Une envie pressante
Enfin à la maison! Après une journée de travail bien remplie, je pouvais enfin me relaxer dans mon canapé. Je passe une short bien confortable et m'ouvre une bière bien fraiche. Vautré dans le salon, je goûte enfin au plaisir de ne rien faire. Ma chérie est toujours au travail, il me reste encore deux bonnes heures avant son retour. j'allume la télé et zap au hasard quand j'entends la porte d'entrée.
- Tu rentres déjà ? Pas de réponse. Juste le bruit de veste et de chaussures qu'on retire, puis des pas pressé.
Elle déboule dans le salon en me regardant avec une drôle d'expression. Mélange d'impatience et de faim. Elle vient se planter devant moi, s'agenouille tout en écartant mes genoux pour se faire de la place et commence aussitôt à caresser mon sexe à travers mon short. Par moment, elle rapproche sa bouche et je sens son souffle chaud à travers le tissu. Un peu surpris, je commence à la questionner.
- Qu'est-ce qui me vaut cet honneur ?
- J'en ai eu envie toute l'après-midi, répondit-elle dans un soupire. Je n'arrivais plus à me concentrer, je ne pensais plus qu'à ta queue entre mes lèvres.
A ces mots, mon érection s'accéléra brutalement. Ce genre de révélation m'excite au plus haut point. La coquine le savait et en jouait dès qu'elle en avait l'occasion.
- Mmmm, gémit-elle. On dirait bien que je t'ai manquée aussi.
Elle me jeta un de ses regard de braises qui me rendent dingue. Elle empoigna l'élastique de mon short et de mon caleçon. Je soulevais légèrement mon bassin et d'un geste souple, elle fit glisser l'ensemble jusqu'à mi-cuisses. Ma bite bien dur jaillit tel un ressort.
- Ah, te voilà. Murmura-t-elle en s'en emparant aussitôt.
Elle commença à me branler tout doucement. Ponctuant ses mouvements par quelques longs coups de langues de la base de mon sexe, jusqu'au bout. Puis elle laissa couler un filet de salive sur mon gland et l'étala délicatement du bout des lèvres, puis avec sa main. Ainsi lubrifiée, toute ma bite coulissait entre ces doigts avec délice. Encore quelques coup de langues, qui me font tressaillir à chaque fois, et elle goba mon gland. Je sentais sa langue jouer avec, tourner autour, titiller mon frein, puis elle avala ma queue toute entière. Dieu que c'était bon.
Elle relâcha ma bite pour enlever son haut et son soutien-gorge. Je m'avançais pour me saisir de ses seins. J'adore les caresser, les lécher et sucer ses tétons. Mais elle me repousse sur le canapé.
- Pas maintenant, j'ai attendu trop longtemps. Elle fini de m'enlever short et caleçon et reprend immédiatement sa fellation avec encore plus d'envie.
Je m'accroche littéralement au canapé pour ne pas cracker et jouir tout de suite. Je veux profiter un maximum. Devant moi c'est un festival. Tout le monde est la fête. Elle me suce, gobe mes couilles, me branle et lèche mon gland tendu de désir. Régulièrement, elle bave sur ma queue pour qu'elle reste bien lubrifiée. Elle en profite pour frotter mon gland contre ses seins. Je sens ses tétons glissé contre mon frein. Un vrai délice.
Au bout d'un moment, elle se relève et fini de se déshabiller. La voilà nue devant moi, magnifique. Cette fois j'ai assez profité et surtout il me faut une pause pour me calmer. Je m'avance rapidement et m'empare de ses fesses à pleine main, ce qui la fait gémir un peu. Je commence à embrasser son ventre, pendant qu'elle me caresse les cheveux. Je décents lentement vers son minou tout en pétrissant délicatement ses jolies fesses. Une fois à la bonne hauteur, je glisse ma langue entre ses lèvres et touche délicatement son clitoris. Ma douce sursaute instantanément et je la sens qui s'agrippe à ma chevelure.
Lentement, je bascule en arrière tout en l'entrainant avec moi. La voilà à genoux sur le canapé son sexe bien posé sur ma bouche. Elle est trempée. Je me régale de son nectar et lui dévore la chatte tout en caressant tout son corps. Par moment, je m'aventure entre ses fesses et caresse doucement son petit trou du bout des doigts. Je n'ai pas longtemps à attendre avant qu'elle ne soit secouée par une série de spasmes, témoin d'un orgasme puissant. Je lève les yeux pour admirer son visage. Ma chérie est magnifique lorsqu'elle joui.
Après le plaisir qu'elle m'a donné, je ne la laisse pas récupérer complètement et la fait basculer sur le canapé. Couchée sur le dos, je viens me placer au dessus d'elle pour l'embrasser à pleine bouche. Nos langues se mêlent goulument et pendant ce temps, je place mon sexe toujours dur à l'entrée de sa chatte et la pénètre d'un coup. Elle est tellement mouillée qu'il n'y a aucune résistance, mais un long râle de plaisir.
Après quelques secondes, je commence doucement mes va et viens. elle passe ses bras autour de mon cou et m'encourage au creux de l'oreille. Lorsqu'elle sent que je suis au bord de l'orgasme, elle me chochotte :
- Viens sur mes seins...
Là s'en est trop pour moi. Je me retire et vient me placer à califourchon au dessus d'elle. Elle s'empare de ma bite et me branle vigoureusement d'une main, tout en serrant sa poitrine de l'autre. Il ne faut pas longtemps pour que de gros jets de sperme viennent s'écraser sur ses seins et son visage.
Une fois que mes couilles eurent donner tout ce qu'elle avaient, Elle se caressa les seins lascivement, étalant mon sperme sur toute sa poitrine. Je me penchais pour l'embrasser.
- Merci, murmura-t-elle une fois notre baiser terminé.
- Tu rentres déjà ? Pas de réponse. Juste le bruit de veste et de chaussures qu'on retire, puis des pas pressé.
Elle déboule dans le salon en me regardant avec une drôle d'expression. Mélange d'impatience et de faim. Elle vient se planter devant moi, s'agenouille tout en écartant mes genoux pour se faire de la place et commence aussitôt à caresser mon sexe à travers mon short. Par moment, elle rapproche sa bouche et je sens son souffle chaud à travers le tissu. Un peu surpris, je commence à la questionner.
- Qu'est-ce qui me vaut cet honneur ?
- J'en ai eu envie toute l'après-midi, répondit-elle dans un soupire. Je n'arrivais plus à me concentrer, je ne pensais plus qu'à ta queue entre mes lèvres.
A ces mots, mon érection s'accéléra brutalement. Ce genre de révélation m'excite au plus haut point. La coquine le savait et en jouait dès qu'elle en avait l'occasion.
- Mmmm, gémit-elle. On dirait bien que je t'ai manquée aussi.
Elle me jeta un de ses regard de braises qui me rendent dingue. Elle empoigna l'élastique de mon short et de mon caleçon. Je soulevais légèrement mon bassin et d'un geste souple, elle fit glisser l'ensemble jusqu'à mi-cuisses. Ma bite bien dur jaillit tel un ressort.
- Ah, te voilà. Murmura-t-elle en s'en emparant aussitôt.
Elle commença à me branler tout doucement. Ponctuant ses mouvements par quelques longs coups de langues de la base de mon sexe, jusqu'au bout. Puis elle laissa couler un filet de salive sur mon gland et l'étala délicatement du bout des lèvres, puis avec sa main. Ainsi lubrifiée, toute ma bite coulissait entre ces doigts avec délice. Encore quelques coup de langues, qui me font tressaillir à chaque fois, et elle goba mon gland. Je sentais sa langue jouer avec, tourner autour, titiller mon frein, puis elle avala ma queue toute entière. Dieu que c'était bon.
Elle relâcha ma bite pour enlever son haut et son soutien-gorge. Je m'avançais pour me saisir de ses seins. J'adore les caresser, les lécher et sucer ses tétons. Mais elle me repousse sur le canapé.
- Pas maintenant, j'ai attendu trop longtemps. Elle fini de m'enlever short et caleçon et reprend immédiatement sa fellation avec encore plus d'envie.
Je m'accroche littéralement au canapé pour ne pas cracker et jouir tout de suite. Je veux profiter un maximum. Devant moi c'est un festival. Tout le monde est la fête. Elle me suce, gobe mes couilles, me branle et lèche mon gland tendu de désir. Régulièrement, elle bave sur ma queue pour qu'elle reste bien lubrifiée. Elle en profite pour frotter mon gland contre ses seins. Je sens ses tétons glissé contre mon frein. Un vrai délice.
Au bout d'un moment, elle se relève et fini de se déshabiller. La voilà nue devant moi, magnifique. Cette fois j'ai assez profité et surtout il me faut une pause pour me calmer. Je m'avance rapidement et m'empare de ses fesses à pleine main, ce qui la fait gémir un peu. Je commence à embrasser son ventre, pendant qu'elle me caresse les cheveux. Je décents lentement vers son minou tout en pétrissant délicatement ses jolies fesses. Une fois à la bonne hauteur, je glisse ma langue entre ses lèvres et touche délicatement son clitoris. Ma douce sursaute instantanément et je la sens qui s'agrippe à ma chevelure.
Lentement, je bascule en arrière tout en l'entrainant avec moi. La voilà à genoux sur le canapé son sexe bien posé sur ma bouche. Elle est trempée. Je me régale de son nectar et lui dévore la chatte tout en caressant tout son corps. Par moment, je m'aventure entre ses fesses et caresse doucement son petit trou du bout des doigts. Je n'ai pas longtemps à attendre avant qu'elle ne soit secouée par une série de spasmes, témoin d'un orgasme puissant. Je lève les yeux pour admirer son visage. Ma chérie est magnifique lorsqu'elle joui.
Après le plaisir qu'elle m'a donné, je ne la laisse pas récupérer complètement et la fait basculer sur le canapé. Couchée sur le dos, je viens me placer au dessus d'elle pour l'embrasser à pleine bouche. Nos langues se mêlent goulument et pendant ce temps, je place mon sexe toujours dur à l'entrée de sa chatte et la pénètre d'un coup. Elle est tellement mouillée qu'il n'y a aucune résistance, mais un long râle de plaisir.
Après quelques secondes, je commence doucement mes va et viens. elle passe ses bras autour de mon cou et m'encourage au creux de l'oreille. Lorsqu'elle sent que je suis au bord de l'orgasme, elle me chochotte :
- Viens sur mes seins...
Là s'en est trop pour moi. Je me retire et vient me placer à califourchon au dessus d'elle. Elle s'empare de ma bite et me branle vigoureusement d'une main, tout en serrant sa poitrine de l'autre. Il ne faut pas longtemps pour que de gros jets de sperme viennent s'écraser sur ses seins et son visage.
Une fois que mes couilles eurent donner tout ce qu'elle avaient, Elle se caressa les seins lascivement, étalant mon sperme sur toute sa poitrine. Je me penchais pour l'embrasser.
- Merci, murmura-t-elle une fois notre baiser terminé.
7 years ago