste Andréa crier :

« Coupez »
Et tout le monde éclate de rire !!!

FIN
Marika842010
Série Artistes

février 2022
Publicado por marika842010
há 2 anos
Comentários
6
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Arapaho
Un peu castratrice à la fin ?
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philelise
a marika842010 : mais de rien Philippe 
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marika842010
a philelise : Merci
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marika842010
a jocho69 : Merci
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jocho69
Toujours pleine d'inspiration...
Responder
philelise
super et qu'elle plume  Philippe
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