La soirée d'anniversaire de mon homme
Fabrice et moi, on s'était rencontré un an plus tôt. Ca avait tout de suite collé entre nous. Même esprit frondeur, sans fausse pudeur. Il avait 25 ans et moi 24. On s'entendait bien dans notre lit et en dehors.
Avec lui, je prenais mon pied presque systématiquement. Et comme il était très demandeur, j'étais constamment sur un petit nuage.
On partageait quelques fantasmes qui agrémentaient et pimentaient nos séances déjà dignes des meilleures productions pornos.
Je me souviens de cette soirée d'anniversaire. Ce n'était pas le mien mais celui de Fabrice. En fait, nous n'étions pas encore mariés à l'époque.
A la fin de la soirée, tous les autres couples étaient partis ainsi que la plupart de nos invités exception faite de deux amis de Fabrice. Nous mettions un peu d'ordre au salon dans la bonne humeur quand Fabrice dit soudainement :
- Hé les gars! Qu'est ce que vous pensez de Karine? N'est-elle pas une parfaite petite boniche?
- Ouais. Une petite bonne qui est bien bonne. Dit son copain Jean-Pierre.
- Je suis d'accord. Je me la sauterais bien. Répondit Christophe.
Christophe était le plus jeune d'entre nous. Il avait la vingtaine. Très mignon. Grand et sportif. Très timide aussi. Sa réflexion me surpris.
Jean-Pierre et Fabrice étaient eux de vieux amis qui avaient fait leurs études ensemble.
Avant que je puisse répondre, ils étaient tous sur moi. Fabrice mit ses mains sur mon derrière. Et je sentis les deux autres me caresser mes épaules et ma poitrine. J'étais un petit peu pompette des deux trois flûtes de champagne que j'avais bues. C'est peut-être pourquoi je ne me rebellais pas.
Fabrice pris la fermeture éclair dans le dos de ma petite robe noire et la fit glisser. Pour ne pas perdre l'équilibre, je m'appuyais des deux mains à la grande table vitrée.
Mes épaules étaient maintenant dénudées et Jipé profita de la béance de mon vêtement pour glisser ses mains sur mes seins.
- Ohhhh les garçons. Qu'est-ce que vous me faites?
Je n'attendais pas vraiment de réponse mais Fabrice fit monter encore plus la température.
- On va te donner du plaisir, ma chérie. Et puis je vais montrer aux copains comme tu es chaude.
Il avait déjà relevé le bas de ma robe et sa main gauche jouait avec la ficelle de mon string.
Je sentais mon sexe devenir humide.
- Karine, t'as vraiment des petits nichons adorables.
Jipé retira ses mains.
- Montre les à Christophe.
Il fit descendre le haut de ma robe et pris mes mains pour les faire passer en dehors. Je dûs me raccrocher au bras de Christophe.
Pendant ce temps, Fab avait baisser mon string au niveau de mes cuisses. Ses mains firent le tour de mes hanches et se glissèrent sur ma chatte.
- Je confirme, les mecs. Elle est chaude comme la braise, ma petite bonniche.
- Ouais. Elle en veut, ta gonzesse. Dit Jean-Pierre continuant à jouer avec mes tétons.
Il les tirait un peu, les frottait, les excitait en les pincant entre pouce et index.
Dans mon esprit, il devint évident que le jeu n'allait pas s'arrêter de sitôt.
Je gémis de plaisir quand les doigts de Fabrice s'insinuèrent en moi.
- Hmmmmm. C'est boooonnnnnnn.
Jipé remonta sa main jusqu'à mon visage et fit glisser son index dans ma bouche.
Chris en profita pour se baisser et prendre mon téton entre ses lèvres.
Je commençais vraiment à perdre pied. Fabrice fit tomber robe puis string le long de mes hanches jusqu'au sol.
Voilà, j'étais nue et vulnérable dos à mon homme et également à la vue de ses deux amis.
Les mains de Fabrice s'éloignèrent de moi mais je sus qu'il dégrafait son jeans. Je connaissais par coeur ce moment de pause avant que la pénétration ne débute. Plus un bruit dans l'appartement. Christophe et Jipé ne me tenaient plus. Je fis glisser mes mains en avant sur la table pour me retrouver en appui sur mes avant-bras. Je me doutais que cela mettait plus en valeur mon petit cul.
Je voulus tourner la tête pour regarder Fabrice mais la soudaine pénétration de son sexe en moi me figea et me fit pousser un cri de surprise. Jamais il ne m'avait prise aussi fort. La pause habituelle pour que j'ai le temps d'encaisser son imposante queue, ne dura pas plus d'une petite seconde. Il entama ses vas et viens sur un rythme soutenu. Mon regard se fixa droit devant moi sur la porte fenêtre du balcon (Tiens! Le store n'est pas baissé. Des vis-à-vis pourraient-ils nous voir?). Dans le reflet confus sur fond de nuit noire que me renvoyait la vitre, je vis une petite femme sans habit, au regard halluciné se faire tamponner par un beau gosse en chemise blanche derrière elle. Deux jeunes hommes se masturbaient à ses côtés. Bien entendu, c'était moi mais en même temps il me semblait que j'étais en dehors de mon enveloppe corporelle, actrice et spectatrice à la fois.
Avec lui, je prenais mon pied presque systématiquement. Et comme il était très demandeur, j'étais constamment sur un petit nuage.
On partageait quelques fantasmes qui agrémentaient et pimentaient nos séances déjà dignes des meilleures productions pornos.
Je me souviens de cette soirée d'anniversaire. Ce n'était pas le mien mais celui de Fabrice. En fait, nous n'étions pas encore mariés à l'époque.
A la fin de la soirée, tous les autres couples étaient partis ainsi que la plupart de nos invités exception faite de deux amis de Fabrice. Nous mettions un peu d'ordre au salon dans la bonne humeur quand Fabrice dit soudainement :
- Hé les gars! Qu'est ce que vous pensez de Karine? N'est-elle pas une parfaite petite boniche?
- Ouais. Une petite bonne qui est bien bonne. Dit son copain Jean-Pierre.
- Je suis d'accord. Je me la sauterais bien. Répondit Christophe.
Christophe était le plus jeune d'entre nous. Il avait la vingtaine. Très mignon. Grand et sportif. Très timide aussi. Sa réflexion me surpris.
Jean-Pierre et Fabrice étaient eux de vieux amis qui avaient fait leurs études ensemble.
Avant que je puisse répondre, ils étaient tous sur moi. Fabrice mit ses mains sur mon derrière. Et je sentis les deux autres me caresser mes épaules et ma poitrine. J'étais un petit peu pompette des deux trois flûtes de champagne que j'avais bues. C'est peut-être pourquoi je ne me rebellais pas.
Fabrice pris la fermeture éclair dans le dos de ma petite robe noire et la fit glisser. Pour ne pas perdre l'équilibre, je m'appuyais des deux mains à la grande table vitrée.
Mes épaules étaient maintenant dénudées et Jipé profita de la béance de mon vêtement pour glisser ses mains sur mes seins.
- Ohhhh les garçons. Qu'est-ce que vous me faites?
Je n'attendais pas vraiment de réponse mais Fabrice fit monter encore plus la température.
- On va te donner du plaisir, ma chérie. Et puis je vais montrer aux copains comme tu es chaude.
Il avait déjà relevé le bas de ma robe et sa main gauche jouait avec la ficelle de mon string.
Je sentais mon sexe devenir humide.
- Karine, t'as vraiment des petits nichons adorables.
Jipé retira ses mains.
- Montre les à Christophe.
Il fit descendre le haut de ma robe et pris mes mains pour les faire passer en dehors. Je dûs me raccrocher au bras de Christophe.
Pendant ce temps, Fab avait baisser mon string au niveau de mes cuisses. Ses mains firent le tour de mes hanches et se glissèrent sur ma chatte.
- Je confirme, les mecs. Elle est chaude comme la braise, ma petite bonniche.
- Ouais. Elle en veut, ta gonzesse. Dit Jean-Pierre continuant à jouer avec mes tétons.
Il les tirait un peu, les frottait, les excitait en les pincant entre pouce et index.
Dans mon esprit, il devint évident que le jeu n'allait pas s'arrêter de sitôt.
Je gémis de plaisir quand les doigts de Fabrice s'insinuèrent en moi.
- Hmmmmm. C'est boooonnnnnnn.
Jipé remonta sa main jusqu'à mon visage et fit glisser son index dans ma bouche.
Chris en profita pour se baisser et prendre mon téton entre ses lèvres.
Je commençais vraiment à perdre pied. Fabrice fit tomber robe puis string le long de mes hanches jusqu'au sol.
Voilà, j'étais nue et vulnérable dos à mon homme et également à la vue de ses deux amis.
Les mains de Fabrice s'éloignèrent de moi mais je sus qu'il dégrafait son jeans. Je connaissais par coeur ce moment de pause avant que la pénétration ne débute. Plus un bruit dans l'appartement. Christophe et Jipé ne me tenaient plus. Je fis glisser mes mains en avant sur la table pour me retrouver en appui sur mes avant-bras. Je me doutais que cela mettait plus en valeur mon petit cul.
Je voulus tourner la tête pour regarder Fabrice mais la soudaine pénétration de son sexe en moi me figea et me fit pousser un cri de surprise. Jamais il ne m'avait prise aussi fort. La pause habituelle pour que j'ai le temps d'encaisser son imposante queue, ne dura pas plus d'une petite seconde. Il entama ses vas et viens sur un rythme soutenu. Mon regard se fixa droit devant moi sur la porte fenêtre du balcon (Tiens! Le store n'est pas baissé. Des vis-à-vis pourraient-ils nous voir?). Dans le reflet confus sur fond de nuit noire que me renvoyait la vitre, je vis une petite femme sans habit, au regard halluciné se faire tamponner par un beau gosse en chemise blanche derrière elle. Deux jeunes hommes se masturbaient à ses côtés. Bien entendu, c'était moi mais en même temps il me semblait que j'étais en dehors de mon enveloppe corporelle, actrice et spectatrice à la fois.
منذ 8 سنوات
Être actrice et spectatrice
Ressentir au fond de son corps les coups de boutoir et voir son image bousculée sur une table
Avoir une envie de sexe et entendre être offerte à des amis ...
Très chaud ...on imagine que les spermes des trois copains vont n'en former qu'un
Bon anniversaire mon chéri