La badine de maître Jean
Après notre 2e session, mon maître m’a laissé sa badine en souvenir. J’ai l’habitude du martinet, qui procure une douleur supportable, et ne dure pas très longtemps. La badine est différente. Légère et fine baguette de bambou, elle ne paie pas de mine. Après quelques essais, on se rend cependant vite compte de son potentiel. Dès qu’on lui donne un peu de vitesse, ses coups laissent une sensation cuisante et de belles marques rouges sur les fesses. Je m’en donne une première série de dix coups sur chaque fesse, avant de faire une pause.
En tant que soumis, j’aime le sentiment d’être nu, offert, vulnérable, exposé aux regards. Le simple fait de me mettre nu commence à m’exciter. J’imagine le regard de mon maître posé sur moi, ses mots à mon égard. Les premiers coups sont toujours maladroits. On teste sa force, l’angle, la vitesse. Il faut bien prendre la badine à son extrémité pour lui donner toute la vitesse. La faire tournoyer dans l’air pour entendre son sifflement.
Après la 2e série, les marques commencent à être bien visibles. Le cul chauffe un peu, mais pas trop. La badine imprime aussi sa marque sur le haut des cuisses, toujours sensible. On se frappe toujours un peu à l’aveugle. En un sens, les photos permettent de donner corps à ce qu’on a fait. Je les regarde en me branlant un peu et en me traitant intérieurement de salope. C’est ce regard extérieur qui donne du sel à la punition.
En place pour une 3e série, dix coups sur chaque fesse à nouveau. J’essaie de trouver la meilleure position, légèrement penché, les fesses cambrées. L’enchaînement des coups procure une sorte d’ivresse. Le son, puis la sensation s’enchaînent. La badine demande un certain dosage. On peut donner des petits coups secs, pour stimuler, ou des coups plus amples et plus forts.
Je me donne une 4e et 5e série pour finir, espacées de 5 minutes. A la fin de la 4e, je casse le bout de la badine. Le bois est sans doute un peu sec et a cassé. Mais elle est encore suffisamment longue pour continuer. Mes fesses sont rouges et bien striées. J’ai désormais une douleur cuisante quand je m’assois, qui me rappelle à ma condition de soumis. Je pense à ma prochaine séance avec maître Jean. J’ai découvert le goût de la badine et j’espère pouvoir aller plus loin et découvrir des sensations encore plus fortes.
En tant que soumis, j’aime le sentiment d’être nu, offert, vulnérable, exposé aux regards. Le simple fait de me mettre nu commence à m’exciter. J’imagine le regard de mon maître posé sur moi, ses mots à mon égard. Les premiers coups sont toujours maladroits. On teste sa force, l’angle, la vitesse. Il faut bien prendre la badine à son extrémité pour lui donner toute la vitesse. La faire tournoyer dans l’air pour entendre son sifflement.
Après la 2e série, les marques commencent à être bien visibles. Le cul chauffe un peu, mais pas trop. La badine imprime aussi sa marque sur le haut des cuisses, toujours sensible. On se frappe toujours un peu à l’aveugle. En un sens, les photos permettent de donner corps à ce qu’on a fait. Je les regarde en me branlant un peu et en me traitant intérieurement de salope. C’est ce regard extérieur qui donne du sel à la punition.
En place pour une 3e série, dix coups sur chaque fesse à nouveau. J’essaie de trouver la meilleure position, légèrement penché, les fesses cambrées. L’enchaînement des coups procure une sorte d’ivresse. Le son, puis la sensation s’enchaînent. La badine demande un certain dosage. On peut donner des petits coups secs, pour stimuler, ou des coups plus amples et plus forts.
Je me donne une 4e et 5e série pour finir, espacées de 5 minutes. A la fin de la 4e, je casse le bout de la badine. Le bois est sans doute un peu sec et a cassé. Mais elle est encore suffisamment longue pour continuer. Mes fesses sont rouges et bien striées. J’ai désormais une douleur cuisante quand je m’assois, qui me rappelle à ma condition de soumis. Je pense à ma prochaine séance avec maître Jean. J’ai découvert le goût de la badine et j’espère pouvoir aller plus loin et découvrir des sensations encore plus fortes.
9 years ago