Alain est rentré plus tôt (Stéphane et Alain, épis
Après notre première rencontre chez moi, Stéphane n’a pas mis long à me contacter. J’ai vite compris qu’il se complaisait dans son rôle de baiseur macho. Il n’aimait pas devoir se déplacer et préférait son rôle de pacha qui se faisait vider les couilles à domicile. Au début, je le croyais marié à une femme, mais j’ai vite compris que la personne qui partageait sa vie s’appelait en fait Alain. Ce dernier s’était engagé comme pompier volontaire et avait régulièrement des soirées d’exercice. Et moi je recevais alors un sms : «viens me purger ce soir à 20h15 !»
La question de savoir si j’étais disponible ou pas, l’intéressait peu. Il est vrai que je disais rarement «non», m’organisant pour ne jamais accepter de rendez-vous avant 21h. En fait, sentir le jus de ce beau mâle suinter de mon cul pendant que je buvais des verres avec des potes en deuxième partie de soirée m’excitait plutôt.
Souvent quand j’arrivais à l’heure dite, Stéphane était sous la douche. Je savais alors que je devais me foutre à poil, et attendre à quatre pattes devant la télé sur laquelle était déjà diffusé un porno. Bien que Stéphane soit très endurant, nos rendez-vous dépassaient rarement la demi-heure. Mis à part quelques fellations, nos rencontres se limitaient généralement à de longs aller-retour de sa queue massive dans mon cul, avec ses couilles frappant à chaque coup de reins. Il me limait généralement violemment pendant 20 bonnes minutes. Il y allait franchement à une telle vitesse telle que peu de mes amants auraient tenu plus de 30 secondes. Tout à coup, il lâchait sa sauce dans un râle. Après j’avais souvent le droit de donner un petit coup de langue pour lui nettoyer la queue avant de m’habiller et de me barrer sans un mot.
Cela faisait ainsi deux mois que j’allais une ou deux fois par semaine purger les couilles de Stéphane. Malgré le côté répétitif de nos rencontres, j’étais toujours aussi excité à l’idée d’être la chienne d’un mâle aussi viril. Ce soir-là, le fameux Alain était à son exercice de pompiers. Je suis arrivé dans l’appartement moderne où ils vivent tous les deux. J’ai entendu l’eau couler dans la douche. Je me suis mis nu. Un godemichet était posé sur la table basse. Je l’ai lubrifié et l’ai enfoncé dans mon cul. J’ai un peu joué avec, faisant des allers-retours au même rythme que le grand black sur l’écran devant moi. Tout à coup, j’ai entendu une porte… j’ai tendu l’oreille, mais comme l’eau de la douche coulait toujours, j’ai continué mon petit jeu. «Ah ben je comprends pourquoi, il est trop fatigué pour me sauter», ai-je entendu derrière moi. En me retournant, j’ai vu un petit blond en tenue de sport. «Je crois que je vais y aller», ai-je balbutié en essayant de me relever. Mais le blondinet m’a dit «Non, toi tu ne bouges pas !» Il s’est dirigé vers un petit meuble et a sorti quelque chose d’un tiroir. Avant que je comprenne, je me suis retrouvé avec un bâillon-boule en bouche et une paire de menottes reliant mon poignet droit à ma cheville droite et une autre reliant mon poignet gauche à ma cheville gauche. Me voilà complètement offert, sans défense !
Le blondinet d’est alors éloigné. Je ne le voyais plus quand l’eau a cessé de couler dans la douche. Stéphane est arrivé… «Hmm c’est bon ça ! Bien offert, je vais me régaler. Mais faudra que tu m’expliques comment tu as réussi à te ligoter comme ça !», a-t-il déclaré avant d’être coupé dans son élan par le blond «Peut-être parce que c’est moi qui l’ai attaché ! Non, mais tu te fous de moi… tu n’arrêtes pas de me dire que tu es trop fatigué pour me faire l’amour !» Stéphane, la voix toute penaude à tenté un «oui, mais lui c’est juste un vide-couilles, c’est purement sexuel !» Le blond a alors sèchement répondu «ouais, moi aussi j’aime le cul ! Viens ici…»
Je n’ai pas trop compris ce qui se passait derrière moi, tout à coup le petit Alain m’a enlevé le bâillon boule et m’a ordonné de me tourner d’un quart de tour. Pas facile menotté comme j’étais. Le changement de position, m’a alors permis de voir Stéphane à poil, assis sur une chaise, les mains derrière le dossier que j’imaginais menottées. Les jambes attachées aux pieds de la chaise. Il bandait comme un fou, pendant qu’Alain le bâillonnait avec l’accessoire qu’il venait de retirer de ma bouche.
«Comme tu n’es qu’actif et que moi j’étais fidèle… ça fait des années que je n’ai pas baisé un cul. Alors ce soir ta punition, ça sera de me regarder prendre mon pied pendant que toi tu ne pourras même pas te branler !», a annoncé Alain.
La situation commençait à m’exciter aussi. Et vu comme la bite de Stéphane était au garde-à-vous, la situation devait lui plaire aussi. Alain a retiré le gode toujours dans mon cul et m’a caressé l’anus. «Hmm, je vais me régaler, et toi tu es privé de dessert», a rigolé Alain. Avant de se foutre à poil. Il avait une queue fine, mais longue qu’il a fait frapper deux trois fois sur mes joues… J’ai ouvert la bouche et tenté d’att****r sa queue avec mes lèvres… «Ah, mais attend, tu es impatient et là j’ai encore une idée !» Il s’est redressé et est allé fouiller dans sa veste. Il est revenu, smartphone à la main. Il s’est mis à photographier Stéphane ligoté sur sa chaise, bandant comme un fou sous toutes ses coutures. «Comment il s’appelait déjà, ce collègue qui t’avais avoué rêver de toi ? Ah oui Mickaël. Attends où est ton téléphone. Voilà… carnet d’adresses… ah voilà zouh ! Ah ah ah, mon chéri tu me diras demain en rentrant du boulot si ton collègue a aimé les photos que je viens de lui envoyer.» Au vu de son regard, Stéphane appréciait nettement moins cette partie-là de la vengeance d’Alain. Il avait l’air furieux… Alain a ri et est venu derrière moi. Il a glissé sa langue sur mon anus… j’ai couiné de bonheur. J’ai fixé la queue de Stéphane. Il bandait toujours. Alain s’est redressé et a posé son gland sur mon anus avant de l’enfoncer lentement. «Ah oui il est bon ce cul… tu m’as ramené une merveille à la maison !» Il a commencé à me limer tout en parlant à son mec. Un peu moins endurant que Stéphane il a poussé un grand râle sa queue calée au fond de mon cul.
Il s’est enfin adressé à moi : «Alors salope, elle t’a plu ma queue ?» J’ai alors tenté une réponse diplomatique pour ne vexer personne : «Oui, je suis une salope, j’aime toutes les queues !» Alain, s’est relevé… est allé vers Stéphane et a déclaré «et toi, ce soir, tu ne vas pas jouir» a-t-il déclaré avant de donner un coup bien sonore sur la queue toujours dure de son mec avec le plat de la main.
Alain m’a détaché et m’a ordonné de partir. «La, il commence à me faire pitié, fout le camp avant que je cède et que je le laisse se vider les couilles dans ton cul.» Je me suis rapidement habillé… et pendant que je me battais avec une chaussette qui dans une telle situation de stress ne voulait pas se laisser enfiler, j’ai vu Alain griffonner un truc sur un billet qu’il a glissé ensuite sur la poche arrière de mon jean en profitant pour me donner une petite tape sur le cul.
Arrivé dans la rue, j’ai déplié le papier. Alain m’a écrit son numéro avec ce commentaire : «J’ai adoré être à nouveau actif. Si tu veux encore de ma queue, écris-moi !»
Jaimeca
mai 2020
Les story de Xhamster ayant été supprimées (heureusement les archives pouvaient être récupérées). Revoici donc mon histoire sous forme de billet.
La question de savoir si j’étais disponible ou pas, l’intéressait peu. Il est vrai que je disais rarement «non», m’organisant pour ne jamais accepter de rendez-vous avant 21h. En fait, sentir le jus de ce beau mâle suinter de mon cul pendant que je buvais des verres avec des potes en deuxième partie de soirée m’excitait plutôt.
Souvent quand j’arrivais à l’heure dite, Stéphane était sous la douche. Je savais alors que je devais me foutre à poil, et attendre à quatre pattes devant la télé sur laquelle était déjà diffusé un porno. Bien que Stéphane soit très endurant, nos rendez-vous dépassaient rarement la demi-heure. Mis à part quelques fellations, nos rencontres se limitaient généralement à de longs aller-retour de sa queue massive dans mon cul, avec ses couilles frappant à chaque coup de reins. Il me limait généralement violemment pendant 20 bonnes minutes. Il y allait franchement à une telle vitesse telle que peu de mes amants auraient tenu plus de 30 secondes. Tout à coup, il lâchait sa sauce dans un râle. Après j’avais souvent le droit de donner un petit coup de langue pour lui nettoyer la queue avant de m’habiller et de me barrer sans un mot.
Cela faisait ainsi deux mois que j’allais une ou deux fois par semaine purger les couilles de Stéphane. Malgré le côté répétitif de nos rencontres, j’étais toujours aussi excité à l’idée d’être la chienne d’un mâle aussi viril. Ce soir-là, le fameux Alain était à son exercice de pompiers. Je suis arrivé dans l’appartement moderne où ils vivent tous les deux. J’ai entendu l’eau couler dans la douche. Je me suis mis nu. Un godemichet était posé sur la table basse. Je l’ai lubrifié et l’ai enfoncé dans mon cul. J’ai un peu joué avec, faisant des allers-retours au même rythme que le grand black sur l’écran devant moi. Tout à coup, j’ai entendu une porte… j’ai tendu l’oreille, mais comme l’eau de la douche coulait toujours, j’ai continué mon petit jeu. «Ah ben je comprends pourquoi, il est trop fatigué pour me sauter», ai-je entendu derrière moi. En me retournant, j’ai vu un petit blond en tenue de sport. «Je crois que je vais y aller», ai-je balbutié en essayant de me relever. Mais le blondinet m’a dit «Non, toi tu ne bouges pas !» Il s’est dirigé vers un petit meuble et a sorti quelque chose d’un tiroir. Avant que je comprenne, je me suis retrouvé avec un bâillon-boule en bouche et une paire de menottes reliant mon poignet droit à ma cheville droite et une autre reliant mon poignet gauche à ma cheville gauche. Me voilà complètement offert, sans défense !
Le blondinet d’est alors éloigné. Je ne le voyais plus quand l’eau a cessé de couler dans la douche. Stéphane est arrivé… «Hmm c’est bon ça ! Bien offert, je vais me régaler. Mais faudra que tu m’expliques comment tu as réussi à te ligoter comme ça !», a-t-il déclaré avant d’être coupé dans son élan par le blond «Peut-être parce que c’est moi qui l’ai attaché ! Non, mais tu te fous de moi… tu n’arrêtes pas de me dire que tu es trop fatigué pour me faire l’amour !» Stéphane, la voix toute penaude à tenté un «oui, mais lui c’est juste un vide-couilles, c’est purement sexuel !» Le blond a alors sèchement répondu «ouais, moi aussi j’aime le cul ! Viens ici…»
Je n’ai pas trop compris ce qui se passait derrière moi, tout à coup le petit Alain m’a enlevé le bâillon boule et m’a ordonné de me tourner d’un quart de tour. Pas facile menotté comme j’étais. Le changement de position, m’a alors permis de voir Stéphane à poil, assis sur une chaise, les mains derrière le dossier que j’imaginais menottées. Les jambes attachées aux pieds de la chaise. Il bandait comme un fou, pendant qu’Alain le bâillonnait avec l’accessoire qu’il venait de retirer de ma bouche.
«Comme tu n’es qu’actif et que moi j’étais fidèle… ça fait des années que je n’ai pas baisé un cul. Alors ce soir ta punition, ça sera de me regarder prendre mon pied pendant que toi tu ne pourras même pas te branler !», a annoncé Alain.
La situation commençait à m’exciter aussi. Et vu comme la bite de Stéphane était au garde-à-vous, la situation devait lui plaire aussi. Alain a retiré le gode toujours dans mon cul et m’a caressé l’anus. «Hmm, je vais me régaler, et toi tu es privé de dessert», a rigolé Alain. Avant de se foutre à poil. Il avait une queue fine, mais longue qu’il a fait frapper deux trois fois sur mes joues… J’ai ouvert la bouche et tenté d’att****r sa queue avec mes lèvres… «Ah, mais attend, tu es impatient et là j’ai encore une idée !» Il s’est redressé et est allé fouiller dans sa veste. Il est revenu, smartphone à la main. Il s’est mis à photographier Stéphane ligoté sur sa chaise, bandant comme un fou sous toutes ses coutures. «Comment il s’appelait déjà, ce collègue qui t’avais avoué rêver de toi ? Ah oui Mickaël. Attends où est ton téléphone. Voilà… carnet d’adresses… ah voilà zouh ! Ah ah ah, mon chéri tu me diras demain en rentrant du boulot si ton collègue a aimé les photos que je viens de lui envoyer.» Au vu de son regard, Stéphane appréciait nettement moins cette partie-là de la vengeance d’Alain. Il avait l’air furieux… Alain a ri et est venu derrière moi. Il a glissé sa langue sur mon anus… j’ai couiné de bonheur. J’ai fixé la queue de Stéphane. Il bandait toujours. Alain s’est redressé et a posé son gland sur mon anus avant de l’enfoncer lentement. «Ah oui il est bon ce cul… tu m’as ramené une merveille à la maison !» Il a commencé à me limer tout en parlant à son mec. Un peu moins endurant que Stéphane il a poussé un grand râle sa queue calée au fond de mon cul.
Il s’est enfin adressé à moi : «Alors salope, elle t’a plu ma queue ?» J’ai alors tenté une réponse diplomatique pour ne vexer personne : «Oui, je suis une salope, j’aime toutes les queues !» Alain, s’est relevé… est allé vers Stéphane et a déclaré «et toi, ce soir, tu ne vas pas jouir» a-t-il déclaré avant de donner un coup bien sonore sur la queue toujours dure de son mec avec le plat de la main.
Alain m’a détaché et m’a ordonné de partir. «La, il commence à me faire pitié, fout le camp avant que je cède et que je le laisse se vider les couilles dans ton cul.» Je me suis rapidement habillé… et pendant que je me battais avec une chaussette qui dans une telle situation de stress ne voulait pas se laisser enfiler, j’ai vu Alain griffonner un truc sur un billet qu’il a glissé ensuite sur la poche arrière de mon jean en profitant pour me donner une petite tape sur le cul.
Arrivé dans la rue, j’ai déplié le papier. Alain m’a écrit son numéro avec ce commentaire : «J’ai adoré être à nouveau actif. Si tu veux encore de ma queue, écris-moi !»
Jaimeca
mai 2020
Les story de Xhamster ayant été supprimées (heureusement les archives pouvaient être récupérées). Revoici donc mon histoire sous forme de billet.
منذ 3 سنوات