Vega love 5

Une suite pour relater les 4 annĂ©es que j’ai vĂ©cu Ă  Lagny lĂ  ou Ris est devenu mon ami.
Depuis que j’avais vu Ris collĂ© cul Ă  cul avec VĂ©ga une envie me trottait en permanence dans la tĂȘte, je savais que ce n’était pas trĂšs raisonnable mais il fallait que je rĂ©alise cette envie qui m’envahissait.
La bite de Ris m’excitait tout autant que la vulve de VĂ©ga pendant ses chaleurs qui n’arrivait malheureusement que 2 fois par an alors que Ris un mĂąle comme lui Ă©tait toujours prĂȘt Ă  saillir n’importe quelle chienne rĂ©ceptive, en l’occurrence la chienne ce serait moi.
Je connaissais la grosseur du nƓud de Ris, je me disais que prendre sa bite entiĂšre dans mon cul risquaient de me faire sĂ©rieusement mal, la solution pour qu’il m’encule Ă  fond et qu’on reste collĂ© Ă©tait que je prĂ©pare mon trou du cul Ă  prendre un diamĂštre de 5 cm si possible 2 ou 3 jours avant qu’il vienne me monter.
La 1Ăšre fois se dĂ©roula un jeudi, je ne travaillais pas 4 jours de suite, mardi mercredi jeudi et vendredi, j’avais achetĂ© diffĂ©rentes courgettes de diffĂ©rents diamĂštres et le mardi j’ai commencĂ© Ă  m’en enfiler une de 2 cm recouverte d’un prĂ©servatif bien lubrifiĂ©, ça passait facilement sans me faire mal puis une de 3 cm, ça passait toujours mais pas facilement et j’avais un peu mal, je laissais mon cul tranquille pendant 1 heure et je recommençais avec celle de 3cm, ça finit par passer facilement, mon trou Ă©tait presque prĂȘt Ă  recevoir le gros chibre de Ris.
Le mercredi, je n’avais pas le temps de roder mon cul, mes enfants Ă©taient avec moi Ă  la maison.
Le jeudi matin aprĂšs avoir accompagnĂ© les enfants Ă  l’école je rentrais vite chez moi afin de me roder le cul avec un grand espoir de pouvoir faire venir Ris chez moi.
Vers 11h je promenais VĂ©ga autour de chez moi, je passais devant la maison de Ris mais il n’était pas lĂ , j’étais déçu.
Je dĂ©jeunais assez rapidement et je ressortais vers 13h avec VĂ©ga faire un tour, avec un grand espoir de croiser Ris, j’avais pris une tranche de jambon dans ma poche, j’avais fait Ă  peine 200 m que je le voyais pointer son nez au portillon de chez sa maitresse, je m’approchais , je regardais si je ne voyais pas la vieille dame et j ouvris la petite barriĂšre, je lui tendis un tout petit bout de jambon et il sortit sur le trottoir, il commença Ă  nous suivre, je lui donnais toujours des petits bouts de jambon pour qu’il continue Ă  nous suivre ce qu’il fit car la gourmandise l’incitait Ă  nous suivre .
Il nous suivit facilement chez moi, j’allais directement dans le sous-sol, je lui donnais quelques croquettes pour qu’il soit occupĂ© le temps que je fasse monter VĂ©ga au rez-de-chaussĂ©e .
Je redescendis rapidement, je ne savais pas si il voudrait me saillir, les 2 fois oĂč il m’était monter dessus c’est quand VĂ©ga Ă©tait en chaleur et cela l’excitait beaucoup, j’allais donc voir si seul je pourrais suffisamment l’exciter.
Je commençais par me dĂ©shabiller entiĂšrement, j’avais pris soins d’étaler une vielle moquette au sol.
J’ai commencĂ© Ă  lui faire des papouilles puis ma main se rapprochait de son fourreau, je sentis sa bite dure dans son fourreau, je le branlais juste un peu puis je me relevais et le taquinait comme font les chiennes quand elles veulent se faire saillir puis Ă  nouveau je lui caressais son fourreau juste pour faire sortir le bout rouge ; je m’enduis le cul avec du lait concentrĂ© et me mettait Ă  4 pattes et lui prĂ©sentait mon cul pour qu’il me lĂšche ce qu’il fit avec application, aprĂšs je pris le tube de lubrifiant pour m en enduire le cul et me mis 2 doigts puis comme une chienne je lui tendais mon cul en le bougeant, je lui branlais un peu plus et me retournait aussitĂŽt lui prĂ©sentait et tortillait du cul, je l’encourageais : allez Ris viens baiser ta copine , je me tapais sur les fesses pour lui indiquer le chemin Ă  prendre, quand VĂ©ga Ă©tait en chaleur il me grimpait rapidement dessus, lĂ  c’était plus difficile, Ă  force de lui prĂ©senter mon cul et de me claquer les fesses il finit par me monter et m’enserrer avec ses 2 pattes et commença Ă  s’agiter, il cherchait un trou pour y mettre sa bite le salop, elle devait commencer Ă  sortir car je sentais des giclĂ©es chaudes entre mes fesses, il s’agitait et oscillait du cul , comme les 2 fois prĂ©cĂ©dentes je rĂ©ussis Ă  glisser un bras sous moi pour lui guider son vit vers mon trou du cul, d’un seul coup il trouva l’entrĂ©e et il me colla un max et je sentis sa queue qui me brusqua l’anus, je le laissais faire jusqu’au bout pour qu’il m’enfile toute sa bite avec son nƓud, pour passer ça devait aller parce qu’il n’est pas encore trop gros, c’est quand il l’a complĂštement introduite que son chibre grossit et que le knot enfle comme une mandarine.
Ca y Ă©tait, il me l’avait toute enfilĂ©e, une fois qu’elle Ă©tait bien enfoncĂ©e il se calma et ne bougea plus, je sentais ce pĂ©nis qui me giclait dans les entrailles, il me fĂ©condait comme il l’aurait fait avec une chienne en chaleur, je sentais que mon cul se remplissait par sa bite qui devenait grosse et je sentais un truc qui devenait Ă©norme, je savais que son nƓud allait me coincer et qu’il resterait une dizaine de minute Ă  me remplir l’intestin de son foutre, je bandais comme un dingue, j’étais devenue sa copine, je sentais son souffle sur mon dos et aussi sa bave qui me coulait le dos ; au bout de quelques minutes il voulut se retourner et c’est Ă  ce moment que je sentis son nƓud qui tirait de l’intĂ©rieur sur ma rondelle, je rĂ©ussis Ă  le retenir et Ă  lui faire passer une patte par-dessus mes fesses, nous Ă©tions cul Ă  cul , je le retenais en lui tenant les 2 pattes, je sentais la pression de son nƓud dans mon cul . sa bite Ă©tait devenue trĂšs grosse et il continuait Ă  me remplir le cul de son jus, je ne voulais pas qu’il sorte trop vite, il fallait que son knot dĂ©senfle sinon il m’aurait dĂ©chirer le trou du cul, je restais comme ça au moins 10 mn , son nƓud devait dĂ©senfler car je sentais moins de pression Ă  l’intĂ©rieur, je relĂąchais un peu ses pattes il tirait pour se dĂ©gager et je finis par le laisser faire , j’entendis un ‘PLOP’ au moment ou son nƓud s’extirpa de mon cul et je moi je fis ‘’’’ ouĂŻe ‘’’’’ une bonne douleur Ă  ce moment, son sperme me dĂ©goulina du cul tellement il m’avait fĂ©condĂ© le salop. Il se retourna et vint tout de suite me lĂ©cher le cul et tout nettoyer son foutre qui coulait entre mes fesses puis il se coucha et se nettoya Ă©galement sa bite qui dĂ©gonflait, au bout 5 minutes elle rentra dans son fourreau, pendant ce temps je me branlais en douceur, ma queue coulait du jus incolore tellement j’étais excitĂ© mes doigts glissait sur mon gland, j’étais en permanence au bord de tout envoyer, j’appelais gentiment Ris pour lui prĂ©senter ma queue, il la sentit ,je me suis branlĂ© u plus rapidement et je lui ai tout envoyĂ© sur le museau, je n’avais jamais autant joui en me branlant, Ris me lĂ©cha le gland (je crus dĂ©faillir) et tout le sperme qui s’y trouvait il me lĂ©cha mĂȘme le jus qui Ă©tait sur ma main.
Je le fĂ©licitais grandement par de nombreuses papouilles, Ris : bon chien, t’as bien saillis ta copine mon chien, tu lui a bien mis ta bite dans le cul et tu lui as bien rempli, tu pourras recommencer quand tu voudras.
Je m’habillais lentement , Ris revenait me sentir le cul tant que je n’avais pas mis mon pantalon, il m’aurait saillit une 2eme fois ce salop, tout Ă©tait rentrĂ© dans l’ordre pour lui , bite bien rentrĂ© dans le fourreau ; il n’était que 15h et j’avais encore un peu de temps avant d’aller chercher les enfants Ă  la sortie de l’école, je ne rĂ©sistais pas au dĂ©sir de lui retoucher sa grosse bite, je lui sortis rapidement son pĂ©nis tout rouge du fourreau , je le pris derriĂšre le knot pour bien le faire grossir et le faire bien Ă©jaculer Ă  nouveau, il Ă©tait encore trĂšs gros et il avait l’air trĂšs content, je le tins comme ça 7 ou 8 minutes le temps qu’il se vide bien les couilles Ă  nouveau. Je bandais Ă  nouveau comme un ‘cerf’ je sortis ma queue de mon pantalon et me branlait encore, Ris vint voir ce qui se passait et je giclais encore trĂšs fort, et bien sĂ»r il vint bien me nettoyer la queue avec sa langue experte, j’étais aux anges.
Je laissais passer un peu de temps et je raccompagnais Ris Ă  la barriĂšre.
Pendant 4ans je profitais de ce copain trĂšs coopĂ©ratif, Ă©videmment quand VĂ©ga Ă©tait en chaleur il me grimpait beaucoup plus vite , il n’y avait mĂȘme pas besoin de l’encourager ; VĂ©ga restait un peu avec nous dans la piĂšce du sous-sol, je laissais Ris s’exciter tout en l’empĂȘchant de lui grimper dessus, je la faisais juste sortir, elle Ă©tait derriĂšre la porte et gĂ©missait, j’avais juste besoin de lui prĂ©senter mon cul et il me saillissait rapidement, des fois je n’avais mĂȘme pas besoin de le guider il trouvait mon trou du cul tout seul.
Une fois qu’il m’avait bien rempli les entrailles je le raccompagnais puis je revenais m’occuper de VĂ©ga qui ne demandait que ça, dĂšs mon retour elle se frottait contre moi et me tournait le cul en levant son fouet pour bien dĂ©gager sa vulve, je la faisais monter sur la petite estrade et je la saillissais comme un vrai chien que j’étais, je prenais toujours un plaisir immense, VĂ©ga en redemandait toujours pendant ses chaleurs.
VoilĂ , j’ai profitĂ© de Ris jusqu’à ce que je dĂ©mĂ©nage vers la rĂ©gion Lyonnaise c’est-Ă -dire pendant 4 ans , pour conclure on ne peut pas dire que je prenais un grand plaisir Ă  me faire enculer par Ris mais le voir dans les Ă©tats qu’il Ă©tait j’avais trop envie de lui faire plaisir, tout cela me mettait dans des Ă©tats d’excitation pas croyable je ne bandais jamais aussi fort que pendant ces moments la, le plaisir Ă©tait aussi dans la tĂȘte.
J’ai continuĂ© Ă  saillir VĂ©ga dans ma maison de lyon tant qu’elle avait envie pendant ses chaleurs, un moment j’ai arrĂȘtĂ© mĂȘme si elle avait toujours envie mais elle Ă©tait vieille et je ne voulais pas la bousculer, je ne faisais que la branler avec mes doitgs ou des petits godes.
AprĂšs il y a eu Rubis une chienne briarde que j’ai bien Ă©duquĂ© Ă©galement et qui m’a donnĂ© beaucoup de satisfaction ; est-ce que je raconterai ce que je fis avec elle je ne sais pas car il y a peu de diffĂ©rence de ce que j’ai vĂ©cu avec VĂ©ga.
Bonne lecture.
Published by boromir999
6 years ago
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boromir999 Publisher 6 years ago
t'as raison , les 1eres sont surprenantes , mais la vie à la campagne dans la fin des années 60 aussi
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boromir999 Publisher 6 years ago
je me suis fait 'jeter' de certains site car pas littĂ©raire , en l’occurrence xstory, tu peux lirr lire sur ce site certaines histoires sont pas mal, mais regarde bien beaucoup sont des fantasmes,,, moi je prĂ©fĂšre le vĂ©cu
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boromir999 Publisher 6 years ago
c'est du vécu, c'est pour ça que c'est trÚs excitant car je ne suis pas un ''grand écrivain''
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