Chap.1: Au bord de la piscine

Ainsi que je l’ai raconté dans un précédent récit, nous formons, Romain et moi, un couple très libre.
Il profite des nombreux déplacements que lui impose son métier pour rencontrer d’autres femmes. Quant à moi, je suis toujours ouverte à des rencontres.

Mais nous aimons aussi, bien sûr, faire l’amour ensemble. Les années n’ont pas altéré le désir que nous avons l’un pour l’autre et nos aventures en solo ont eu pour effet de décupler le plaisir des retrouvailles.

J’avoue que j’aurais du mal à me passer de ces rencontres et je bénis le destin de m’avoir fait rencontrer un homme qui ressent les choses comme moi.

Nous avons une jolie maison avec piscine. J’aime l’eau et je profite du bassin le plus souvent possible.
Les voisins sont assez loin ou bien ont des fenêtres qui donnent ailleurs et je peux donc faire bronzette sans me soucier de savoir si on me voit. Non pas que ça me gênerait, car je suis assez exhibitionniste, mais je tiens à conserver de bonnes relations avec mes voisines.

Toutefois, j’ai constaté rapidement que notre voisin le plus proche, Monsieur Durand, était souvent dans sa cabane de jardin lorsque je me trouvais au bord de la piscine.
Sa cabane est juste de l’autre côté de la haie, à quatre ou cinq mètres (quel heureux hasard) de l’endroit ou j’aime installer mon matelas de plage.
C’est un monsieur d’environ soixante ans. Il est veuf depuis plusieurs années. Il est très aimable et serviable et nous l’apprécions beaucoup.

Aussi, ça ne me dérange pas qu’il me mate lorsque je prends le soleil, même si je suis souvent nue.
J'avoue que je prends même un certain plaisir à l'imaginer se masturbant en me regardant.

J’aime être nue, me baigner et sentir l’eau glisser le long de mon corps, puis me faire sécher et laisser le soleil revigorer chaque centimètre carré de ma peau.

J’étais donc allongée, dans le plus simple appareil et j’avais noté la présence de mon voisin. C’est alors que deux hommes tournèrent au coin de la maison et se trouvèrent face à face avec moi.

J’ai, ensuite, imaginé la scène comme si je visionnais un film. J’étais en train de me lever, complètement à poil, faisant un mouvement un peu bizarre afin que Monsieur Durand puisse admirer ma chatte aux poils blonds bien taillés.

Et là, je tourne la tête et je vois ces deux gars. Ils stoppent net, bouches bée et les yeux sortant presque de leurs orbites.

J’attrape mon drap de bain et je m’en recouvre. Puis, je me dirige vers eux. Ils portent des tenues à l’effigie d’une célèbre société de gardiennage.

- Désolé, Madame. Nous venions pour l’alerte, mais on va repartir, me dit l’un des hommes, visiblement anxieux de savoir s’il allait se prendre l’enguelade de sa vie.

C’est alors que je me souviens que Romain, la veille au soir, a appelé cette société, qui nous a installé une alarme. Il n’arrivait pas à faire marcher je ne sais quoi et voulait qu’on nous dépanne.

- Non, c’est moi qui suis désolée. J’avais complètement oublié que vous veniez pour l’alarme.

Ils ont l’air soulagés. Ce sont deux beaux garçons, d’environ vingt-cinq à trente ans, costauds et virils.
Je leur montre le tableau de l’alarme et je les laisse bosser, puis, je me réinstalle sur mon matelas.

Les yeux fermés derrière mes lunettes de soleil, je suis dans un état presque somnolent. Un léger bruit attire mon regard vers la gauche.
Les deux gars sont là, debout, à deux mètres de moi. Je pense qu’ils sont là, à me mater, depuis un bon moment car je remarque de drôles de bosses qui déforment leurs pantalons.

- Heu, nous avons finis… fait l’un des deux.
- Très bien. Dois-je signer quelque chose ?
- Oui, juste là, en bas du bon de livraison.

Je me lève et je m’approche d’eux. Je ne me préoccupe même pas de m’envelopper à nouveau dans le drap de bain. De toute façon, ils m’ont vue sous toutes les coutures.

Je passe entre eux, qui s’écartent et je signe le bon sur la table de jardin.

- Voilà ! dis-je en leur tendant le papier.

Je me rapproche d’eux, à moins d’un mètre. Il se passe un moment, qui a dû être très court même si j’ai eu l’impression qu’il durait longtemps. Ils expirent bruyamment, comme deux bouées que l’on dégonfle, et je me retrouve quasiment dans leurs bras.

Je dois lever la tête et me mettre sur la pointe des pieds pour embrasser le premier.
Mon corps frotte contre le vêtement de travail rugueux. Il sent un peu la transpiration, mais pas une transpiration désagréable, qui a imprégné les vêtements depuis plusieurs jours.
Non, il sent l’homme, tout simplement.
Sa bouche est vorace. Soit il n’a pas baisé depuis des mois, soit je lui fais un effet incroyable.

Le second est derrière moi, il m’embrasse dans le cou. Je sens une bosse entre mes fesses. Une bouffée de plaisir me submerge car je sais que, dans peu de temps, la bite qui déforme son pantalon sera dans ma chatte.

Il me retourne afin de m’embrasser à son tour. Sa langue s’enfonce dans ma bouche, impérieuse. Celui-ci non plus n’a pas baisé depuis des semaines, on dirait.
Etonnant, car ils sont plutôt beaux gosses.

J’entends que l’autre dégrafe sa ceinture. Un bruit caractéristique de vêtements qui tombent au sol et, très vite, des mains qui empaument mes seins.
Je commence à déshabiller son collègue, mais il me fait pencher en avant et, sans plus de façons, il fourre sa bite dans ma chatte.

Je pousse un cri de surprise mais pas de douleur. Je suis tellement humide qu’il est entré sans problème dilatant les parois de mon vagin avec sa bite. Il va et viens en moi, en émettant de petits râles.

L’autre finit de se déshabiller et, sans surprise, présente sa bite sous mon nez. J’ouvre la bouche et il s’y enfonce en gémissant.

Je pense à Monsieur Durand. J’espère qu’il profite du spectacle. Ce n’est pas tous les jours que sa jeune et jolie voisine se fait baiser par deux mâles vigoureux, à quelques mètres de sa cabane.

- Putain, c’est trop bon ! dit celui qui me baise.
- Elle suce trop bien ! répond son compère.

Moi, je ne dis rien. On ne parle pas la bouche pleine. Il retire sa queue de ma bouche et la frotte sur mon visage. Ma langue glisse dessous, entre ses couilles.

Il n’y a que dans les films pornos que les acteurs tiennent des heures sans éjaculer. Là, au bout de cinq bonnes minutes, mes deux beaux gosses n’en peuvent déjà plus.

Je les entraine vers le matelas. Ca leur permet de freiner leurs élans et on sera mieux pour baiser. Sans compter que j’aperçois, à travers la haie, une peu de rouge. Monsieur Durand a une chemise rouge.

Les deux ne se rendent compte de rien. Ils sont en rut et n’ont qu’une idée, baiser à fond cette femelle qui s’est offerte à eux.
Et moi, je suis prête à m'offrir encore davantage.

Le premier s’allonge sur le dos sur mon matelas. A quatre pattes, j’approche ma langue de sa bite levée vers le ciel. L’autre est derrière, il lèche ma chatte et mon anus. Je cambre les reins en criant lorsqu’il introduit un doigt dans mon cul.

Mais déjà, l’autre, impatient, attrape mes cheveux et impose sa bite à ma bouche. J’étouffe presque mais je tiens bon. Après tout, c’est moi qui ai voulu me faire baiser par ces deux mecs.

- Tu lui fais quoi ? dit-il.
- Je vais l’enculer ! répond l’autre.

Je m’agite mais ils me tiennent bien. L’un par la tête afin de continuer à profiter de ma bouche, l’autre par les hanches. Il essaie d’élargir mon muscle anal pour arriver à ses fins.
Je me détends en espérant que cela va aider.

Il m’encule et je pousse un cri rauque de bête blessée. Il attend un peu avant de continuer.
Je sens mon anus qui me brûle mais j’aime sentir sa bite au fond de mon cul.

- Ca va ? demande t’il
- Oui… Continue…

Ils rient ensemble, un rire d’enfants qui ont fait une bêtise et qui ont été pardonnés.
L’autre me gifle doucement avec sa bite.

- T’es vraiment une jolie salope ! dit-il gentiment. Ton mari doit rentrer ?
- Non, on a tout le temps, dis-je.
- Coool !

En fait, je ne sais pas si Romain va rentrer ou pas. Mais je tiens à les rassurer. Il ne manquerait plus qu’ils se dépêchent et me remplissent de foutre sans que je prenne mon pied.
Je suis à la limite de la transe, je ne m'appartiens plus. Je suis juste une biche qui convoite deux cerfs.

- On va la prendre ensemble ! dit-il. Redresse là un peu.

Le second, sans se retirer de mon cul, me soulève afin que l’autre passe sous moi. Je comprends ce qu’ils veulent faire et j’approuve.

Une fois qu’il est sous moi, je m’empale, fiévreuse, sur sa bite. L’autre suit le mouvement, sa bite toujours dans mon cul.

Avez-vous déjà eu deux bites en vous ? Une dans la chatte, une dans le cul ?
Certaines seront horrifiées par cette vision d’une femme réduite à sa condition préhistorique de femelle.
Elles ne savent pas ce qu’elles ratent.

Ils me pilonnent en alternance, comme des pistons bien huilés dans une machine. Je ne me retiens plus, je cries, je gémis, je supplie, je geins, je râle. Mes reins se creusent sous leurs coups de bite. Celui de dessous mordille mes tétons. Ils vont et viennent en moi et m’arrachent des cris de plaisir. Je ne suis plus que cette femelle qui supplie qu’on la féconde.

- J’en peux plus… souffle le premier.
- Pareil… gémit l’autre.

Je devrais leur dire de ne pas jouir en moi, mais il est bien trop tard. Et puis j’aime ça, être remplie de foutre. Alors je les encourage.

- Allez-y, les mecs ! Lâchez-vous !

Ils éructent et, quasiment au même moment, ils lâchent leur semence dans mes orifices. Le second s’est effondré sur mon dos, je suis coincé, presque à m’étouffer entre ces deux mâles vaincus.

Je sens l’emballement du battement des trois cœurs. Puis, on se désunit. Je sens le sperme couler entre mes cuisses et mes fesses. C’est pas grave, la housse du matelas est lavable en machine.

Ils m’embrassent, tour à tour, tendrement et se rhabillent.

- Tu nous appelles si l’alarme a le moindre souci ! fait l’un
- Il vaut mieux que vous veniez la contrôler toutes les semaines, non ? dis-je.

Ils rient, puis s’en vont. Je sais qu’ils reviendront.

Je jette un œil vers la haie. La chemise de Monsieur Durand fait encore une tâche rouge. J’espère qu’il s’est bien rincé l’œil.

Je rentre dans la maison et je m’apprête à aller dans la salle de bains lorsque je tombe nez à nez avec Romain, tout sourire, et un inconnu.
Je suis toujours nue, bien entendu. Romain aurait pu me prévenir qu'il attendait de la visite !

L’homme a environ cinquante ans, plutôt bel homme et très bien habillé.
Il parait en proie à une forte émotion et je comprends, à le voir, qu’il a assisté, avec Romain, à une partie de mes ébats.
La situation m'amuse, je n'éprouve aucune honte à la pensée que cet inconnu ait pu me voir prise par deux hommes et je ne cherche même pas à dissimuler ma nudité.

- Mon cœur, je te présente Paul, mon patron ! fait Romain, presque hilare. Paul, voici ma femme, Claire !
- Je suis enchanté ! dit Paul. Vraiment ravi de vous connaitre, Claire !

Il n'a pas l'air choqué. Je crois même lire dans ses yeux qu'il aimerait me connaitre un peu mieux...

- Moi de même… Je vous abandonne un instant, je dois passer sous la douche !

Et je monte l’escalier qui mène aux chambres et à la salle de bains. Jetant un regard en arrière, je constate que Paul me suit des yeux. Le sperme de ces garçons dont je ne connais même pas le prénom colle encore entre mes cuisses et mon corps est encore sensible à l'intrusion de leurs virilités en moi.

Après la douche, bien chaude, un constat s’impose : je ne suis pas rassasiée. Romain, ou es-tu ?
Publicado por sainte_levrette
8 meses atrás
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humm genial
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gauloise90
Hummm récit excitant à lire d'une main
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DrWhoWhatandWhere
Many of us are voyeurs and love to watch detected or not...I felt myself in the bushes watching you as well ..did you see me??
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laurent7891
para Catwomanmeows : Probably dearest Sarah, you know me all too well... or... Not enough... :wink:
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sainte_levrette
para Catwomanmeows : I laugh under my breath. Here is Laurent unmasked !
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sainte_levrette
para Catwomanmeows : Thank you ! Yes, we have an open marriage and this allows me to have sex with all men or women I like ! It must be said that I am a bit of a nymphomaniac :wink:
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Catwomanmeows
para laurent7891 : As I read this wonderful story, I knew without a doubt who Monsier Durand really was, it was you!!  My sweet Laurent, kisses.
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Catwomanmeows
I would agree, an open marriage is a healthy marriage! You are so lucky, Claire to have found an understanding partner with Romain, kisses!! And this chapter shows us your desire to have sex with two men at once, such delight!
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ccandau
oh quelle aventure très bien écrite, on ressens le plaisir de Claire prise en double par deux inconnus, la suite doit être très hard bravo
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Hmmm mes pensées ont afflué dans ton texte, j'ai apprécié la situation des deux mécaniciens avec une femme absolument magnifique. J'apprécie ta façon d'écrire, merci.
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deathdealer
para sainte_levrette : C'est pas faux ! :heart:
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sainte_levrette
para deathdealer : Pourquoi pas ? Il faut être endurant, la natation est un sport éprouvant, parfois...
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deathdealer
Je viendrais bien me baigner :stuck_out_tongue_winking_eye:
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sainte_levrette
Ma piscine est ouverte pour toi, quand tu voudras ! :kiss:
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sainte_levrette
para nudemum : Merci !
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Plus je lis,plus je bande,belle histoire
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sainte_levrette
para Funky_Man_fr : Il y a du réel et du fictif. Disons que j'ai mélangé plusieurs situations pour écrire cette histoire.
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sainte_levrette
para laurent7891 : Merci pour ce charmant commentaire qui me comble ! Je suis, pour ma part, très exhibitionniste, nous ne pouvons que nous entendre ! J'espère que la suite pourra faire redurcir votre queue à peine ramollie...
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Funky_Man_fr
C'est magnifique, le récit est si beau qu'on se demande même s'il est réel ou fictif. En tout cas c'est suffisament bien écrit pour qu'à sa lecture, les images des scènes évoquées défilent dans mon imaginaire, avec sa sainteté dans le premier rôle évidemment :wink:
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laurent7891
Voici un récit qui me plaît bien et qui ne manque pas de m'exciter...de nature voyeuse ( sinon, je ne serai pas sur ce site ), je me reconnais volontiers dans ce Monsieur Durand...en plus...nous sommes de la même génération...tout comme lui...je n'aurai pas pu m'empêcher de vous mater vous faire tringler par ces mâles alpha en rut...pas plus que de me masturber pour jouir de concert....Mais...toutes les bonnes choses ayant une fin...Claire rentre à la maison et pour suivre ses futurs ébats, il va falloir s'équiper...de jumelles....! allons...je remonte mon jean..rentre ma queue a peine ramolli mais poisseuse de sperme, dans mon boxer et file chercher le matériel..en attendant...bite dressée...la suite de l'histoire....
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