Une coquine toulousaine 3bis : Dans l’autobus
A l’époque de mes 16 ans, n’ayant pas mon permis, je me déplaçais en stop - comme on l’a vu avec de mauvaises rencontres - soit en bus. Pour aller à Toulouse j’en prends un dont je connais le chauffeur principal. Je lui plais bien et il ne me fait jamais payer et absence de contrôleur sur ma ligne. A la gare Stalingrad à un retour, je sors des toilettes quand il me croise, me prend par le bras et me conduit à une cabine homme. Je comprends : il faut que je le remercie. M’asseyant sur la toilette du chiotte, je le débraguette et suce son engin, puis, le sentant gonfler, le retire ma bouche et le branle pour le vider. Il n’exigea pas plus : un bon deal.
Une fois, en hiver, je suis vêtue d’un gros pull, d’une écharpe, d’une jupette en jean et de bas en laine, offrant ainsi une bande de chair très suggestive entre les deux. Je rentre de Toulouse. Au fur et à mesure des arrêts le car se vide. A environ dix kilomètres de ma destination il ne reste qu’un autre passager, un homme. Je suis passé devant lui pour aller faire la bise à mon chauffeur et j’ai dû l’émoustiller. Puis je reviens m’installer sur la banquette du fonds, mon emplacement préféré. Le gars vient me rejoindre. Il a le bras gauche dans le plâtre. Je le connais : c’est un copain de mon père qui, vu son état, ne pouvant pas conduire, a pris exceptionnellement l’autobus. Commerçant, vendeur de légume au bourg familial, il est très libidineux et m’a repéré depuis longtemps, au moins dès mes treize ans. Au cours de tennis avec mon père en jupette blanche et le plus souvent à la maison où il vient pour l’apéro. Là, il a le plaisir de m’admirer franchement nue en train de bronzer sur la terrasse, en train de divaguer dans la vaste demeure en petite culotte et seins à l’air comme à habitude chez moi… et même ailleurs !
Il vient s’asseoir à ma droite me repoussant contre le fauteuil extrême, étant ainsi protégé de la vue, la première rangée de fauteuils de la galerie gauche. « Tu me plais bien tu sais petite salope » est sa première et seule phrase. Je ne réponds car je suis bien « une petite salope » et effectivement contre toute attente je le laisse faire. Avec la main de son côté droit valide il me remonte la jupette et commence à se faufiler dans ma culotte. Pour ma part, quasiment instinctivement je porte ma main droite sur son entre-jambe. Il s’excite rapidement, me place sur ses genoux, me soulève pour me descendre la culotte et commence à me baiser. Moi je me soutiens sur la partie supérieure du fauteuil qui est en face. Ce fut très rapide. Il se retire brusquement et je sens un jus chaud me parcourir le bas du dos… Affaire vite conclue qui resta entre nous avant qu’on se retrouve dix ans plus tard…
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Une fois, en hiver, je suis vêtue d’un gros pull, d’une écharpe, d’une jupette en jean et de bas en laine, offrant ainsi une bande de chair très suggestive entre les deux. Je rentre de Toulouse. Au fur et à mesure des arrêts le car se vide. A environ dix kilomètres de ma destination il ne reste qu’un autre passager, un homme. Je suis passé devant lui pour aller faire la bise à mon chauffeur et j’ai dû l’émoustiller. Puis je reviens m’installer sur la banquette du fonds, mon emplacement préféré. Le gars vient me rejoindre. Il a le bras gauche dans le plâtre. Je le connais : c’est un copain de mon père qui, vu son état, ne pouvant pas conduire, a pris exceptionnellement l’autobus. Commerçant, vendeur de légume au bourg familial, il est très libidineux et m’a repéré depuis longtemps, au moins dès mes treize ans. Au cours de tennis avec mon père en jupette blanche et le plus souvent à la maison où il vient pour l’apéro. Là, il a le plaisir de m’admirer franchement nue en train de bronzer sur la terrasse, en train de divaguer dans la vaste demeure en petite culotte et seins à l’air comme à habitude chez moi… et même ailleurs !
Il vient s’asseoir à ma droite me repoussant contre le fauteuil extrême, étant ainsi protégé de la vue, la première rangée de fauteuils de la galerie gauche. « Tu me plais bien tu sais petite salope » est sa première et seule phrase. Je ne réponds car je suis bien « une petite salope » et effectivement contre toute attente je le laisse faire. Avec la main de son côté droit valide il me remonte la jupette et commence à se faufiler dans ma culotte. Pour ma part, quasiment instinctivement je porte ma main droite sur son entre-jambe. Il s’excite rapidement, me place sur ses genoux, me soulève pour me descendre la culotte et commence à me baiser. Moi je me soutiens sur la partie supérieure du fauteuil qui est en face. Ce fut très rapide. Il se retire brusquement et je sens un jus chaud me parcourir le bas du dos… Affaire vite conclue qui resta entre nous avant qu’on se retrouve dix ans plus tard…
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5 years ago