Ma belle fille est une salope
Histoire du net
Bonjour, je mâappelle VĂ©ra, jâai la cinquantaine, physique normal, 1,68 m, tour de poitrine 90C, des fesses pas trop mal. Voici mon histoire : mon mari nâa jamais Ă©tĂ© trop portĂ© sur le sexe. Moi, pas plus que cela, mais bon, jâaime ça quand mĂȘme. En vieillissant, jâavais de plus en plus envie. Un jour que je me trouvais dans une maison de la presse, je suis tombĂ©e sur votre magazine qui a des photos de couverture assez suggestives. CâĂ©tait il y a un an et demi dĂ©jĂ . Jâai donc achetĂ© mon premier Union et je suis rentrĂ©e Ă la maison. Je lâai dĂ©ballĂ© et je me souviens quâĂ la premiĂšre lecture, je me suis masturbĂ©e jusquâĂ me faire jouir. Tous les rĂ©cits mâexcitaient. Je dĂ©couvrais toutes les pratiques, pimentĂ©es par vos belles photos et vos rĂ©cits croustillants. Que ce soit le candaulisme, les rapports sexy et la sodomie que je ne connaissais pasâŠ
Mais un jour, je me suis fait surprendre dans ma lecture par ma belle-fille. La femme de mon fils, Ilana, a la trentaine, câest une grande brune trĂšs belle. JâĂ©tais tranquille dans ma chambre, il Ă©tait autour de 14 h, et je lisais Union allongĂ©e sur mon lit, Ă moitiĂ© dĂ©vĂȘtue en me caressant la chatte et en suçant un gode. Je lisais lâhistoire dâune relation entre femmes et ça mâexcitait, alors je commençais Ă mâenfoncer le gode dans la minette, allongĂ©e sur le dos, les cuisses Ă©cartĂ©es, les yeux fermĂ©s, et je gĂ©missais. Tout Ă coup, jâai senti une autre main tenir la mienne sur le gode et le pousser dans ma fente. Jâai ouvert les yeux et jâai vu Ilana plantĂ©e au-dessus de moi.
«âAlors, on sâamuse bien, belle-mamanâ? On est une grosse cochonne Ă ce que je voisâ!â». Je me suis relevĂ©e, hyper gĂȘnĂ©e. Rien que dây penser, mon Ă©criture dĂ©raille. «âEuh non, Ilana, excuse-moi.â» «âAh, en plus vous avez de sacrĂ©es lectures et vous aimez les histoires entre femmesâ!â» «âEuh non, pas spĂ©cialement.â» Elle me maintenait assise sur le lit. Jâessayais de cacher ma chatte et mes seins, mais elle me faisait ĂŽter mes mains et prenait un ton autoritaire. «âQuâest-ce quâil dirait Claude [mon mari], sâil savait tout çaâ?â» «âNon, non, pitiĂ©, ne dis rien, je ferai ce que tu veuxâ», ai-je suppliĂ©.
«âJâespĂšre bien. Dâailleurs, continue ce que tu faisais, câest un ordre. Jouisâ!â». Voyant que jâhĂ©sitais, elle a pris le gode et mâa fait mettre sur le dos pour me lâenfoncer tout en le remuant trĂšs fort.
Je ne sais pas si câĂ©tait le ton oĂč les mots quâelle prononçait, mais je me suis mise Ă remuer mon bassin vers le gode en gĂ©missant. «âTu vois, je tâai dit, une vraie garce comme toi, câest fait pour jouirâ!â», a-t-elle triomphĂ© alors que jâavais un orgasme trĂšs fort et me mettais Ă crier. Quand je me suis remise de mes Ă©motions, Ilana Ă©tait assise sur le bord du lit et me regardait.
«â- Alors, ça fait longtemps que tu te branles comme çaâ?â.â
â Depuis un an et demi. Tu sais, je ne fais rien de mal, je nâai jamais trompĂ© Claude, mais jâen avais besoinâ, ai-je rĂ©pondu.
â Oh, tu as des gros besoins, on va sâen occuper, ne tâinquiĂšte pas.â â
â Pas un mot, hein, disâ?â.
â âTu mâas dit que tu ferais tout ce que je veux. Bon, rendez-vous demain, mĂȘme heure, mĂȘme lieu, OKâ?.
-âEuh, oui. Ă demain.â»
Toute la nuit, je repensais Ă elle, Ă ce qui allait bien pouvoir se passer le lendemain. Ă 14 h, jâĂ©tais dans ma chambre en pantacourt et chemisier. Jâai entendu la porte dâentrĂ©e sâouvrir, puis un bruit dans les escaliers. Mon cĆur battait. Elle est entrĂ©e, habillĂ©e dâun jean moulant, et dâun tee-shirt tout aussi moulant et sans soutien-gorge, si bien que je voyais ses tĂ©tons pointĂ©s. «âBonjour belle VĂ©ra. Mais, tu nâes toujours pas Ă poilâ? Allez, enlĂšve-moi tout ça.â» Jâenlevais mon chemisier et mon pantacourt. Je gardais ma culotte et mon soutien-gorge. «âTout, jâai dit.â» Jâenlevais tout. Elle sâest assise sur le bord du lit et mâa fait dĂ©filer devant elle. «âAvance, tourne, viens par lĂ .â» Je lui tournais le dos. Elle a Ă©cartĂ© mes fesses avec ses mains et mâa complimentĂ©e sur mon cul avant de se mettre Ă caresser ma chatte. Je mouillais. «âHum, mais tu es dĂ©jĂ mouillĂ©e, ma salope.â» Elle a promenĂ© son doigt enduit de mouille sur mon Ćillet. «âTu y as dĂ©jĂ eu droit par ce trouâ? Tu verras, tu vas aimer, tu mâen redemanderas.â» Elle mâa fait me retourner et poser un pied sur le lit pour que ma chatte soit bien Ă©cartĂ©e. Elle a mis sa main dessus pour la triturer. «âTu es une vraie garce, je vais pouvoir tâen mettre du lourd.â» Elle sâest mise nue, sâest allongĂ©e sur le dos et a Ă©cartĂ© les cuisses. «âDâabord, câest moi ta maĂźtresse qui doit jouir en premier.â» Elle mâa alors plaquĂ©e la tĂȘte entre ses cuisses.
Jâai failli mâĂ©touffer. Je suçais son clito, elle avait une chatte magnifique. Elle a joui trĂšs fort. Puis elle a sorti un gode-ceinture de son sac. «âJe lâai achetĂ© exprĂšs pour toi, regarde, il te plaĂźtâ?â». Il Ă©tait Ă©norme, je vous jure. Elle se lâest attachĂ©e Ă la taille et mâa fait asseoir au bord du lit. «âAllez, suce, garce, et comme il faut.â» Je ne pouvais pas le mettre en entier dans ma bouche tellement il Ă©tait large. «âAh, comme je suis bien membrĂ©e hein, on va bien sâamuserâ! Dis-moi que tu es une truie, faite pour ĂȘtre souillĂ©e. Une truie se fait prendre par-derriĂšre, comme une chienne.â»
Puis je me suis mise Ă quatre pattes. Elle mâa Ă©cartĂ©e les fesses et a posĂ© son gode Ă lâentrĂ©e de ma fente. «âAllez, recule sur mon gode, prends-toi la chatte, salope. MouillĂ©e comme tu es, ça devrait rentrer tout seul.â» Jâai eu du mal Ă le faire rentrer et au bout dâun moment, elle lâa enfoncĂ© presque Ă fond. Je sentais le gode jusquâau fond de mon vagin. Elle mâa baisĂ©e ainsi environ 15 minutes. Jâai joui deux fois, pendant quâelle me traitait de tous les noms. Une fois quâelle en a eu assez, elle mâa fait nettoyer le gode avec la langue tout en me caressant le cul. «âLa prochaine fois, entraĂźne-toi, parce que câest ton cul qui va prendre.â»
La semaine suivante, je lâattendais Ă la maison et elle mâa appelĂ©e pour me dire que câĂ©tait Ă moi de venir chez elle. «âTu vas mettre une jupe trĂšs courte, pas de culotte, un tee-shirt moulant sans soutien-gorge et des escarpinsâ!â», a ordonnĂ© ma maĂźtresse. Une demi-heure plus tard, je montais dans sa voiture. «âPas mal, dis donc, tu fais vraiment garce comme ça. RelĂšve ta jupe et caresse-toi et remonte ton tee-shirt sous les seins.â» Nous sommes arrivĂ©es au niveau dâun feu rouge et jâai interrompu mon geste. «âNon, continue, câest maintenant que les conducteurs peuvent se rincer lâĆil.â» Lâun dâeux Ă©tait dâailleurs en train de faire signe Ă Ilana, qui lâinvita Ă nous suivre. Nous avons arrĂȘtĂ© la voiture dans un lieu tranquille en rase campagne et Ilana est allĂ©e parler au bonhomme. «âAllez, descends, il a envie de se faire du bienâ», mâa-t-elle ordonnĂ©. Elle mâa prise par la main pour me mener Ă la voiture du gars, qui devait dĂ©jĂ avoir sorti lâattirail. «âAllez, suce-le et bien.â» Je lâai pris en bouche, il avait une odeur dâurine. Ilana mâappuyait sur la tĂȘte :
« -âTu aimes ça, hein, belle-mamanâ?
-âAh mais câest votre belle-mĂšreâ? En tout cas, elle se dĂ©brouille bien, je crois que je vais juterâŠ,
-âOui, vas-y, remplis-lui la bouche Ă cette garceâ! Et le jus mâinonda le gosier. »
Puis nous avons repris la route. Une fois arrivĂ©es chez elle, nous sommes montĂ©es dans sa chambre et elle mâa forcĂ©e Ă la faire jouir comme la derniĂšre fois, avant de « sâharnacher ». Je lui ai demandĂ© dâaller doucement. «âCâest moi qui dĂ©cideâ! JâespĂšre que tu as prĂ©parĂ© ton cul.â» Elle mâa fait me retourner et a mis du gel sur le gode et mon anus, avant de mâenculer pendant une demi-heure. Elle sâamusait Ă Ă©carter mes fesses. Je ne sentais plus mon anus, un vrai chou-fleur. «âOh putain, si tu voyais la foufe que tu as, tu vas vraiment pouvoir prendre des queues de malade.â» VoilĂ , dĂ©sormais jâattends quâelle me livre Ă des queuesâ!
Bonjour, je mâappelle VĂ©ra, jâai la cinquantaine, physique normal, 1,68 m, tour de poitrine 90C, des fesses pas trop mal. Voici mon histoire : mon mari nâa jamais Ă©tĂ© trop portĂ© sur le sexe. Moi, pas plus que cela, mais bon, jâaime ça quand mĂȘme. En vieillissant, jâavais de plus en plus envie. Un jour que je me trouvais dans une maison de la presse, je suis tombĂ©e sur votre magazine qui a des photos de couverture assez suggestives. CâĂ©tait il y a un an et demi dĂ©jĂ . Jâai donc achetĂ© mon premier Union et je suis rentrĂ©e Ă la maison. Je lâai dĂ©ballĂ© et je me souviens quâĂ la premiĂšre lecture, je me suis masturbĂ©e jusquâĂ me faire jouir. Tous les rĂ©cits mâexcitaient. Je dĂ©couvrais toutes les pratiques, pimentĂ©es par vos belles photos et vos rĂ©cits croustillants. Que ce soit le candaulisme, les rapports sexy et la sodomie que je ne connaissais pasâŠ
Mais un jour, je me suis fait surprendre dans ma lecture par ma belle-fille. La femme de mon fils, Ilana, a la trentaine, câest une grande brune trĂšs belle. JâĂ©tais tranquille dans ma chambre, il Ă©tait autour de 14 h, et je lisais Union allongĂ©e sur mon lit, Ă moitiĂ© dĂ©vĂȘtue en me caressant la chatte et en suçant un gode. Je lisais lâhistoire dâune relation entre femmes et ça mâexcitait, alors je commençais Ă mâenfoncer le gode dans la minette, allongĂ©e sur le dos, les cuisses Ă©cartĂ©es, les yeux fermĂ©s, et je gĂ©missais. Tout Ă coup, jâai senti une autre main tenir la mienne sur le gode et le pousser dans ma fente. Jâai ouvert les yeux et jâai vu Ilana plantĂ©e au-dessus de moi.
«âAlors, on sâamuse bien, belle-mamanâ? On est une grosse cochonne Ă ce que je voisâ!â». Je me suis relevĂ©e, hyper gĂȘnĂ©e. Rien que dây penser, mon Ă©criture dĂ©raille. «âEuh non, Ilana, excuse-moi.â» «âAh, en plus vous avez de sacrĂ©es lectures et vous aimez les histoires entre femmesâ!â» «âEuh non, pas spĂ©cialement.â» Elle me maintenait assise sur le lit. Jâessayais de cacher ma chatte et mes seins, mais elle me faisait ĂŽter mes mains et prenait un ton autoritaire. «âQuâest-ce quâil dirait Claude [mon mari], sâil savait tout çaâ?â» «âNon, non, pitiĂ©, ne dis rien, je ferai ce que tu veuxâ», ai-je suppliĂ©.
«âJâespĂšre bien. Dâailleurs, continue ce que tu faisais, câest un ordre. Jouisâ!â». Voyant que jâhĂ©sitais, elle a pris le gode et mâa fait mettre sur le dos pour me lâenfoncer tout en le remuant trĂšs fort.
Je ne sais pas si câĂ©tait le ton oĂč les mots quâelle prononçait, mais je me suis mise Ă remuer mon bassin vers le gode en gĂ©missant. «âTu vois, je tâai dit, une vraie garce comme toi, câest fait pour jouirâ!â», a-t-elle triomphĂ© alors que jâavais un orgasme trĂšs fort et me mettais Ă crier. Quand je me suis remise de mes Ă©motions, Ilana Ă©tait assise sur le bord du lit et me regardait.
«â- Alors, ça fait longtemps que tu te branles comme çaâ?â.â
â Depuis un an et demi. Tu sais, je ne fais rien de mal, je nâai jamais trompĂ© Claude, mais jâen avais besoinâ, ai-je rĂ©pondu.
â Oh, tu as des gros besoins, on va sâen occuper, ne tâinquiĂšte pas.â â
â Pas un mot, hein, disâ?â.
â âTu mâas dit que tu ferais tout ce que je veux. Bon, rendez-vous demain, mĂȘme heure, mĂȘme lieu, OKâ?.
-âEuh, oui. Ă demain.â»
Toute la nuit, je repensais Ă elle, Ă ce qui allait bien pouvoir se passer le lendemain. Ă 14 h, jâĂ©tais dans ma chambre en pantacourt et chemisier. Jâai entendu la porte dâentrĂ©e sâouvrir, puis un bruit dans les escaliers. Mon cĆur battait. Elle est entrĂ©e, habillĂ©e dâun jean moulant, et dâun tee-shirt tout aussi moulant et sans soutien-gorge, si bien que je voyais ses tĂ©tons pointĂ©s. «âBonjour belle VĂ©ra. Mais, tu nâes toujours pas Ă poilâ? Allez, enlĂšve-moi tout ça.â» Jâenlevais mon chemisier et mon pantacourt. Je gardais ma culotte et mon soutien-gorge. «âTout, jâai dit.â» Jâenlevais tout. Elle sâest assise sur le bord du lit et mâa fait dĂ©filer devant elle. «âAvance, tourne, viens par lĂ .â» Je lui tournais le dos. Elle a Ă©cartĂ© mes fesses avec ses mains et mâa complimentĂ©e sur mon cul avant de se mettre Ă caresser ma chatte. Je mouillais. «âHum, mais tu es dĂ©jĂ mouillĂ©e, ma salope.â» Elle a promenĂ© son doigt enduit de mouille sur mon Ćillet. «âTu y as dĂ©jĂ eu droit par ce trouâ? Tu verras, tu vas aimer, tu mâen redemanderas.â» Elle mâa fait me retourner et poser un pied sur le lit pour que ma chatte soit bien Ă©cartĂ©e. Elle a mis sa main dessus pour la triturer. «âTu es une vraie garce, je vais pouvoir tâen mettre du lourd.â» Elle sâest mise nue, sâest allongĂ©e sur le dos et a Ă©cartĂ© les cuisses. «âDâabord, câest moi ta maĂźtresse qui doit jouir en premier.â» Elle mâa alors plaquĂ©e la tĂȘte entre ses cuisses.
Jâai failli mâĂ©touffer. Je suçais son clito, elle avait une chatte magnifique. Elle a joui trĂšs fort. Puis elle a sorti un gode-ceinture de son sac. «âJe lâai achetĂ© exprĂšs pour toi, regarde, il te plaĂźtâ?â». Il Ă©tait Ă©norme, je vous jure. Elle se lâest attachĂ©e Ă la taille et mâa fait asseoir au bord du lit. «âAllez, suce, garce, et comme il faut.â» Je ne pouvais pas le mettre en entier dans ma bouche tellement il Ă©tait large. «âAh, comme je suis bien membrĂ©e hein, on va bien sâamuserâ! Dis-moi que tu es une truie, faite pour ĂȘtre souillĂ©e. Une truie se fait prendre par-derriĂšre, comme une chienne.â»
Puis je me suis mise Ă quatre pattes. Elle mâa Ă©cartĂ©e les fesses et a posĂ© son gode Ă lâentrĂ©e de ma fente. «âAllez, recule sur mon gode, prends-toi la chatte, salope. MouillĂ©e comme tu es, ça devrait rentrer tout seul.â» Jâai eu du mal Ă le faire rentrer et au bout dâun moment, elle lâa enfoncĂ© presque Ă fond. Je sentais le gode jusquâau fond de mon vagin. Elle mâa baisĂ©e ainsi environ 15 minutes. Jâai joui deux fois, pendant quâelle me traitait de tous les noms. Une fois quâelle en a eu assez, elle mâa fait nettoyer le gode avec la langue tout en me caressant le cul. «âLa prochaine fois, entraĂźne-toi, parce que câest ton cul qui va prendre.â»
La semaine suivante, je lâattendais Ă la maison et elle mâa appelĂ©e pour me dire que câĂ©tait Ă moi de venir chez elle. «âTu vas mettre une jupe trĂšs courte, pas de culotte, un tee-shirt moulant sans soutien-gorge et des escarpinsâ!â», a ordonnĂ© ma maĂźtresse. Une demi-heure plus tard, je montais dans sa voiture. «âPas mal, dis donc, tu fais vraiment garce comme ça. RelĂšve ta jupe et caresse-toi et remonte ton tee-shirt sous les seins.â» Nous sommes arrivĂ©es au niveau dâun feu rouge et jâai interrompu mon geste. «âNon, continue, câest maintenant que les conducteurs peuvent se rincer lâĆil.â» Lâun dâeux Ă©tait dâailleurs en train de faire signe Ă Ilana, qui lâinvita Ă nous suivre. Nous avons arrĂȘtĂ© la voiture dans un lieu tranquille en rase campagne et Ilana est allĂ©e parler au bonhomme. «âAllez, descends, il a envie de se faire du bienâ», mâa-t-elle ordonnĂ©. Elle mâa prise par la main pour me mener Ă la voiture du gars, qui devait dĂ©jĂ avoir sorti lâattirail. «âAllez, suce-le et bien.â» Je lâai pris en bouche, il avait une odeur dâurine. Ilana mâappuyait sur la tĂȘte :
« -âTu aimes ça, hein, belle-mamanâ?
-âAh mais câest votre belle-mĂšreâ? En tout cas, elle se dĂ©brouille bien, je crois que je vais juterâŠ,
-âOui, vas-y, remplis-lui la bouche Ă cette garceâ! Et le jus mâinonda le gosier. »
Puis nous avons repris la route. Une fois arrivĂ©es chez elle, nous sommes montĂ©es dans sa chambre et elle mâa forcĂ©e Ă la faire jouir comme la derniĂšre fois, avant de « sâharnacher ». Je lui ai demandĂ© dâaller doucement. «âCâest moi qui dĂ©cideâ! JâespĂšre que tu as prĂ©parĂ© ton cul.â» Elle mâa fait me retourner et a mis du gel sur le gode et mon anus, avant de mâenculer pendant une demi-heure. Elle sâamusait Ă Ă©carter mes fesses. Je ne sentais plus mon anus, un vrai chou-fleur. «âOh putain, si tu voyais la foufe que tu as, tu vas vraiment pouvoir prendre des queues de malade.â» VoilĂ , dĂ©sormais jâattends quâelle me livre Ă des queuesâ!
6 years ago