Fantasme bisex hard 3
- D’accord mon bel amant ! Je vais m’en occuper. De toute façon, on passe la nuit ensemble et si l’envie te vient de me baiser, fais-le ! Je suis à ta disposition !
Excité par tant de vice et cette nouvelle complicité, je fis monter Alain-José sur le lit, le couchai sur le dos, écartai ses jambes gainées de nylon, et commençais mon approche vers son cul offert. Antonio s’était placé au-dessus du visage du soumis qui léchait avidement les dernières gouttes de sperme de cette bite qui allait désormais m’honorer jour et nuit. J’enlevais la bite de la bouche, d’Alain-José, fit coulisser la peau du prépuce de la queue de mon chéri afin de recueillir de quoi enduire mon gland afin de rentrer plus facilement dans sa chatte, comme il disait. Je sentais que ce détail pervers lui plaisait.
- Comme ça, nos deux spermes seront ensemble dans son cul…
- Très bonne idée ! Tu l’encules tout de suite à fond, me dit Antonio avec un regard complice.
- Oui mon chéri ! Je suivis l’ordre à la lettre. Et Alain-José ne put retenir un cri.
- Quelle bonne bite, dit Antonio !
- Oui, elle est bonne ajouta Alain-José. Vas-y bourre moi bien !
J’y mis tout mon cœur et toute mon envie, besognais avec passion, à mon tour, ce fion de salope. Je tenais ses deux jambes en l’air et reniflait avec gourmandise l’odeur de ses pieds à travers le nylon. Ce qui m’excitait encore davantage. Pendant ce temps, Alain-José avait repris Antonio en bouche. La vue de ce pompage me ravissait. Je ralentis et m’arrêtai afin de me pencher et sucer de concert.
- Eh, continue de la baiser cette salope ! Je veux que tu lui défonces le cul !
- Oui mon enculeur ! Je veux faire ce que tu voudras…
Je commençai à sentir la sève monter, je n’allais pas tarder à juter.
- Oui je viens, je vais le foutrer Antonio. Je vais féconder notre femelle !
- Oui, vas-y donne tout !
Quelle satisfaction d’inonder un cul d’homme à disposition ! Mon sperme bien épais s’échappait de sa rondelle rougie par les deux belles pénétrations qu’il avait subies. Mais il n’avait pas fini ! Antonio lui ordonna :
- Va le sucer ! Jusqu’à la dernière goutte.
Sa langue commença à parcourir mon gland ramolli de tant de baise ! Il suçait bien notre Alain-José. Il aspirait tout ce qu’il pouvait, n’en perdant pas une goutte. Il allait finir quand on sonna à la porte.
- C’est le quatrième baiseur, s’exclama Antonio !
Alain-José alla ouvrir dans sa jolie tenue de femelle qui m’avait tant excité lors de son enculage. L’homme qui rentra avait comme mes deux compagnons la soixantaine. Il ne perdit pas une miette du spectacle de nos trois bites fourbues mais prêtes à reprendre du service…
- J’ai une grosse envie de prendre des culs, dit-il l’œil avide !
A suivre...
Excité par tant de vice et cette nouvelle complicité, je fis monter Alain-José sur le lit, le couchai sur le dos, écartai ses jambes gainées de nylon, et commençais mon approche vers son cul offert. Antonio s’était placé au-dessus du visage du soumis qui léchait avidement les dernières gouttes de sperme de cette bite qui allait désormais m’honorer jour et nuit. J’enlevais la bite de la bouche, d’Alain-José, fit coulisser la peau du prépuce de la queue de mon chéri afin de recueillir de quoi enduire mon gland afin de rentrer plus facilement dans sa chatte, comme il disait. Je sentais que ce détail pervers lui plaisait.
- Comme ça, nos deux spermes seront ensemble dans son cul…
- Très bonne idée ! Tu l’encules tout de suite à fond, me dit Antonio avec un regard complice.
- Oui mon chéri ! Je suivis l’ordre à la lettre. Et Alain-José ne put retenir un cri.
- Quelle bonne bite, dit Antonio !
- Oui, elle est bonne ajouta Alain-José. Vas-y bourre moi bien !
J’y mis tout mon cœur et toute mon envie, besognais avec passion, à mon tour, ce fion de salope. Je tenais ses deux jambes en l’air et reniflait avec gourmandise l’odeur de ses pieds à travers le nylon. Ce qui m’excitait encore davantage. Pendant ce temps, Alain-José avait repris Antonio en bouche. La vue de ce pompage me ravissait. Je ralentis et m’arrêtai afin de me pencher et sucer de concert.
- Eh, continue de la baiser cette salope ! Je veux que tu lui défonces le cul !
- Oui mon enculeur ! Je veux faire ce que tu voudras…
Je commençai à sentir la sève monter, je n’allais pas tarder à juter.
- Oui je viens, je vais le foutrer Antonio. Je vais féconder notre femelle !
- Oui, vas-y donne tout !
Quelle satisfaction d’inonder un cul d’homme à disposition ! Mon sperme bien épais s’échappait de sa rondelle rougie par les deux belles pénétrations qu’il avait subies. Mais il n’avait pas fini ! Antonio lui ordonna :
- Va le sucer ! Jusqu’à la dernière goutte.
Sa langue commença à parcourir mon gland ramolli de tant de baise ! Il suçait bien notre Alain-José. Il aspirait tout ce qu’il pouvait, n’en perdant pas une goutte. Il allait finir quand on sonna à la porte.
- C’est le quatrième baiseur, s’exclama Antonio !
Alain-José alla ouvrir dans sa jolie tenue de femelle qui m’avait tant excité lors de son enculage. L’homme qui rentra avait comme mes deux compagnons la soixantaine. Il ne perdit pas une miette du spectacle de nos trois bites fourbues mais prêtes à reprendre du service…
- J’ai une grosse envie de prendre des culs, dit-il l’œil avide !
A suivre...
6 years ago