Karine Laurent et le cocu part 2
Laurent nous indique que nous allons à sa chambre qu’il a réservée préalablement.
Arrivé à la chambre, il me demande de dévêtir « sa » femme lentement et de lui vanter chaque parcelle de son corps.
Je commence par déboutonner les boutons du bas, expliquant le fuselage de ses jambes, la souplesse de ses cuisses, la douceur de son ventre. Je suis derrière elle, et elle me tourne le dos en regardant et souriant à Laurent.
Les derniers boutons sont lâchés. La robe est ouverte. Je laisse à Laurent le temps d’apprécier avant de faire glisser une manche. Karine apparait en sous vêtement. Ses seins pointés trahissent son excitation.
Son Maitre me demande de me dévêtir. Je porte bien ma cage de chasteté, comme demandé, et cela vous amuse de me voir bander à l’intérieur.
Laurent demande à sa proie, de prendre la corde dans la penderie, et de m’attacher. Il vérifie lui même les liens.
Libre de cocu, comme si Laurent aurait pu avoir des craintes que l’abandon de Karine ne soit pas total, il s’approche d’elle et la serre dans ses bras. Leurs bouches se retrouvent et ils échangent un baiser long, torride, comme deux jeunes adolescents amoureux. Leurs langues ne peuvent se défaire même quand leurs mains partent à l’exploration de leur corps. Karine déboutonne maladroitement sa veste, puis sa chemise, suivit du pantalon. Elle ne cesse de l’embrasser.
De son coté, il malaxe sa poitrine, pince les seins de la belle de plus en plus fort. La douleur l’électrise et la rend plus quémandeuse de ses assauts.
Elle extirpe le sexe dur de son caleçon. Il est turgescent, gonflé. Le gland est violacé, gorgé de sang. La femme d’un soir s’écarte enfin pour ôter le reste des habits et chaussures de son amant. Laurent la prenant par la main, s’approche du cocu. Ils réalisent que le spectacle lui a déclenché un orgasme, car du sperme coule le long de la cage. Laurent demande à Karine de recueillir le sperme, et de le déposer sur son sexe. De la main, Karine guide son sexe jusqu’à ma bouche de cocu. Je reçois votre magistrale queue comme un honneur. Je vous aspire, vous lèche. Karine, en est jalouse et vient en se mettant à genoux m’ôter l’objet de mon désir. Elle le prend en bouche à son tour, lèche la hampe en fait le tour descends vers les testicules, les prends en bouches, insère sa langue dans son méat.
Elle s’applique et Laurent résiste. Sa résistance est vaine, je vois le sexe gonflé et la source jaillir. Karine avale ce qu’elle peut, tant le flot est grand, tout en le regardant dans les yeux.
Leurs regards se fondent dans l union de leurs perversions.
Arrivé à la chambre, il me demande de dévêtir « sa » femme lentement et de lui vanter chaque parcelle de son corps.
Je commence par déboutonner les boutons du bas, expliquant le fuselage de ses jambes, la souplesse de ses cuisses, la douceur de son ventre. Je suis derrière elle, et elle me tourne le dos en regardant et souriant à Laurent.
Les derniers boutons sont lâchés. La robe est ouverte. Je laisse à Laurent le temps d’apprécier avant de faire glisser une manche. Karine apparait en sous vêtement. Ses seins pointés trahissent son excitation.
Son Maitre me demande de me dévêtir. Je porte bien ma cage de chasteté, comme demandé, et cela vous amuse de me voir bander à l’intérieur.
Laurent demande à sa proie, de prendre la corde dans la penderie, et de m’attacher. Il vérifie lui même les liens.
Libre de cocu, comme si Laurent aurait pu avoir des craintes que l’abandon de Karine ne soit pas total, il s’approche d’elle et la serre dans ses bras. Leurs bouches se retrouvent et ils échangent un baiser long, torride, comme deux jeunes adolescents amoureux. Leurs langues ne peuvent se défaire même quand leurs mains partent à l’exploration de leur corps. Karine déboutonne maladroitement sa veste, puis sa chemise, suivit du pantalon. Elle ne cesse de l’embrasser.
De son coté, il malaxe sa poitrine, pince les seins de la belle de plus en plus fort. La douleur l’électrise et la rend plus quémandeuse de ses assauts.
Elle extirpe le sexe dur de son caleçon. Il est turgescent, gonflé. Le gland est violacé, gorgé de sang. La femme d’un soir s’écarte enfin pour ôter le reste des habits et chaussures de son amant. Laurent la prenant par la main, s’approche du cocu. Ils réalisent que le spectacle lui a déclenché un orgasme, car du sperme coule le long de la cage. Laurent demande à Karine de recueillir le sperme, et de le déposer sur son sexe. De la main, Karine guide son sexe jusqu’à ma bouche de cocu. Je reçois votre magistrale queue comme un honneur. Je vous aspire, vous lèche. Karine, en est jalouse et vient en se mettant à genoux m’ôter l’objet de mon désir. Elle le prend en bouche à son tour, lèche la hampe en fait le tour descends vers les testicules, les prends en bouches, insère sa langue dans son méat.
Elle s’applique et Laurent résiste. Sa résistance est vaine, je vois le sexe gonflé et la source jaillir. Karine avale ce qu’elle peut, tant le flot est grand, tout en le regardant dans les yeux.
Leurs regards se fondent dans l union de leurs perversions.
8 years ago