Le gamin au pensionnat

Prélude

- Christian, j’ai une mission d’un bon mois pour toi !

- Oh, laquelle boss ?

- Il y a une personne qui nous demande Ă  ce qu’un pensionnat soit entiĂšrement Ă©quipĂ© d’un systĂšme de vidĂ©o-surveillance. Renseignement pris, tout est conforme, la commande et l’installation Ă  y faire. En tout, plus de vingt camĂ©ras, autant de micro. C’est Ă  la fois extĂ©rieur et intĂ©rieur. Une fois le matos en place, il est demandĂ© Ă  ce que tu formes plusieurs personnes.

- Ok, et c’est oĂč ?

- L’adresse est sur le bon de commande.

- Oh putain !

- Quoi, tu connais ?

- Et pas qu’un peu, mon colon, pas qu’un peu. Pour tout te dire, j’y ai fait toute ma scolaritĂ©.

- Tu rigoles ?

- Non pas du tout. J’y suis entrĂ©, j’avais 6 ans pour en ressortir Ă  18 mon diplĂŽme en main.

- Et c’était comment ?

- Ça, patron, ce n’est pas dans ce bureau que je vais le dire. Oh, si on pouvait me prĂ©parer tout le matos en me le chargeant dans mon bus pour lundi, ce serait parfait.

- Pas de souci. Mais toi, Ă  ton retour, faudra bien que tu me raconte.

- Si je reviens, boss, seulement si je reviens.

En rentrant chez moi, des tonnes de souvenir se bousculent dans ma tĂȘte, des merveilleux comme des douloureux. Une fois dans mon appart, je fouille dans un tiroir, je veux retrouver un numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone et je le retrouve assez tardivement. Qu’importe, il faut que j’appelle.

- Pensionnat de la Pelouse Verte, SƓur Marie-Madeleine de JĂ©rusalem, je vous Ă©coute.

- Toujours la mĂȘme voix, ma belle. C’est Christian

- Oh ben merde alors, vieux sacripant, que deviens-tu ?

- Moi, toujours le mĂȘme. C’est juste pour te dire, mon bel ange des enfers, que je serais chez vous dĂšs lundi dans l’aprĂšs-midi. C’est moi qui suis de corvĂ©e pour vous installer votre vidĂ©o-surveillance.

- Oh que le diable m’emporte, mon fils. Je vais en avertir la mĂšre sup, elle va mĂȘme se branler de joie en te sachant sur le retour. Dis, as-tu des nouvelles de Martine ?

- Non et cela me dĂ©sole, ma sƓur. Depuis qu’elle nous a quittĂ©s, c’est comme si la terre ou l’enfer l’avait avalĂ©e. Je ne veux pas faire plus long, il fallait que j’entende une voix amie et douce. Je t’abandonne, au plaisir de visiter ton si beau cul, ma belle salope.

- Et toi, au plaisir de sentir ta bite me défoncer, tes mains me bleuirent mon cul.

- Ça, c’est tout ce que j’aime

AprĂšs ce tĂ©lĂ©phone, des souvenirs beaucoup plus jouissifs sont remontĂ©s en moi. Revoir mes nonnes, cela m’a mis presque sur orbite. Au point que cela m’oblige Ă  me branler doucement, tout en douceur. Mais bon, il vous faut connaitre la raison de cette branlette. La voici donc

Published by charime
5 years ago
Comments
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nudemum 2 years ago
belle histoire,bandante
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