Pour Sugarsexy

J’avais choisi à un hôtel de bas de gamme à moitié occupé par des réfugiés dont les chambres sont prises en charge par les autorités. Les allées-et-venues étaient habituelles et le réceptionniste ne prêtait guère attention aux visiteurs Je voulais qu’elle soit rabaissée au rang de femme vendue au premier venu. La porte refermée, je l’ai fait se déshabiller lentement. Volontairement, j’ai repoussé du pied ses vêtements tombés par terre et j’ai attendu silencieusement quelques minutes avant de lui donner mes premiers ordres : Tiens-toi droite, sois fière de ton corps, voilà la poitrine en avant ! Croise les bras dans le dos et baisse la tête ! Superbe, superbe ! Écarte les jambes, encore, Là c’est bien ! Je pris alors le temps de commenter ses formes gracieuses, n’hésitant pas à flatter sa croupe ou à étirer ses gros seins. Je la voyais rougir et commencer à respirer plus rapidement serais tu excitée ma petite ? Vérifions !
Je glissais sans ménagement deux doigts dans son sexe. Elle se mit à gémir.
– Mais tu mouilles, petite pute !
Après avoir forcé par deux fois son sexe, je ressortais mes deux doigts poisseux que je lui fis lécher Et la gueuse ne disait pas non. Elle semblait y trouver du plaisir, la tête en arrière, les yeux clos.
– Doucement, ne t’en fais pas tu auras bientôt ton comptant. Pour l’instant, reprend la position et écarte bien les jambes que je te fasse goûter de la douceur du cuir
J’étais bien décidé à la tester. J’ai commencé à frotter la cravache sur son sexe, la longue tige venait échauffer ses lèvres et je la voyais commencer à se trémousser, tentant de serrer ses cuisses.
Je n’attendais que ça. De l’autre main, je portais violemment deux claques sur ses seins ne doutant pas que la douleur irradiait son cerveau.
J’étais bien décidé à la tester. J’ai commencé à frotter la cravache sur son sexe, la longue tige venait échauffer ses lèvres et je la voyais commencer à se trémousser, tentant de serrer ses cuisses.
– Tu m’appartiens, ton corps est à moi. Moi seul, je déciderai si tu dois avoir du plaisir ou non. Je t’interdis de bouger et de parler. Tu comprends bien, j’exige de toi le silence absolu quoi qu’il t’arrive. Je vais te montrer ce que je fais de toi
La voici à genoux, menottée, les bras tirés vers le haut et attachés à l’une des barres de l’échelle du lit supérieur, des pinces posées sur les seins
– Estime-toi heureuse que je ne leste pas les pinces de petits poids. Tu te rappelles ce que je t’avais dit la dernière fois : « La prochaine fois, ce sera la gorge seulement.
Tu vas me sucer, je te donne cinq minutes, montre en main, pour me faire jouir et avaler mon sperme.
Published by numerobis28
6 years ago
Comments
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zorglub23 6 years ago
superbe, j(aimerai lire la suite ...
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