Histoire d'annabelle
Je mâappelle Annabelle et je porte bien mon prĂ©nom : belle et branchĂ©e plaisir anal. Jâadore mâenvoyer en lâair, dans tous les sens du terme â je suis hĂŽtesse pour une grande compagnie dâaviation. Câest comme ça que je rencontre la plupart de mes amants. Laissez-moi vous raconter ma derniĂšre incartade avec un passager fort bien membrĂ©.
Je lâai rencontrĂ© sur un vol pour New York. Nous avons Ă©tĂ© enfermĂ©s 9 h ensemble et nous avons eu de multiples occasions de se parler. Dâabord quand il mâa demandĂ©e un verre dâeau, puis un cafĂ©, puis quand il a voulu que je lâaide Ă baisser lâair froid au-dessus de son siĂšge. Comme il Ă©tait beau gosse, jâen ai profitĂ© pour lui promener mes seins devant le nez en rĂ©glant le bouton. Ă lâarrivĂ©e, il mâa sobrement tendue sa carte. Il sâappelait Steve.
Je nâĂ©tais Ă New York que pour deux jours et jâavais prĂ©vu de faire les musĂ©es, pas de lâappeler. Mais en arrivant Ă mon hĂŽtel, jâai tout simplement hallucinĂ© : Steve Ă©tait dans le hall, en train de faire monter ses valises. Jâai avancĂ© vers lâaccueil et il a souri. Il avait un sourire de pub TV, raccord avec son physique dâAmĂ©ricain. Tout Ă fait ma came, avec son 1 m 80 et son visage carré⊠Mais il mâa eu lâair plus vieux que dans lâavion. 45 ans, peut-ĂȘtreâ? Jâen Ă©tais lĂ de mes observations quand Steve sâest approchĂ©, a regardĂ© le numĂ©ro de la clĂ© que la rĂ©ceptionniste me tendait, puis a tournĂ© les talons. Quinze minutes plus tard, il toquait Ă ma porte.
Ă peine lâavais-je ouverte quâil se jetait sur moi. Son odeur mâa enveloppĂ©e, un mĂ©lange de parfum coĂ»teux et dâhaleine mentholĂ©e. Sa langue, dĂ©jĂ , fouillait loin dans ma bouche. Jâai enlevĂ© sa veste, dĂ©fait son pantalon. Lui sâest contentĂ© dâĂŽter ma jupe. Jâai voulu me dĂ©shabiller aussi, mais il a retenu mes poignets. Il faut dire que jâavais pris le temps de me changer, au profit dâun ensemble des plus piquants⊠Monsieur a eu lâair dâaimer, puisquâil mâa prise en photo avec son tĂ©lĂ©phone, posant prĂšs du lit.
LâĂ©rection de Steve Ă©tait phĂ©nomĂ©nale. Quand il sâest approchĂ© de moi, jâai espĂ©rĂ© quâil soit branchĂ© prĂ©liminaires : il allait mâen falloir pour mouiller en quantitĂ© suffisanteâ! Quand il mâa attrapĂ©e par la nuque et ensuite, je suis descendu Ă ses genoux, jâai dĂ©cidĂ© de faire le travail de lubrification moi-mĂȘme. De ma langue, je lâai prĂ©parĂ© : couilles, glands, queue, jâai tout sucĂ© avec dĂ©lice. Lâensemble avait un lĂ©ger goĂ»t de sperme et je me suis demandĂ© sâil ne sâĂ©tait pas branlĂ© avant de me retrouver. Ses performances ont ensuite confirmĂ© mon intuition : ce type Ă©tait increvableâ!
La pipe a durĂ© plus dâun quart dâheure, Ă mâen faire mal aux mĂąchoires. Mais, cramponnĂ©e aux genoux de Steve, je nâai rien lĂąchĂ©, me mettant mĂȘme Ă avaler son Ă©pais gourdin Ă toute vitesse. De quoi lâexciter Ă mort : il mâa chopĂ©e par le chignon et mâa relevĂ©e pour une nouvelle pelle profonde. Puis il mâa jetĂ©e sur le lit pour titiller la ficelle de mon string, dĂ©voilant mon petit anus moite. Au dĂ©but, jâai cru quâil voulait jouer avec mon trou. Mais quand il a baissĂ© le string et a posĂ© son gros gland contre ma rondelle, jâai compris quâil Ă©tait trĂšs sĂ©rieux. Sans caresse digne de ce non, allait-il pouvoir rentrer son engin du dĂ©monâ?
Jâai pris une grande respiration quand il a donnĂ© un premier coup de rein. Ă ma grande surprise, sa queue est entrĂ©e de deux ou trois centimĂštres. La pipe mâavait excitĂ©e bien plus que je ne le pensais et jâĂ©tais en fait trĂšs dilatĂ©eâ! DeuxiĂšme coup, jâai commencĂ© Ă la sentir passer. Puis un troisiĂšme. Seigneur, sa queue Ă©tait si grosse que la moitiĂ© mâaurait suffi ! Mais je nâallais pas y couper. Il a fallu deux bonnes minutes pour que, centimĂštre par centimĂštre, il me transperce le fion. Jâai alors commencĂ© Ă kiffer.
Steve entrait et sortait Ă prĂ©sent trĂšs lentement. Chaque introduction me faisait pousser un hurlement de dingue. Mais dĂšs quâil coulissait en arriĂšre, je nâavais quâun dĂ©sir : quâil me sodomise Ă nouveau. De temps en temps, le coquin se retirait totalement et passait son index sur le pourtour de mon trou, dilatĂ© Ă lâextrĂȘme. Un frisson me parcourait alors tout le corps⊠Lâacte a de nouveau durĂ© de longues minutes, puis Steve mâa demandĂ©e de mettre sur le dos. Jambes relevĂ©es, je lâai laissĂ© me prendre le cul Ă nouveau. MĂȘme manĂšge : chaque poussĂ©e me faisait perdre la tĂȘte. Gueulante et tremblante, je lui ai suggĂ©rĂ© dâaccĂ©lĂ©rer. LâAmĂ©ricain a saisi mes chevilles puis a bourrĂ© plus vite. SecouĂ©e comme un prunier, jâai glissĂ© ma main entre mes jambes. Mon clitoris Ă©tait gonflĂ© et ma chatte mouillait en abondance, le liquide coulant jusquâĂ mon cul dĂ©foncĂ©. Encore, encoreâ! Jâai joui en beuglant comme
une chienne.
SonnĂ©e, jâai senti Steve se retirer. De lâair est sorti en quantitĂ© de mon anus et les doigts de mon amant se sont de nouveau promenĂ©s sur ses bords moelleux. Il est ensuite remontĂ© dans le lit et, sans rien dire, a ouvert ma bouche avec son sexe. Le goĂ»t mâa Ă©lectrisĂ©eâ: un mĂ©lange de jus de cul, de mouille et de prĂ©cum. Jâai pompĂ©, pompĂ© encore, Ă©puisĂ©e par ses va-et-vient mais dĂ©terminĂ©e Ă lui donner autant de plaisir que jâen avais reçu. La premiĂšre giclĂ©e a Ă©tĂ© pour ma gorge, la seconde pour mon visage. Jâen aurais voulu plus, mais jâai quand mĂȘme adorĂ© quand Steve lâa Ă©talĂ© sur mes lĂšvres. Je me suis ensuite recroquevillĂ©e dans les draps et je me suis endormie immĂ©diatement. Le lendemain, jâai Ă©tĂ© rĂ©veillĂ©e par le room-service. Jâai passĂ© un peignoir et ouvert Ă la femme de chambre. Dans ses bras, un Ă©norme bouquet de roses pourpres et bien ouvertes, accompagnĂ© dâune carte Ă©crite en français : «âMerci pour ton cul.â»
Je lâai rencontrĂ© sur un vol pour New York. Nous avons Ă©tĂ© enfermĂ©s 9 h ensemble et nous avons eu de multiples occasions de se parler. Dâabord quand il mâa demandĂ©e un verre dâeau, puis un cafĂ©, puis quand il a voulu que je lâaide Ă baisser lâair froid au-dessus de son siĂšge. Comme il Ă©tait beau gosse, jâen ai profitĂ© pour lui promener mes seins devant le nez en rĂ©glant le bouton. Ă lâarrivĂ©e, il mâa sobrement tendue sa carte. Il sâappelait Steve.
Je nâĂ©tais Ă New York que pour deux jours et jâavais prĂ©vu de faire les musĂ©es, pas de lâappeler. Mais en arrivant Ă mon hĂŽtel, jâai tout simplement hallucinĂ© : Steve Ă©tait dans le hall, en train de faire monter ses valises. Jâai avancĂ© vers lâaccueil et il a souri. Il avait un sourire de pub TV, raccord avec son physique dâAmĂ©ricain. Tout Ă fait ma came, avec son 1 m 80 et son visage carré⊠Mais il mâa eu lâair plus vieux que dans lâavion. 45 ans, peut-ĂȘtreâ? Jâen Ă©tais lĂ de mes observations quand Steve sâest approchĂ©, a regardĂ© le numĂ©ro de la clĂ© que la rĂ©ceptionniste me tendait, puis a tournĂ© les talons. Quinze minutes plus tard, il toquait Ă ma porte.
Ă peine lâavais-je ouverte quâil se jetait sur moi. Son odeur mâa enveloppĂ©e, un mĂ©lange de parfum coĂ»teux et dâhaleine mentholĂ©e. Sa langue, dĂ©jĂ , fouillait loin dans ma bouche. Jâai enlevĂ© sa veste, dĂ©fait son pantalon. Lui sâest contentĂ© dâĂŽter ma jupe. Jâai voulu me dĂ©shabiller aussi, mais il a retenu mes poignets. Il faut dire que jâavais pris le temps de me changer, au profit dâun ensemble des plus piquants⊠Monsieur a eu lâair dâaimer, puisquâil mâa prise en photo avec son tĂ©lĂ©phone, posant prĂšs du lit.
LâĂ©rection de Steve Ă©tait phĂ©nomĂ©nale. Quand il sâest approchĂ© de moi, jâai espĂ©rĂ© quâil soit branchĂ© prĂ©liminaires : il allait mâen falloir pour mouiller en quantitĂ© suffisanteâ! Quand il mâa attrapĂ©e par la nuque et ensuite, je suis descendu Ă ses genoux, jâai dĂ©cidĂ© de faire le travail de lubrification moi-mĂȘme. De ma langue, je lâai prĂ©parĂ© : couilles, glands, queue, jâai tout sucĂ© avec dĂ©lice. Lâensemble avait un lĂ©ger goĂ»t de sperme et je me suis demandĂ© sâil ne sâĂ©tait pas branlĂ© avant de me retrouver. Ses performances ont ensuite confirmĂ© mon intuition : ce type Ă©tait increvableâ!
La pipe a durĂ© plus dâun quart dâheure, Ă mâen faire mal aux mĂąchoires. Mais, cramponnĂ©e aux genoux de Steve, je nâai rien lĂąchĂ©, me mettant mĂȘme Ă avaler son Ă©pais gourdin Ă toute vitesse. De quoi lâexciter Ă mort : il mâa chopĂ©e par le chignon et mâa relevĂ©e pour une nouvelle pelle profonde. Puis il mâa jetĂ©e sur le lit pour titiller la ficelle de mon string, dĂ©voilant mon petit anus moite. Au dĂ©but, jâai cru quâil voulait jouer avec mon trou. Mais quand il a baissĂ© le string et a posĂ© son gros gland contre ma rondelle, jâai compris quâil Ă©tait trĂšs sĂ©rieux. Sans caresse digne de ce non, allait-il pouvoir rentrer son engin du dĂ©monâ?
Jâai pris une grande respiration quand il a donnĂ© un premier coup de rein. Ă ma grande surprise, sa queue est entrĂ©e de deux ou trois centimĂštres. La pipe mâavait excitĂ©e bien plus que je ne le pensais et jâĂ©tais en fait trĂšs dilatĂ©eâ! DeuxiĂšme coup, jâai commencĂ© Ă la sentir passer. Puis un troisiĂšme. Seigneur, sa queue Ă©tait si grosse que la moitiĂ© mâaurait suffi ! Mais je nâallais pas y couper. Il a fallu deux bonnes minutes pour que, centimĂštre par centimĂštre, il me transperce le fion. Jâai alors commencĂ© Ă kiffer.
Steve entrait et sortait Ă prĂ©sent trĂšs lentement. Chaque introduction me faisait pousser un hurlement de dingue. Mais dĂšs quâil coulissait en arriĂšre, je nâavais quâun dĂ©sir : quâil me sodomise Ă nouveau. De temps en temps, le coquin se retirait totalement et passait son index sur le pourtour de mon trou, dilatĂ© Ă lâextrĂȘme. Un frisson me parcourait alors tout le corps⊠Lâacte a de nouveau durĂ© de longues minutes, puis Steve mâa demandĂ©e de mettre sur le dos. Jambes relevĂ©es, je lâai laissĂ© me prendre le cul Ă nouveau. MĂȘme manĂšge : chaque poussĂ©e me faisait perdre la tĂȘte. Gueulante et tremblante, je lui ai suggĂ©rĂ© dâaccĂ©lĂ©rer. LâAmĂ©ricain a saisi mes chevilles puis a bourrĂ© plus vite. SecouĂ©e comme un prunier, jâai glissĂ© ma main entre mes jambes. Mon clitoris Ă©tait gonflĂ© et ma chatte mouillait en abondance, le liquide coulant jusquâĂ mon cul dĂ©foncĂ©. Encore, encoreâ! Jâai joui en beuglant comme
une chienne.
SonnĂ©e, jâai senti Steve se retirer. De lâair est sorti en quantitĂ© de mon anus et les doigts de mon amant se sont de nouveau promenĂ©s sur ses bords moelleux. Il est ensuite remontĂ© dans le lit et, sans rien dire, a ouvert ma bouche avec son sexe. Le goĂ»t mâa Ă©lectrisĂ©eâ: un mĂ©lange de jus de cul, de mouille et de prĂ©cum. Jâai pompĂ©, pompĂ© encore, Ă©puisĂ©e par ses va-et-vient mais dĂ©terminĂ©e Ă lui donner autant de plaisir que jâen avais reçu. La premiĂšre giclĂ©e a Ă©tĂ© pour ma gorge, la seconde pour mon visage. Jâen aurais voulu plus, mais jâai quand mĂȘme adorĂ© quand Steve lâa Ă©talĂ© sur mes lĂšvres. Je me suis ensuite recroquevillĂ©e dans les draps et je me suis endormie immĂ©diatement. Le lendemain, jâai Ă©tĂ© rĂ©veillĂ©e par le room-service. Jâai passĂ© un peignoir et ouvert Ă la femme de chambre. Dans ses bras, un Ă©norme bouquet de roses pourpres et bien ouvertes, accompagnĂ© dâune carte Ă©crite en français : «âMerci pour ton cul.â»
6 years ago