Deux amis ivres
On se retrouve à dix-huit heures. Je l'aperçois dans la rue, son corps juvénile enveloppé dans une salopette en jeans courte.
Elle est blonde, de taille moyenne, trĂšs fine. Sa poitrine ne dĂ©forme quasiment pas le tissu de ses vĂȘtements.
Nous entrons dans le premier bar que nous trouvons et buvons tranquillement notre premiĂšre biĂšre.
Elle me raconte que son copain est en vacances et que ça la rend contente. Ăa tombe bien, ma copine est en vacances aussi.
Nous changeons de bar quatre fois. Elle se plaint Ă chaque fois d'ĂȘtre ivre, mais elle continue Ă boire.
Je vais fumer une cigarette, elle m'accompagne et devant le bar, nos lĂšvres se touchent.
Ses lĂšvres sont petites et fermes et elle n'ouvre pas beaucoup la bouche quand on s'embrasse. Ăa ne me plait pas vraiment mais le changement me procure cet agrĂ©able frisson des commencements de relations.
Nous montons dans un taxi, direction mon appartement. Nous sommes tous les deux assez ivres mais conscients quand mĂȘme de ce que nous faisons.
Quand nous arrivons chez moi, je l'embrasse un peu plus langoureusement cette fois, sur mon canapé. Nous glissons en direction du lit, et la voilà maintenant en culotte. Elle sent bon la lessive et je caresse ses cuisses et le pourtour de son sexe avec ma langue ; mes mains sont sur ses petits seins, trÚs fermes.
J'enlÚve sa culotte et je découvre sa chatte : trempée, brûlante, gonflée et charnue. J'y plonge ma langue, son jus n'a pas beaucoup de goût mais est trÚs doux.
Un de mes doigts se positionne à l'entrée de son vagin, y rentre. L'intérieur de son sexe est doux comme du velours, je n'avais encore jamais touché un sexe de femme comparable à celui-ci. Au fur et à mesure que mon doigt s'enfonce dans son intimité, je découvre que son sexe est trÚs étroit et ce constat achÚve de bander totalement mon sexe. Elle gémit vraiment doucement, tendrement.
AprÚs mes coups de langue répétés, je me positionne au-dessus d'elle et l'embrasse à pleine bouche, alors que mon sexe se positionne à l'entrée du sien.
Je rentre dans cette chatte étroite, si tendre et si humide. Elle est moins sonore quand je la prends mais je préfÚre ça à une fille qui simule.
AprĂšs quelques minutes, je sens que je vais venir et lui demande de me sucer. Ses dents frottent un peu sur ma queue, mais ça ne m'empĂȘche pas de dĂ©charger dans sa bouche. Un instant plus tard, je souris en entendant un son de dĂ©glutition. Le sommeil nous trouve peu de temps aprĂšs.
Ses petits seins et ses fesses fermes, sa bouille innocente et ses gestes maladroits me donnent vraiment l'impression que c'est son premier contact avec le plaisir, mĂȘme si je sais que ce n'est pas le cas.
Au rĂ©veil, ma bouche vient trouver son intimitĂ© et je lui arrache un orgasme trĂšs sonore juste avec mes coups de langue. Ăa m'excite de nouveau et je la prends encore une fois. Je jouis sur son ventre, aprĂšs ĂȘtre restĂ© immobile dans sa chatte serrĂ©e.
Nous partons chacun retrouver notre journée.
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Si vous avez aimé ce récit, n'hésitez pas à commenter !
Elle est blonde, de taille moyenne, trĂšs fine. Sa poitrine ne dĂ©forme quasiment pas le tissu de ses vĂȘtements.
Nous entrons dans le premier bar que nous trouvons et buvons tranquillement notre premiĂšre biĂšre.
Elle me raconte que son copain est en vacances et que ça la rend contente. Ăa tombe bien, ma copine est en vacances aussi.
Nous changeons de bar quatre fois. Elle se plaint Ă chaque fois d'ĂȘtre ivre, mais elle continue Ă boire.
Je vais fumer une cigarette, elle m'accompagne et devant le bar, nos lĂšvres se touchent.
Ses lĂšvres sont petites et fermes et elle n'ouvre pas beaucoup la bouche quand on s'embrasse. Ăa ne me plait pas vraiment mais le changement me procure cet agrĂ©able frisson des commencements de relations.
Nous montons dans un taxi, direction mon appartement. Nous sommes tous les deux assez ivres mais conscients quand mĂȘme de ce que nous faisons.
Quand nous arrivons chez moi, je l'embrasse un peu plus langoureusement cette fois, sur mon canapé. Nous glissons en direction du lit, et la voilà maintenant en culotte. Elle sent bon la lessive et je caresse ses cuisses et le pourtour de son sexe avec ma langue ; mes mains sont sur ses petits seins, trÚs fermes.
J'enlÚve sa culotte et je découvre sa chatte : trempée, brûlante, gonflée et charnue. J'y plonge ma langue, son jus n'a pas beaucoup de goût mais est trÚs doux.
Un de mes doigts se positionne à l'entrée de son vagin, y rentre. L'intérieur de son sexe est doux comme du velours, je n'avais encore jamais touché un sexe de femme comparable à celui-ci. Au fur et à mesure que mon doigt s'enfonce dans son intimité, je découvre que son sexe est trÚs étroit et ce constat achÚve de bander totalement mon sexe. Elle gémit vraiment doucement, tendrement.
AprÚs mes coups de langue répétés, je me positionne au-dessus d'elle et l'embrasse à pleine bouche, alors que mon sexe se positionne à l'entrée du sien.
Je rentre dans cette chatte étroite, si tendre et si humide. Elle est moins sonore quand je la prends mais je préfÚre ça à une fille qui simule.
AprĂšs quelques minutes, je sens que je vais venir et lui demande de me sucer. Ses dents frottent un peu sur ma queue, mais ça ne m'empĂȘche pas de dĂ©charger dans sa bouche. Un instant plus tard, je souris en entendant un son de dĂ©glutition. Le sommeil nous trouve peu de temps aprĂšs.
Ses petits seins et ses fesses fermes, sa bouille innocente et ses gestes maladroits me donnent vraiment l'impression que c'est son premier contact avec le plaisir, mĂȘme si je sais que ce n'est pas le cas.
Au rĂ©veil, ma bouche vient trouver son intimitĂ© et je lui arrache un orgasme trĂšs sonore juste avec mes coups de langue. Ăa m'excite de nouveau et je la prends encore une fois. Je jouis sur son ventre, aprĂšs ĂȘtre restĂ© immobile dans sa chatte serrĂ©e.
Nous partons chacun retrouver notre journée.
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8 years ago