RETOUR DE BREST (suite)

Ca fait maintenant une heure que je dors. Tu montes dans la chambre, je
suis couchée sur le cÎté, une jambe relevée sur l'autre laissant
apparaitre mon cul et ma chatte. Tu glisses ta langue le long de mes
lÚvres, "non" te dis je "pas maintenant, attends ! je me réveille à
peine. Un café d'abord !" "non ma chérie, tu es à moi aujourd'hui et tu
ne décides de rien. Tu es ma poupée, mon jouet et je fais ce que je veux
!" je tente de me retourner mais tu m'en empĂȘches. Je serres les cuisses
et les fesses. Tu n'arrives plus Ă  rien, alors tu me retournes,
m'embrasse tendrement et en un instant tu m'as attaché les bras en
croix. Tu es monté avec un bol de glaçons et je distingue également la
bougie et un briquet sur la table de nuit. "si tu ne veux pas Ă©carter
seule les jambes, je vais trouver d'autres moyens de les ouvrir" me dis
tu. En mĂȘme temps je sais Ă  quel point tu aimes quand mes jambes se
serrent sur ta langue qui tente de trouver mon clito.... hummmm (c'est
malin, je mouille....), la lutte dure un moment, mais tu as envie de
faire Ă©voluer le jeu. Dans une main tu as la bougie, dans l'autre les
glaçons. Tu dĂ©cides qu'en m'enlevant un de mes sens le jeu risque d'ĂȘtre
plus agréable encore, aussi tu me bandes les yeux avec un morceau de
tissu afin que je ne vois rien. Ta langue passe sur l'un de mes seins,
tu fais durcir le bout, tu le tĂȘte, le mordille. Quand il est bien dur
tu y accroches une pince Ă  linge, puis tu fais de mĂȘme de l'autre cĂŽtĂ©.
Tu as fixé les pinces de façon à ce que les bout soient visibles. Tu les
lÚches pour atténuer la douleur. Tes doigts glissent sur ma chatte qui
est à présent trempée. Quelques gouttes de cire sur chaque téton et les
glaçons qui courent sur mes seins. Un mélange de sensations extrÚmement
agréables. Tu continue ta descente en jouant avec le feu et la glace le
long de mon ventre pour arriver au début de mes lÚvres fermées par mes
cuisses toujours serrées, tu les écartes doucement et commence à faire
couler la cire chaude, ça brule ! ce qui a pour effet de me faire ouvrir
un peu. tu recommences, j'ouvre un peu plus, tu calmes la douleur avec
la glace et ta langue. J'ai du mal à résister.... mais je ne suis
toujours pas complĂštement ouverte, tu continue, je commence Ă  perdre
pied. Je m'ouvre intégralement, je mouille tellement que ça me coule
entre les fesses. Tu prends ton temps, tu regardes cette chatte qui est
tienne, tu joues avec mes lĂšvres en les ouvrant et les fermant, tu
donnes des petites coups de langue, tu regardes l'effet de la cire
chaude, des glaçons, tu joues avec mon clito, comme avec un petit a****l
docile. A chaque fois tu m'emmennes au bord de la jouissance et tu
t'arrĂȘtes. Tu retires le bijou, je referme mes cuisses. AprĂšs quelques
manoeuvres désespérée pour me défendre, tu finis par attrapper mes
jambes et les attaches en croix, je ne peux plus bouger. Tu te plantes
dans mon cul, bien au fond, des grands coups s'en suivent, les insultes
pleuvent, tu fouettes mes seins, tu les mords et tu me baises de façon
déchainée, puis tu saisis le micro et décide de me laisser finalement
jouir du clito. Ta queue plantée, qui fait de tout petit va et vient;
Mon cul qui te la serre fort et ta promesse d'un défonçage mémorable. Tu
me rends folle, tu veux que je te regardes, tu retires le bandeau. Tu es
expert avec le micro, ma jouissance est trop, trop, trop..... Tu me
défonces avec v******e, tu défais les cordes de mes jambes et de mes
bras, tu me pousses par terre, buste retournĂ© sur le matelas, tĂȘte
maintenus fermement par ta main et là tu me défonces comme jamais, tu ne
te controles plus, tu es comme une bĂȘte. Je ne suis plus qu'un trou dans
lequel tu vas te vider. Je ne suis plus rien, une poupée qui ne dit
rien... Tu jouis dans un cri presque inhumain.....

"petite pause.... mais pour ce soir ce serais bien que tu nous prépares
un barbecue. on mange à la clairiÚre. Prévois aussi la grosse
couette..... J'en ai pas encore fini avec toi ma chérie !"

AprÚs un peu de repos, je prépare vite notre miam du soir. Je vais à la
clairiĂšre, fais le plein de bois et installe la couette prĂšs du feu.
L'idée que tu me fasses l'amour sous les étoiles au coin du feu réveille
mon cÎté romantique. Je me fais une joie de cette soirée. Le feu est
allumé, tout est en place sur la table, je te préviens et t'attends
avant de mettre Ă  cuire.

Tu arrives, je nous sers un verre et veux mettre la viande sur le
barbecue mais tu m'arrĂȘtes. "On a tout le temps" me dis tu. "Attends moi
lĂ  sagement je reviens". TrĂšs vite je te vois revenir avec la malle
noire, la malle à trésor. A mon avis pas si romantique que ça la soirée,
mais en mĂȘme temps un sourire coquin illumine mon visage. Tu places la
malle prĂšs des 2 arbres oĂč on avait pensĂ© mettre un hamac.

Mon imagination commence à vagabonder sévÚre mais je ne dis rien et tu
ne dis rien. Il est tard, le jour commence Ă  tomber, ma fĂȘte va bientĂŽt
commencer....

Je me suis un peu réhabillée, je porte une chemise, et un short. Tu te
glisses derriĂšre moi, carresse mes seins, la chemise te gĂšne, tu me fais
mettre debout et arrache les boutons. Tu me fais assoir sur la table et
va chercher des ciseaux dans la malle, tu commences à découper mon short
lorsque tu te rends compte que j'ai une culotte... Le short vole en
lambeaux pour me laisser en culotte que tu découpes juste pour laisser
apparaitre ma chatte et mon cul. Le froid des ciseaux, et ton savant
découpage me font beaucoup d'effet.


Ceci fait tu m'entrainnes vers les arbres et me dis de ne pas bouger. Tu
sors des cordes de la malle. Tu fixes 4 cordes sur les arbres, 2 en haut
et 2 en bas, tu me mets entre les 2 arbres et m'attaches fermement les
bras Ă©cartĂ©s puis tu fais de mĂȘme avec les jambes. Tu prends le martinet
et commence Ă  cingler mon dos, mes fesses, je pousses des petits cris,
tu m'embrasses et met un doigt sur mes lĂšvres. C'est au tour de mes
seins, puis tu diriges les laniĂšres vers ma chatte et les fait remonter
de ma chatte Ă  mon cul pour me frapper ensuite. Finalement ma culotte te
gĂšne, tu l'arraches sauvagement. Je mouille comme une folle. Tu te
saisie des pinces à seins que tu fixes sur mes tétons que tu as fait
durcir en les tétant et les mordant. Tu attrappes une bombe de chantilly
et en badigeonne ma chatte que tu lĂšches goulument tout en tirant sur
les pinces. Juste le temps pour moi de commencer à me régaler que tu te
retires. Je te vois allumer une bougie que tu fais couler tout le long
de mon corps... Ca fait mal, mais tu ne t'arrĂȘtes pas au contraire, Ă 
chaque plainte tu me fouettes. Tu décides de me baillonner et de me
bander les yeux. Je reste ainsi, toute Ă  ta merci sans arriver Ă  savoir
ou tu es, ce que tu fais. Tout Ă  coup je sens ta main agripper mes
cheveux et tu me fais basculer en avant. Tu entres ta queue déjà dure et
gonflée sans ménagement dans ma bouche et te branle dedans par de
violent va et vient. "Tu es une bonne pute, une belle chienne. Suce ! au
fond ! t'arrĂȘtes pas !" Le souffle me manque.... Tu te retires et me dis
de rester dans cette position, tĂȘte baissĂ©e. Tu viens derriĂšre moi, tu
cambres mon dos et me pénÚtre sans ménagement. C'est de la défonse
intensive, violente, sans contrĂŽle. Mes jambes ont du mal Ă  me porter
sous la v******e de tes coups de reins mais tu continues encore et
encore. Mes cris sont étoufés par le foulard. Les tiens percent la nuit
qui tombe.
Published by sylfre460
6 years ago
Comments
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finkel 4 years ago
belle coquine qui aime le cul...
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benpeg 6 years ago
sympa tout ca :wink:
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vincecool
vincecool 6 years ago
Hum beau récit
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