Tante Tania

ce ci est une pure Fiction , bonne lecture


Les faits que je vais vous raconter remontent Ă  l’annĂ©e de mes 20 ans. J’étais alors Ă©tudiant Ă  la facultĂ© de mĂ©decine en premiĂšre annĂ©e de kinĂ©. Je passais mon temps entre mes cours et ma passion pour le cinĂ©ma. La fin de l’annĂ©e approchait, mon pĂšre me demanda de le remplacer Ă  son entreprise pendant le mois de dĂ©cembre pour son voyage d’affaires et il me prĂ©cisa que je devrais recevoir ma tante d’Italie qui gĂ©rait la filiale de notre entreprise familiale Ă  Milan. J’avais entendu parler de cette tante italienne mais sans plus d’explications, mon pĂšre l’apprĂ©ciait pour son sens des affaires. Il insista pour que je sois serviable et disponible avec elle.

Je devais rĂ©ceptionner ma tante Ă  la gare et l’installer dans notre rĂ©sidence Ă  la campagne. Je savais qu’elle adorait sortir et danser selon mes parents. J’avais imaginĂ© tout sauf ce que je vis Ă  cet instant prĂ©cis sur le quai de la gare. Une superbe femme brune trĂšs Ă©lĂ©gante se dirigea vers moi en me souriant « Bonjour mon neveu, je t’ai reconnu immĂ©diatement
 ». Elle me parla avec une voie assurĂ©e et joviale, ponctuant chaque phrase d’un large sourire. Ma tante Ă©tait Ă©blouissante de beautĂ©, brune trĂšs typĂ©e avec des traits fins et rĂ©guliers. Ses cheveux courts au carrĂ©, ses grands yeux noirs avec de longs cils, sa silhouette avec des formes ahurissantes, sa poitrine trĂšs prononcĂ©e, sa taille fine et sa cambrure accentuĂ©e, ses longues jambes interminables
 tout ceci me donna un tournis dont je me souviens encore Ă  ce jour. Elle Ă©tait tout simplement divine, une apparition, une vraie dĂ©esse.

Tout en essayant d’assurer la conversation je laissais mes yeux la parcourir, sa tenue stricte Ă©tait cependant trĂšs sexy : un chemisier blanc, prĂšs du corps, qui donnait un rĂ©el aperçu de la proĂ©minence de sa poitrine ainsi qu’une courte jupe noire prĂšs du corps. Des talons noirs, hauts et chics, qui mettaient en lumiĂšre ses jambes lĂ©gĂšrement musclĂ©es et finement dessinĂ©es. Elle me donnait des sueurs froides et me rendit encore plus timide que d’accoutumĂ©e.

Tout en conduisant, je remarquais sa jupe remontĂ©e sur ses cuisses, sa peau dorĂ©e et ses vĂȘtements qui semblaient prĂȘts Ă  cĂ©der sous de si belles formes plantureuses. « Je m’appelle Tania, tu peux me tutoyer mon neveu, tu sais, je t’ai gardĂ© quand tu avais un an
 » Ma tante Tania faisait son maximum pour que je sois Ă  l’aise avec elle, elle me questionna sur mes Ă©tudes, mes loisirs
 « Alors comme cela tu aimes le cinĂ©ma, et quelle actrice prĂ©fĂšres-tu ? » « Sophia Loren, elle est divinement belle
 d’ailleurs ma tante, vous lui ressemblez, je trouve » Ma tante Tania sourit et apprĂ©ciait mon compliment. « Tu es trop mignon
 mais je ne suis pas vraiment aussi belle qu’elle, enfin je me sens quand mĂȘme flattĂ©e ».

Je protestai mais ma tante me gratifia d’un sourire ravageur qui me laissa sans voix. Je l’installai dans la chambre d’amis et lui donnai rendez-vous dans une heure pour dĂźner. Ma tante me retrouva dans le salon, vĂȘtue d’un jean moulant et d’un chemisier en soie noire. « Si j’avais su, je me serais mieux habillĂ©e car tu es superbe mon neveu dans ton costume » J’avais voulu ĂȘtre Ă  la hauteur et je m’étais vĂȘtu en costume tandis que ma tante Tania Ă©tait en tenue plus dĂ©contractĂ©e. MalgrĂ© mes protestations, ma tante me rĂ©pondit « Et bien dĂšs demain soir, tu m’accompagneras Ă  une rĂ©ception d’un fournisseur et je me ferai belle pour toi afin de me faire pardonner » « Vous ĂȘtes toute pardonnĂ©e ma tante
 ».

Pendant le dĂźner, ma tante se leva en insistant pour me servir. Je voyais alors son jean qui la moulait comme un gant, sa croupe Ă©tait encore un peu plus mise en valeur, ses fesses rebondies et musclĂ©es Ă©taient un vrai dĂ©lice visuel. Nous passĂąmes une soirĂ©e trĂšs agrĂ©able en parlant cinĂ©ma, sport, loisir
 Ma tante savait me mettre en confiance au point de me faire parler sur mes sorties et mĂȘme Ă  propos de mes petites amies. J’étais en admiration devant cette magnifique femme qui s’intĂ©ressait Ă  moi. Elle Ă©tait si douce et si attentive, bref la tante idĂ©ale. Le lendemain, ayant rĂȘvĂ© d’elle trĂšs tard dans la nuit je lus un petit mot de sa main me demandant de l’accompagner Ă  un dĂźner d’affaires Ă  21h00 prĂ©cises.

L’heure venue, je me tenais prĂȘt, parfumĂ©, habillĂ© trĂšs chic et impatient de voir ma tante Tania. Elle entra en trombes en me lançant un « Bonsoir mon neveu chĂ©ri » et s’enferma dans la salle de bain en se prĂ©parant trĂšs longuement. Ma tante fit alors son entrĂ©e un long moment plus tard, vĂȘtue d’un tailleur noir Chanel, un chemisier en mousseline de soie noire (qui laissant percevoir la dentelle de ses dessous), une jupe courte et des talons hauts et fins style GUCCI. Elle faisait encore plus femme perchĂ©e de quelques dix bons centimĂštres. Tania fut ravie de mon Ă©tonnement et de mon air Ă©bloui. « Alors ta tante te plaĂźt plus ce soir ? » Ses cheveux Ă©taient plaquĂ©s en arriĂšre, son maquillage mettait en relief ses yeux noirs, son teint bronzĂ©, et pour finir son parfum m’enivrait totalement.

Tania me provoqua en tournant sur elle-mĂȘme, prenant quelques poses trĂšs diva. Elle prenait plaisir Ă  me voir bouche bĂ©e, l’air admiratif devant sa plastique irrĂ©prochable. Ma tante me demanda d’ĂȘtre son cavalier pour cette soirĂ©e, ce que j’acceptais en bredouillant. Je me souviens encore de son parfum qui me chatouillait l’odorat, son allure trĂšs chic et stricte malgrĂ© un tailleur qui paraissait moulĂ© sur son corps de dĂ©esse, ses cuisses bronzĂ©es avec une jupe si courte que j’aperçus l’attache de son porte-jarretelles. Ma tante Ă©tait aphrodisiaque, mĂȘme un Ă©vĂȘque aurait succombĂ©, alors moi


Elle remarqua une ou deux fois mon regard insistant sur ses jambes dĂ©nudĂ©es mais elle ne semblait pas s’en offusquer, comme si cela Ă©tait normal venant de son neveu. Au contraire elle attrapait mon regard et m’adressait un sourire taquin, complice tandis que je rougissais de plus belle en me jurant de ne plus laisser traĂźner mes yeux, mais la tentation Ă©tait trop forte. La soirĂ©e avait lieu dans une boĂźte de nuit trĂšs Ă  la mode. De nombreux hommes tournaient autour de ma tante, la courtisaient, tandis qu’elle semblait ne pas trop y prĂȘter attention. Elle n’arrĂȘtait pas de me saisir par le bras et me chuchotait « Ca va mon neveu chĂ©ri
 ». Elle s’inquiĂ©tait pour moi ce qui me rendait trĂšs fier.

Un homme l’invita Ă  danser et elle accepta en me glissant que c’était un gros client. Pendant tout le slow, je vis qu’il laissait ses mains glisser dans le dos de ma tante et mĂȘme sur ses reins. Elle riait et lui parlait tandis qu’il la saisissait Ă  pleines mains Ă  prĂ©sent. Cela ne la gĂȘnait pas visiblement, l’homme la caressait discrĂštement mais je l’avais remarquĂ©. Le second morceau dĂ©marra mais elle le congĂ©dia et me rejoignit au bar. « Quel abruti, il m’aurait presque violĂ©e sur la piste si je n’avais pas racontĂ© une histoire en te prĂ©sentant comme mon amant » Tania rigolait et elle ajouta « Allez fais-moi danser mon jeune amant
 » Ma tante me prit par la main et ondula en me guidant sur la piste, elle s’enlaça autour de moi, son corps vint se blottir contre moi, sa poitrine s’écrasa contre mon torse, son bassin se plaqua au mien et elle ondula trĂšs lentement sur le slow. « Ce gros porc avait tellement envie de moi que je l’ai senti distinctement contre ma cuisse
 Quel abruti ! « . Tout en m’avouant cela, Tania se collait Ă  mon bassin, sa cuisse s’intercalait doucement puis plus prĂ©cisĂ©ment entre mes jambes, si bien que rapidement elle ne put, elle aussi, ignorer mon dĂ©sir qui montait.

A prĂ©sent mon sexe Ă©tait tendu comme un arc, dĂ©formant considĂ©rablement mon pantalon, la cuisse de ma tante se chargeant de le maintenir en Ă©veil, elle rejeta alors son visage en arriĂšre en glissant sa main dans ses cheveux ce qui fit encore plus jaillir sa poitrine sur mon torse. Son bassin bascula un peu plus vers l’avant, ses reins se creusĂšrent. « Alors mon neveu, tu sembles bien crispĂ©, ce n’est pas moi qui te gĂȘne? Peut-ĂȘtre aimerais-tu danser avec une jolie jeune fille ? » Ma tante se comportait comme si de rien n’était, notre proximitĂ© ne la gĂȘnant pas, bien au contraire. Elle posa sa main sur ma chemise et laissa ses longs ongles vernis caresser imperceptiblement mon torse. « Mais je prĂ©fĂšre danser avec vous, de toute façon vous ĂȘtes plus jolie que ces jeunes idiotes
 » « Ah quel beau parleur
 enfin je prends cela comme un compliment
 » MalgrĂ© mes protestations Tania me coupa en posant sa main douce sur mes lĂšvres « Chut et fais danser ta tante » Ses doigts traĂźnĂšrent langoureusement sur mes lĂšvres entrouvertes.

La musique enchaĂźna sur un zouk love trĂšs sensuel, un rythme traĂźnant, des paroles suaves et coquines. « Tu dois laisser ton corps suivre le rythme, ondule du bassin
 » me dit-elle et ma tante Tania m’expliqua « Colle ton bassin contre le mien et laisse moi te guider
 N’ai pas honte, tu danses avec ta tante
 laisse-toi aller ». Sa main me plaqua les reins contre les siens, son corps tout entier Ă©tait collĂ© contre moi. Son ondulation lente mais appuyĂ©e me guidait et surtout elle m’enflamma encore un peu plus le bas ventre. Je devenais rouge de confusion sentant mon dĂ©sir pour ma tante me trahir tellement nous Ă©tions proches. Tania ne semblait rien remarquer, bien au contraire sa cuisse se glissait toujours un peu plus entre mes jambes. Sa main me maintenait bien contre elle. Sa poitrine s’écrasait contre mon torse et elle reculait Ă  peine son visage pour me parler en dansant. Son parfum m’enivrait les narines, ses grands yeux noirs me captivaient et son sourire me faisait fondre. « Alors mon neveu adorĂ©, tu as peur de tenir ta tante par la taille ou quoi
 tu dois guider seul Ă  prĂ©sent moi je suis
 soumise Ă  tes volontĂ©s
 C’est cela la danse ». Ma tante Tania me taquinait en me disant cela, son sourire et son regard coquin en disaient long sur l’ambiguĂŻtĂ© de la situation.

A ce moment, un morceau encore plus traĂźnant dĂ©marra, ma tante eut une exclamation de joie et me demanda de la faire danser avec conviction. Elle ondula du bassin en me frottant encore plus l’entrecuisse comme pour mieux me faire comprendre la façon de la guider sur ce morceau. La musique, l’ambiance et le champagne que j’avais bu me firent alors oser ce que je n’aurais jamais pensĂ© il y a seulement une heure. Je m’enhardissais et me dis intĂ©rieurement : « AprĂšs tout pourquoi ne pas profiter de la situation » et je saisis ma tante Ă  pleines mains, Ă©cartant ma main gauche sur ses reins en la pressant contre moi et en posant ma main droite sur sa hanche, puis en la laissant glisser rapidement sur ses fesses rebondies.

A ce moment lĂ , ma tante Tania recula Ă  peine son visage, me fixa l’air un peu interrogateur mais elle m’adressa un sourire sans Ă©quivoque, elle apprĂ©ciait manifestement mon initiative. A tel point qu’elle ne s’offusqua pas de sentir ma main droite lui tenir la hanche en la collant bien Ă  moi, puis glisser sur ses fesses et les caresser en faisant semblant de suivre la musique et la danse. Ma main remarqua mĂȘme qu’elle avait sĂ»rement un string car le tissu trĂšs fin de sa jupe ne marquait aucune trace de sous-vĂȘtement en dentelle. Je caressais Ă  prĂ©sent ma tante Ă  travers le fin tissu de sa jupe, ses fesses Ă©taient rondes et fermes, sa cambrure les exposaient encore un peu plus.

Je posai ma seconde main sur ses fesses et je commençai Ă  la presser contre moi, mes mains lui enserrant vigoureusement les fesses et remontant par moments sur ses reins. J’étais raide dingue de ma tante, quand tout Ă  coup elle plaqua ses deux mains contre mes reins et descendit sur mes fesses pour mieux les ancrer contre son bassin. « C’est bien mon chĂ©ri, tu danses divinement bien, je te sens bien
 dans le rythme ainsi
 et tu sembles apprĂ©cier cette danse » et elle se plaqua encore plus Ă  moi jusqu’à la fin du morceau. « Tu connais la boĂźte ? » « Non ma tante je ne suis jamais venu » Tania me proposa de faire le tour car elle la connaissait d’un prĂ©cĂ©dent voyage d’affaires. La musique avait changĂ©, elle se dĂ©gagea de mon emprise et me prit par la main en m’entraĂźnant vers un couloir. Il Ă©tait grand temps car j’allais sĂ»rement oser la toucher un peu plus encore sous l’effet de l’excitation. Des salles plus petites se suivaient dans cette immense discothĂšque, puis nous descendĂźmes des escaliers pour nous retrouver dans une cave amĂ©nagĂ©e, une lumiĂšre douce tamisait l’atmosphĂšre des couples oscillaient sur un slow, et des Ă©crans diffusaient une vidĂ©o Ă©rotique.

Tania me tenait par la main et me montra la vidĂ©o en rigolant « VoilĂ  qui met un peu d’ambiance » et elle me guida dans une piĂšce peu Ă©clairĂ©e, quelques couples bavardaient sur des sofas et un bar trĂšs design s’affichait devant nous. Elle s’assit sur une chaise haute, ses jambes croisĂ©es laissaient sa robe se fendre suffisamment pour dĂ©couvrir ses magnifiques jambes bronzĂ©es. Nous bĂ»mes une coupe de champagne puis deux, trois
 etc. jusqu’à entendre dĂ©marrer la musique du film « Neuf semaines et demi ». Ma tante reconnut le morceau et me demanda si j’avais vu le film. « Cinq fois au moins ma tante, j’ai adorĂ© » « Ne m’appelle pas ma tante, mais Tania, et tu avais aimĂ© la prestation de Kim Bassinger ? » Je voulus alors Ă  cet instant prĂ©cis rĂ©pondre le contraire de ce que je pensais, croyant passer pour un homme et non pour un gamin voyeur. « Bof, un strip-tease ce n’est pas terrible ». A ce moment ma tante Tania me foudroya du regard « Comment ça pas terrible? Tu es bien difficile, tu veux me faire croire que tu n’as pas apprĂ©ciĂ© ? » « Si, enfin non
 » Ma tante quitta son haut siĂšge, me fixa dans les yeux « Sache qu’avant j’étais danseuse dans des boĂźtes de nuit pour financer mes Ă©tudes et que tu aurais adorĂ© mon spectacle » et elle me glissa Ă  l’oreille « Bon prends-en de la graine
 et
 rince-toi l’Ɠil, mon neveu ».

Tania se plaça face Ă  moi et commença Ă  onduler sur la musique en laissant ses mains se promener sur ses hanches et son ventre, remonter sur ses cuisses pour finir en suivant ses cheveux plaquĂ©s en arriĂšre. Son corps me donnait l’impression qu’il allait exploser Ă  tout instant, sa poitrine tendait le tissu de son chemisier, sa croupe se dessinait Ă  merveille dans son tailleur sexy, elle dansait Ă  prĂ©sent en essayant de me provoquer avec des gestes trĂšs explicites. La piĂšce Ă©tait vide autour de nous, Tania en profita pour m’adresser des clins d’Ɠil et des bises trĂšs prononcĂ©es avec ses lĂšvres rouges et sa langue coquine. Ma tante me provoquait sans aucune retenue, ni pudeur. Ses courbes aphrodisiaques me rendaient fou, elle me narguait Ă  quelques centimĂštres de moi, frĂŽlait mes jambes et riait de me voir les yeux Ă©bahis. Elle commença Ă  dĂ©faire les boutons de son chemisier un Ă  un, prenant soin de me regarder avec un air faussement candide, elle laissa mĂȘme son doigt sur sa bouche et sortit sa langue pour le lĂ©cher dĂ©licatement. Je sentais le dĂ©sir m’envahir, j’avais envie de ma tante Tania, elle savait comment faire pour me provoquer, son petit strip-tease Ă©tait trĂšs efficace.

Elle s’arrĂȘta car le morceau de musique changea. Elle s’avança vers moi et posa sa main sur mon pantalon Ă  un endroit qui lui fournit la rĂ©ponse Ă  sa prestation. « Mon neveu, tu as apprĂ©ciĂ© mon show
 je vois! » Elle laissa sa main effleurer mon pantalon dĂ©formĂ© par mon sexe raidi sans aucune gĂȘne. Ma tante m’excitait comme jamais une femme ne l’avait fait auparavant, je voulais la tenir, la toucher, parcourir ce corps divin. Elle le devina dans mes yeux et me prit par la main en me demandant de la raccompagner car elle Ă©tait assez fatiguĂ©e. Dans la voiture, je conduisais tout en regardant ses cuisses dĂ©couvertes, sa poitrine qui tendait son chemisier dĂ©boutonnĂ© lors du strip-tease, son visage aux traits si rĂ©guliers. Ma tante Tania me rendait dingue. Elle passait ses doigts dans ses cheveux en me disant qu’elle avait chaud et qu’elle prendrait bien un bain tant la chaleur Ă©tait suffocante. Je rigolais pour masquer ma gĂȘne et je lui rĂ©torquais comme par dĂ©fi : « La plage est dĂ©serte Ă  cette heure-ci et je connais une crique magnifique » « Parfait, si mon neveu n’est pas trop fatiguĂ© j’accepte avec plaisir, cela fait si longtemps que je n’ai pris de bain de minuit
 « .

J’accĂ©lĂ©rai et, comme pris Ă  mon propre piĂšge, je conduisis ma tante vers une petite plage de sable fin encadrĂ©e par des parois rocheuses assez impressionnantes. Nous garĂąmes la voiture et ma tante s’émerveilla devant la vue splendide de la mer Ă©clairĂ©e par la pleine lune. « C’est adorable mon neveu ». Je lui coupai la parole, comme pris de panique « Nous allons nous baigner ma tante, mais je n’ai pas de maillot ! ». Elle me regarda en coin, sourit avec malice « N’oublie pas que je t’ai langĂ©, alors ce n’est pas mon neveu qui me mettra mal Ă  l’aise parce qu’il est nu ». Elle me demanda de lui passer la serviette de bain qu’elle avait dans son sac de sport, elle avait laissĂ© ce sac dans le coffre depuis son dernier footing. Elle me pria de me tourner et se dĂ©shabilla en rigolant et en m’expliquant ses bains de jeunesse. Ce fut ensuite mon tour. Tandis que je lui tournais le dos en me dĂ©vĂȘtissant, ma tante s’avança derriĂšre moi et se plaça contre moi, elle saisit ma chemise en la dĂ©grafant. Je n’osais pas me tourner et je laissai ses mains avec ses doigts agiles me dĂ©vĂȘtir. « Je m’en occupe, sinon nous ne sommes pas encore dans l’eau » me dit-elle. Sa main libĂ©ra ma chemise puis elle posa ses doigts sur ma boucle de ceinture, en un tour de main, elle tira ma ceinture et s’attaqua Ă  mes boutons de pantalon. Je sentais son corps enveloppĂ© dans la serviette frĂŽler mon dos, mes cuisses.

Ma tante dĂ©boutonna chacun des boutons de ma braguette avec soin et dĂ©licatesse, ses doigts s’égarant entre mon pantalon et mon caleçon, frĂŽlant mon sexe tendu de dĂ©sir. Elle tira sur mon pantalon, le fit coulisser sur mes jambes, puis elle passa ses mains sur mon caleçon et le tira avec lenteur vers le bas. Mon sexe empĂȘchait le caleçon de descendre, je rougissais car ma tante comprenait inĂ©vitablement mon Ă©tat. Elle rit gentiment et me souffla « Je crois qu’un bain te fera du bien mon neveu », tout en passant sa main sur le devant et d’un geste calme et prĂ©cis et elle fit passer le tissu par dessus mon Ă©rection. Sa paume et ses doigts m’avaient parcouru un quart de seconde mais suffisamment pour me mettre un peu plus en Ă©bullition. Ma tante me fit signe alors de sa main en me demandant de venir me rafraĂźchir, elle courut vers l’eau, puis laissa choir sa serviette en plongeant d’un trait. J’eus le temps d’apercevoir sa silhouette divine, une tentation diabolique, des fesses charnues mais musclĂ©es, une cambrure de reins affolante et surtout des jambes interminables.

Je plongeai tout heureux de cacher mon dard pointĂ© vers le ciel, ma tante riait et m’éclaboussait, nous jouĂąmes Ă  nous jeter de l’eau. Tout Ă  coup, je me retrouvai Ă  me battre dans l’eau avec ma tante, nos deux corps nus se touchaient, sa poitrine se plaquait contre mon torse, ses jambes m’enlaçaient, ses mains se faisaient curieuses et innocentes Ă  la fois. Tout ceci s’apparentait Ă  un jeu candide alors que ma tante ne pouvait ignorer l’effet que cela me produisait. Tant et si bien qu’elle s’agrippa derriĂšre mon dos et malencontreusement me lança un coup avec son pied en plein dans mon bas ventre, j’eus Ă  peine mal car son pied avait surtout touchĂ© mes abdominaux mais je fis semblant et ma tante s’affola « Pardon mon chĂ©ri, je suis dĂ©solĂ©e, je t’ai fais mal, quelle idiote
 » Elle me suivit en sortant de l’eau, sans prendre soin de se vĂȘtir avec la serviette, j’en rajoutais beaucoup car Ă  prĂ©sent j’avais tellement envie de ma tante que j’aurais tout tentĂ© pour obtenir d’elle qu’elle me caresse. Je m’allongeai sur le sable au bord de l’eau en me tenant l’entrejambe tournĂ© sur le cotĂ©. Ma tante prit cette fois sa serviette et la noua autour de sa poitrine. Elle s’agenouilla Ă  mes cotĂ©s, se confondant en excuses « Laisse-moi voir si tu n’es pas trop blessĂ© ». D’un coup, elle m’ordonna d’un ton trĂšs dĂ©terminĂ© de la laisser examiner ma verge. « Allons bon, tu n’as pas Ă  avoir honte avec ta tante Tania, je vais examiner ton bas ventre, sois gentil laisse-toi faire
 Je ne sais pas comment me faire pardonner » « Je n’arrive mĂȘme plus Ă  me toucher le sexe tellement j’ai mal ma tante » « Bon, laisse-moi voir, je te promets d’ĂȘtre douce ».

Ma tante Tania me retourna, me fit Ă©tendre sur le dos et me demanda de lever mes mains. Elle me prit ma main droite et la posa sur sa serviette puis elle posa mon autre main sur le sable. Tania dĂ©plia mes jambes avec calme et me demanda d’une voix douce d’ouvrir lĂ©gĂšrement mes cuisses. Etendu sur le sable, je regardais ma tante dĂ©couvrir mon sexe encore en semi-Ă©rection, plein de sable. « Je vais ĂŽter le sable car je ne vois rien » Elle passa sa main autour en enlevant le sable puis elle se saisit dĂ©licatement de mon sexe en prenant soin de le tenir lĂ©gĂšrement. Elle me regarda « Tu n’as pas trop mal mon neveu, je suis dĂ©solĂ©e
 » « Si, j’ai tellement mal
 « . J’en rajoutais car Ă  prĂ©sent ma tante me tenait le sexe et avec ses doigts elle essayait d’enlever le sable collĂ© sur ma verge. Tania rĂ©ussit Ă  m’enlever le sable sur le sexe mais au fur et Ă  mesure de ses gestes ou plutĂŽt de ses caresses, ma verge se durcissait et Ă  prĂ©sent elle vit mon gland sortir d’un coup tant je bandais. « Tu n’as pas de marque sur le contour. Par contre, j’ai l’impression que tu as une trace rouge sur le bout. Il faut que j’enlĂšve le sable pour m’en assurer, je sais que c’est sensible mais je tĂąche de faire attention. » Ma tante passa alors son index sur mon gland en enlevant les grains de sable. Quitte Ă  mentir un peu plus « Aie, cela m’irrite avec le sable, ton doigt me fait mal ma tante » Tania ne se dĂ©couragea pas, bien au contraire. « Je suis navrĂ©e mon chou, alors si ma main n’est pas assez douce, il ne me reste pas grand chose pour enlever ces grains de sable, l’eau de mer va te piquer car tu es irrité  Ă  moins que
 je ne dĂ©pose un peu de salive ».

Ma tante ne me laissa pas le temps de rĂ©agir et elle pencha son visage Ă  quelques centimĂštres de mon sexe, puis elle laissa couler de la salive de ses lĂšvres. Cela me fit frissonner mais, en bougeant, Tania se saisit alors de ma verge dure et tendue. Je vis alors la serviette trop courte dĂ©voiler ses fesses. AgenouillĂ©e Ă  mes cotĂ©s, ma tante Tania me fit rĂȘver d’une fellation. Sa salive m’inonda le gland et je lui dis « Cela me pique ma tante » Lorsqu’elle passa son doigt pour enlever le sable, je fis mine de gĂ©mir. « J’ai mal
 » Je me tortillais au point de venir heurter doucement sa joue puis ses lĂšvres avec ma verge. « Bon, ne bouge plus, je vais ĂŽter ce sable qui te fait mal mais il faut me laisser faire mon neveu, je vais mieux dĂ©poser de la salive, et ensuite je pourrai faire partir ce sable » « Tu me fais mal avec tes doigts ma tante » « N’aie pas peur, je ne te ferai pas mal, mĂȘme si je dois employer les grands moyens
 Je m’en veux tant de t’avoir donnĂ© ce coup
 » « Tes cheveux me gĂȘnent ma tante, ils Ă©gratignent ma verge » Tania se releva suffisamment pour enlever sa serviette et la noua sur ses cheveux pour s’agenouiller ensuite. Elle baissa son visage Ă  quelques centimĂštres de mon sexe toujours en Ă©rection, le gland rouge de dĂ©sir.

Ma tante laissa de la salive couler sur mon sexe, le gland ainsi arrosĂ© elle sortit sa langue et posa ses lĂšvres sur le bord de mon prĂ©puce. Sa langue vint lĂ©cher mon sexe sur le cotĂ© puis elle glissa jusqu’à mon gland dĂ©calottĂ©. Tout d’abord du bout de la langue puis en quelques secondes ma tante Tania me lĂ©chait le gland Ă  grand coup de langue en essuyant chaque grain de sable. Sa main se resserrait sur mon sexe Ă  la base puis elle tira sur ma peau en la faisant coulisser ; elle libĂ©ra encore plus mon gland. A prĂ©sent, ma tante se laissait aller Ă  une fellation dĂ©guisĂ©e. Tout Ă  coup, elle me prit entiĂšrement dans sa bouche, aspirant pour mieux me faire bander, sa main marquant des allers-retours sur ma verge. J’entendis alors ma tante gĂ©mir comme si elle prenait du plaisir Ă  me sucer ainsi, moi son propre neveu. J’entrepris alors de poser ma main sur ses fesses tandis qu’elle soulevait son arriĂšre train de ses talons en me suçant avidement, dĂ©couvrant alors un sexe ruisselant de dĂ©sir. Tania se releva lĂ©gĂšrement, dĂ©gagea sa bouche « Mais mon neveu que fais-tu ? » Je lui plaquai alors Ă©nergiquement, de l’autre main, sa nuque contre mon sexe tout en m’insĂ©rant dans son intimitĂ©. La rĂ©sistance fut courte et d’un coup ma tante Tania ouvrit ses fesses pour me faciliter mes caresses.

Elle jouissait et gĂ©missait de plaisir. N’en pouvant plus, je la relevai et la retournai sur le ventre. D’un mouvement, je me plaçai entre ses cuisses Ă©cartant ses fesses et insĂ©rant mon sexe en elle. « Non, mon neveu
 sois sage » et je pris les cheveux de ma tante d’une main tout en la pĂ©nĂ©trant lentement. Son sexe s’ouvrit et m’accueillit. Tania avait envie que je la prenne. « Oui
 tu es fort, je te sens bien
 baise-moi, baise ta tante » A prĂ©sent, je labourais Ă  grands coups de reins ma tante. Ses cris devaient s’entendre mais pour rien au monde je n’aurais interrompu cet instant. Tania me demanda de la baiser comme une salope qu’elle Ă©tait. Je sortis mon sexe et le poussai entre ses fesses. Je fus surpris car elle gĂ©missait « Non
 tu es fou pas comme ça
 » D’un coup, je la pĂ©nĂ©trai pour une sodomie jusqu’à la garde, ses fesses s’offraient Ă  moi. Tania respirait fort, je voyais son dos se creuser, ses reins frĂ©mir Ă  chaque poussĂ©e. « Tu me rends folle
 » AprĂšs d’interminables ondulations du bassin, elle jouit en une longue plainte.

Ma tante se retourna « Je veux te sentir dans ma bouche
 ». Elle s’engouffra entre mes cuisses et me suça avidement comme si sa vie en dĂ©pendait. Je sentais le plaisir monter, ma verge se durcissait un peu plus comme si cela aurait pu ĂȘtre encore possible. J’explosais dans sa bouche, de longs jets de foutre inondĂšrent sa cavitĂ© buccale. Tania ne s’arrĂȘtait pas. Au contraire, elle voulait m’extraire la plus petite goutte de sperme, avalant et lĂ©chant mon sexe comme une grosse glace vanille. Ma tante Tania me garda encore quelques secondes entre ses lĂšvres prenant soin de bien m’essuyer le sexe Ă  coup de langue, comme un chat qui lape un bol de lait. Nous nous rhabillĂąmes et arrivĂ©s Ă  la maison, j’eus encore envie d’elle. Cette fois, je la pris sur le capot de la voiture sans me dĂ©shabiller. Ma tante jouit et nous passĂąmes nos vacances Ă  baiser comme des fous partout dans la maison. Depuis cet Ă©tĂ©, je la revois rĂ©guliĂšrement et je la baise avec toujours autant de fougue pour son plus grand bonheur et le mien.
Published by Mrpoils9
9 years ago
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Mrpoils9
Mrpoils9 Publisher 9 years ago
merci , bientĂŽt y'auras d'autres histoires :wink:
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